de notre filiation au groupe Aéroports de Paris - Le Journal Des ...

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JDT207-P24-25-interviewokTP:JDT 03/05/2010 17:39 Page 24 Interview les gens & les chiffres Delphine Ernotte, directrice exécutive adjointe pour les opérations en France Orange pose les bases de sa « refondation soci Encore marqué par les effets de la crise sociale vécue par l’entreprise, France Telecom s’est lancé depuis plusieurs mois dans une intense phase de reconstruction sociale et de dialogue avec les partenaires sociaux. Propos recueillis par Ariel Gomez et Thomas Pagbe ❚ En matière de refondation sociale, un certain nombre d’annonces a été fait. Ou en êtes-vous ? Nous avons avancé. Trois accords ont été signés. L’accord sur les seniors, un accord très important sur la mobilité, et un accord très important sur l’équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle. Deux autres textes sont en passe d’être terminés. Un texte sur le stress et un autre sur le fonctionnement des instances représentatives du personnel au sein de l’entreprise. Ces différentes mesures marquent un engagement fort en faveur du renouvellement du dialogue social au sein de France Telecom. Il faut également préciser que nous avons un accord majoritaire sur les augmentations salariales cette année. Les syndicats Sud, Force ouvrière et la CFDT ont signé. En parallèle, pour les opérations France, Stéphane Richard avait beaucoup insisté pour que nous démarrions un travail de fond avec les patrons des unités opérationnelles, qui ont donc une grosse responsabilité managériale, puisqu’ils encadrent parfois plus de 1000 personnes. Nous avons également démarré ce travail le 4 décembre dernier avec les onze directeurs territoriaux, juste après nos « Assises de la refondation sociale ». A partir de ce qui était remonté des assises, nous nous sommes demandés ce que nous pouvions mettre en place très concrètement comme plan d’action. Ce travail a eu un premier aboutissement fin mars. Il s’est traduit par l’annonce de huit engagements. Ils reprennent le travail effectué avec les partenaires sociaux et les échanges avec les directeurs des unités opérationnelles. Ils ont vocation à guider notre action dans les prochaines semaines. ❚ Sur quoi portent ces huit engagements ? Le premier d’entre eux porte sur la refonte de notre politique de mobilité, désormais entièrement basée sur le volontariat. Cela concerne la mobilité géographique comme la mobilité professionnelle. Nous voulons, autant que possible, maintenir l’activité sur les sites existants et éviter de faire bouger les gens sans leur consentement. Nous ne disons pour autant pas qu’il faut arrêter de bouger : pour un cadre supérieur notamment, c’est important d’avoir des expériences diverses dans des lieux différents. Nous arrêtons de soumettre la promotion à cette condition préalable de mobilité. Deuxième engagement, c’est le dialogue social. Pour nous, la crise sociale était un signal qui devait nous rapprocher de nos partenaires sociaux et de faire mieux fonctionner les instances représentatives du personnel. Notre politique de l’emploi est au cœur du 3ème engagement. Pour la première année, les effectifs vont être stabilisés alors que, depuis 10 ans, ils décroissent régulièrement. Notre pyramide des âges indique une moyenne d’âge de 47 à 48 ans. Nous aurons un certain nombre de salariés qui vont partir en retraite. Nous devons nous poser la question du mode de recrutement et de la transmission des compétences, et ouvrir des négociations sur la gestion de l’emploi et des compétences avec nos partenaires sociaux. ❚ On reprochait à la direction précédente une trop grande distance dans les rapports… Notre 4ème engagement consiste justement à être plus proches de nos salariés et de nos clients. Il vise à la fois une plus grande simplicité dans les relations internes et le maintien du contact entre les équipes du siège et les réalités du terrain. Le but de cet engagement est aussi de mieux gérer les problèmes avec les clients qui sont renvoyés d’un service à un autre. Cinquième engagement : le confort de travail des salariés. Nous avons nommé des responsables de sites [des « office managers »], qui ont pour seule mission de veiller aux conditions matérielles de travail des équipes. Le sixième engagement auquel nous entendons nous astreindre concerne la conservation du lien avec les personnes absentes de l’entreprise - pour quelque raison que soit - afin d’éviter le mal être et les drames liés à l’isolement, et faciliter le retour à l’activité. Notre septième engagement consiste à simplifier les objectifs, de manière à ce qu’ils soient accessibles et adaptés à chacun. Prenons pour exemple le coaching dans les centres d’appel. On ne doit pas dire à un manager qu’il doit faire un certain nombre de coaching. Le coaching est un moyen, ce n’est pas un enjeu en soi, cela fait partie de la boite à « Nous n’allons pas décider à la place de nos clients ce qu’ils vont télécharger sur leur mobile. Notre stratégie consiste plutôt à apporter des contenus payants attrayants, pour que nos abonnés choisissent nos offres. Notre croissance est dans les services additionnels ». outils. Nous entendons respecter ce plan de manière très précise. Au dede suivre les actions elles-mêmes, nous allons en observer les effets. Nous allons nous assurer que du point de vue des salariés, notre plan modifie la situation, c’est notre 8ème engagement. Le Journal des télécoms N°207 Mai 2010 24

