30.08.2014 Views

Licence de Mécanique Thermodynamique et Thermique LA3M1 ...

Licence de Mécanique Thermodynamique et Thermique LA3M1 ...

Licence de Mécanique Thermodynamique et Thermique LA3M1 ...

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

<strong>Licence</strong> <strong>de</strong> Mécanique<br />

<strong>Thermodynamique</strong> <strong>et</strong> <strong>Thermique</strong> <strong>LA3M1</strong><br />

Examen du Lundi 04 Janvier 2010<br />

Les documents <strong>et</strong> calcul<strong>et</strong>tes ne sont pas autorisés.<br />

Votre copie doit être bien présentée:<br />

• écrire <strong>de</strong> façon lisible ;<br />

• souligner vos résultats ;<br />

• faire <strong>de</strong>s réponses synthétiques mais pertinentes ;<br />

• ne pas prendre votre copie pour un brouillon ;<br />

• séparer vos copies <strong>de</strong> thermodynamique <strong>et</strong> <strong>de</strong> thermique, vérifier que vous avez bien<br />

mis votre nom sur chaque feuille ainsi qu’une numérotation <strong>de</strong>s copies<br />

• Notation approximative : 13 points pour la thermodynamique, 7 points pour la<br />

thermique<br />

Problème 1 : Optimisation d’un groupe froid à <strong>de</strong>ux étages<br />

On ne fera aucune application numérique. Les réponses <strong>de</strong>vront être fournies sous forme littérale<br />

(en faisant attention aux notations) puis on posera le calcul par les valeurs relevées sur le<br />

diagramme. Les résultats sont donnés à titre indicatif. On justifiera les valeurs numériques<br />

relevées en indiquant les tolérances <strong>de</strong> lecture. Le tracé du cycle <strong>de</strong>vra se faire avec la plus gran<strong>de</strong><br />

précision.<br />

On considère un groupe froid à <strong>de</strong>ux étages (frigidaire haut <strong>de</strong> gamme) (cf.<br />

figures 1 <strong>et</strong> 2) fonctionnant grâce au cycle suivi par un flui<strong>de</strong> frigorigène dont la<br />

désignation industrielle est le R12. Il est fourni le diagramme <strong>de</strong> Mollier<br />

enthalpique (pression P fonction <strong>de</strong> l’enthalpie massique h) donnant une<br />

<strong>de</strong>scription précise <strong>de</strong>s états <strong>et</strong> <strong>de</strong>s changements <strong>de</strong> phase <strong>de</strong> ce flui<strong>de</strong>.<br />

Le circuit comporte <strong>de</strong>ux compresseurs électriques perm<strong>et</strong>tant au cycle <strong>de</strong><br />

fonctionner sur trois niveaux <strong>de</strong> pression (P 1 ,P 2 ,P) :<br />

• la pression basse P 1 est choisie pour un changement <strong>de</strong> phase à une<br />

température <strong>de</strong> T 1 =-20 °C (température dans l’enceinte <strong>de</strong> congélation) ;<br />

• la pression intermédiaire P 2 est réglée relativement à une température <strong>de</strong><br />

changement <strong>de</strong> phase <strong>de</strong> T 2 =5°C (température dans l’enceinte <strong>de</strong><br />

réfrigération) ;<br />

• la pression maximale P est choisie pour atteindre une température <strong>de</strong> T=20°C.<br />

Le flui<strong>de</strong>, une fois à la pression P, parcourt un con<strong>de</strong>nseur dans lequel il cè<strong>de</strong> <strong>de</strong> la<br />

chaleur à l’air ambiant (source chau<strong>de</strong>) considéré à une température <strong>de</strong><br />

