Agape2010-2011enSess.. - Catholique du net

10. Messe du soir, veille de la béatification du Pape Jean-Paul II
[Pardon pour toutes les erreurs de compréhension et les nombreux (…) qui restent encore, le son
est par moments très faible]
Le Saint-Père vient pour recevoir tout l’amour des myriades du Ciel dans la terre, et tout l’amour de
l’Immaculée dans les éternités des éternités dans la terre d’aujourd’hui dans le jour qui commence,
(…) jour de la Miséricorde du Père en (…) de lumière le Saint-Père dans l’amour qu’il porte à tous
ceux qu’il aime dans le Ciel comme dans la terre. Il y a eu vraiment une résurrection, une invasion
de l’amour, de l’amour ardent qui efface tout ce qui n’est pas en lui comme un amour brûlant, et il
est venu comme une torche enflammer la terre dans la béatification de l’Eglise du Saint-Père.
Je ne sais pas ce que le Saint-Esprit va dire pour ouvrir le temps de l’Eglise d’aujourd’hui, des
temps nouveaux. C’est quand même un jour spécial : une nuit spéciale, un relèvement spécial
demain matin, très spécial ! Très spécial, dans la lumière. C’est un évènement, c’est sûr, un
évènement de lumière.
C’est un évènement caché en même temps, contrairement à ce qu’on croit. C’est un évènement
secret, très très très profondément caché aux yeux des hommes, ce qui se passe-là. Comme la
Résurrection est un évènement qui est profondément caché dans la foi de l’Immaculée Conception
au sein du Père dans l’éternité, celle qui a provoqué l’instant de la lumière. Le Royaume de Dieu est
comme une perle en nacre glorieux. Le poisson a pénétré dans la perle et s’est caché, alors la perle a
resplendi du feu de la Résurrection comme une boule d’éternité glorieuse. C’est la perle du
Royaume. La perle s’est ouverte pour que le poisson puisse la pénétrer, le poisson de feu, le poisson
embrasé, sur la braise. Et la perle s’est ouverte dans la corédemption immaculée d’une foi qui a
ouvert la terre et le Ciel tout entier dans le Père, le poisson a pénétré en elle et il a embrasé ce feu, il
est ressuscité, (…) à Dieu.
Vous vous en rappelez, quand en l’an 5738 du calendrier d’Israël, on a vu un homme en blanc sortir
d’un balcon, la première fois, la voix slave de l’homme en blanc, il a dit : « Je suis tout à Marie ».
Il s’est présenté : « Je suis tout à Marie ». Vous ne vous en rappelez peut-être pas ? Moi j’étais
avec des cathos (…), quand on a entendu ça, il y a eu un moment de glaciation, c’était la première
fois qu’on entendait un Pape parler de Marie, comme ça d’un balcon. (…) « N’ayez pas peur,
ouvrez toutes grandes vos portes au Christ ! » Vous vous rappelez de ça : « N’ayez pas peur ».
Ces deux paroles : « Je suis tout à Marie », « N’ayez pas peur ».
C’est ce que dit Jésus, c’est ce que dit le Père : « N’ayez pas peur ». Le Père du Christ dit cela à
tout le monde : « N’ayez pas peur, je suis tout à Marie, tout à elle, tout entier à Marie. » Là
nous voyons la Résurrection. (…).
En l’an 5738 du calendrier d’Israël, je tiens à vous le signaler, d’après les statistiques, il y avait
sept-cent-trente-huit millions de catholiques à l’époque. Facile de s’en rappeler ! Tu savais ça ?
- (…)
- Tu vois que tu ne sais pas tout. Mais quand le Saint-Père s’est retrouvé comme ça dans son
Samedi Saint, (…), il est allé plus bas plus bas plus bas plus bas pour ramener du fond des enfers
tout ce qui pouvait être ramené sur l’escalier de diamant qui montait jusqu’en haut, il y avait un
milliard deux-cent-dix millions de catholiques sur la terre. Je ne sais pas si vous voyez ! Ça fait
342