JDT207-P24-25-interviewokTP:JDT 03/05/2010 17:39 Page 25 ciale » ❚ Quels indicateurs avez-vous fixés pour mesurer les résultats de ces engagements ? Nous allons faire régulièrement des sondages, et nous n’excluons pas de refaire dans un an une enquête plus fouillée, comme celle faite avec la société Technologia. Nous pourrons également refaire des assises et mesurer de manière directe ce qui a évolué. Nous ne sortions pas de cette crise en deux mois et demi. Il faut que l’on se dote des reflexes, des manières d’agir et des études qui font que nous pourrons reconstruire l’entreprise sur une nouvelle façon de travailler. Car il y a une vraie nécessité de redonner aux salariés la fierté de travailler dans l’entreprise ; une entreprise dotée d’un sens incroyable du service! Si nous remettons le sens du service et le sens du client au cœur de notre fonctionnement quotidiens et de nos préoccupations, je suis convaincue que ça va reprendre. Il faut redonner une vision d’avenir, de développement des perspectives d’emploi. ❚ Au-dedes engagements et des mesures signées, l’esprit du changement a-t-il été intégré par tous les niveaux de la hiérarchie ? Ce changement est assez fondamental. On ne peut pas dire que nos huit engagements ont tout modifié. Il faut des conditions pour le changement. Le sens du service et le fait de savoir vivre ensemble font partie de la culture de l’entreprise. Nous savons qu’il faut insuffler une nouvelle culture managériale, mais il ne s’agit pas de stigmatiser les responsables d’équipe. Il faut reformer à tous les niveaux de l’entreprise. ❚ La justice s’intéresse à Orange. Dans le cas de Dijon [une plainte déposée pour harcèlement moral, suite au suicide d’un salarié], l’entreprise en tant que personne morale et le patron d’unité ont été mis en cause… Je pense que ce type d’action - s’attaquer nommément à des cadres de l’entreprise qui n’ont pas de mandat social - participe à une forme de déstabilisation de l’entreprise. D’un autre côté, l’intervention de la justice permettra de mettre du rationnel dans cette affaire, et d’avoir un jugement neutre sur les événements. ❚ On n’observe pas vraiment une volonté forte d’Orange dans le domaine de la fibre optique. Le dernier chiffre annoncé en 2009 mentionnait un investissement de 100 M € pour 2010. Ce n’est pas beaucoup pour FT- Orange… Nous allons investir 2 milliards d’ici 2015. Il y a une accélération qui va se produire. Le cadre juridique n’est pas encore très clair sur le haut débit, notamment pour les zones 3. La volonté d’investir sur la fibre est affirmée pour les zones 1 et 2. Nous sommes très désireux aussi d’améliorer le débit dans les zones 3 en attendant la fibre via des partenariats avec les collectivités locales. Par ailleurs, entre le moment où le paysage commence à s’éclaircir et le moment où les équipes commencent à creuser dans la rue, cela ne se fait pas en appuyant sur un bouton, nous avons besoin de temps, d’autant plus qu’il s’agit de travaux assez lourds. Nous comptons accélérer au cours du second semestre de l’année 2010. ❚ Sur le déploiement de la fibre, l’un de vos