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4. « 153 poissons »
Le Pape Benoît XVI va canoniser son prédécesseur, Jean-Paul II,
- [Un participant] Béatifier.
- Merci beaucoup cher frère de cette précision. En espérant pouvoir le canoniser.
Vous savez peut-être… C’est une petite recherche que nous avons faite avec des logiciels de lecture
de la Bible en hébreu. C’était il y a longtemps. A cette époque-là, nous avions un ministère sur
Montpellier, donc c’est vieux, il y a vingt, vingt-cinq, trente ans. Nous avions pris un logiciel et
nous avions regardé si on parlait de Karol Wojtila dans la Bible. Le logiciel nous a dit que oui : on
parle de Karol Wojtila dans le Livre de la Genèse. C’est un logiciel où on extrait, avec le saut de
lettres minimum, la présence d’un nom. Par exemple, on aurait pu dire Marie de Nazareth, mais là
c’était Karol Wojtila. Et dans la Bible, vous le savez, si on fait des sauts de lettres que représentent
des chiffres et des nombres qui sont sacrés, révélés : 7, 12, 144, etc, on trouve des phrases, des
révélations qui sont cachées comme ça dans la Bible, qui traversent la Bible, de la Genèse jusqu’au
Livre de Zacharie. C’est extraordinaire d’ailleurs, parce qu’on enlèverait une seule lettre, tout ça
tomberait comme un château de cartes. C’est le seul livre qui ait été écrit comme ça, à la lettre près,
sous l’inspiration du Saint-Esprit, à travers les siècles et des multitudes d’inspirés. Il n’y a qu’un
seul auteur à la Sainte Ecriture.
Alors nous avions pris le logiciel - je m’en rappelle, c’était un grand moment pour nous parce que
nous avions mis quatre ou cinq ans à avoir la Bible à la lettre près en hébreu, ce qui est très difficile
à obtenir, et même impossible – et la Bible a dit oui, Karol Wojtila est présent dans la Bible, et on le
trouve dans le Livre de la Genèse, à l’endroit de la naissance de Noé, en faisant un saut de lettres
minimum, un saut de lettres de 153 lettres ! Et on le trouve à cet endroit où il est dit, à la naissance
de Noé : « Voici que je suscite au milieu d’un monde totalement dépravé, corrompu et perverti, un
juste pour ma consolation et dans le salut de quelques-uns. » C’est ce passage-là, la Parole de Dieu,
à la naissance de Noé qui, lui, a offert, nous le savons bien, a construit l’arche. Nous trouvons
autour du mot qui apparaît, si nous faisons tourner comme ça le rouleau de la Torah, si nous faisons
tourner une lettre sur 153, nous trouvons une constellation de 15 ou 17 (je ne me rappelle plus),
autour de Karol Wojtila, une constellation de Rome, Rome, Rome, Rome… Et puis, un peu en
travers, sa première encyclique, Redemptor Hominis, en hébreu bien-sûr.
Tout ça pour parler de 153. Il y a 153 poissons dans la barque du Pape. C’est quand même quelque
chose de curieux. Qu’est-ce que c’est que cette histoire de 153 ? Jésus s’est manifesté beaucoup de
fois. Là, c’était la troisième fois, parce qu’Il avait demandé à ses apôtres le jour de Sa résurrection
de partir immédiatement de Jérusalem et d’aller en Galilée. Donc c’est tout de suite qu’ils sont
partis en Galilée, et aussitôt, ils ne savaient pas quoi faire, donc c’était certainement le lendemain
ou le surlendemain, ça s’est passé très vite, et on croit savoir qu’Il s’est retrouvé avec plusieurs
disciples ensemble. Après cela, Il est resté longtemps avec eux, Il a parlé avec eux, et là,
évidemment, les apôtres sont encore… Ils ne disent pas : « C’est le Rabbi », ils disent : « C’est
Adonaï, c’est le Seigneur ». Ils savaient que c’était Adonaï. Ils voudraient tellement savoir,
tellement apprendre, tellement recevoir de Lui ce qui vient de la bouche du Verbe de Dieu, qui cette
fois-ci passe au travers de Sa gloire de Ressuscité pour parler aux hommes. Parce qu’il y avait
toujours au-delà, auparavant, le voile de son humanité dans l’opacité de son agonie, qui parlait.
Tandis que là, c’est Dieu, Adonaï, qui parlait en direct. Alors évidemment, c’était un autre
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