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tu es en silence. Tout commence comme ça, Aleph. » Il lui explique ça, puis : « Tiens, prends le
pain d’épice. »
Puis Beit. « Alors si tu fais comme ça, tu adores, le ‘truc’ passe de l’autre côté et ça devient la
deuxième lettre, ça devient un Beit : . Le Beit, c’est la clôture de l’intimité, source de l’amour de
l’époux et de l’épouse, qui s’ouvre à l’infini. Tiens, voilà le petit pain d’épices. »
Et on apprend à lire avant de savoir parler, lettre après lettre, on comprend que la lettre, la matière,
est spirituelle dans le miracle des trois éléments et qu’il faut s’en nourrir. Et on fait comme ça avec
toutes les lettres de l’alphabet.
Nous, comment faisons-nous l’éducation de nos enfants dans nos écoles ? Pas avec l’alphabet. Nous
faisons l’éducation de nos enfants plutôt avec les monosyllabes : BA BE BU SO SA SU.
Alors chaque lettre correspond à un chiffre : 1 Aleph, 2 Beit.
Gimmel, , la force de l’amour. C’est extraordinaire ! Et puis chaque lettre est vivante, puisqu’en
fonction de la manière dont on la mange, elle se transforme dans la lettre suivante. Ça, le petit
enfant le sait. A l’âge de deux ans il sait parfaitement la signification de chaque lettre dans son sens
littéral, dans son sens spirituel, dans son sens moral, dans son sens universel et dans son sens divin
éternel. Tous les enfants le savent. Après ils apprennent à composer des mots. Et puis ces lettres
sont exactement et parfaitement huilées à la manière dont l’homme a été créé dans son intelligence,
dans son intellect possible dans sa relation avec son intellect agent. Du coup, comme les Juifs sont
éduqués à la manière dont Jeshouah Ha Mashiar a enseigné à Moïse, ils nous dépassent à l’école,
sans aucun problème, parce que leur cerveau est parfaitement huilé. Ce n’est pas parce qu’ils sont
une race supérieure, c’est parce qu’ils ont suivi l’enseignement de Jeshouah Ha Mashiar à Moïse.
Je passe sur la manière dont on éduque les enfants en occident, qui n’est quand même pas trop
catastrophique. Mais là où c’est catastrophique, c’est l’arabe (…). Quand le (…) a enseigné à (…)
le Coran, et il l’a dit, il s’est arrangé pour la Torah leur soit communiquée sans qu’ils connaissent
les lettres, sans qu’ils connaissent les mots : il faut apprendre par cœur les phrases. Et en éduquant
toutes les générations arabes des fils d’Ismaël comme ça, ils ont grégarisé toute une portion de
l’humanité. C’est une intelligence totalement grégaire. Allez en Turquie par exemple, vous allez
voir, c’est effroyable !
- [Une participante] C’est la méthode globale ?
- La méthode globale. Donc les Illuminatis s’arrangent pour faire introduire cette méthode globale.
La méthode globale, c’est les mots, ce n’est pas les phrases.
- Mais ça y est en France.
- Nous sommes d’accord, mais comprenez bien. Ce que je veux que vous compreniez, c’est
pourquoi est-ce qu’il y a une grégarité de l’intelligence des enfants. On les enferme dans une
grégarité jusqu’à la fin de leurs jours dans la manière de les éduquer. Ça, ça a été voulu par les
autorités à l’époque. Ce n’est vraiment pas gentil. Nous avons tous le même cerveau, nous avons
tous le même esprit, nous avons tous le même intellect agent. Alors pourquoi donc ?
L’autre jour j’étais au Prieuré de la Chaise-Dieu. Là, il y a une petite dame tout ce qu’il y a de bien,
une jeune femme, qui était avec son petit bébé à la droite du prieur. Moi j’étais à la droite du bébé.
Normalement on ne parle pas, on écoute la lecture pendant le repas. Le bébé me regardait, alors je
faisais au bébé : « Shm’a » (Shin, Meym, la vingt-et-unième lettre de l’alphabet et la treizième.
Jésus a enseigné à Moïse que la première fois qu’une composition de deux lettres sort dans le
premier souffle qu’exprime un logos dans un enfant, ça doit être : « Shm’a » : Shin, Meym.
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