concurrents disait récemment, en privé, que le modèle de la DSP était mort-né ? Qu’en pensez-vous ? Je n’affirmerais pas cela. En zone 3, c’est-à-dire en complément des déploiements réalisés par les opérateurs privés, nous croyons que l’intervention des collectivités locales est un modèle qui fonctionne, mais pas seulement. Nous préconisons plutôt les modèles en PPP (Partenariat Public Privé), ou Marchés de Travaux mais d’autres modèles de partenariat entre collectivités locales et opérateurs privés pourraient être mis à l’étude. On ne peut pas être affirmatif sur la forme que vont prendre les partenariats à l’avenir. On aura sans doute un panachage. ❚ Une des pistes explorées par le dernier rapport de la Datar consiste à dire qu’on pourrait organiser sous l’égide de l’Etat, du régulateur et d’une structure France Telecom un transfert de la « rente du cuivre » pour financer la fibre. Etudiez-vous la question ? Je ne m’occupe pas de ces questions. Toutefois, si nous devions agir de la sorte, cela consisterait à nationaliser nos actifs. Un des principaux actifs de France Telecom, c’est de construire, maintenir et manager des réseaux. On voit, par exemple, que l’un des enjeux sera d’assurer une bonne qualité de service sur les services que les consommateurs plébiscitent. J’ai un peu de mal à séparer le réseau des services que l’on y opère. ❚ Les géants du Web comme Google, Faceboook ou autres font monter en flèche la consommation de la bande passante sur le fixe comme sur le mobile sans rien apporter en termes d’ARPU. Orange-FT se pose-t-il la question de faire payer d’une manière ou d’une autre l’utilisation des réseaux aux Google et autres ? Je ne sais pas si nous sommes en mesure d’imposer cela. Nous avons quand même une ressource rare : notre réseau. Il n’est pas infini. Le débat actuel sur la neutralité des réseaux, nous ne l’avons pas eu ces dernières années. Sur le réseau mobile, nous revenons à une nécessité de manager la bande passante. Nous n’allons pas décider à la place de nos clients ce qu’ils vont télécharger sur leur mobile. Notre stratégie consiste plutôt à apporter des contenus payants attrayants, pour que nos abonnés choisissent nos offres. Notre croissance est dans les services additionnels. Nous ne remettons pas en question l’internet ouvert. ❚ Dans quelle direction allez-vous dans les contenus ? Nous sommes au milieu du gué. Stéphane Richard a dit qu’il avait un droit d’inventaire sur notre stratégie en la matière, et Christine Albanel [qui est en charge des contenus] est arrivée il y a peu de temps. Nous y travaillons, mais il est trop tôt pour en parler. ❚ Avez-vous inclus l’iPad dans votre stratégie ? Au mois de mai, nous allons présenter notre plan tarifaire concernant l’iPad. Nous proposerons deux forfaits sans engagement : un forfait à 10 euros par mois pour 200 Mo et un forfait à 39 euros par mois pour 2 Go. Ces deux forfaits intègreront le Wi-Fi en illimité avec l’accès à plus de 30 000 hotspots Orange. Nous proposerons également une recharge supplémentaire à 10 euros avec 300 Mo supplémentaires. ■ 25 Le Journal des télécoms N°207 Mai 2010

