Explications sur la Sanctification.
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ce dernier verset (1 Jean 3, 21), et les deux qui le précèdent<br />
n'existe pas dans le texte, où le tout est lié, ce qui est toujours<br />
important en fait d'exégèse.<br />
(1) Page 349, fin de <strong>la</strong> 1re colonne. Soyez «donc», omis. «Ses»<br />
chers, pour «des».<br />
(2) Page 349, avant-dernier alinéa.<br />
(3) Vous dites ailleurs, avec raison: reprendre; faire des<br />
reproches.<br />
(4) Le mot grec signifie, en effet. grande as<strong>sur</strong>ance; hardiesse.<br />
Mais il n'est pas licite d'omettre: «envers Dieu»; ou: «quant à<br />
Dieu»; ou: «auprès de Dieu». Au v. 19, c'est: «et nous<br />
apaiserons nos cœurs devant lui» (en sa présence).<br />
(5) Vous soulignez ces six derniers mots.<br />
(6) Presque deux pages.<br />
Recevoir ce que nous demandons:<br />
Quand avons-nous as<strong>sur</strong>ance devant Dieu? Quand recevons-nous<br />
tout ce que nous lui demandons? Quand gardons-nous ses<br />
commandements? Quand pratiquons-nous les choses qui sont<br />
agréables devant lui? C'est «lorsque notre cœur ne nous reprend<br />
pas». Nous avons déjà vu que cet état du cœur, état qui est <strong>la</strong><br />
vraie source de «notre obéissance», n'était pas possible dans <strong>la</strong><br />
frayeur, ni dans le doute <strong>sur</strong> notre salut, ni avec des questions<br />
re<strong>la</strong>tives à notre marche ou à <strong>la</strong> réalité de notre adoption. Dans<br />
cet état-là, avec un cœur exercé à demeurer paisiblement établi<br />
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