Agent Habilité » pour Dachser France

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Zoom sur la France Projet d’entreprise WIN : pari en passe d’être gagné Présenté, au moment de son lancement fin 2006, comme le plus grand projet jamais engagé par le Groupe, WIN affichait un objectif ambitieux : créer un réseau européen totalement intégré [Wholly Integrated Network], régi Tatiana Geish par des processus de production et des systèmes d’information parfaitement homogènes. Zoom sur la France : Quel enseignement principal retenez-vous de cette ex- >> Où en sommes-nous au terme de l’année 2009 ? Nous avons posé la question à Marpérience, unique dans une vie profeskus Thiele, Responsable du Projet et à Serge Divay, en charge du suivi des acteurs du prosionnelle ? jet, les Winners, au plan des ressources humaines. Tatiana Geish : Je retiens avant tout de cette expérience l’apprentissage du travail en groupe, du partage de réflexions et d’idées, mais aussi la pédagogie. J’ai pris le départ du projet fin 2006, sans véritable expérience de la formation, et au fur et à mesure des opérations de basculement, j’ai acquis davantage d’aisance et d’expérience dans la transmission des connaissances. Serge Divay (à gauche) et Markus Thiele résument les succès du projet WIN « Le projet avance à grands pas, nous confie Markus Thiele, avec d’ici la fin de l’année, conformément à notre plan de route, le basculement de près de 60 % des agences du réseau français et un déploiement à 100 % attendu à l’horizon fin 2010 ». Indépendamment des aspects opérationnels – gérés avec le concours actif des acteurs de terrain – il va sans dire que ce projet est, sur le plan culturel et humain, unique en son genre ! « A ce jour, explique Serge Divay, il réunit 49 Winners de diverses nationalités : allemande, française, autrichienne, suisse, anglaise, néerlandaise ... Notre mission consiste à gérer, de façon optimale, l’ensemble de ces ressources pour satisfaire les besoins du projet, tout en anticipant leurs perspectives d’évolution au sein du réseau. C’est ainsi que certains Winners ont déjà intégré le réseau ; l’occasion de saluer Danny Knight, Responsable Manutention à Marseille ou encore Peggy Rocher, Responsable Production à Troyes. Pour donner au projet tout son relief sur le terrain, découvrons le témoignage de Tatiana Geish, qui a intégré le projet dès fin 2006. 16 DACHSER magazine Zoom sur la France : Nous imaginons que l’expérience laissera aussi une empreinte sur le plan relationnel et humain ? Tatiana Geish : Il est clair que l’interculturalité du groupe a nécessité des adaptations de communication et de compréhension mais elle a aussi permis la confrontation de regards différents sur l’organisation, les pratiques, avec des effets extrêmement riches pour le projet. Zoom sur la France : Après cette expérience collective, comment envisagez-vous votre avenir professionnel ? Tatiana Geish : Cette belle expérience se terminera pour moi fin 2010 et je serai alors candidate pour un poste dans la région Ouest ou la région Ile-de- France, pour pouvoir mettre au service du réseau les acquis issus de mon vécu au sein du projet Win.
Prudence est mère de sûreté Chez Dachser, les marchandises et matières dangereuses sont en de très bonnes mains : la sécurité des hommes, des marchandises et de l’environnement est, partout dans le monde, au cœur de ses solutions logistiques. >> Chaque marchandise stockée représente pour le prestataire logistique Dachser un bien précieux. Il n’y a qu’à voir ses entrepôts : racks et rayonnages sont alignés au cordeau. C’est de là que, minutieusement triés, par tous les moyens de transport, les envois prennent les chemins du monde entier. Ulrich Püllen, conseiller général à la sécurité pour les transports de marchandises dangereuses de Dachser Précision et clarté sont les conditions de base de l’organisation d’un entrepôt. Dachser y rajoute la sécurité. « On ne le remarque certes pas au premier abord, mais notre grande pré - occupation est de bannir tout danger, d’éviter tout risque », affirme Ulrich Püllen, con - seiller général à la sécurité pour les transports de marchandises dangereuses de Dachser. « Nos mesures sont extrêmement diverses : vitrification des aires d’entreposage, dispositifs d’alerte au gaz et encore bien d’autres. » Depuis plus de 20 ans, Dachser a non seulement fait ses preuves dans l’entreposage et le transport vers toute l’Europe, de marchandises et matières dangereuses, mais a aussi fait de cette expertise une spécialité. Pour le secteur chimique, par exemple, Dachser Chem-Logistics a élaboré une importante solution logistique, tout à fait spéciale. Aujourd’hui Dachser achemine annuellement 1,5 million d’envois, pour le compte entre autres de groupes chimiques de renom. Ceux-ci peuvent en être sûrs, chez Dachser >> Jusqu’à présent, nous avons dispensé une formation initiale ou continue à la manipulation de marchandises dangereuses à plus de 530 personnes responsables Ulrich Püllen leurs marchandises sont en très bonnes mains. Ainsi son entrepôt dédié aux matières dangereuses, à Pilisvörösvár (Hongrie, près de Budapest), satisfait-il aux sévères critères de la directive Seveso II ; ce qui en fait une plate-forme très importante pour les transports de produits chimiques en Europe centrale et de l’Est. « La sécurité est l’un de nos arguments majeurs », souligne Ulrich Püllen. « A l’échelon régional, dans les agences, plus de 135 conseillers régionaux à la sécurité pour les transports de marchandises dangereuses contrôlent le respect des règlements nationaux et internationaux ainsi que les directives propres à Dachser en matière de produits dangereux. » Compétences : Marchandises dangereuses Ce code de sécurité a été installé en 1988 par la direction. Il vaut impérativement pour toute l’entreprise. Depuis, il est réactualisé régulièrement par les experts. « Jusqu’à présent, nous avons dispensé une formation initiale ou continue à la manipulation de marchandises dangereuses à plus de 530 personnes responsables », déclare Ulrich Püllen. « Chaque année plus de 6 000 collaborateurs participent à des stages internes ou externes sur ce même sujet, et ce en plus des mesures de formation continue prévues par la loi. » Veillant à toujours satisfaire aux exigences en matière de sécurité et de qualité, Dachser se soumet régulièrement au contrôle opéré par la fédération de l’industrie chimique, le « Cefic », en répondant au questionnaire SQAS développé par celle-ci. Les « assesseurs » nommés à cet effet par Dachser sont accrédités par le Cefic et donc reconnus comme experts. Le sigle SQAS ( Safety and Quality Assessment System) désigne un dispositif élaboré qui contrôle non seulement les directives internes de sécurité des transports mais aussi la sécurité sur le lieu de travail, la qualité, l’innovation et le respect de l’environnement. « Chez Dachser, ces domaines étroitement liés ne relèvent pas de services différents mais sont réunis au sein d’un seul, le département organisation gestion du réseau », dit Jens Müller, chef de département chez Dachser, Kempten. Des mesures qui portent leurs fruits : les évaluations de Dachser par le SQAS sont positives à plus de 90 % – de plus en plus souvent même à 100 % – bien au-delà des exigences. Pour Ulrich Püllen, c’est pour Dachser d’une très grande importance : « L’industrie chimique tient à savoir ce qu’il advient de ses produits, non seulement en Allemagne, mais partout dans le monde. » T. Schlosser DACHSER magazine 17
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