Connected to the future - ITnation
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case choice INFRASTRUCTURE Cetrel branché sur le futur À l’occasion de l’EMC Forum, Manuel Fischer, CIO de Cetrel, a mis en lumière les approches adoptées par le prestataire de solutions de paiement pour constituer une infrastructure performante. Avec 500 transactions par minute et 350.000 autorisations par jour, Cetrel est surtout connue pour ses activités dans l’industrie des cartes de paiement. Mais la société propose ses services dans d’autres domaines que la gestion des cartes de crédit et de débit : hébergement, gestion de la sécurité, gestion et intégration de données de référence, etc. L’infrastructure de Cetrel doit donc relever les défis de disponibilité de l’information, de fiabilité et de flexibilité. Comme toute entreprise, le Centre de transferts électroniques doit aussi maintenir les coûts les plus bas possible. Les réflexions menées au niveau du stockage, avec EMC, et de la virtualisation, avec VMware, sont donc guidées par un souci de faire de l’IT une source de création de valeur pour le business. «Etes-vous alignés suffisamment sur vos collègues ? lance Manuel Fischer, CIO de Cetrel. L’alignement de l’IT est devenu essentiel car les besoins du business ont un impact sur l’infrastructure des basse-couches informatiques.» Il y a quelques années, on pouvait encore créer des infrastructures séparées pour différentes parties du business et au sein des filiales. Mais aujourd’hui, il faut pouvoir penser l’infrastructure en tenant compte des exigences de sécurité, de plans de Business Continuity et de Disaster Recovery, et de la conformité. PREUVE DE QUALITÉ Ces défis se traduisent, pour l’IT, pour une plus grande responsabilité face aux clients : pouvoir gérer la complexité de l’infrastructure afin de la faire tourner 24h/24, à un prix compétitif et en contrôlant au maximum les risques. «Il faut avoir assez de ressources pour travailler dans le futur et répondre aux besoins du business à moyen terme», dit Manuel Fischer. Le time-to-market exige, entre autres, de réduire le temps de développement d’un produit jusqu’à sa commercialisation. De plus, il faut sécuriser les systèmes au niveau technique le plus haut possible. Enfin, être le plus souple possible pour répondre aux besoins informatiques communs, ainsi qu’à des pics d’activité particuliers, tout cela sans avoir à maintenir d’infrastructure trop lourde. «Il faut assurer un service de qualité, c’est-àdire être up & running d’une part, et d’autre part fournir les services définis et mesurables au travers de SLA, résume Manuel Fischer. Apporter une preuve de la qualité de ses services est essentiel.» UNE IT QUI ÉVOLUE «Aujourd’hui, il faut pouvoir réagir plus vite, tout en ayant une base de données plus grande, explique Manuel Fischer. Nous pouvons augmenter notre puissance et notre capacité afin de répondre aux nouvelles exigences du business. Le futur de nos activités est construit sur une architecture d’applications modulaires, qui peut évoluer avec nos besoins.» Pour implémenter cela, Cetrel s’est concentré sur la virtualisation, à la fois du stockage et du réseau. L’infrastructure de Cetrel bénéficie d’une redondance du LAN et du SAN, repose sur trois datacenters interconnectés en DWDM et sur le load balancing du contenu. Le passage d’un datacenter à l’autre, en cas d’incident, se fait quasiment en temps réel. L’impact sur l’infrastructure doit demeurer invisible à l’utilisateur. «Notre métier exige d’être disponibles en 24/7/365 pour nos différents types de clients. Les produits d’EMC nous permettent de concevoir des centres de calcul qui assurent une disponibilité de l’information, même en cas d’impact lourd sur les infrastructures.» Manuel Fischer, CIO de Cetrel 22 NOVEMbre 08
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Cetrel branché<br />
sur le futur<br />
À l’occasion de l’EMC Forum, Manuel Fischer, CIO de Cetrel,<br />
a mis en lumière les approches adoptées par le prestataire<br />
de solutions de paiement pour constituer une infrastructure<br />
