CRPE - Sciences expérimentales et technologie concours ... - Numilog

1 LA PLACE DE L’ÉPREUVE D’HISTOIRE-
GÉOGRAPHIE, SCIENCES ET TECHNOLOGIE
DANS LE CONCOURS
Le concours externe de recrutement des professeurs des écoles est organisé
annuellement dans chaque académie. L’épreuve d’histoire-géographie et de
sciences expérimentales et technologie s’inscrit désormais dans les épreuves
d’admissibilité que tout candidat inscrit doit passer.
Les différentes épreuves du concours
Discipline Type d’épreuve Coefficient Remarque
Épreuves d’admissibilité
Tous les inscrits au concours
passent ces épreuves
Français Épreuve écrite (4 h) 3 Synthèse : 8 points
Exercice : 4 points
Didactique : 8 points
Mathématiques Épreuve écrite (3 h) 3 Exercices : 12 points
Didactique : 8 points
Histoire et géographie
; Sciences expérimentales
et technologie
Épreuve écrite (3 h) 2 Connaissances : 12 points
(6 pour chaque domaine)
Didactique : 8 points
Pour chaque épreuve la note éliminatoire est fixée à 5/20. L’épreuve d’histoire-géographie et de sciences-technologie
est une nouveauté. Le candidat choisit à l’inscription une majeure (histoire-géographie OU sciencestechnologie).
Il répond aux questions de connaissance des deux domaines et aux questions de didactique de la
majeure choisie uniquement.
Seuls les candidats dont la moyenne est égale ou dépasse le seuil d’admissibilité sont autorisés à poursuivre et à
passer les épreuves d’admission.
Épreuves d’admission
Le candidat ne passe ces épreuves
que s’il a été déclaré admissible.
Épreuve orale d’entretien :
– partie 1 (étude de
dossier)
– partie 2 (exposé
personnel)
Langue vivante étrangère
Éducation physique et
sportive
Épreuves facultatives
Épreuve orale
Préparation (1 h),
exposé (10 min),
entretien (15 min).
Exposé (10 min),
entretien (15 min).
Épreuve orale
Préparation (30 min),
entretien (20 min dont
5 min de présentation
orale).
Pratique sportive suivie
d’un entretien
Épreuve orale
Préparation (30 min),
durée épreuve (20 min
dont 5 min de présentation
orale).
2
Épreuve scindée en deux
parties distinctes.
Partie 1 : étude de dossier
2 Partie 2 : exposé personnel
(sujets arts visuels ou musique
ou littérature de jeunesse)
1 Choix : allemand, anglais,
arabe, espagnol, italien,
portugais
1 Épreuve physique : 10 points
Entretien : 10 points
1 Langue régionale ou une
seconde langue différente de
la première choisie
La moyenne du candidat est calculée sur l’ensemble des épreuves. Le candidat est déclaré admis s’il se classe
en position suffisante par rapport à la moyenne des autres candidats.
© Éditions Foucher
Pour en savoir plus
– Bulletin officiel de l’Éducation nationale n° 21 du 26 mai 2005
– www.education.gouv.fr/siac/siac1/epreuve/index.htm
La place de l’épreuve d’histoire-géographie, sciences et technologie dans le concours 7

2 LA NATURE DE L’ÉPREUVE
Cette épreuve se distingue des autres par l’importance des champs disciplinaires
couverts. Sont évaluées les connaissances dans cinq disciplines académiques
(histoire, géographie, biologie, sciences physiques et technologie)
avec un programme lourd. Par contre, pour les aspects didactiques et pédagogiques,
le candidat choisit le champ disciplinaire dans lequel il compose.
1. Définition de la prestation demandée
L’organisation de l’épreuve
Le texte officiel
L’arrêté
« L’épreuve porte sur les deux champs disciplinaires, histoire
et géographie, d’une part, sciences expérimentales et
technologie, d’autre part.
Elle est constituée d’une composante majeure dans l’un
des champs disciplinaires et d’une composante mineure
dans l’autre champ disciplinaire. Le candidat choisit au
moment de son inscription le champ disciplinaire qui constituera
la composante majeure de l’épreuve.
Le candidat dispose en même temps des sujets des deux
composantes de l’épreuve, majeure et mineure, et utilise à
sa guise la totalité du temps de l’épreuve. Deux copies distinctes
sont remises par les candidats à l’issue de l’épreuve,
l’une pour la composante majeure, l’autre pour la composante
mineure. »
Les commentaires officiels
« L’épreuve d’histoire et géographie et de sciences expérimentales
et technologie permet de vérifier chez le candidat
la maîtrise des fondements disciplinaires, des principales
connaissances scientifiques et didactiques ainsi que des
objectifs et contenus des programmes, nécessaires pour
enseigner à l’école primaire dans le cadre de la polyvalence
des enseignants du premier degré.
