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Rapport – Volume 2 - Petit Fichier

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• L’intégration dans l’écart de l’activation de la main d’œuvre et l’incorporation des charges<br />

indirectes dans les investissements à financement délégataire d’un montant de 94,57 MDH; et ce<br />

sur la base :<br />

- Des principes retenus pour l’application de la clause du respect des 75% des investissements<br />

depuis la première révision en 2004 sur les comptes de 2003 où les charges indirectes ne sont<br />

pas incluses dans l’évaluation ;<br />

- Des principes directeurs consignés par le comité de suivi en date du 9 avril 2004 ;<br />

- Le montage financier du contrat a été fait de sorte à imputer sur le fonctionnement la totalité<br />

des charges indirectes nées de l’activité « Investissement » financées par le délégataire. Les frais<br />

de direction et de contrôle des travaux représentent 2% du coût global des travaux de l’année<br />

et les frais d’étude des travaux sont comptabilisés à hauteur de 5% du coût global des travaux à<br />

réaliser pour l’assainissement. Pour l’eau potable et l’électricité aucune imputation n’est prévue ;<br />

- L’analyse de la main d’œuvre activée montre que les montants y afférents ne correspondent<br />

pas à des charges d’investissements directs liées à l’internalisation des études ou à des charges<br />

d’exploitation ;<br />

- La REDAL n’a jamais imputé la main d’œuvre à la réalisation des investissements au cours de<br />

la période 1999-2001 gérée par l’ancien actionnaire;<br />

- Le principe de l’activation de la main d’œuvre et la procédure de détermination des taux horaires<br />

mise en place par REDAL n’ont fait l’objet d’aucune décision officielle validée et approuvée<br />

par l’autorité délégante pour leur comptabilisation dans les arrêtés des comptes, en plus de<br />

l’absence d’une comptabilité analytique.<br />

• L’intégration, dans les réalisations comptabilisées, des montants dépassant les budgets validés<br />

sans soumettre les justifications nécessaires à l’Autorité Délégante pour approbation, et ce en<br />

méconnaissance des dispositions contractuelles notamment l’article 53 de la convention, soit<br />

197, 96 MDH ;<br />

• L’intégration d’un montant de 96,61 MDH, dans les réalisations comptabilisées, de dépenses de<br />

projets non budgétisés et/ou non autorisés par le comité de suivi en infraction des dispositions<br />

contractuelles notamment les articles 52 et 53 de la convention ;<br />

• L’intégration des provisions sans justificatifs, sans constater les extournes correspondantes<br />

notamment les anciennes datant de 2002 et ultérieurs et non prises en charge par la comptabilité<br />

fournisseur qui assure le suivi des provisions depuis 2004. Par conséquent, les investissements<br />

sont majorés par des réalisations non justifiées et partant non effectives d’un montant de 20,08<br />

MDH ;<br />

• L’intégration des dépenses dans la rubrique «divers » sans apporter les justifications nécessaires,<br />

soit un montant de 112,58 MDH ;<br />

• La prise en compte de la valeur de l’écart d’investissements à fin 2001 pour un montant de 254 ,7<br />

MDH tel qu’il ressort du protocole d’accord ;<br />

• L’augmentation des engagements du délégataire par les ressources additionnelles non prises<br />

en compte par REDAL, qui ont été affectées aux investissements et qui proviennent de la<br />

rubrique « Recherche Développement- Part Autorité Délégante » à hauteur de 15,5 MDH et<br />

22,0 MDH . Cette rubrique a servi à l’investissement au titre de l’exercice 2002 (4,02 MDH),<br />

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