Tout savoir sur le parler en langues.
«D'une manière lucide, précise et solidement biblique, F. Legrand nous expose la source et les dangers du parler en langues actuel et du baptême des esprits qui empoisonnent le christianisme moderne. Dans nos temps de ténèbres et de tiédeur spirituelle où nous voyons l'hérésie du Pentecôtisme et du Charismatisme faire des ravages à l'échelle mondiale, ce livre luit comme une lumière dans les ténèbres. Nous le recommandons fortement à tous chrétiens sérieux qui combattent pour la vérité. De crainte que ce document précieux ne soit perdu et ne puisse être retrouvé sur l'Internet, nous avons trouvé bon de le sauvegarder et de le maintenir enligne pour que son instruction indispensable demeure accessible à tous... Cela dit, nous ne souscrivons pas à l'Arminianisme ni au Prémillénarisme de l'auteur, fausses doctrines autant dangereuses que celle dont il combat contre les langues et dont son texte en est complètement teinté, quoique nous avons cherché à le purifié le plus que possible. En aucune façon supportons-nous la théologie de la secte Darbyste qui influence grandement l'auteur de ce livre, même si celle-ci combat contre les abus chez les Pentecôtistes et le Charismatiques.» «D'une manière lucide, précise et solidement biblique, F. Legrand nous expose la source et les dangers du parler en langues actuel et du baptême des esprits qui empoisonnent le christianisme moderne. Dans nos temps de ténèbres et de tiédeur spirituelle où nous voyons l'hérésie du Pentecôtisme et du Charismatisme faire des ravages à l'échelle mondiale, ce livre luit comme une lumière dans les ténèbres. Nous le recommandons fortement à tous chrétiens sérieux qui combattent pour la vérité. De crainte que ce document précieux ne soit perdu et ne puisse être retrouvé sur l'Internet, nous avons trouvé bon de le sauvegarder et de le maintenir enligne pour que son instruction indispensable demeure accessible à tous... Cela dit, nous ne souscrivons pas à l'Arminianisme ni au Prémillénarisme de l'auteur, fausses doctrines autant dangereuses que celle dont il combat contre les langues et dont son texte en est complètement teinté, quoique nous avons cherché à le purifié le plus que possible. En aucune façon supportons-nous la théologie de la secte Darbyste qui influence grandement l'auteur de ce livre, même si celle-ci combat contre les abus chez les Pentecôtistes et le Charismatiques.»
en eux comme dans la nouvelle alliance. Ce qui distingue la nouvelle dispensation de l’autre, c’est que le croyant a reçu l’Esprit d’adoption (Rom. 8.15) qui fait de lui son habitation intérieure et permanente. Et ceci indépendamment de son niveau spirituel et de son caractère. Il faut noter que ce passage apparaît dans la lettre à l’Église de Corinthe et nous savons dans quel état était cette Église: la qualité de la vie était médiocre, le témoignage indigent et ses membres étaient coupables d’erreurs morales et doctrinales. Paul ne les a pas encouragés à rechercher cette habitation intérieure; il la reconnaît de facto et il s’en sert pour les inviter à un type de vie chrétienne plus noble et plus digne de cette habitation. En outre, aucun avertissement ne nous est donné qui pourrait nous faire croire qu’Il puisse un jour déloger de notre vie. Nous pouvons l’attrister et le réduire au silence par nos péchés, mais nous ne pouvons pas le chasser de chez nous. Dieu s’est approprié de nous par son habitation intérieure. IV. Les PRÉMICES de l’Esprit. 2 Corinthiens 1.22 et Éphésiens 1.14 disent que l’Esprit de la promesse est les arrhes, ou les gages, ou les prémices de notre héritage. C’est un avant-goût de ce qui doit venir. Les espions qui furent envoyés pour explorer Canaan en firent un rapport à Moïse et ramenèrent la grappe d’Eschol. Ces raisins étaient 158
les prémices de ce qui attendait le peuple quand il entrerait dans la terre promise. C’était une preuve et un échantillon de ce qui leur était réservé. De même, le Saint-Esprit est la preuve, l’avant-goût, l’échantillon, les arrhes de ce qui nous attend. Quelque enrichissantes qu’aient pu être nos expériences dans le Saint-Esprit, les plus bénies ne sont encore qu’un avant-goût. C’est une façon de dire que, pour le croyant, le meilleur est toujours à venir. Il est triste pour un homme que ses plus beaux jours soient derrière lui; pour nous qui croyons en Christ il n’en est jamais ainsi: tout est devant nous. V. L’ONCTION de l’Esprit. "Celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a OINT, c’est Dieu" (2 Cor. 1.21). L’onction indique une mise à part pour le service. Elle était pratiquée sur divers objets du culte (Ex. 30.26-29). Dans l’Ancien Testament, les sacrificateurs, les rois et les prophètes étaient oints pour le service qui leur était imparti. Chez le Seigneur Jésus, cette onction n’était pas physique, c’était celle qui venait directement du Saint-Esprit (Luc 4.18; Actes 10.38). Elle le mettait à part pour le triple ministère de Sacrificateur, Roi et de Prophète. Ses rachetés étant mis à part pour Dieu, comme rois et sacrificateurs (1 Pi. 2.5, 9) ils ont aussi reçu une onction spirituelle (2 Cor. 1.21) par la venue de l’Esprit d’adoption dans leur cœur. De cette 159
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<strong>le</strong>s prémices de ce qui att<strong>en</strong>dait <strong>le</strong> peup<strong>le</strong> quand il <strong>en</strong>trerait<br />
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nous qui croyons <strong>en</strong> Christ il n’<strong>en</strong> est jamais ainsi: tout est<br />
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vous <strong>en</strong> Christ, et qui nous a OINT, c’est Dieu" (2 Cor.<br />
1.21). L’onction indique une mise à part pour <strong>le</strong> service. El<strong>le</strong><br />
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Chez <strong>le</strong> Seigneur Jésus, cette onction n’était pas physique,<br />
c’était cel<strong>le</strong> qui v<strong>en</strong>ait directem<strong>en</strong>t du Saint-Esprit (Luc 4.18;<br />
Actes 10.38). El<strong>le</strong> <strong>le</strong> mettait à part pour <strong>le</strong> trip<strong>le</strong> ministère<br />
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