N. 105 Avril 2013 - (CCI) de Montauban

dossier Création & reprise d’entreprise
PHILIPPE GUINET, POINT D’ENCRE, VENTE DE CARTOUCHES D’ENCRE
RECYCLÉES - MONTAUBAN
J’ai opté pour la création d’une entreprise
sous franchise dans un créneau « tendance »
« Après plus de vingt ans passés
dans plusieurs sociétés travaillant
principalement avec la grande distribution,
j’ai eu envie de repartir vers
un nouveau challenge professionnel
à forte implication personnelle : j’ai
rejoint Point d’Encre et créé mon
entreprise spécialisée dans la vente
aux particuliers et professionnels de
cartouches d’encre recyclées très économiques.
J’ai mis plusieurs mois
pour trouver ce créneau qui aide les
entreprises à faire très vite de grosses
économies sur leurs frais fixes. Les
entreprises ont de plus en plus l’obligation
de réduire leurs charges et la
création de Point d’Encre y contribue.
J’ai opté pour la franchise car
c’était selon moi un des modèles
économiques du commerce les plus
porteurs pour se lancer. La franchise
a une puissance d’achats incontournable
et apporte au créateur des
compétences marketing indispensables
pour démarrer et soutenir une
activité. Créer une entreprise sous
forme de franchise permet d’être
tout de suite axé sur les leviers de
développement. Point d’Encre propose
un concept très attractif commercialement
pour les clients et très
professionnel au niveau de sa communication.
Ce sont des outils qu’un
créateur indépendant ne pourrait
envisager seul. Le choix du réseau
de franchise le plus attractif à tous
points de vue et le choix du local ont
été les deux éléments décisifs dans
la phase de création. L’emplacement
étant une des clés de la réussite dans
le commerce… »
CÉLINE BARBON, DELTA FORMATION, AUTO-ÉCOLE, MONTAUBAN
Quand un ancien salarié prend le volant !
« Après avoir été salariée pendant
six ans, dès que j’ai su que l’entreprise
était à vendre je me suis
positionnée en tant que repreneur
potentiel, à la grande surprise de
mon employeur qui n’avait pas
imaginé cette opportunité.
C’était une solution évidente pour
pérenniser mon emploi et évoluer
un peu dans la société.
Ce qui me rassurait pour prendre
cette responsabilité économique
c’est que l’entreprise, avec ses
17 ans d’expérience et ses clients,
était déjà bien lancée et ne demandait
qu’à se développer.
J’ai donc étudié les bilans pour avoir
une idée plus précise des chiffres et
je me suis dirigée tout naturellement
vers la CCI pour connaître et
bénéficier de tous les dispositifs liés
à la reprise d’entreprise.
La banque a ensuite été la première
à me suivre au vu du dossier de
reprise et des bilans. Aujourd’hui,
tous les indicateurs confirment que
c’était une bonne idée car les résultats
sont encourageants. Mais je
reste toujours prudente car j’attends
de passer le cap psychologique
des trois premières années
dites "difficiles". »
28 LE JOURNAL DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DE MONTAUBAN ET DE TARN-ET-GARONNE