La composante majeure est conçue pour demander au candidat
un temps de travail d’environ 2 heures 15 minutes, la
composante mineure durant environ 45 minutes. »
Le texte de cadrage
« En sciences expérimentales et technologie l’épreuve a
pour objectif d’évaluer les connaissances du candidat dans
ce domaine de l’enseignement à l’école primaire.
Les connaissances attendues sont relatives aux champs
suivants :
– les connaissances scientifiques indispensables pour comprendre
et enseigner le programme de l’école primaire ;
– les éléments fondamentaux d’une démarche d’investigation
dans le domaine scientifique ;
– les objectifs et contenus du programme du cycle 3 de
l’école primaire.
L’épreuve vise à évaluer ces connaissances et les capacités
du candidat à les mettre en relation et non à repérer chez
les candidats l’aptitude à prévoir les préreprésentations ou
les réactions des élèves ou à élaborer le détail d’une
séquence d’enseignement, compétences que la formation
lui apportera en deuxième année d’IUFM.
L’épreuve écrite d’histoire et de géographie a pour objectif
d’évaluer les connaissances du candidat dans ces deux
domaines d’enseignement de l’école primaire, soit :
– la maîtrise des connaissances, des concepts et notions
fondamentaux des deux disciplines indispensables pour
comprendre et enseigner le programme de l’école primaire.
Le programme de l’épreuve du concours a toutefois été
limité : les cinq périodes du programme d’histoire sont
déclinées en quatorze sujets ou « points forts », et les trois
thèmes du programme de géographie déclinés en six sujets
ou « points forts » ;
Nos commentaires
Cette épreuve est composite et complexe.
Elle porte sur deux champs disciplinaires,
histoire et géographie d’une
part, sciences et technologie d’autre part
et évalue des connaissances disciplinaires
et didactiques.
Il faut tout d’abord choisir votre majeure
et ceci le jour de l’inscription. La majeure
est le champ dans lequel vous devez
composer à la fois sur les connaissances
disciplinaires et didactiques. Dans l’autre
champ, la mineure, vous ne composez
que sur les connaissances disciplinaires.
Le choix est irrévocable ! Il ne vous est
pas possible de changer après l’inscription.
Une difficulté majeure est de correctement
gérer le temps.
Nous suggérons :
– 45 min à 50 min pour la partie connaissance
de la mineure ;
– 45 min à 50 min. pour la partie connaissance
de la majeure ;
– 1 h 20 à 1 h 30 pour la partie didactique
de la majeure.
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8 Entrer dans l’épreuve

© Éditions Foucher
La première partie de la composante majeure
L’arrêté
1. La première partie est destinée à évaluer les connaissances
scientifiques du candidat dans les domaines des
sciences expérimentales et de la technologie. Elle est formée
de questions appelant des réponses concises portant
sur le programme de l’épreuve.
Les commentaires officiels
L’épreuve doit permettre de vérifier chez le candidat :
1. la maîtrise des connaissances et des notions nécessaires
pour enseigner à l’école primaire.
Le texte de cadrage
Cette partie est destinée à évaluer les connaissances scientifiques
des candidats (cf. les deux notes du 16 mai 2005).
L’épreuve est formée de questions portant sur divers
champs du programme du concours et appelant des
réponses concises. Elle ne se présente pas sous la forme
d’exercices à résoudre. La formulation de questions sous
forme de questionnaire à choix multiple est exclue.
La seconde partie de la composante majeure
L’arrêté
2. La seconde partie vise à apprécier la capacité du candidat
à exploiter une documentation de quatre pages au plus pour
présenter à des élèves de cycle 3, en un texte d’une à deux
pages, un problème donné sous l’angle d’une démarche
scientifique, de façon à mettre les élèves en situation de
mener une démarche d’investigation faite de questionnement,
de réflexion et d’expérimentation, conduisant à une
acquisition des savoirs. Le candidat prend appui sur cette
documentation, qui lui est distribuée en début d’épreuve,
concernant un problème scientifique ou technologique,
composée d’éléments provenant d’ouvrages de vulgarisation,
de journaux ou magazines scientifiques, de journaux
pour enfants ou adolescents, de manuels scolaires ou
d’autres sources de documentation. Cette seconde partie
permet de vérifier l’aptitude du candidat à trier l’information,
à mobiliser ses connaissances scientifiques et technologiques,
à comprendre différents langages (textes, tableaux,
schémas, par exemple), à exercer son esprit critique pour
présenter le problème de façon à conduire ses élèves à se saisir
du sujet proposé. Le candidat précise les liens possibles
avec les autres disciplines enseignées à l’école primaire et
met en évidence les objectifs transversaux, relevant de la
maîtrise de la langue française ou de l’éducation civique, que
le sujet peut permettre de poursuivre. Lorsque les sciences
expérimentales et la technologie constituent la composante
mineure de l’épreuve, le candidat compose sur la première
partie de la composante majeure.
