Tout savoir sur le parler en langues.
«D'une manière lucide, précise et solidement biblique, F. Legrand nous expose la source et les dangers du parler en langues actuel et du baptême des esprits qui empoisonnent le christianisme moderne. Dans nos temps de ténèbres et de tiédeur spirituelle où nous voyons l'hérésie du Pentecôtisme et du Charismatisme faire des ravages à l'échelle mondiale, ce livre luit comme une lumière dans les ténèbres. Nous le recommandons fortement à tous chrétiens sérieux qui combattent pour la vérité. De crainte que ce document précieux ne soit perdu et ne puisse être retrouvé sur l'Internet, nous avons trouvé bon de le sauvegarder et de le maintenir enligne pour que son instruction indispensable demeure accessible à tous... Cela dit, nous ne souscrivons pas à l'Arminianisme ni au Prémillénarisme de l'auteur, fausses doctrines autant dangereuses que celle dont il combat contre les langues et dont son texte en est complètement teinté, quoique nous avons cherché à le purifié le plus que possible. En aucune façon supportons-nous la théologie de la secte Darbyste qui influence grandement l'auteur de ce livre, même si celle-ci combat contre les abus chez les Pentecôtistes et le Charismatiques.» «D'une manière lucide, précise et solidement biblique, F. Legrand nous expose la source et les dangers du parler en langues actuel et du baptême des esprits qui empoisonnent le christianisme moderne. Dans nos temps de ténèbres et de tiédeur spirituelle où nous voyons l'hérésie du Pentecôtisme et du Charismatisme faire des ravages à l'échelle mondiale, ce livre luit comme une lumière dans les ténèbres. Nous le recommandons fortement à tous chrétiens sérieux qui combattent pour la vérité. De crainte que ce document précieux ne soit perdu et ne puisse être retrouvé sur l'Internet, nous avons trouvé bon de le sauvegarder et de le maintenir enligne pour que son instruction indispensable demeure accessible à tous... Cela dit, nous ne souscrivons pas à l'Arminianisme ni au Prémillénarisme de l'auteur, fausses doctrines autant dangereuses que celle dont il combat contre les langues et dont son texte en est complètement teinté, quoique nous avons cherché à le purifié le plus que possible. En aucune façon supportons-nous la théologie de la secte Darbyste qui influence grandement l'auteur de ce livre, même si celle-ci combat contre les abus chez les Pentecôtistes et le Charismatiques.»
3. Le troisième moyen, c’est de hausser les épaules et de traiter la chose comme quantité négligeable, avec une largeur de vue qui transforme le Saint-Esprit en girouette: "Bien sûr que la Bible dit cela, mais qui peut sonder les desseins de Dieu; n’est-Il pas souverain; ne peut-Il pas se servir de ses dons et les employer comme Il le veut ?". On voit où cela peut conduire. A toutes les hérésies du monde, à redonner la parole au Perfide et à sa première suggestion: "Dieu a-t-Il réellement dit ?". Tous les maux de l’humanité ont commencé là ! Je me méfie d’une certaine largeur de vue sur la Souveraineté de Dieu qui enlèverait toute souveraineté à sa Parole. Car si les insondables richesses de son amour et de sa sagesse peuvent donner un parler en langues qui s’adresse aux hommes, elles peuvent aussi nous avoir donné une reine du ciel, une corédemptrice, un ciel à mériter et une kyrielle de saints à invoquer. 4. Le quatrième moyen, c’est de trouver une parade à tout prix; de plonger dans la Bible à la recherche d’un mot, d’une allusion qui mette le Saint-Esprit en conflit avec luimême, afin de respirer plus à l’aise. Chacun sait qu’à ce jeu-là, on peut faire dire à la Bible tout ce qu’on veut. En fait, presque toutes les hérésies ont trouvé leur origine dans la Bible. Au risque d’exposer son âme à la ruine en tordant le sens des Écritures comme le dit 2 Pierre 3.16, à quel texte va-t- 38
on se raccrocher pour tenter de faire dire à la Parole le contraire de ce qu’elle dit ? Certains croient l’avoir trouvé en 1 Corinthiens 14.21: "C’est par des hommes d’une autre langue que je parlerai à ce peuple". Si Dieu parle à ce peuple par le moyen du parler en langues, c’est donc qu’Il s’en sert pour parler aux hommes. Remarquons d’abord que si tel était le sens à donner à ces paroles, la contradiction entre les deux textes serait totale. Il suffit de se rappeler que tous les signes, quels qu’ils soient, parlent aux hommes. C’est selon Hébreux 1.1, une des "plusieurs manières" dont Dieu se sert pour nous parler. C'est ce qu'il a fait en Jean 17, où nous trouvons ce qui a été appelé à juste titre, la prière sacerdotale. Au premier degré, c'est exclusivement à son Père seul que Jésus s'adressait. Mais au second degré, sans nous adresser un seul mot, c'est à nous qu'il parle. Cette prière à son Père nous parle de ses requêtes, de ses sentiments intimes, de son caractère personnel, de son intercession pour nous, et par-dessus tout de notre grand Souverain Sacrificateur. Ainsi en était-il de ces langues étrangères. Par elles, ceux qui les parlaient s'adressaient à Dieu, mais cela était très "parlant" pour ce peuple, en le renseignant dès le départ sur cette notion toute neuve qu'était le baptême de toute langue (ou toute chair) dans un même Esprit. De cette adoration en langues étrangères, Dieu, comme il le précise au verset 21 de 1 Corinthiens 14, allait s’en servir comme signe (ou pour faire signe) à CE PEUPLE qui justement 39
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3. Le troisième moy<strong>en</strong>, c’est de hausser <strong>le</strong>s épau<strong>le</strong>s et de traiter<br />
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qui transforme <strong>le</strong> Saint-Esprit <strong>en</strong> girouette: "Bi<strong>en</strong> sûr que la Bib<strong>le</strong><br />
dit cela, mais qui peut sonder <strong>le</strong>s desseins de Dieu; n’est-Il pas<br />
souverain; ne peut-Il pas se servir de ses dons et <strong>le</strong>s employer<br />
comme Il <strong>le</strong> veut ?". On voit où cela peut conduire. A toutes <strong>le</strong>s<br />
hérésies du monde, à redonner la paro<strong>le</strong> au Perfide et à sa<br />
première suggestion: "Dieu a-t-Il réel<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t dit ?". Tous <strong>le</strong>s<br />
maux de l’humanité ont comm<strong>en</strong>cé là ! Je me méfie d’une<br />
certaine largeur de vue <strong>sur</strong> la Souveraineté de Dieu qui<br />
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donner un par<strong>le</strong>r <strong>en</strong> <strong>langues</strong> qui s’adresse aux hommes, el<strong>le</strong>s<br />
peuv<strong>en</strong>t aussi nous avoir donné une reine du ciel, une corédemptrice,<br />
un ciel à mériter et une kyriel<strong>le</strong> de saints à<br />
invoquer.<br />
4. Le quatrième moy<strong>en</strong>, c’est de trouver une parade à tout<br />
prix; de plonger dans la Bib<strong>le</strong> à la recherche d’un mot,<br />
d’une allusion qui mette <strong>le</strong> Saint-Esprit <strong>en</strong> conflit avec luimême,<br />
afin de respirer plus à l’aise. Chacun sait qu’à ce<br />
jeu-là, on peut faire dire à la Bib<strong>le</strong> tout ce qu’on veut. En<br />
fait, presque toutes <strong>le</strong>s hérésies ont trouvé <strong>le</strong>ur origine dans<br />
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