17.01.2014 Views

Régulation de l'organe

Régulation de l'organe

Régulation de l'organe

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

Régulation <strong>de</strong> l’organe<br />

IAH AC Régulation <strong>de</strong> l’organe<br />

© IAH 2008<br />

Avec le support cellulaire et la régulation <strong>de</strong> l’organe nous abordons le troisième<br />

niveau ou pilier du traitement antihomotoxique. La régulation <strong>de</strong> l’organe est<br />

essentiel dans les maladies chroniques et les schémas thérapeutiques <strong>de</strong>s<br />

maladies dégénératives. Sans support d'organe, on ne peut obtenir que <strong>de</strong>s<br />

résultats passagers.<br />

1


Objectifs<br />

• Comprendre l'essentiel <strong>de</strong> la cellule vivante<br />

• Se familiariser avec l'environnement cellulaire<br />

• Reconnaître l'impact <strong>de</strong> l'environnement sur la cellule<br />

• Etre conscient <strong>de</strong>s dysfonctionnements intracellulaires et <strong>de</strong>s<br />

désordres cellulaires<br />

• Comprendre la stratégie thérapeutique par l'approche <strong>de</strong>s 3<br />

piliers<br />

• Comprendre le support cellulaire et la régulation <strong>de</strong> l’organe<br />

comme stratégie essentielle dans les désordres dégénératifs<br />

chroniques<br />

© IAH 2008<br />

2<br />

Les objectifs <strong>de</strong> ce cours sont <strong>de</strong> comprendre entièrement la cellule en tant<br />

qu'unité vivante, faisant partie d'un organe ou d'un tissu, accomplissant certaines<br />

tâches dans l'organisme humain. Le dysfonctionnement cellulaire aboutira à un<br />

dysfonctionnement d'organe ou pire encore à la nécrose du tissu affecté avec<br />

<strong>de</strong>s pathologies dégénératives comme suite. Pour comprendre les besoins <strong>de</strong> la<br />

cellule et la régulation <strong>de</strong> l’organe nous <strong>de</strong>vons comprendre la cellule saine<br />

d'abord.<br />

2


La cellule vivante<br />

© IAH 2008<br />

Un organisme vivant est plus que la somme <strong>de</strong>s cellules dont il est composé.<br />

Néanmoins la cellule reste la composante fonctionnelle du tissu et son<br />

fonctionnement correct est essentiel pour la vie <strong>de</strong> l'organisme entier.<br />

3


La cellule<br />

• La cellule est la plus petite unité<br />

vivante <strong>de</strong> l’organisme humain<br />

(Virchow).<br />

Ses composants principaux<br />

sont :<br />

• Les mitochondries : apport<br />

d’énergie<br />

• Le noyau : matériel génétique<br />

• Le cytosquelette : matrice<br />

nucléaire<br />

• Chaque cellule est en interaction<br />

avec toutes les autres et forment<br />

l’entité connue sous le nom<br />

d’organisme.<br />

© IAH 2008<br />

4<br />

Virchow (1821-1902) a déclaré que la cellule est la plus petite unité vivante <strong>de</strong><br />

l'organisme humain. Il a relaté les maladies chroniques au dysfonctionnement<br />

cellulaire, ce qui <strong>de</strong> nos jours, et certainement en homotoxicologie est un point <strong>de</strong><br />

vue applicable quand on en vient à une approche thérapeutique <strong>de</strong> la maladie.<br />

Nous abandonnons en réalité le point <strong>de</strong> vue <strong>de</strong> la maladie cellulaire pure, en ce<br />

sens que nous voyons la cellule et la matrice comme une unité fonctionnelle.<br />

Comme Pischinger l'a si bien dit: la cellule est une abstraction.<br />

4


Différentiation cellulaire : spécialisation <strong>de</strong>s<br />

cellules. Sta<strong>de</strong> Gastrula<br />

© IAH 2008<br />

5<br />

Après la fertilisation, pendant les premières phases <strong>de</strong> la division cellulaire rapi<strong>de</strong>, certaines cellules<br />

commencent à migrer à l'intérieur <strong>de</strong> la blastula pour donner les 3 feuillets embryonnaires : Endo<strong>de</strong>rme,<br />