Les commentaires officiels
L’épreuve doit permettre de vérifier chez le candidat :
2. la capacité à comprendre, analyser et exploiter des documents
en faisant preuve d’esprit de synthèse pour prendre
en compte, d’une part, les éléments d’une démarche
d’investigation et d’esprit critique, d’autre part, le caractère
rationnel d’une argumentation à destination des élèves ;
3. l’aptitude à amener les élèves à s’approprier les savoirs
scientifiques et/ou technologiques, les savoir-faire, les connaissances
et les repères culturels prévus par les programmes
et les « fiches connaissance » les accompagnant.
Le texte de cadrage
En début d’épreuve, un ensemble de documents (d’un
volume total de quatre pages au maximum, imprimées en
noir et blanc à partir de documents permettant une reproduction
lisible) est distribué aux candidats avec le sujet. La
liste donnée dans l’annexe de l’arrêté qui définit le concours
ne mentionne pas la distribution de documents élaborés
par des élèves lors de séquences de classe. Certains
des documents distribués pourraient être utilisés par les
élèves (extraits de revue pour enfants ou de manuels scolaires
par exemple) mais d’autres, plus complexes, sont destinés
au professeur.
La première partie des sujets consiste en
des questions brèves et ciblées appelant
des réponses courtes.
Par réponse courte on entend un paragraphe
compris entre 4/5 lignes et une
page maximum. Il s’agit d’un exercice de
restitution de connaissances. À ce titre
on ne peut poser un exercice. Ceci est
ambigu car on peut considérer un
tableau de mesure à analyser et interpréter,
un graphique à annoter une formule
à appliquer comme acceptables puisque
mettant uniquement en jeu une exploitation
de connaissances. La rapidité d’exécution
est un facteur de sélection.
Quel que soit votre choix de « majeure » il
y a une certaine symétrie dans la manière
dont sont conçus les sujets. Sont successivement
évaluées :
1) en partie 1 : la totalité des connaissances
disciplinaires (majeure + mineure)
2) en partie 2 : la maîtrise de la didactique
et des éléments méthodologiques des
disciplines de la majeure
3) toujours en partie 2 : éventuellement
des ouvertures vers les autres disciplines.
La seconde partie s’appuie sur un dossier
documentaire (de quatre pages au plus)
se rapportant à un point au programme
du domaine choisi et susceptible d’être
exploité par des élèves de cycle 3 (CE2,
CM1, CM2). Il vous faut, à partir de ce
dossier,
– étape 1 : analyser de façon critique les
documents. Cette analyse avant tout de
nature scientifique et peut judicieusement
être émaillée et complétée de
remarques didactiques mais celles ci ne
peuvent en aucun cas s’y substituer !
– étape 2 : fournir des pistes d’utilisation
dans une classe de cycle 3. C’est la partie
à caractère didactique et pédagogique de
l’épreuve. Tous les sujets ont été libellés
de manière similaire. « À partir de l’analyse
que vous avez réalisée en première
étape, vous indiquerez en références aux
programmes de l’école primaire, un problème
qui pourra être traité au cycle 3.
Vous présenterez une situation d’entrée
possible et exposerez ensuite quelques
éléments d’une démarche d’investigation
appropriée à ce thème » puis, « Précisez
les connaissances que les élèves pourront
aborder ou acquérir au cours des activités
construites ».
Pour la session 2006, aucune question
n’a porté sur les compétences transversales
et l’interdisciplinarité mais cela reste
possible.
Pour la session 2006, des consignes ont
été données pour accorder grosso modo
autant de point aux deux étapes.
Outre le fait qu’elle soit notée sur 8
points, cette partie est importante car elle
permet bien souvent de faire la différence
entre les candidats.
La nature de l’épreuve 9

Dans une première étape, (en rédigeant un texte dont la
longueur n’est pas précisée) le candidat s’appuie sur les
questions posées dans le sujet pour procéder à une analyse
critique des documents distribués. Il s’appuie dans cette
étape sur son propre niveau de connaissances scientifiques
et fait donc appel à ses propres connaissances. Il peut ainsi
être amené à comparer les documents, à mettre en évidence
les qualités scientifiques de tel document ou, a contrario, à
constater que certains textes sont contradictoires ou non
pertinents, que le raisonnement scientifique mis en œuvre
dans telle argumentation présente des lacunes ou n’est pas
fondé rationnellement ou encore que les connaissances auxquelles
le document se réfère sont approximatives. Cette
première étape conduit le candidat à formuler des remarques
et des conclusions sur tout ou partie des problèmes
scientifiques traités dans les documents distribués.
Dans une deuxième étape, d’une longueur de une à deux
pages, le candidat exploite les documents distribués et
l’analyse critique qu’il en a faite pour exposer comment les
situations évoquées dans ces documents lui permettent de
dégager un problème pouvant être étudié en classe, en le
situant clairement par rapport aux programmes du cycle 3.
