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Prière de coupure de lien
Coupure de tous les liens qui se sont établis entre la France et les esprits infernaux, diaboliques (…)
de l’enfer, tous sans exception. Nous leur donnerons un nom après, à un moment donné dans la
prière. Nous commençons par la France parce que nous avons pris l’habitude de faire comme ça.
Pourquoi ? Ce n’est pas parce que les Hollandais sont (…), au contraire, c’est parce qu’il faut
commencer par Jérusalem. La France est notre famille. Elle représente la Jérusalem spirituelle, la
nouvelle Jérusalem, le nouveau peuple d’Israël, le nouvel Israël, c’est pour ça que nous prions pour
la France. Et à travers la France, bien-sûr, nous prions pour l’ensemble de l’humanité, évidemment.
Quand nous disons la France, c’est symbolique.
Pourquoi est-ce que c’est comme ça ? C’est mystérieux. Pourquoi est-ce que Dieu a aimé Israël ?
Dieu a aimé Jacob et Il a détesté Esaü. C’est dans l’Ecriture. Il a aimé Jacob, c’est vrai. Regardez le
cœur de Jacob qui aimait son fils, c’était son préféré. Pourquoi est-ce que Dieu a aimé Israël ? Si
vous avez une explication, vous pouvez nous la donner, mais en tous cas c’est comme ça. La Sainte
Ecriture montre que Dieu a béni, a aimé, s’est rapproché, a été à l’intime d’Israël parce qu’Abraham
a été le premier à faire un acte de foi chrétienne, et donc le sang d’Abraham a été sanctifié, divinisé
par la foi. Et le sang d’Abraham est donc un principe de bénédiction pour toute la nature humaine,
un principe de divinisation, de sanctification. Abraham porte en lui la plénitude reçue de la grâce de
Marie, puisque Marie est née de la foi d’Abraham. Il y a quelque chose de Marie qui est entièrement
créé à partir de la foi d’Abraham en Marie, mais en plénitude, c’est sûr.
Alors regardez : le peuple d’Israël a livré Jésus comme Serviteur souffrant, comme Agneau immolé,
comme Agneau pour la gloire du Père, pour la gloire d’Elohim, d’Adonaï. Et j’aime bien parler un
petit peu de… Je sais bien que c’est symbolique, mais ce n’est pas seulement symbolique, il y a
quelque chose de plus que le symbole. Le peuple d’Israël a livré l’Agneau, a offert l’Agneau en
sacrifice, et le monde est sauvé grâce au sang d’Israël immolé. Mais au pied de la croix, il y avait
des soldats. Je ne sais pas si vous avez lu les dernières explications du Pape Benoît XVI sur le rôle
d’Israël par rapport à la victimation, à l’offrande victimale de Jésus crucifié au Père. Il dit : « C’est
bien triste de dire qu’Israël a été un peuple de haine de Dieu en laissant Jésus aller à la crucifixion.
C’est le mystère d’Israël, c’est le ministère d’Israël d’offrir l’Agneau. » Le Pape Benoît XVI
explique tout ça. Il dit qu’en réalité, lorsqu’on a atteint Jésus-Christ sur la croix, Israël n’était plus
là. Lorsque Jésus était crucifié, Israël n’était plus là. Lorsque Jésus a pris sa croix, Israël n’était plus
là. Lorsque Jésus a été flagellé, Israël n’était plus là. Les Romains étaient là.
Et j’aime bien ce que dit sainte Anne-Catherine Emmerich. Elle dit que tous les Romains qui étaient
à Jérusalem étaient Français. C’étaient des Gaulois. Ponce Pilate était de Narbonne. Longin, celui
qui a pris la lance, et tous les représentants de toutes les nations qui étaient à Jérusalem venaient les
légions gauloises, venaient de France. Si bien que quand on se trouve devant Jésus crucifié, il n’y a
plus que Marie, Jean et la France. Et le coup de lance qui est donné, et l’eau, le sang, l’Esprit-Saint,
ceux qui doivent recevoir Jésus Rédempteur dans ses sacrements, l’eau et le sang, la blessure du
Cœur de Jésus, le grand Sabbat, le travail de Dieu, Israël (…), mais il y a la France, la France
gauloise.
Pourquoi la France ? Je m’en fiche, moi, de savoir pourquoi la France. Je dis simplement qu’il y a
eu une unité qui s’est faite dans la blessure du Cœur de Jésus, dans l’ouverture du Ciel à la terre,
dans l’ouverture de tous les temps au mystère incréé de la glorification de toute chose en Dieu,
c’était à ce moment-là, il y avait Marie, il y avait Jean ; Marie, et Jean, et Jésus, et Joseph par le
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