Méso<strong>de</strong>rme et Ecto<strong>de</strong>rme. Cette étape <strong>de</strong> l'embryogenèse est appelée «l'étape <strong>de</strong> la Gastrula».<br />

Zygote Morula (boule soli<strong>de</strong> <strong>de</strong> 12-32 cellules blastomères) Blastula (plus <strong>de</strong> 100 cellules) Gastrula<br />

C'est pendant la phase <strong>de</strong> gastrulation que les feuillets embryonnaires commencent à se former.<br />

L'ecto<strong>de</strong>rme donnera :<br />

1. La peau et ses annexes<br />

2. Le système nerveux autonome<br />

3. Le système nerveux central<br />

Le méso<strong>de</strong>rme donnera :<br />

1. Os et Muscles<br />

2. Le système urogénital<br />

3. Le mésenchyme (Tissus conjonctifs)<br />

4. Le système cardiovasculaire<br />

L'endo<strong>de</strong>rme donnera :<br />

1. Le tractus gastro-intestinal<br />

2. Le système respiratoire<br />

3. Les glan<strong>de</strong>s endocrines<br />

5


Différentiation cellulaire<br />

• Après la conception et la division jusqu'à 64 cellules, la<br />

différentiation <strong>de</strong>s 3 feuillets embryonnaires commence dans la<br />

gastrula.<br />

• L'ecto<strong>de</strong>rme donne : le cerveau, la peau, les ongles et<br />

d'autres structures associées à l'épi<strong>de</strong>rme<br />

• L'endo<strong>de</strong>rme donne : les parois internes du tube digestif,<br />

mais aussi <strong>de</strong> l'appareil respiratoire. Il donne aussi naissance<br />

à plusieurs glan<strong>de</strong>s, comme le foie et le pancréas.<br />

• Le méso<strong>de</strong>rme forme les métamères (segments), la<br />

notocor<strong>de</strong> (le début du système nerveux) et le mésenchyme.<br />

© IAH 2008<br />

6<br />

6


Le squelette cellulaire : matrice intracellulaire<br />

© IAH 2008<br />

7<br />

Dans le cours «IAH AC Histologie et physiologie <strong>de</strong> la matrice» - nous avons<br />

expliqué en détail la matrice extracellulaire. Dans la cellule elle-même nous<br />

trouvons aussi «une matrice» à <strong>de</strong>ux niveaux: la matrice intracellulaire et la<br />

matrice intranucléaire.<br />

Ce qui est appelé en biologie les filaments cellulaires intermédiaires <strong>de</strong>s cellules<br />

est en fait une structure intracellulaire qui a une fonction <strong>de</strong> filtre biophysique<br />

dans la cellule comme les protéoglycanes dans l'espace extracellulaire. Des<br />

parties <strong>de</strong> la cellule comme le noyau et les mitochondries sont tenues en 'place'<br />

par cette structure et sont ainsi aussi protégées. Les substances entrant dans la<br />

cellule peuvent aussi être «saisies» par cette structure, appelée aussi le<br />

cytosquelette.<br />

7


Le cytosquelette<br />

• Les mitochondries, l'appareil <strong>de</strong> Golgi et le noyau sont<br />

«encastrés» dans une matrice intracellulaire, appelée le<br />

squelette cellulaire.<br />

• Sa fonction est semblable à celle <strong>de</strong> la matrice extracellulaire:<br />

la transmission d'informations.<br />

• Il peut être un site <strong>de</strong> déposition pour les homotoxines<br />

intracellulaires.<br />

© IAH 2008<br />

8<br />

La structure du cytosquelette fonctionne comme une matrice intracellulaire,<br />

transférant <strong>de</strong>s informations et <strong>de</strong>s substances dans la cellule, protégeant aussi<br />