performante.<br />
Avec 500 transactions par minute et 350.000 au<strong>to</strong>risations par jour, Cetrel est<br />
sur<strong>to</strong>ut connue pour ses activités dans l’industrie des cartes de paiement. Mais<br />
la société propose ses services dans d’autres domaines que la gestion des<br />
cartes de crédit et de débit : hébergement, gestion de la sécurité, gestion et<br />
intégration de données de référence, etc. L’infrastructure de Cetrel doit donc<br />
relever les défis de disponibilité de l’information, de fiabilité et de flexibilité.<br />
Comme <strong>to</strong>ute entreprise, le Centre de transferts électroniques doit aussi<br />
maintenir les coûts les plus bas possible. Les réflexions menées au niveau du<br />
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par un souci de faire de l’IT une source de création de valeur pour le business.<br />
«Etes-vous alignés suffisamment sur vos collègues<br />
? lance Manuel Fischer, CIO de Cetrel.<br />
L’alignement de l’IT est devenu essentiel car<br />
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Il y a quelques années, on pouvait<br />
encore créer des infrastructures séparées<br />
pour différentes parties du business et au<br />
sein des filiales. Mais aujourd’hui, il faut pouvoir<br />
penser l’infrastructure en tenant compte<br />
des exigences de sécurité, de plans de<br />
Business Continuity et de Disaster Recovery,<br />
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PREUVE DE QUALITÉ<br />
Ces défis se traduisent, pour l’IT, pour une<br />
plus grande responsabilité face aux clients :<br />
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afin de la faire <strong>to</strong>urner 24h/24, à un prix<br />
compétitif et en contrôlant au maximum les<br />
risques. «Il faut avoir assez de ressources pour<br />
travailler dans le futur et répondre aux besoins<br />
du business à moyen terme», dit Manuel Fischer.<br />
Le time-<strong>to</strong>-market exige, entre autres,<br />
de réduire le temps de développement d’un<br />
produit jusqu’à sa commercialisation. De<br />
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technique le plus haut possible. Enfin, être<br />
le plus souple possible pour répondre aux<br />
besoins informatiques communs, ainsi qu’à<br />
des pics d’activité particuliers, <strong>to</strong>ut cela sans<br />
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«Il faut assurer un service de qualité, c’est-àdire<br />
être up & running d’une part, et d’autre<br />
part fournir les services définis et mesurables<br />
au travers de SLA, résume Manuel Fischer.<br />
Apporter une preuve de la qualité de ses<br />
services est essentiel.»<br />
UNE IT QUI ÉVOLUE<br />
«Aujourd’hui, il faut pouvoir réagir plus vite,<br />
<strong>to</strong>ut en ayant une base de données plus<br />
grande, explique Manuel Fischer. Nous pouvons<br />
augmenter notre puissance et notre<br />
capacité afin de répondre aux nouvelles exigences<br />
du business. Le futur de nos activités<br />
est construit sur une architecture d’applications<br />
modulaires, qui peut évoluer avec nos<br />
besoins.» Pour implémenter cela, Cetrel<br />
s’est concentré sur la virtualisation, à la fois<br />
du s<strong>to</strong>ckage et du réseau. L’infrastructure de<br />
Cetrel bénéficie d’une redondance du LAN et<br />
du SAN, repose sur trois datacenters interconnectés<br />
en DWDM et sur le load balancing<br />
du contenu. Le passage d’un datacenter à<br />
l’autre, en cas d’incident, se fait quasiment en<br />
temps réel. L’impact sur l’infrastructure doit<br />
demeurer invisible à l’utilisateur. «Notre métier<br />
exige d’être disponibles en 24/7/365 pour<br />
nos différents types de clients. Les produits<br />
d’EMC nous permettent de concevoir des<br />
centres de calcul qui assurent une disponibilité<br />
de l’information, même en cas d’impact<br />
lourd sur les infrastructures.»<br />
Manuel Fischer,<br />
CIO de Cetrel<br />
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