Tout savoir sur le parler en langues.

«D'une manière lucide, précise et solidement biblique, F. Legrand nous expose la source et les dangers du parler en langues actuel et du baptême des esprits qui empoisonnent le christianisme moderne. Dans nos temps de ténèbres et de tiédeur spirituelle où nous voyons l'hérésie du Pentecôtisme et du Charismatisme faire des ravages à l'échelle mondiale, ce livre luit comme une lumière dans les ténèbres. Nous le recommandons fortement à tous chrétiens sérieux qui combattent pour la vérité. De crainte que ce document précieux ne soit perdu et ne puisse être retrouvé sur l'Internet, nous avons trouvé bon de le sauvegarder et de le maintenir enligne pour que son instruction indispensable demeure accessible à tous... Cela dit, nous ne souscrivons pas à l'Arminianisme ni au Prémillénarisme de l'auteur, fausses doctrines autant dangereuses que celle dont il combat contre les langues et dont son texte en est complètement teinté, quoique nous avons cherché à le purifié le plus que possible. En aucune façon supportons-nous la théologie de la secte Darbyste qui influence grandement l'auteur de ce livre, même si celle-ci combat contre les abus chez les Pentecôtistes et le Charismatiques.» «D'une manière lucide, précise et solidement biblique, F. Legrand nous expose la source et les dangers du parler en langues actuel et du baptême des esprits qui empoisonnent le christianisme moderne. Dans nos temps de ténèbres et de tiédeur spirituelle où nous voyons l'hérésie du Pentecôtisme et du Charismatisme faire des ravages à l'échelle mondiale, ce livre luit comme une lumière dans les ténèbres. Nous le recommandons fortement à tous chrétiens sérieux qui combattent pour la vérité. De crainte que ce document précieux ne soit perdu et ne puisse être retrouvé sur l'Internet, nous avons trouvé bon de le sauvegarder et de le maintenir enligne pour que son instruction indispensable demeure accessible à tous... Cela dit, nous ne souscrivons pas à l'Arminianisme ni au Prémillénarisme de l'auteur, fausses doctrines autant dangereuses que celle dont il combat contre les langues et dont son texte en est complètement teinté, quoique nous avons cherché à le purifié le plus que possible. En aucune façon supportons-nous la théologie de la secte Darbyste qui influence grandement l'auteur de ce livre, même si celle-ci combat contre les abus chez les Pentecôtistes et le Charismatiques.»

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que Dieu donnait à Israël sans réserve; la possession c’était ce qu’ils s’appropriaient. Ainsi en est-il du Saint-Esprit; Dieu nous l’a donné et Il ne peut pas nous le donner plus, mais il y a un sens où, ayant reçu le don, il faut faire de cet héritage notre possession. Partout où il y a un donateur il doit y avoir un récipiendaire. Ainsi le don, comme dans le salut, ne devient propriété personnelle que lorsque nous le prenons*. Il faut donc se l’approprier par la foi comme le dit Galates 3.2,14:"C’est par la foi que nous avons reçu le Saint-Esprit qui avait été promis". * Une telle interprétation est subtile et dangereuse, elle néglige la nature dépravée de l'homme et le fait qu'il est mort spirituellement à cause du péché. Il ne peut donc «prendre» le Don de l'Esprit, pas plus qu'un mort peut décider par lui-même de reprendre la vie. L'homme a besoin d'être régénéré, il a besoin de naître de nouveau pour recevoir la repentance et la foi, et non l'inverse. Il importe de spécifier aussi qu'une personne ne peut se repentir ni avoir la foi à moins d'avoir été destinée à cela (Actes 13:48). La repentance et la foi sont des dons de Dieu accordés aux élus dans les mérites du sacrifice de Christ sur la croix. L'auteur prône l'hérésie funeste et pernicieuse de l'arminianisme qui remet la grâce du salut aux choix de l'homme issus de sa volonté qui est esclave de la chair et du péché, ce qui est une perversion de la vérité et un affront à la souveraineté de Dieu. 156