physiquement les structures intracellulaires et finalement «encastrant» <strong>de</strong>s<br />

composants cellulaires importants comme l'appareil <strong>de</strong> Golgi (sécrétant <strong>de</strong>s<br />

substances cellulaires spécifiques), le noyau (contenant le matériel génétique <strong>de</strong><br />

la cellule et la mitochondrie (fournissant l'énergie cellulaire).<br />

8


La mitochondrie : apport d‘énergie<br />

© IAH 2008<br />

9<br />

La mitochondrie est le principal fournisseur <strong>de</strong> micro-énergie <strong>de</strong>s cellules<br />

vivantes, essentiellement <strong>de</strong> l'ATP.<br />

Les hydrates <strong>de</strong> carbone (glucose), les protéines (aci<strong>de</strong>s aminés) et les lipi<strong>de</strong>s<br />

(aci<strong>de</strong>s gras) entrent dans la voie métabolique du cycle <strong>de</strong> Krebs et <strong>de</strong> la chaîne<br />

respiratoire pour produire <strong>de</strong> l'ATP, du CO2 et <strong>de</strong> l'H2O comme sous-produits.<br />

Cette énergie est utilisée par la cellule pour accomplir ses fonctions.<br />

Les élément essentiels pour cette conversion sont le cycle <strong>de</strong> Krebs, aussi connu<br />

comme le cycle <strong>de</strong> l'aci<strong>de</strong> citrique. et la chaîne respiratoire.<br />

9


Mitochondries<br />

• La mitochondrie est un <strong>de</strong>s fournisseurs <strong>de</strong> l'énergie cellulaire.<br />

• Le glucose et l'oxygène sont transformés en énergie cellulaire<br />

(l'ATP) .<br />

• Cela se passe dans le cycle <strong>de</strong> Krebs (cycle <strong>de</strong> l'aci<strong>de</strong> citrique).<br />

• Les lésions mitochondriales aboutiront au dysfonctionnement ou<br />

même à la mort cellulaire.<br />

© IAH 2008<br />

10<br />

La mitochondrie, via un processus métabolique extrêmement complexe<br />

convertira le glucose (les sucres), les aci<strong>de</strong>s aminés et les aci<strong>de</strong>s gras (en<br />

utilisant l'oxygène) en ATP, «le carburant cellulaire».<br />

Si le cycle est bloqué ou que la mitochondrie est endommagée, une <strong>de</strong>s<br />

conséquences immédiates est le dysfonctionnement cellulaire. Si cela touche un<br />

grand nombre <strong>de</strong> cellules dans le même tissu ou organe une situation critique<br />

peut apparaître.<br />

10


Le noyau cellulaire<br />

© IAH 2008<br />

11<br />

Le noyau cellulaire est «<strong>l'organe</strong>» principal <strong>de</strong> la cellule. Dans le noyau, la<br />

direction génétique <strong>de</strong> la cellule est encodée comme un co<strong>de</strong> complexe <strong>de</strong><br />

gènes, allumés ou éteints <strong>de</strong> façon binaire. Chaque gène dirige une tâche<br />

particulière <strong>de</strong> la cellule et une fois déclenchée nous voyons la réaction cellulaire<br />

subséquente.<br />

Le contenu du noyau est bien protégé par une couche <strong>de</strong> réticulum<br />

endoplasmique, une enveloppe nucléaire et une matrice intranucléaire qui<br />

fonctionne comme un filtre biophysique.<br />

Nous pourrions récapituler tous cela en disant que le noyau :<br />

- Est une entité limitée par une membrane<br />

- Qui contient le matériel génétique<br />

- qui contient <strong>de</strong>s chromosomes<br />

- qui contient <strong>de</strong>s gènes<br />

- qui sont organisés dans les brins d'ADN ou <strong>de</strong>s molécules<br />