Il développe la présentation à une classe d’un questionnement
scientifique productif (au sens des documents d’application
et des documents d’accompagnement des programmes)
relatif au problème dégagé. Il explicite ensuite
quelques éléments de la démarche d’investigation en classe
en donnant une brève liste de trois situations au maximum,
(expérimentation, observation directe ou assistée par des
instruments, utilisation d’un document) décrites de façon
très succincte et appropriées à l’étude du thème choisi. Il
formule enfin de façon précise les connaissances que les élèves
pourront aborder ou acquérir au cours des activités
conduites à propos du problème présenté.
La partie unique de la composante mineure
L’arrêté
1. La première partie est destinée à évaluer les connaissances
du candidat dans les domaines de l’histoire et de la
géographie. Elle est formée de questions appelant des
réponses concises portant sur le programme de l’épreuve.
Les commentaires officiels
L’épreuve doit permettre de vérifier chez le candidat :
1. la maîtrise des connaissances et des notions nécessaires
pour enseigner à l’école primaire.
Le texte de cadrage
La première partie de l’épreuve est destinée à évaluer les
connaissances du candidat dans les domaines de l’histoire et
de la géographie. Elle est formée de questions appelant des
réponses concises portant sur le programme de l’épreuve.
Cette partie de l’épreuve évaluera les connaissances académiques
dans les deux champs disciplinaires. Elle comprendra
deux ou trois questions. Il s’agit, pour le candidat, de
faire la preuve qu’il maîtrise les principaux concepts et
notions en œuvre dans le sujet.
Par réponse concise à une question, il faut entendre la
rédaction d’un ou deux paragraphes argumentés. Selon la
nature du sujet, un croquis, un schéma ou un organigramme
pourront constituer partiellement ou totalement la
réponse à la question posée. Mais en aucun cas la réponse
ne prendra la forme d’un mot ou d’une phrase unique,
comme dans un QCM.
Le niveau de connaissances attendu est celui permettant
d’enseigner l’histoire et la géographie dans le premier degré.
Les conditions de compositions
L’arrêté
Durée de l’épreuve : 3 heures ; coefficient 2.
L’épreuve fait l’objet d’une notation unique sur 20 :
– 14 points sont attribués à la composante majeure
(6 points à la première partie de l’épreuve et 8 points à la
seconde partie)
– et 6 points à la composante mineure.
En effet, on peut supposer que la majorité
des candidats sérieux maîtrisent assez
correctement les grandes lignes des connaissances
au programme aussi bien en
sciences et technologie qu’en histoire et
géographie.
C’est donc cette seconde partie pédagogique
qui vous permet de vous démarquer
des autres candidats.
De plus, elle sollicite un travail plus élaboré
(analyse de documents, synthèse,
rédaction) et plus subtil que la simple
restitution de connaissances.
Les questions de connaissance posées en
mineure sont moins nombreuses en histoire
et géographie qu’en sciences et
technologie. Subséquemment les réponses
doivent être plus fournies et correspondre
à un texte organisé et structuré
de une à deux pages.
Il serait tentant de faire l’impasse sur la
mineure vu la lourdeur des programmes.
Ceci est très risqué ! Vous ne pouvez
vous permettre de sacrifier 6 points sur
20 ! La répartition des points attribués
aux différentes parties fait que vous devez
les traiter de façon équilibrée.
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10 Entrer dans l’épreuve

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2. Programme de l’épreuve
2.1. L’histoire et la géographie
La note de service du 16 mai 2005 a modifié le programme comme suit : « Le
programme porte sur l’ensemble des thèmes du programme d’histoire et géographie
des classes de CE2, CM1 et CM2 défini par l’arrêté du 9 juin 2008 fixant les programmes
d’enseignement de l’école primaire (BO hors-série n° 3 du 19 juin 2008). »
Cela veut dire que désormais les candidats doivent maîtriser l’ensemble des
connaissances qu’ils seront amenés à enseigner aux élèves de cycle 3. Rappelons les
grandes lignes des programmes 2008 du cycle 3 en histoire et géographie.
2.1.1. L’histoire
La Préhistoire
Les premières traces de vie humaine, la maîtrise du fer et les débuts de l’agriculture,
l’apparition de l’art.
L’Antiquité
Les Gaulois, la romanisation de la Gaule et la christianisation du monde gallo-romain.
Le Moyen Âge
Après les invasions, la naissance et le développement du royaume de France.
Les relations entre seigneurs et paysans, le rôle de l’Église.
Conflits et échanges en Méditerranée : les Croisades, la découverte d’une autre
civilisation, l’Islam.
La guerre de Cent Ans.
Les Temps modernes
Le temps des Découvertes et des premiers empires coloniaux, la traite des
Noirs et l’esclavage.
La Renaissance : les arts, quelques découvertes scientifiques, catholiques et
protestants.
Louis XIV un monarque absolu.
Les Lumières.