T ambiant =18°C. Le refroidissement du flui<strong>de</strong> ainsi réalisé provoque une con<strong>de</strong>nsation<br />

totale du flui<strong>de</strong> (le point sur le diagramme enthalpique se situe sur la courbe<br />

d’ébullition).<br />

Le liqui<strong>de</strong> est ensuite conduit à travers un déten<strong>de</strong>ur (détente isenthalpe)<br />

l’amenant au niveau <strong>de</strong> pression intermédiaire P 2 . Après c<strong>et</strong>te première détente, le<br />

flui<strong>de</strong> est diphasique du fait <strong>de</strong> la co-existence <strong>de</strong>s phases liqui<strong>de</strong> <strong>et</strong> vapeur. Une<br />

partie du flui<strong>de</strong> est soutirée (en proportion α ) <strong>et</strong> passe dans l’évaporateur 2 qui<br />

sert à conditionner l’enceinte à température T 2 . L’autre partie (en proportion<br />

1−α) est à nouveau détendue au niveau <strong>de</strong> pression P 1 (détente isenthalpe). C<strong>et</strong>te<br />

portion du flui<strong>de</strong> passe alors dans un l’évaporateur 1 qui perm<strong>et</strong> <strong>de</strong> conditionner<br />

l’enceinte à la température T 1 .<br />

On suppose les <strong>de</strong>ux compressions sont adiabatiques réversibles. Le flui<strong>de</strong> à<br />

l'entrée <strong>de</strong> la première compression est à une température <strong>de</strong> 20°C.<br />

1


Feuille à rendre<br />

Nom : Date :<br />

Prénom :<br />

Section : N° dossier signature :<br />

1. Les phases du cycle se décomposent en une compression isentropique, un<br />

refroidissement isobare (con<strong>de</strong>nsation), une détente isenthalpe <strong>et</strong> un apport <strong>de</strong><br />

chaleur isobare (évaporation). En vous aidant du schéma <strong>de</strong> la figure 1, on vous<br />

<strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> reproduire le tracé du cycle en respectant les gran<strong>de</strong>urs<br />

thermodynamiques du diagramme <strong>de</strong> Mollier exprimé dans le repère (P pression,<br />

h enthalpie massique).<br />

Rendre le diagramme <strong>de</strong> Mollier (m<strong>et</strong>tre votre nom)<br />

2. Si les <strong>de</strong>ux compressions n’étaient pas isentropiques, les points 2 <strong>et</strong> 3 réels<br />

seraient-ils placés à gauche ou à droite <strong>de</strong>s points 2 <strong>et</strong> 3 isentropiques ?<br />

Pourquoi ?<br />

3. A l'ai<strong>de</strong> du diagramme enthalpique du flui<strong>de</strong> R12, remplir le tableau 1<br />

Tableau 1 Liqui<strong>de</strong> à saturation Vapeur à saturation<br />

P (bar) T (°C) s L (kJ/kg.K) h L (kJ/kg) s V (kJ/kg.K) h V (kJ/kg)<br />

P = 20<br />

P 2 = 5<br />

P 1 = -20<br />

4. On vous <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> définir l’état <strong>de</strong>s points 1, 2, <strong>et</strong> 3 en prenant en<br />

considération que les compressions sont adiabatiques réversibles. On remplira le<br />

tableau 2 <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>urs suivantes relevées sur le diagramme <strong>de</strong> Mollier ;<br />

pression, température, volume massique, enthalpie <strong>et</strong> entropie (si le relevé est<br />

difficile, donner un encadrement à la valeur).<br />

Tableau 2 1 2 3<br />

P (bar)<br />

T (K)<br />

v (m3/kg)<br />

H (kJ/kg)<br />

s (kJ/kgK)<br />

5. Rappeler la définition du titre <strong>de</strong> mélange. Exprimer les titres x 6 <strong>et</strong> x 5 du<br />

premier <strong>et</strong> du second étage relatif aux points 6 <strong>et</strong> 5 en fonction uniquement <strong>de</strong>s<br />

enthalpies <strong>de</strong> saturation liqui<strong>de</strong> <strong>et</strong> vapeur du tableau 1 (expression littérale <strong>et</strong><br />

celle avec les valeurs).<br />

2


A.N. : L’application numérique donne x 6 =0.21, x 5 =0.066<br />

6. Donner l’expression <strong>de</strong>s travaux massiques w 12 <strong>et</strong> w 23 fournis dans chaque étage<br />

