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étude ostéo-morphométrique des tortues marines de ... - Seaturtle.org

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etrouve sur la projection au centre du segment formé par les groupes [SK.1 LJ.1] et [Co.1<br />

PU.1 SCA.1 Hu.1 Fe.1], indiquant que les nombres d’os mesurés sont en même proportion<br />

(autant <strong>de</strong> crânes que d’os longs)<br />

Les modalités SK.1, LJ.1 et SK.0, LJ.0 contribuent fortement (27,7 %) à la<br />

construction <strong>de</strong> l’axe 2. Les modalités d’âge se distinguent nettement sur la composante 1<br />

(5,1 % et 3,9 % <strong>de</strong> contribution à l’axe 1 pour respectivement adultes et juvéniles). La<br />

modalité juvénile est très proche <strong>de</strong> Lk, indiquant que la majorité <strong><strong>de</strong>s</strong> Lk mesurées sont <strong><strong>de</strong>s</strong><br />

juvéniles tandis que la modalité adulte est plus proche <strong>de</strong> Nd, Ei et Dc, ce qui traduit le fait<br />

que pour ces espèces nous n’avons presque que <strong><strong>de</strong>s</strong> adultes. Par ailleurs la modalité adulte est<br />

proche du groupe [Co.0 PU.0 SCA.0 Hu.0 Fe.0], ce qui confirme que la base <strong>de</strong> données est<br />

pauvre en mesures pour ces os, pour ces 4 espèces.<br />

Les restes <strong>de</strong> Nd sont en effet bien plus rares dans les collections, dans la mesure où<br />

les populations sont exclusivement localisées sur les côtes nord, nord-est et nord-ouest <strong>de</strong><br />

l’Australie.<br />

Dc n’a pas retenu notre attention pour cette <strong>étu<strong>de</strong></strong> mais quelques spécimens ont été<br />

mesurés et photographiés afin d’opposer <strong><strong>de</strong>s</strong> spécimens <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux familles (Cheloniidae et<br />

Dermochelyidae) d’une même super-famille (Chelonioi<strong>de</strong>a).<br />

Les <strong>de</strong>ux modalités <strong>de</strong> sexe se trouvent distantes l’une <strong>de</strong> l’autre sur la composante 2<br />

mais pas en opposition. Cc est très proche <strong>de</strong> SEXE.F, nous indiquant que plus <strong>de</strong> Cc femelles<br />

que <strong>de</strong> mâles ont été mesurées. Pour les autres espèces, la projection vis-à-vis du sexe n’est<br />

pas aussi simple que pour Cc, mais toutes espèces confondues, nous observons qu’en<br />

moyenne plus <strong>de</strong> femelles ont été mesurées que <strong>de</strong> mâles : 121 femelles contre 59 mâles et<br />

122 <strong>tortues</strong> <strong>de</strong> sexe indéterminé.<br />

1-2-Les données par espèces et facteurs : ce qu’il est convenable <strong>de</strong> tester<br />

statistiquement<br />

Le tableau 14 montre l’ « état <strong><strong>de</strong>s</strong> lieux » <strong>de</strong> la base <strong>de</strong> données, élaborée à partir <strong><strong>de</strong>s</strong><br />

spécimens du Chelonian Research Institute. En couleurs sont représentées les combinaisons<br />

<strong>de</strong> facteurs qui peuvent raisonnablement être étudiées d’un point <strong>de</strong> vue statistique.<br />

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