La Révolution française et le XIX e siècle
La Révolution française et le Premier empire : l’aspiration à la liberté et à l’égalité,
la Terreur, les grandes réformes de Napoléon Bonaparte.
La France dans une Europe en expansion industrielle et urbaine : le temps du
travail en usine, des progrès techniques, des colonies et de l’émigration.
L’installation de la démocratie et de la République.
Le XX e siècle et notre époque
La violence du XX e siècle : les deux conflits mondiaux ; l’extermination des
Juifs et des Tziganes par les nazis : un crime contre l’humanité.
La révolution scientifique et technologique, la société de consommation.
La V e République
La construction européenne.
2.1.2. La géographie
Des réalités géographiques locales à la région où vivent les élèves
– les paysages de village, de ville ou de quartier, la circulation des hommes et des
biens, les principales activités économiques ;
– un sujet d’étude au choix permettant une première approche du développement
durable (en relation avec le programme de sciences et traitement) ou les déchets
(réduction et recyclage) ;
– le département et la région.
Le territoire français dans l’Union européenne
– les grands types de paysages ;
– la diversité des régions françaises ;
– les frontières de la France et les pays de l’Union européenne.
La nature de l’épreuve 11

Les Français dans le contexte européen
– la répartition de la population sur le territoire national et en Europe ;
– les principales villes en France et en Europe.
Se déplacer en France et en Europe
– un aéroport ;
– le réseau autoroutier et le réseau TGV.
Produire en France
– quatre types d’espaces d’activités : une zone industrialo-portuaire, un centre tertiaire,
un espace agricole et une zone de tourisme.
La France dans le monde
– les territoires français dans le monde ;
– la langue française dans le monde (en relation avec le programme d’instruction
civique et morale).
2.2. Les sciences expérimentales et la technologie
1. Mesures et unités
2. Matière :
– états et changements d’état ;
– mélanges et solutions ;
– propriétés physiques des gaz.
3. Énergie :
– formes ;
– transferts et conservation de l’énergie.
4. Lumière :
– sources ;
– propagation rectiligne de la lumière.
5. Électricité :
– générateurs et récepteurs ;
– circuit électrique ;
– sécurité des personnes et des installations.
6. Mécanique
– équilibre ;
– transmission et transformation de mouvements.
7. Astronomie :
– la Terre ;
– le système solaire et l’Univers.
8. Le vivant :
– le cycle de développement ;
– les fonctions du vivant :
- la reproduction sexuée et non sexuée ;
- les fonctions de nutrition : digestion, respiration, circulation ;
- les fonctions de relation : fonctions sensorielles et modes de déplacement.
– les êtres vivants dans leur milieu :
- notions de milieu et d’écosystème ;
- l’action de l’homme sur son environnement.
– le corps humain :
- éducation à la santé : l’hygiène alimentaire, la prévention des conduites à risque,
la pratique sportive ;
- reproduction et sexualité.
Il est indéniable que le programme est chargé ! Il faut donc commencer très tôt
à réviser si vous souhaitez atteindre un niveau de maîtrise acceptable. Quant à ce
niveau, la tradition veut qu’il corresponde à celui d’un très bon élève de troisième.
Pour en savoir plus
– Bulletin officiel de l’Éducation nationale (BOEN) n° 21 du 26 mai 2005
– www.education.gouv.fr/siac/siac1/epreuve/index.htm
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12 Entrer dans l’épreuve

3 ORGANISER SA PRÉPARATION
L’épreuve du concours juxtapose deux champs disciplinaires et deux parties
dont les contenus sont différents. La première consiste en une restitution de
connaissances, la seconde est axée sur la culture didactique du candidat.
1. La première partie de l’épreuve
Cette partie est éminemment ancrée dans le registre disciplinaire. Il s’agit de
tester votre maîtrise du programme du concours par le biais de questions précises
appelant des réponses rapides et concises.
1.1. Vos deux objectifs
Si on part sur la base de huit mois de préparation à cette épreuve (de septembre
à avril), il vous faut planifier votre travail pour atteindre les objectifs suivants.
Objectif 1 : maîtriser scientifiquement l’intégralité du programme. Vous
devez, le jour du concours, manifester des connaissances solides en histoire, géographie,
sciences expérimentales et technologie. Il ne s’agit pas de devenir spécialiste de
ces disciplines mais d’être capable de manifester un degré de maîtrise suffisant des
notions que vous serez amené à enseigner. Classiquement, on estime le niveau « fin de
troisième » comme honorable.
Objectif 2 : être capable de remobiliser rapidement vos connaissances.
Les sujets du concours sont faits pour tester l’étendue de vos connaissances. Autrement
dit, les questions vont concerner les différentes disciplines et les différents thèmes.
Vous ne pourrez vous immerger trop longtemps et trop à fond dans un thème
précis mais devrez pratiquer une sorte de « zapping de notions » qui peut déstabiliser.