<strong>de</strong> compression pour 1 kg <strong>de</strong> fréon admis dans le second étage. On considère<br />

chaque élément du système comme un système ouvert. On rappellera d’abord<br />

l’expression générale du 1 er principe en système ouvert pour un écoulement<br />

stationnaire.<br />

A.N. : w12<br />

= 16 kJ/<br />

kg <strong>et</strong> w23<br />

= 10 kJ/<br />

kg<br />

7. L’objectif est à présent <strong>de</strong> choisir les conditions <strong>de</strong> fonctionnement (choix du<br />

débit m <strong>et</strong> <strong>de</strong> la valeur du soutirage α ). Il vous est <strong>de</strong>mandé <strong>de</strong> répondre au<br />

mieux aux contraintes suivantes:<br />

- La première est <strong>de</strong> pouvoir congeler à une température T 1 grâce au circuit<br />

<strong>de</strong> l’évaporateur 1, une certaine quantité C <strong>de</strong> produit exprimée en kg/h<br />

(C =2kg/h: pouvoir <strong>de</strong> congélation). Il s’agit d’écrire un bilan d’égalité <strong>de</strong><br />

puissance entre la puissance <strong>de</strong> congélation <strong>et</strong> la puissance <strong>de</strong> l’évaporateur 1. La<br />

puissance <strong>de</strong> l’évaporateur est entièrement utilisée à la congélation (pas <strong>de</strong> perte<br />

au niveau <strong>de</strong> l’échange). Pour exprimer c<strong>et</strong>te contrainte, vous considérez que les<br />

produits à congeler sont initialement liqui<strong>de</strong>s à une température <strong>de</strong> T ambiant <strong>et</strong> ont<br />

une capacité calorifique à l’état liqui<strong>de</strong> <strong>et</strong> à l’état soli<strong>de</strong> <strong>de</strong> C cap (J/kg/K). La<br />

chaleur latente <strong>de</strong> solidification à la pression atmosphérique <strong>et</strong> à T 1 =-20°C est l s<br />

(kJ/kg).<br />

- La secon<strong>de</strong> est d’atteindre une consommation énergétique la plus faible<br />

possible, au plus égale à celle <strong>de</strong> la concurrence, définie par la puissance nominale<br />

<strong>de</strong> consommation électrique P e (W). Le ren<strong>de</strong>ment global vaut η g = mw 13<br />

Pe<br />

où<br />

w<br />

13<br />

représente le travail <strong>de</strong> compression.<br />

Exprimer ces <strong>de</strong>ux contraintes par <strong>de</strong>ux équations en fonction <strong>de</strong> α <strong>et</strong> du débit<br />

total m du liqui<strong>de</strong> frigorigène R12. Résoudre le système <strong>de</strong> façon littérale. Poser<br />

ensuite le système avec les valeurs numérique du texte.<br />

A.N. : C cap =4184J/kg/K, l s = 334 kJ/kg, P e =119W, n g =0.6<br />

On trouve α= 0.59 <strong>et</strong> m<br />

= 4.31.10<br />

− 3<br />

kg / s<br />

8. Donner l’expression <strong>de</strong> la quantité <strong>de</strong> chaleur par unité <strong>de</strong> temps pour chaque<br />

