Préférence des reines vierges de Bombus terrestris - Laboratoire de ...
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T. Mathy – <strong>Préférence</strong> intraspécifique <strong><strong>de</strong>s</strong> <strong>reines</strong> <strong>de</strong> <strong>Bombus</strong> .<strong>terrestris</strong> pour les sécrétions céphaliques – Page 35<br />
C<br />
16,1%<br />
1%<br />
2,2%<br />
D<br />
30,7%<br />
3%<br />
3,7%<br />
1,4 % 1,4%<br />
2,9%<br />
1,7%<br />
2,7%<br />
T<br />
9,8%<br />
3,2%<br />
2,2%<br />
2,2%<br />
S<br />
15,8%<br />
Figure 24. Diagramme <strong><strong>de</strong>s</strong> déplacements <strong><strong>de</strong>s</strong> <strong>reines</strong> <strong>vierges</strong> <strong>de</strong> <strong>Bombus</strong> <strong>terrestris</strong> dalmatinus en présence<br />
<strong><strong>de</strong>s</strong> sécrétions céphaliques <strong>de</strong> mâles <strong>de</strong> <strong>Bombus</strong> <strong>terrestris</strong> dalmatinus et <strong>de</strong> <strong>Bombus</strong> <strong>terrestris</strong> canariensis. C:<br />
zone à sécrétion céphalique <strong>de</strong> B. t. canariensis; D: zone à sécrétion céphalique <strong>de</strong> B. t. dalmatinus; T: zone<br />
témoin (papier filtre sans solution); S: zone avec solvant.<br />
f) Reines <strong>de</strong> <strong>Bombus</strong> <strong>terrestris</strong> dalmatinus en présence <strong><strong>de</strong>s</strong> sécrétions <strong>de</strong> <strong>Bombus</strong> <strong>terrestris</strong><br />
dalmatinus et <strong>de</strong> <strong>Bombus</strong> ignitus<br />
Les déplacements dans les zones ignitus et témoin sont plus fréquents que lors du<br />
contrôle. Les déplacements entre les zones sont réduits par rapport au contrôle (fig. 20). Les<br />
déplacements dans le sens horlogique et anti-horlogique sont moins fréquents que ceux<br />
s’effectuant lors du contrôle (<strong>de</strong> 1,1 à 3,8%). Les <strong>reines</strong> ne se déplacent pas <strong>de</strong> manière<br />
aléatoire, elles ne tournent plus en rond comme c’est le cas lors du contrôle (fig. 25).<br />
La zone solvant (8,7%) et la zone à sécrétion céphalique consubspécifique (10,6%)<br />
sont moins visitées que la zone témoin (28%) et la zone qui présente la sécrétion céphalique<br />
du mâle <strong>de</strong> B. ignitus (24,5%). Les <strong>reines</strong> visitent plus fréquemment la zone témoin.<br />
Les déplacements diagonaux sont assez fréquents (<strong>de</strong> 1% à 3,3%), les déplacements<br />
les plus nombreux allant <strong>de</strong> la zone témoin vers la zone à sécrétion céphalique <strong>de</strong> B. t.<br />
dalmatinus. Quant aux autres déplacements, les plus nombreux sont ceux allant <strong>de</strong> la zone à<br />
sécrétion céphalique <strong>de</strong> B. t. dalmatinus vers celle à sécrétion céphalique <strong>de</strong> B. ignitus (3,2%)<br />
et ceux allant <strong>de</strong> la zone solvant vers la zone témoin (3,8%). De manière générale, les<br />
déplacements entre les zones sont plus fréquents (<strong>de</strong> 1 à 3,8%) que lors <strong><strong>de</strong>s</strong> tests précé<strong>de</strong>nts