Vous allez devoir passer très rapidement d’une notion à l’autre ; ceci n’est pas évident
et nécessite entraînement. Il vous faut pouvoir passer en revue l’ensemble des connaissances
pour en extraire la bonne donnée.
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1.2. Comment les atteindre à l’aide de ce livre ?
Votre parcours au long de votre année de formation doit vous amener à :
– comprendre et maîtriser les notions et concepts en jeu tout d’abord ;
– mémoriser l’ensemble ensuite ;
– remobiliser vos connaissances lors de l’épreuve pour finir.
Ceci ne peut être possible que si vous ne vous y prenez pas trop tard et que
vous planifiez et gérez votre progression. Il faut assimiler le programme en quelques
mois. Les fiches des parties « Les connaissances en… » sont conçues pour
vous y aider.
Utiliser les fiches de connaissances scientifiques. L’ensemble des fiches
des parties « Les connaissances en… » balaye le programme du concours.
• En cours d’année de préparation, les fiches de connaissances sont à apprendre.
Vous ne pouvez faire l’économie d’un « bachotage ».
➜ Lisez dans un premier temps, en septembre et octobre, l’ensemble des
fiches : essayez de les comprendre !
➜ Apprenez-les. Respectez un planning d’acquisition des connaissances. Il est
vivement conseillé de se livrer à cette phase d’apprentissage assez précocement.
Vous pourriez envisager une première phase de mémorisation qui pourrait s’échelonner
de novembre à janvier, puis une reprise de chaque fiche de février à avril.
Organiser sa préparation 13

➜ Mettez à profit les moments où vous vous entraînez sur des sujets pour réinvestir
ce que vous avez appris.
• Lors de vos révisions (le mois précédant le concours) :
➜ Utilisez les fiches de connaissances comme des aide-mémoire afin de bien
vous remémorer les choses, de vous rafraîchir la mémoire.
Compléter les fiches connaissances. Les fiches de connaissances constituent
des synthèses et peuvent être considérées comme des « fiches-bilans ». Elles ne peuvent
être exhaustives et vous éprouverez certainement le besoin ou l’envie d’approfondir
ou de clarifier certains points.
• Quels supports ?
Sans trop vous y perdre, si vous estimez avoir besoin de clarifier un thème ou
une notion, exploitez :
– les livres scolaires du primaire et du collège ou des ouvrages de préparation au
brevet des collèges qui bien souvent apporteront la réponse à vos questions ;
– les encyclopédies générales ou ouvrages de référence répertoriés sur les fiches.
• Comment procéder ?
➜ Concevez une technique de personnalisation des fiches de connaissances.
Exemple Utilisez des fiches complémentaires de couleurs différentes. Une couleur pourrait
servir au résumé des compléments d’information, une autre permettrait de référencer des
articles-clés ou des pages d’ouvrage apportant des précisions, des éclairages relatifs au
thème de la fiche. Vous pouvez aussi vous constituer des fichiers informatiques avec
comme référence les numéros et titres des fiches de ce livre et les compléments.
➜ Renseignez ces post-it ou vos fichiers informatiques à la fin de chaque lecture.
➜ Attention à ne pas vouloir trop en faire ! Ajouter quelques précisions et
éclaircissements est une bonne démarche. Noircir des fiches de compléments,
d’approfondissements et de détails est très chronophage ! Et ceci risque d’encombrer
votre mémoire ou de perturber votre travail de mémorisation. Il faut savoir
aller à l’essentiel.
S’entraîner sur les sujets proposés. Acquérir des connaissances ne suffit
pas, il faut s’exercer en plus. Bien évidemment, les sujets de ce livre sont conçus
pour vous permettre une familiarisation avec la diversité des sujets possibles. Ils
constituent la base de votre entraînement au concours.
Multiplier les occasions de s’entraîner tout au long de l’année
➜ Procurez-vous des annales corrigées ;
➜ « Fabriquez », à partir de tests d’admission à l’IUFM des questions types et
entraînez-vous à y répondre.
Jouer le jeu. Lire simplement des sujets et leur corrigé n’est absolument pas formateur.
Ne gâchez pas des sujets de la sorte. Il est impératif de jouer le jeu et de se
mettre le plus tôt possible et le plus souvent possible dans les conditions du concours.
2. La seconde partie de l’épreuve
2.1. Vos quatre objectifs
On peut considérer que cette partie est en quelque sorte la partie méthodologique
et didactique de l’épreuve. C’est a priori la plus délicate car, à la différence de
la première, il vous est demandé de mener un travail d’analyse, de réflexion et de
conception.
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14 Entrer dans l’épreuve

Objectif 1 : apprendre à analyser le dossier fourni. Le dossier propose des
documents qui peuvent être de nature variée. Il faut savoir en faire une analyse (et si
nécessaire, une interprétation) scientifique, puis didactique pour parvenir à présenter
et à exploiter pédagogiquement les documents du dossier.
