La guérison divine (pdf) - F.F. Bosworth - Croixsens.net
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J'y suis quand même allée. On a prié pour moi en m'oignant d'huile,<br />
et j'ai été instantanément guérie. Quand je suis retournée de<br />
l'estrade à ma place, ma voix était complètement revenue. Après<br />
trois années de silence complet, je pouvais à nouveau parler, et je<br />
le peux toujours, gloire à Dieu ! Mon pasteur, qui ne croyait pas que<br />
je pouvais être guérie, fut très surpris de voir que je pouvais lui<br />
parler quand je l'ai rencontré dans la rue. Il me dit : “J'ai douté<br />
comme Thomas, mais maintenant, je suis obligé de croire !”<br />
Le pasteur de l'église Baptiste de Bangor m'a demandé de venir dans<br />
son église un dimanche. Je l'ai fait. Après avoir raconté le miracle<br />
à l'auditoire, il me fit lever pour montrer à l'église comment je<br />
pouvais bien parler.<br />
J'ai aussi été guérie des rhumatismes et des calculs. Je suis<br />
tellement reconnaissante envers le Seigneur pour Sa miséricorde !<br />
Mme T. Hughes, Bangor, Pennsylvania.<br />
Guérie instantanément de deux cancers, en réponse à la<br />
prière<br />
Il y a quinze ans, je perdis la santé et fus obligée de quitter mon<br />
travail. Tout mon corps semblait rempli d'un poison dont les<br />
docteurs n'arrivaient pas à trouver l'origine. Pendant douze ans j'ai<br />
souffert atrocement, sans aucun espoir de guérison. Il y a trois ans<br />
et demi, mon état empira tellement que je fus constamment suivie<br />
par un médecin pendant quatre mois, et j'allai pourtant de plus en<br />
plus mal. On me dit plus tard que j'avais un cancer au début du gros<br />
intestin, qui s'étendait jusqu'à la rate. Le poison se répandit dans<br />
mon bras et mon côté gauches. Je hurlais de douleur en suppliant<br />
ceux qui m'entouraient de retenir mon bras, car j'avais l'impression<br />
qu'on me l'arrachait. Plus tard le cancer gagna ma bouche, descendit<br />
dans ma gorge et sous ma langue. Il y formait une boule tellement<br />
épaisse qu'on aurait dit une deuxième langue. Ses racines s'étendaient<br />
partout dans ma bouche. Un médecin de Philadelphie, après<br />
m'avoir soignée quelque temps, me conseilla vivement d'aller à<br />
l'Hôpital de Philadelphie pour voir si l'on pouvait me faire des<br />
rayons. Après que plusieurs professeurs m'eurent examinée, ils<br />
conclurent qu'ils ne pouvaient rien faire pour moi. Le cancer<br />
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