Finalement la cellule est dirigée via l’expression génique.<br />

11


Matrice intranucléaire<br />

© IAH 2008<br />

12<br />

Le scientifique James Oschman a créé le concept <strong>de</strong> la «matrice vivante»,<br />

définie comme un réseau moléculaire continuellement connecté, aux tissus<br />

conjonctifs, au cytosquelette et à la matrice nucléaire dans tous l'organisme (*).<br />

Oschman postule que cette matrice vivante est une autoroute <strong>de</strong> l'information<br />

servant à «distribuer» <strong>de</strong>s informations régulatrices essentielles partout dans<br />

l'organisme et tout cela immédiatement, à la vitesse <strong>de</strong> la lumière. Via cette<br />

matrice, les informations sont partagées par toutes les cellules <strong>de</strong> l'organisme en<br />

même temps et simultanément aux niveaux extracellulaires, intracellulaires et<br />

intranucléaires.<br />

La matrice nucléaire est composée <strong>de</strong> filaments, formant une toile d'araignée<br />

tridimensionnelle, agissant comme un système <strong>de</strong> transmission et un filtre<br />

biophysique à la fois.<br />

Tully, L., The Journal of Alternative and Complementary Medicine, April 2004, Vol<br />

10, No. 2, 418<br />

12


La matrice nucléaire<br />

• Matrice extracellulaire<br />

• Protéoglycanes<br />

• Glycosaminoglycanes<br />

• Matrice intracellulaire<br />

• Cytosquelette<br />

• Matrice nucléaire<br />

• Filaments avec fonction <strong>de</strong> stockage et <strong>de</strong> transmission<br />

© IAH 2008<br />

13<br />

La transmission <strong>de</strong>s médiateurs et d'autres porteurs d'informations ainsi que la<br />

fonction <strong>de</strong> filtre sont possibles via les 3 niveaux <strong>de</strong> la matrice dans l'organisme<br />

humain (comme discuté ci-<strong>de</strong>ssus). La matrice extracellulaire ou MEC est<br />

reconnue en mé<strong>de</strong>cine conventionnelle comme un fait histologique mais en<br />

mé<strong>de</strong>cine douce comme un domaine <strong>de</strong> régulation et <strong>de</strong> transmission. Accepté<br />

par la mé<strong>de</strong>cine conventionnelle, mais moins connue cependant par le praticien,<br />

est la matrice intracellulaire (le cytosquelette), agissant comme un transmetteur<br />

<strong>de</strong> l'information et un filtre biophysique. Le stockage intracellulaire d'homotoxines<br />

se fait souvent au niveau <strong>de</strong> cette matrice intracellulaire.<br />

Nouveau et le plus souvent inconnu est le concept <strong>de</strong> la matrice nucléaire, une<br />

toile d'araignée structurée avec <strong>de</strong>s filaments fins, agissant comme <strong>de</strong>s<br />

conducteurs <strong>de</strong> l'information et <strong>de</strong>s filtres biophysiques.<br />

13


Dimensions <strong>de</strong>s cellules humaines<br />

• Les cellules humaines montrent une gran<strong>de</strong> variété <strong>de</strong> tailles, du<br />

petit globule rouge sanguin qui mesure 0.00076 millimètre<br />

(0.00003 pouces) aux cellules hépatiques qui peuvent être dix<br />

fois plus gran<strong>de</strong>s. Environ 10,000 cellules <strong>de</strong> taille moyenne<br />

tiennent sur une tête d'épingle.<br />

© IAH 2008<br />

14<br />

Bien qu'extrêmement complexes dans leurs fonctions, même les «plus gran<strong>de</strong>s»<br />

cellules sont petites. Les globules rouges sont les plus petites cellules <strong>de</strong> notre<br />

organisme et mesurent environ 6-8 microns. Les cellules <strong>de</strong>s tissus et <strong>de</strong>s<br />

organes représentent une coopération synergique <strong>de</strong> milliards <strong>de</strong> cellules,<br />

chacune d'entre elles organisée comme une unité indépendante, mais étant<br />

simultanément en contact continu avec TOUTES les cellules <strong>de</strong> l'organisme. La<br />