Objectif 2 : maîtriser parfaitement tout ce qui se rattache à la didactique
du domaine choisi. Il vous faut dans un premier temps apprendre ce qui s’enseigne
au cycle 3 et comment. Comprendre comment procèdent les enseignants est le
préalable absolu avant de vous lancer vous-même dans la conception de leçons.
Objectif 3 : apprendre à concevoir des activités d’élèves à partir des éléments
du dossier. Ce que l’on attend de vous n’est ni plus ni moins d’avoir compris
ce qui constitue le travail d’un professeur des écoles en sciences-technologie,
et d’être capable à votre tour de définir des objectifs pédagogiques, de présenter
des activités réalisables en classe s’intégrant aux démarches préconisées par les textes
officiels et les résultats que vous en attendez.
Objectif 4 : avoir une vision globale des autres disciplines. Cette vision est
utile pour pouvoir opérer les liens avec les autres matières enseignées ou relever les
objectifs transversaux comme cela est demandé.
2.2. Comment les atteindre à l’aide de ce livre ?
Utiliser les fiches de connaissances didactiques et les documents institutionnels.
L’ensemble des fiches des parties « Repères méthodologiques et
didactiques » du domaine choisi a pour ambition de bien vous faire comprendre
avec quoi et comment on enseigne les disciplines concernées. Elles ne peuvent être
comprises et assimilées qu’en les mettant en regard des instructions officielles qu’il
incombe à tout candidat de se procurer.
• En cours d’année de préparation. Compte tenu des exigences du concours,
pour réussir au mieux cette partie de l’épreuve, vous devez :
– vous familiariser avec les notions didactiques fondamentales et les démarches
préconisées. Les fiches « Repères méthodologiques et didactiques » de sciences et
technologie de cet ouvrage sont là pour vous y aider ;
– connaître les programmes de sciences et technologie de l’école élémentaire présentés
dans le Bulletin officiel n° 25 du 19 juin 2008 ;
– avoir lu le socle commun de connaissances et de compétences ;
– avoir lu et vous être inspiré du contenu des documents d’accompagnement des
anciens programmes. Ces documents présentent des séquences types. Il ne faut,
bien sûr, travailler que les séquences en lien avec le programme 2008 ;
Exemple Le fascicule Documents d’accompagnement des programmes – sciences et technologie
– cycle des approfondissements (cycle 3)
Remarque : bien que la promulgation des programmes 2008 s’accompagne officiellement
de la suppression des documents d’accompagnement, ceux-ci restent cohérents et utilisables
en sciences contrairement à d’autres disciplines. Il suffit de les adapter au nouveau
programme.
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Organiser sa préparation 15

– connaître les parties du programme relatives à la maîtrise du langage et de la langue
française et de l’instruction civique (objectifs, programme et compétences
devant être acquises en fin de cycle) présentés dans les programmes 2008.
Exemple L’ensemble des documents institutionnels est gratuitement téléchargable sur le
site du Centre national de documentation pédagogique (CNDP) : www.cndp.fr, rubrique
« Programmes et accompagnements ».
In fine, toutes ces données doivent être assimilées et vous devez être capable de
mener une réflexion pédagogique et didactique déjà sûre afin de convaincre les
correcteurs de vos aptitudes à la profession à laquelle vous vous destinez.
• Lors de vos révisions (le mois précédant le concours). Utilisez les fiches de
méthodologie et de didactique comme des aide-mémoire afin de bien vous remémorer
les choses, de vous rafraîchir la mémoire.
Compléter les données
• À partir de quels supports ? Sans vous y noyer car vous disposez de peu de
temps :
➜ lisez quelques ouvrages didactiques de référence ;
➜ feuilletez des livres scolaires de cycle 3 et de collège, des livres du professeur,
des cahiers d’activités… ;
➜ visitez des sites dédiés à la didactique ou à la pédagogie.
Remarque : vous trouverez des indications de ressources bibliographiques dans
les fiches.
➜ effectuez des liens avec ce qui se pratique effectivement dans les écoles en
mettant éventuellement à contribution vos stages ou en établissant des contacts
avec des enseignants.
• Comment procéder ?
➜ Concevez une technique de personnalisation des fiches.
Exemple Utilisez des fiches complémentaires de couleurs différentes : une pour résumer les
compléments d’informations, l’autre pour noter des exemples concrets de situation de
classe glanés lors de vos stages ou de vos lectures. Vous pouvez aussi vous constituer des
fichiers informatiques.
➜ Ici aussi, attention à ne pas vous noyer ! Vous ne pouvez tout savoir et tout
apprendre. Vous n’êtes pas encore un professionnel. Le jury attend de vous que
vous soyez imprégné des démarches en vigueur et que vous fassiez jouer votre bon
sens et vos capacités d’adaptation face au dossier.
