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Réseau : Le Brésil
Le Brésil en liesse : joie populaire à la nouvelle de l’attribution
à Rio de l’organisation des Jeux Olympiques 2016.
Depuis le Pain de Sucre,
vue sur l’avenir
Avec la Russie, l’Inde et la Chine, le Brésil est l’un des marchés de
croissance les plus importants au monde. Dachser a renforcé davantage
sa position dans le plus grand pays d’Amérique du Sud.
>> En pleine jungle, le funiculaire peine
à gravir le flanc du Corcovado (700 m). Mais,
de là-haut, la vue en vaut la peine : le « Cristo
Redentor », le Christ Rédempteur, tourné
vers le soleil levant, ouvre grand les bras à
l’agglomération de Rio de Janeiro, mégalopole
de 11 millions d’habitants.
Cette statue du Rédempteur de 32 mètres de
haut, érigée en 1932, est avec le Pain de Sucre,
l’emblème du Brésil. Elle symbolise la
majesté, la confiance en Dieu et en l’avenir.
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De cette dernière, ce pays, le plus peuplé
d’Amérique du Sud, ainsi que ses 190 millions
d’habitants, n’en manquent certes pas :
en octobre ils ont salué par des manifestations
de liesse la désignation de Rio pour organiser
les Jeux Olympiques 2016. Depuis la statue
du Christ, on peut découvrir le Pain de Sucre
ainsi qu’une des villes les plus trépidantes de
la côte atlantique, et mesurer le chemin parcouru
par le Brésil, du pays en voie de développement
à la nation industrialisée. Lorsque
>>
Nous voulons renforcer notre position sur un marché
brésilien à la croissance prometteuse et continuer
à tisser notre réseau aérien et maritime mondial Thomas Reuter
germa l’idée de cette statue géante, le Brésil
n’était encore qu’un pays purement agricole. Il
vivait de ses exportations de café, de soja, de
canne à sucre et autres ressources agricoles.
C’est la crise des années 20 qui freina le processus
d'industrialisation, qui dut cependant
attendre la démocratisation (1988), pour être
vraiment lancé. Depuis, en dépit de différentes
crises, le pays connaît la stabilité - politique,
économique et sociale.
En raison de la mondialisation, le Brésil a été
contraint de se moderniser. Objectif atteint
grâce au programme de stabilité mis en
œuvre par le gouvernement de Fernando de
Collar de Mello en 1994, porté par l’adhésion
d’une large part des Brésiliens et salué par
la classe internationale. Aujourd’hui, fort de