Tout savoir sur le parler en langues.
«D'une manière lucide, précise et solidement biblique, F. Legrand nous expose la source et les dangers du parler en langues actuel et du baptême des esprits qui empoisonnent le christianisme moderne. Dans nos temps de ténèbres et de tiédeur spirituelle où nous voyons l'hérésie du Pentecôtisme et du Charismatisme faire des ravages à l'échelle mondiale, ce livre luit comme une lumière dans les ténèbres. Nous le recommandons fortement à tous chrétiens sérieux qui combattent pour la vérité. De crainte que ce document précieux ne soit perdu et ne puisse être retrouvé sur l'Internet, nous avons trouvé bon de le sauvegarder et de le maintenir enligne pour que son instruction indispensable demeure accessible à tous... Cela dit, nous ne souscrivons pas à l'Arminianisme ni au Prémillénarisme de l'auteur, fausses doctrines autant dangereuses que celle dont il combat contre les langues et dont son texte en est complètement teinté, quoique nous avons cherché à le purifié le plus que possible. En aucune façon supportons-nous la théologie de la secte Darbyste qui influence grandement l'auteur de ce livre, même si celle-ci combat contre les abus chez les Pentecôtistes et le Charismatiques.» «D'une manière lucide, précise et solidement biblique, F. Legrand nous expose la source et les dangers du parler en langues actuel et du baptême des esprits qui empoisonnent le christianisme moderne. Dans nos temps de ténèbres et de tiédeur spirituelle où nous voyons l'hérésie du Pentecôtisme et du Charismatisme faire des ravages à l'échelle mondiale, ce livre luit comme une lumière dans les ténèbres. Nous le recommandons fortement à tous chrétiens sérieux qui combattent pour la vérité. De crainte que ce document précieux ne soit perdu et ne puisse être retrouvé sur l'Internet, nous avons trouvé bon de le sauvegarder et de le maintenir enligne pour que son instruction indispensable demeure accessible à tous... Cela dit, nous ne souscrivons pas à l'Arminianisme ni au Prémillénarisme de l'auteur, fausses doctrines autant dangereuses que celle dont il combat contre les langues et dont son texte en est complètement teinté, quoique nous avons cherché à le purifié le plus que possible. En aucune façon supportons-nous la théologie de la secte Darbyste qui influence grandement l'auteur de ce livre, même si celle-ci combat contre les abus chez les Pentecôtistes et le Charismatiques.»
puissance de Dieu n’avait pas changé et que surtout, pas un seul mot n’était dit concernant la fin de son action, de son usage et de son utilité. En fait, les exercices spirituels qui gravitaient autour de cette relique étaient devenus une abomination. Pour beaucoup, les langues sont aussi une relique qu’ils portent dans leur cœur, dont ils parlent sans cesse et à laquelle ils vouent une dévotion sans borne. Ils la défendent en disant que c’est Dieu qui l’a donnée. Mais Dieu avait aussi donné le serpent d’airain, pour une occasion précise, pour un temps limité. Au-delà de ce temps, il devenait périmé comme des marchandises ou des médicaments qui ont dépassé la date limite et qui deviennent dangereux. La guérison se transforme en infection. C’est ce qui s’est passé avec le serpent d’airain; leur vie spirituelle en a été infectée. Lorsque le serpent leur a été retiré, beaucoup ont vu leur ardeur spirituelle décliner car ils n’avaient plus rien de tangible à quoi se raccrocher. J’ai aussi compris pourquoi certains se cramponnaient au parler en langues avec une sorte de frénésie. Leur vie spirituelle était si pauvre, si peu fondée sur la Bible que s’ils perdaient ça, il ne leur restait plus rien. La Manne Pendant leurs quarante années au désert, les Israélites recevaient six jours sur sept ce don du ciel qu’était la manne, le pain d’en- 152
haut qui descendait sur la terre. Ce don était le signe, la preuve par anticipation que des riches moissons les attendaient en Canaan. Cela a duré quarante ans, mais dès leur entrée dans la terre promise, la manne a cessé. Le Dieu qui l’avait donnée l’a aussi retirée. Pourquoi ? Parce qu’ils avaient désormais les récoltes du pays. Le don, à la fois signe et ombre des choses promises était devenu réalité et il s’arrêta. Comme la manne annonçait les moissons de Canaan, le don des langues annonçait au peuple juif la moisson des païens. Comme la manne n’a pas continué, le don des langues n’a pas non plus continué quand la moisson des païens est devenue une évidence que personne n’a plus niée ou combattue. De l’illustration biblique, passons à la doctrine: I. Le jugement (1) qu’annonçait le parler en langues sur l’Israël incrédule (Es. 28.11-13; 1 Thess. 2.16; 1 Cor. 14.21), est dramatiquement tombé sur lui à partir de l’an 70 par la prise de Jérusalem et la dispersion mondiale du peuple juif. (1) Voir au CHAPITRE 10: Les langues de feu. II. L’entrée massive des peuples aux langues étrangères dans l’Église (Rom. 11:25), qu’annonçait aussi le parler en langues étrangères, s’est faite parallèlement avec la mise à l’écart et le jugement d’Israël. Le signe était entièrement 153
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Canaan. Cela a duré quarante ans, mais dès <strong>le</strong>ur <strong>en</strong>trée<br />
dans la terre promise, la manne a cessé. Le Dieu qui l’avait<br />
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désormais <strong>le</strong>s récoltes du pays. Le don, à la fois signe et ombre<br />
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<strong>langues</strong> annonçait au peup<strong>le</strong> juif la moisson des paï<strong>en</strong>s.<br />
Comme la manne n’a pas continué, <strong>le</strong> don des <strong>langues</strong> n’a<br />
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De l’illustration biblique, passons à la doctrine:<br />
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I. Le jugem<strong>en</strong>t (1) qu’annonçait <strong>le</strong> par<strong>le</strong>r <strong>en</strong> <strong>langues</strong> <strong>sur</strong><br />
l’Israël incrédu<strong>le</strong> (Es. 28.11-13; 1 Thess. 2.16;<br />
1 Cor. 14.21), est dramatiquem<strong>en</strong>t tombé <strong>sur</strong> lui à partir de<br />
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(1) Voir au CHAPITRE 10: Les <strong>langues</strong> de feu.<br />
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II. L’<strong>en</strong>trée massive des peup<strong>le</strong>s aux <strong>langues</strong> étrangères<br />
dans l’Église (Rom. 11:25), qu’annonçait aussi <strong>le</strong> par<strong>le</strong>r <strong>en</strong><br />
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