La guérison divine (pdf) - F.F. Bosworth - Croixsens.net
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Les guérisons sont un puissant<br />
moyen d'évangélisation<br />
Un évangéliste Baptiste, parmi bien d'autres évangélistes qui constatent<br />
à présent cette vérité, a écrit, dans l'un des dix traités qu'il a<br />
publiés sur ce sujet, que la guérison était le plus puissant moyen<br />
d'évangélisation jamais utilisé par le Seigneur, et qu'il ne retournerait<br />
pas à ses anciennes pratiques pour tout l'or de l'Amérique.<br />
Lisons à présent un autre passage qui nous parle de la compassion<br />
du Seigneur.<br />
“Jésus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans les<br />
synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant<br />
toute maladie et toute infirmité. Voyant la foule, il fut ému de<br />
compassion pour elle, parce qu'elle était languissante et abattue,<br />
comme des brebis qui n'ont point de berger. Alors il dit à ses<br />
disciples : <strong>La</strong> moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers. Priez<br />
donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa<br />
moisson. Puis, ayant appelé ses disciples, il leur donna le pouvoir<br />
de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute<br />
infirmité... après leur avoir donné les instructions suivantes : ...<br />
Allez, prêchez, ... guérissez les malades...” (Matthieu 9 : 35 à 10 : 8).<br />
Nous voyons ici que Sa compassion pour les malades commençait<br />
à être si bien connue que la “moisson” était devenue trop grande<br />
pour Un Seul Moissonneur. Son cœur compatissant souffrait de voir<br />
des foules de plus en plus grandes qui ne pouvaient pas L'atteindre,<br />
parce qu'Il était pressé de trop près. “Voyant la foule, il fut ému de<br />
compassion pour elle...” C'était comme s'Il ne pouvait Lui-même<br />
s'occuper que d'une partie de cette foule, et que Sa compassion pour<br />
les multitudes, qui grandissaient rapidement, Le poussait à envoyer<br />
d'autres ouvriers, pour prêcher et pour guérir. De tels ouvriers sont<br />
peu nombreux aujourd'hui, alors que la “moisson” est vraiment plus<br />
abondante que jamais. Ce qu'Il a “commencé de faire et d'enseigner”<br />
est exactement ce qu'Il veut que l'on fasse et que l'on enseigne<br />
aujourd'hui. Au lieu de finir une œuvre, comme le disent les<br />
modernistes, Il était en train de commencer quelque chose, qu'Il<br />
avait promis de poursuivre et de développer. Non pas l'Evangile<br />
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