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Interview<br />

les gens & les chiffres<br />

Delphine Ernotte, directrice exécutive adjointe pour les opérations en France<br />

Orange pose les bases<br />

<strong>de</strong> sa « refondation soci<br />

Encore marqué par les effets <strong>de</strong> la crise sociale<br />

vécue par l’entreprise, France Telecom s’est lancé<br />

<strong>de</strong>puis plusieurs mois dans une intense phase <strong>de</strong><br />

reconstruction sociale et <strong>de</strong> dialogue avec les<br />

partenaires soci<strong>au</strong>x.<br />

Propos recueillis par<br />

Ariel Gomez et Thomas Pagbe<br />

❚ En matière <strong>de</strong> refondation sociale, un<br />

certain nombre d’annonces a été fait. Ou en<br />

êtes-vous ?<br />

Nous avons avancé. Trois accords ont été signés.<br />

L’accord sur les seniors, un accord très important<br />

sur la mobilité, et un accord très important sur<br />

l’équilibre entre la vie privée et la vie<br />

professionnelle. Deux <strong>au</strong>tres textes sont en passe<br />

d’être terminés. Un texte sur le stress et un <strong>au</strong>tre<br />

sur le fonctionnement <strong>de</strong>s instances<br />

représentatives du personnel <strong>au</strong> sein <strong>de</strong><br />

l’entreprise. Ces différentes mesures marquent un<br />

engagement fort en faveur du renouvellement du<br />

dialogue social <strong>au</strong> sein <strong>de</strong> France Telecom. Il f<strong>au</strong>t<br />

également préciser que nous avons un accord<br />

majoritaire sur les <strong>au</strong>gmentations salariales cette<br />

année. <strong>Le</strong>s syndicats Sud, Force ouvrière et la CFDT<br />

ont signé. En parallèle, pour les opérations France,<br />

Stéphane Richard avait be<strong>au</strong>coup insisté pour que<br />

nous démarrions un travail <strong>de</strong> fond avec les patrons<br />

<strong>de</strong>s unités opérationnelles, qui ont donc une grosse<br />

responsabilité managériale, puisqu’ils encadrent<br />

parfois plus <strong>de</strong> 1000 personnes. Nous avons<br />

également démarré ce travail le 4 décembre <strong>de</strong>rnier<br />

avec les onze directeurs territori<strong>au</strong>x, juste après nos<br />

« Assises <strong>de</strong> la refondation sociale ». A partir <strong>de</strong> ce<br />

qui était remonté <strong>de</strong>s assises, nous nous sommes<br />

<strong>de</strong>mandés ce que nous pouvions mettre en place<br />

très concrètement comme plan d’action. Ce travail<br />

a eu un premier aboutissement fin mars. Il s’est<br />

traduit par l’annonce <strong>de</strong> huit engagements. Ils<br />

reprennent le travail effectué avec les partenaires<br />

soci<strong>au</strong>x et les échanges avec les directeurs <strong>de</strong>s<br />

unités opérationnelles. Ils ont vocation à gui<strong>de</strong>r<br />

<strong>notre</strong> action dans les prochaines semaines.<br />

❚ Sur quoi portent ces huit engagements ?<br />

<strong>Le</strong> premier d’entre eux porte sur la refonte <strong>de</strong> <strong>notre</strong><br />

politique <strong>de</strong> mobilité, désormais entièrement basée<br />

sur le volontariat. Cela concerne la mobilité<br />

géographique comme la mobilité professionnelle.<br />

Nous voulons, <strong>au</strong>tant que possible, maintenir l’activité<br />

sur les sites existants et éviter <strong>de</strong> faire bouger les<br />

gens sans leur consentement. Nous ne disons pour<br />

<strong>au</strong>tant pas qu’il f<strong>au</strong>t arrêter <strong>de</strong> bouger : pour un cadre<br />

supérieur notamment, c’est important<br />

d’avoir <strong>de</strong>s expériences diverses dans<br />

<strong>de</strong>s lieux différents. Nous arrêtons <strong>de</strong><br />

soumettre la promotion à cette condition<br />

préalable <strong>de</strong> mobilité. Deuxième<br />

engagement, c’est le dialogue social.<br />

Pour nous, la crise sociale était un signal<br />

qui <strong>de</strong>vait nous rapprocher <strong>de</strong> nos<br />

partenaires soci<strong>au</strong>x et <strong>de</strong> faire mieux<br />

fonctionner les instances représentatives<br />

du personnel. Notre politique <strong>de</strong> l’emploi<br />

est <strong>au</strong> cœur du 3ème engagement. Pour<br />

la première année, les effectifs vont être<br />

stabilisés alors que, <strong>de</strong>puis 10 ans, ils décroissent<br />

régulièrement. Notre pyrami<strong>de</strong> <strong>de</strong>s âges indique une<br />

