Agape2010-2011enSess.. - Catholique du net

encontré physiquement Marie sans le savoir, sans le voir ! Combien de fois avons-nous
rencontré… Je ne vous raconte pas, mais une fois au pied de Notre-Dame de Domanova, oh mon
Dieu ! Combien de fois avons-nous rencontré… C’est après coup que nous nous disons : « Mais
c’est pas vrai, c’est inouï ! » Nous le sentons, mais au jour de la lumière, oui mais bien-sûr !
Combien de fois ? Ils sont proches de nous, ils sont proches, vous ne pouvez pas savoir, ils nous
voient. Vous passez dans la rue à Paris, il y en a un qui sort du métro, c’est lui, lui il sait, il vous
frôle, ne vous inquiétez pas. Vous ne l’avez pas vu. Lui vous a vu. Nous sommes vraiment entourés,
il y a une intimité. Et je vous assure, c’est d’une fraîcheur, c’est d’une précision, c’est d’une
simplicité ! C’est vraiment très touchant de voir des gens ressuscités comme ça si simples, si
ordinaires. C’est extraordinairement simple.
L’innocence divine de la chair de l’homme s’adapte dans l’amour à ceux qui s’approchent d’eux. Et
cette adaptation fait les motions de l’Eglise.
Alors vous savez, à un moment donné… Qu’est-ce que je suis compliqué ! Vous allez dire : « Il
n’est pas simple, le père Patrick. » Un jour, à un moment donné, à Garabandal, il y a quelqu’un qui
donne une Bible. Alors je crois que c’est Jacinta, celle qui est décédée, qui a dû donner la Bible.
Alors la Vierge Marie qui était un petit peu (…) a pris la Bible, elle a ouvert la Bible, et elle a
ouvert chaque page de la Bible, elle a embrassé chaque page. Il paraît que c’était d’une beauté !
Cette manière de Marie de prendre la sainte Ecriture et d’ouvrir, et puis d’embrasser le Verbe de
Dieu dans la Révélation ! Et elle a embrassé chaque page, chaque page ! Et depuis 1964, Conchita
avait donné cette Bible à Gladys. Chaque page de la Bible a été découpée en tout petits morceaux
minuscules qui ont été mis dans des médailles. Alors les gens portent une médaille d’un petit bout
d’une page de la Bible embrassée par Marie pendant les mille-deux-cent-quatre-vingt-dix jours.
Alors un jour je vais chez Gladys à New-york. Vous savez, je voyage beaucoup.
- [Un participant] Pour un ermite.
- Je suis un ermite grotesque, mais volant aussi. Je lui dit : « Vous savez, en France, nous n’avons
plus de ‘confettis’ ». Alors elle me dit : « Oui oui, je vous ai préparé ça. Il y a sept pages que vous
allez pouvoir emmener pour faire les reliques. » Alors elle en a pris une devant moi, c’était
vraiment les dernières pages, et elle me dit : « Vous voyez la dernière, là, elle est pour vous, et vous
la gardez. » Et je l’ai là : c’est l’Evangile d’aujourd’hui. Et ce n’est pas en confettis, celui-là. Ce
n’est pas chouette ça ? Moi je trouve ça sympa ! Je dis ça pourquoi ? Parce que je ne vais quand
même pas lire l’Evangile d’aujourd’hui et garder ça pour moi, alors je vais le sortir et puis comme
ça, si vous voulez, vous pourrez l’embrasser. Je l’embrasse de temps en temps, je l’ai toujours sur
moi. J’espère que je vais le trouver, j’espère que je ne l’ai pas perdu. Ça n’a pas brûlé dans mon
incendie, c’est beau ça ! Cet Evangile des 153 poissons est resté incorrompu. Je chauffe, je suis sûr
que je chauffe. Il est resté incorrompu, un petit peu comme saint Jean qui est resté incorrompu.
Comme quoi il est bien caché ! Voilà ce que c’est, j’aurais dû le préparer avant… tant pis vous ne le
verrez pas… Ah il est là ! C’est une petite, petite Bible. Alors si vous permettez :
« Después se manifestó Jesús otra vez á sus discípulos en la
mar de Tiberias; y manifestóse de esta manera. Estaban
juntos Simón Pedro, y Tomás, llamado al Dídimo, y
Natanael, el que era de Caná de Galilea, y los hijos de
Zebedeo, y otros dos de sus discípulos. Díceles Simón: A
pescar voy. Dícenle: Vamos nosotros también contigo.
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