évaporateur.<br />

AN : Q61<br />

= 273W, Q52<br />

= 434W<br />

9. Que vous inspire la valeur du coefficient d’eff<strong>et</strong> frigorifique dont la définition<br />

Q61 + Q52<br />

est donnée par ε= = 6.3.<br />

W + W<br />

12 23<br />

3


Courbe Liqui<strong>de</strong> à saturation: L-4-C<br />

Courbe Vapeur à saturation: V-C<br />

C<br />

P bars<br />

4<br />

5<br />

6<br />

Evaporation 2<br />

Evaporation 1<br />

1<br />

2<br />

3<br />

P<br />

P 2<br />

P 1<br />

h kJ/kg<br />

L<br />

V<br />

Figure 1 : schéma du cycle frigorifique dans le diagramme <strong>de</strong> Mollier<br />

m<br />

G->L<br />

4<br />

Déten<strong>de</strong>ur 2<br />

Con<strong>de</strong>nseur<br />

3<br />

Compresseur 2<br />

5<br />

Déten<strong>de</strong>ur 1<br />

6<br />

m<br />

= α m<br />

L->G<br />

2<br />

Évaporateur 2<br />

m = (1 − ) m<br />

L->G<br />

1<br />

α<br />

Évaporateur 1<br />

Figure 2. Schéma <strong>de</strong> l’installation frigorifique<br />

2<br />

1<br />

Compresseur 1<br />

4


Problème <strong>de</strong> thermique<br />

1. EQUATION DE LA CHALEUR<br />

a) Rappeler les hypothèses perm<strong>et</strong>tant d’établir l’équation <strong>de</strong> la chaleur.<br />

∂T<br />

p<br />

b) Montrer que l’équation <strong>de</strong> la chaleur <strong>de</strong>vient : = a Δ T + (1)<br />

∂t<br />

ρc<br />

si p est la puissance dissipée par unité <strong>de</strong> volume (W/m 3 ). On précisera la<br />

définition <strong>de</strong>s autres termes employés.<br />

2. MILIEU CONDUCTEUR PARCOURU PAR UN COURANT ELECTRIQUE<br />

z<br />

T e<br />

I<br />

T e<br />

x<br />

x=0 x=L<br />

Figure 1<br />

Un milieu indéformable <strong>et</strong> conducteur <strong>de</strong> la chaleur parallélépipédique est compris<br />

entre <strong>de</strong>s plans parallèles situés en x = 0, x = L ; y = 0, y = E ; z = 0, z = H (cf.<br />

<strong>de</strong>ssin Annexe).<br />

On suppose que L


- En déduire l’expression du flux <strong>de</strong> chaleur par unité <strong>de</strong> surface q s (x).<br />

c- Tracer l’allure <strong>de</strong> T s (x) <strong>et</strong> <strong>de</strong> q s (x).<br />

d- On introduit les gran<strong>de</strong>urs sans dimension suivantes :<br />

x<br />

X = ,<br />

L<br />

2<br />

pL<br />

T R<br />

= , 2 λ<br />

θ<br />

S<br />

Ts(<br />

x ) − T<br />

=<br />

T<br />

R<br />

e<br />

Montrer que θ ( X ) = X (1 − X ) .<br />

s<br />

e- Dans l’état stationnaire, l’entropie S du milieu change-t-elle au cours du<br />

temps ? Calculer les variations externe Δ eS <strong>et</strong> interne ΔiS<br />

d’entropie pendant<br />

l’intervalle <strong>de</strong> temps Δt en fonction <strong>de</strong>s paramètres p, L, T e , A <strong>et</strong> Δt où A<br />

représente l’aire <strong>de</strong>s faces en x = 0 <strong>et</strong> x = L.<br />

f- Application numérique : Déterminer l’ordre <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> la<br />

température maximale Tmax.<br />

L = 0.5 mm ; S = 2.5 mm 2 ; Te = 300 K ; I = 1 A<br />

On donne pour le cuivre : ρ = 8940 kg/m 3 ; c = 380 J.kg -1 .K -1 ; λ = 389 W.m -1 .K -1<br />

Résistivité électrique : ρ e = 2. 10 - 8<br />

Ω.m.<br />

2.2 EVOLUTION INSTATIONNAIRE<br />

Le milieu est initialement à la température uniforme T 0 <strong>et</strong> ses faces en x = 0 <strong>et</strong> x =<br />