moyenne d’âge <strong>de</strong> 47 à 48 ans. Nous <strong>au</strong>rons un<br />

certain nombre <strong>de</strong> salariés qui vont partir en retraite.<br />

Nous <strong>de</strong>vons nous poser la question du mo<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />

recrutement et <strong>de</strong> la transmission <strong>de</strong>s compétences,<br />

et ouvrir <strong>de</strong>s négociations sur la gestion <strong>de</strong> l’emploi et<br />

<strong>de</strong>s compétences avec nos partenaires soci<strong>au</strong>x.<br />

❚ On reprochait à la direction précé<strong>de</strong>nte une<br />

trop gran<strong>de</strong> distance dans les rapports…<br />

Notre 4ème engagement consiste justement à être<br />

plus proches <strong>de</strong> nos salariés et <strong>de</strong> nos clients. Il<br />

vise à la fois une plus gran<strong>de</strong> simplicité dans les<br />

relations internes et le maintien du contact entre les<br />

équipes du siège et les réalités du terrain. <strong>Le</strong> but <strong>de</strong><br />

cet engagement est <strong>au</strong>ssi <strong>de</strong> mieux gérer les<br />

problèmes avec les clients qui sont renvoyés d’un<br />

service à un <strong>au</strong>tre. Cinquième engagement : le<br />

confort <strong>de</strong> travail <strong>de</strong>s salariés. Nous avons nommé<br />

<strong>de</strong>s responsables <strong>de</strong> sites [<strong>de</strong>s « office<br />

managers »], qui ont pour seule mission <strong>de</strong> veiller<br />

<strong>au</strong>x conditions matérielles <strong>de</strong> travail <strong>de</strong>s<br />

équipes. <strong>Le</strong> sixième engagement <strong>au</strong>quel<br />

nous entendons nous astreindre<br />

concerne la conservation du lien avec les<br />

personnes absentes <strong>de</strong> l’entreprise - pour<br />

quelque raison que soit - afin d’éviter le<br />

mal être et les drames liés à l’isolement,<br />

et faciliter le retour à l’activité. Notre<br />

septième engagement consiste à<br />

simplifier les objectifs, <strong>de</strong> manière à ce<br />

qu’ils soient accessibles et adaptés à<br />

chacun. Prenons pour exemple le<br />

coaching dans les centres d’appel. On ne doit pas<br />

dire à un manager qu’il doit faire un certain nombre<br />

<strong>de</strong> coaching. <strong>Le</strong> coaching est un moyen, ce n’est<br />

pas un enjeu en soi, cela fait partie <strong>de</strong> la boite à<br />

« Nous n’allons pas déci<strong>de</strong>r à la place <strong>de</strong> nos clients ce qu’ils<br />

vont télécharger sur leur mobile. Notre stratégie consiste<br />

plutôt à apporter <strong>de</strong>s contenus payants attrayants, pour que<br />

nos abonnés choisissent nos offres. Notre croissance est<br />

dans les services additionnels ».<br />

outils. Nous entendons respecter ce plan <strong>de</strong><br />

manière très précise. Au <strong>de</strong>là <strong>de</strong> suivre les actions<br />

elles-mêmes, nous allons en observer les effets.<br />

Nous allons nous assurer que du point <strong>de</strong> vue <strong>de</strong>s<br />

salariés, <strong>notre</strong> plan modifie la situation, c’est <strong>notre</strong><br />

8ème engagement.<br />

<strong>Le</strong> <strong>Journal</strong> <strong>de</strong>s télécoms N°207 Mai 2010<br />

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