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16 Entrer dans l’épreuve

4 BIBLIOGRAPHIE EN SCIENCES
EXPÉRIMENTALES ET EN TECHNOLOGIE
1. Les connaissances scientifiques
1.1. Les ouvrages généraux
BREUER H, Atlas de la physique, Le livre de poche, 1997
CAUSERET Pierre et SARRAZIN Liliane, Les saisons et les mouvements de la
Terre, Belin, 2001
CURIE Marie, et al., Les leçons de Marie-Curie, EDP Sciences, 2004
TAVERNIER Raymond, Enseigner la biologie et la géologie à l’école élémentaire,
Bordas, 2002
TAVERNIER Raymond et al., Les Guides du Maître du CP au CM2 : Tome 2,
L’eau, l’air, le temps qu’il fait ; Le feu, la lumière, le temps qui passe ; Piles, ampoules,
boussoles, Bordas, 2004
1.2. Les manuels scolaires du secondaire
• Mesures et unités
• Matière :
– États et changements d’état → programme de 5 e
– Mélanges et solutions → programme de 5 e
– Propriétés physiques des gaz → programme de 5 e
• Énergie : Formes, transferts et conservation de l’énergie
• Lumière : Sources, propagation rectiligne de la lumière → programme de 4 e
• Électricité : Générateurs et récepteurs, circuit électrique, sécurité des personnes
et des installations → programme de 5 e , 4 e et 3 e
• Mécanique : Équilibre. Transmission et transformation de mouvements
• Astronomie : La Terre, le système solaire et l’Univers → programme de 4 e
• Le vivant
– Le cycle de développement → programme de 6 e
– Les fonctions du vivant :
- la reproduction sexuée et non sexuée → programme de 6 e et de 4 e
- les fonctions de nutrition : digestion, respiration, circulation → programme de
5 e et 3 e
- les fonctions de relation : fonctions sensorielles et modes de déplacement →
programme de 5 e et de 3 e
– Les êtres vivants dans leur milieu :
- notions de milieu et d’écosystème → programme de 6 e
- l’action de l’homme sur son environnement → programme de 6 e
– Le corps humain :
- éducation à la santé : l’hygiène alimentaire, la prévention des conduites à risque,
la pratique sportive → programme de 5 e et de 3 e
- reproduction et sexualité → programme de 5 e ou de 4 e et de 3 e
2. Les connaissances pour enseigner
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2.1. Pédagogie, didactique générale et didactique des sciences
ASTOLFI Jean Pierre, et al., Comment les enfants apprennent les sciences, Retz,
1996
BORG J, Des mains à la tête, cycle 3, Magnard, 1999
CHARPAK Georges, et al., L’enfant et la science, Odile Jacob, 2005
HARDEN Wynne, Enseigner les sciences, comment faire ? Le pommier, 2004
Bibliographie en sciences expérimentales et en technologie 17

GIORDAN André et DE VECCHI Gérard, L’enseignement scientifique : Comment
faire pour que ça marche ? Z’éditions, 1994
MEIRIEU Philippe, Apprendre… oui, mais comment, ESF Éditeur, 1991
La main à la pâte, site dédié à l’enseignement des sciences à l’école primaire :
www.inrp.fr/lamap
2.2. Enseignement et didactique des sciences de la vie et de la Terre
ANTHEAUME Pierre, Découverte du vivant et de la Terre, Hachette éducation.
1995
CANTOR Maryline, LANGE Jean-Marc et MARTINET Isabelle, De la découverte
du monde à la biologie aux cycles II et III, Nathan Pédagogie, 1996
TAVERNIER Raymond, Enseigner la biologie et la géologie à l’école élémentaire,
Bordas, 2002
TAVERNIER Raymond, La découverte du monde vivant de la maternelle au
CM2, Bordas, 2002
2.3. Enseignement et didactique de la physique et de la technologie
GARNIER Cécile, De la découverte du monde à la physique et à la technologie aux
cycles II et III, Nathan Pédagogie, 1996
GOFFARD Monique et WEIL BARAIS Annick, Enseigner et apprendre les sciences,
Colin, 2005
MARTINAND Jean Louis, et al., Découverte de la matière et de la technique,
Hachette éducation, 1995
TAVERNIER Raymond, Sciences et technologie cycle 3, Bordas, 2002
3. Les documents institutionnels
Les documents officiels sont téléchargeables sur le site du ministère de
l’Éducation nationale : www.education.gouv.fr
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, Programmes, BOEN
→ www.education.gouv.fr/bo/
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, Qu’apprend-on à l’école élémentaire,
XO Éditions, 2008
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, Documents d’application des
programmes. Sciences et technologie, cycle 3, SCEREN (CNDP), 2002
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE, Fiches de connaissances,
cycle 2 et 3, SCEREN (CNDP), 2002
→ ces trois documents :
www.sceren.fr/doc_administrative/programmes/primaire/edu_scientifique/
edu_scientifique.htm
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