L sont ensuite portées à la température constante <strong>et</strong> uniforme T e . L’évolution alors<br />

instationnaire du milieu est décrite par l’équation <strong>de</strong> la chaleur (1) avec un terme<br />

<strong>de</strong> source p constant venant du chauffage par eff<strong>et</strong> Joule. Au cours <strong>de</strong> c<strong>et</strong>te<br />

évolution instationnaire, la température ne dépend que <strong>de</strong>s variables x <strong>et</strong> t, soit T<br />

= T(x,t).<br />

On introduit la température adimensionnée sous la forme :<br />

2<br />

pL<br />

avec T = R<br />

2λ<br />

, x<br />

X = ,<br />

L<br />

t<br />

τ = avec t<br />

t r<br />

ρcL<br />

= λ<br />

2<br />

r<br />

=<br />

2<br />

L<br />

.<br />

a<br />

T( x,t ) − T<br />

θ ( x,t ) =<br />

T<br />

R<br />

e<br />

a- Montrer que l’équation locale vérifiée par la fonction θ ( X , τ ) représentant<br />

la température adimensionnée du milieu est :<br />

∂θ(<br />

X , τ ) ∂<br />

=<br />

∂τ<br />

θ(<br />

X , τ )<br />

+ 2<br />

2<br />

∂X<br />

2<br />

6


On pose θ X , τ ) = θ ( X , τ ) + θ ( X ) où θ ( X ) est la solution stationnaire du<br />

(<br />

i<br />

S<br />

problème <strong>et</strong> θ ( X , τ ) représente l’écart à la solution stationnaire.<br />

i<br />

S<br />

2<br />

∂θ<br />

i<br />

( X , τ ) ∂ θ<br />

i<br />

( X , τ )<br />

b- Montrer que la fonction θ<br />

i<br />

( X , τ ) vérifie l’équation =<br />

2<br />

∂τ<br />

∂X<br />

.<br />

La solution θ<br />

i<br />

( X , τ ) est recherchée sous la forme d’un produit <strong>de</strong> fonctions en X <strong>et</strong><br />

en τ : θ ( X , τ ) = f ( X ) g( τ ) .<br />

i<br />

c- Montrer que la solution générale est <strong>de</strong> la forme :<br />

2<br />

k<br />

i<br />

= e<br />

− τ ( Acos kX +<br />

θ ( X , τ )<br />

B sin kX )<br />

d- Montrer que les conditions aux limites en x = 0 <strong>et</strong> x = L imposent A = 0 <strong>et</strong><br />

k = nπ.<br />

La compatibilité avec la condition initiale en température T = T 0 impose <strong>de</strong><br />

chercher la solution sous la forme d’une somme sur n:<br />

∑<br />

2<br />

i( n<br />

n<br />

−k<br />

τ<br />

θ X , τ ) = e b sin( nπX<br />

) (2)<br />

e- Justifier le choix <strong>de</strong> c<strong>et</strong>te expression pour la fonction θ<br />

i(<br />

X , τ ). On ne<br />

calculera pas les coefficients b n .<br />

f- En se limitant au premier terme en n dans le développement (2), <strong>et</strong> en<br />

4 T0<br />

− Te<br />

2<br />

adm<strong>et</strong>tant le résultat b<br />

1<br />

= [ + ],<br />

2<br />

π TR<br />

π<br />

f-1 Expliciter les expressions <strong>de</strong> la température T(x,t) <strong>et</strong> du flux <strong>de</strong> chaleur<br />

q(x,t).<br />

f-2 Tracer l’allure <strong>de</strong> T(x,t) <strong>et</strong> <strong>de</strong> q(x,t).<br />

Dessin annexe<br />

z<br />

S<br />

A<br />

y<br />

z = H<br />

Courant I<br />

y = E<br />

T e<br />

T e<br />

x = 0<br />

x = L<br />

x<br />

7

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!