II. Le SCEAU de l’Esprit. "Ayant cru, vous avez été scellés du sceau de la promesse" (Eph. 1.13);"... par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption" (4.30). "Scellés" par Celui qui est le DON et le SCEAU. Il est significatif que cela soit dit aux Éphésiens. Éphèse était un port de mer animé d’un grand commerce de bois. Les négociants achetaient à Éphèse les troncs d’arbres qui étaient ensuite acheminés par flottage jusqu’à leur destination. En achetant leur lots, ils y mettaient leur cachet qui attestait qu’ils leur appartenaient jusqu’au jour de la récupération (rédemption). Ainsi ce SCEAU nous est présenté, non avec le bienfait premier de la rédemption mais avec son aspect final, la glorification de notre corps. Mais quoique ce jour ne se soit pas encore levé, chaque enfant de Dieu porte le SCEAU signalant qu’il est la propriété assurée de Dieu. III. L’HABITATION de l’Esprit. "Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en vous ?" (1 Cor. 3.16). Dans la chambre haute, Jésus avait dit à ses disciples, en parlant de l’Esprit: "Il est avec vous et Il sera en vous" (Jn 14.17). N’était-Il pas encore en eux ? Le Saint-Esprit était à l’œuvre dans l’Ancien Testament. Il venait sur le peuple de Dieu et prenait possession de quelques-uns pour un service spécial, mais Il n’habitait pas 157

que Dieu donnait à Israël sans réserve; la possession c’était<br />

ce qu’ils s’appropriai<strong>en</strong>t. Ainsi <strong>en</strong> est-il du Saint-Esprit; Dieu<br />

nous l’a donné et Il ne peut pas nous <strong>le</strong> donner plus, mais il<br />

y a un s<strong>en</strong>s où, ayant reçu <strong>le</strong> don, il faut faire de cet<br />

héritage notre possession. Partout où il y a un donateur il<br />

doit y avoir un récipi<strong>en</strong>daire. Ainsi <strong>le</strong> don, comme dans <strong>le</strong><br />

salut, ne devi<strong>en</strong>t propriété personnel<strong>le</strong> que lorsque nous <strong>le</strong><br />

pr<strong>en</strong>ons*. Il faut donc se l’approprier par la foi comme <strong>le</strong> dit<br />

Galates 3.2,14:"C’est par la foi que nous avons reçu <strong>le</strong><br />

Saint-Esprit qui avait été promis". * Une tel<strong>le</strong> interprétation<br />

est subti<strong>le</strong> et dangereuse, el<strong>le</strong> néglige la nature dépravée de<br />

l'homme et <strong>le</strong> fait qu'il est mort spirituel<strong>le</strong>m<strong>en</strong>t à cause du<br />

péché. Il ne peut donc «pr<strong>en</strong>dre» <strong>le</strong> Don de l'Esprit, pas plus<br />

qu'un mort peut décider par lui-même de repr<strong>en</strong>dre la vie.<br />

L'homme a besoin d'être régénéré, il a besoin de naître de<br />

nouveau pour recevoir la rep<strong>en</strong>tance et la foi, et non<br />

l'inverse. Il importe de spécifier aussi qu'une personne ne<br />

peut se rep<strong>en</strong>tir ni avoir la foi à moins d'avoir été destinée à<br />

cela (Actes 13:48). La rep<strong>en</strong>tance et la foi sont des dons de<br />

Dieu accordés aux élus dans <strong>le</strong>s mérites du sacrifice de<br />

Christ <strong>sur</strong> la croix. L'auteur prône l'hérésie funeste et<br />

pernicieuse de l'arminianisme qui remet la grâce du salut<br />

aux choix de l'homme issus de sa volonté qui est esclave de<br />

la chair et du péché, ce qui est une perversion de la vérité et<br />

un affront à la souveraineté de Dieu.<br />

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