quantité d'informations échangées est énorme, non seulement en raison du<br />

nombre <strong>de</strong> cellules, mais aussi en raison <strong>de</strong> la complexité et <strong>de</strong> la variété<br />

d'informations envoyées et reçues.<br />

14


L’environnement cellulaire<br />

© IAH 2008<br />

15


Cellules d‘organe<br />

© IAH 2008<br />

16<br />

Les cellules peuvent reposer sur une membrane basale comme dans les<br />

structures tissulaires ou dans une structure d'organe. Les échanges <strong>de</strong><br />

substances se font principalement par diffusion.<br />

Nous parlons ici <strong>de</strong> l'environnement extracellulaire (MEC), <strong>de</strong> l'espace<br />

intercellulaire (entre les cellules) et <strong>de</strong> l'espace intracellulaire (dans la cellule ou<br />

même dans son noyau).<br />

16


Le fibroblaste est aussi une cellule<br />

© IAH 2008<br />

17<br />

Les cellules peuvent aussi ne pas reposer sur une membrane basale. Elles peuvent faire partie<br />

d'une structure tissulaire (par exemple le fibroblaste) ou peuvent être complètement libres dans<br />

leurs mouvements (par exemple les cellules sanguines).<br />

Les <strong>de</strong>ux types sont entourés par une matrice, portant <strong>de</strong>s informations d'une cellule à l'autre ou<br />

d'un système à un autre. Cette matrice protège aussi la cellule <strong>de</strong>s toxines en agissant comme un<br />

filtre biophysique.<br />

Nous gardons à l'esprit que la matrice extracellulaire est:<br />

- L'environnement direct et immédiat <strong>de</strong> CHAQUE cellule <strong>de</strong> l'organisme<br />

- le secteur <strong>de</strong> transmission pour la plupart <strong>de</strong>s messages <strong>de</strong> direction et d'interactions entre les<br />

différents systèmes <strong>de</strong> l'organisme<br />

- le site pour l'autorégulation et la dérégulation dans l'organisme<br />

- le site d'inflammations<br />

- le site <strong>de</strong> déposition<br />

«La pureté <strong>de</strong> la matrice extracellulaire est essentielle pour la qualité <strong>de</strong> la vie cellulaire»<br />

Pour <strong>de</strong>s informations plus détaillées sur la fonction matricielle et l'environnement extracellulaire<br />

nous faisons référence au cours<br />

«IAH AC Histologie et physiologie <strong>de</strong> la matrice ».<br />

17


Dysfonctionnement cellulaire<br />

© IAH 2008<br />

Le dysfonctionnement cellulaire est multifactoriel, mais le résultat final est le<br />

même : s'il est continu ou prolongé, il aboutira en fin <strong>de</strong> compte aux pathologies<br />

dégénératives chroniques.<br />

18


Causes générales du dysfonctionnement cellulaire<br />

• Le blocage physique <strong>de</strong> la transmission <strong>de</strong>s nutriments et <strong>de</strong>s<br />

charges toxiques dans la MEC<br />

• L'hypoxie<br />

• Blocage <strong>de</strong>s processus enzymatiques<br />

• Lésions physiques cellulaires (brûlures, radiations, contusions,<br />

etc …)<br />

• Les radicaux inflammatoires formés pendant l'inflammation et<br />

autres radicaux libres<br />

• L'intoxication intracellulaire (aussi par les micro-organismes)<br />

© IAH 2008<br />

19<br />

Plusieurs causes peuvent être à la base d’un dysfonctionnement cellulaire,<br />

comme :<br />

•Des blocages physiques au niveau <strong>de</strong> la MEC, entravant la transmission <strong>de</strong>s<br />

nutriments venant <strong>de</strong> la circulation sanguine via la matrice vers les cellules et au<br />

retour les déchets cellulaires et métaboliques, transmis <strong>de</strong> la cellule à la matrice<br />

et <strong>de</strong> la au système veineux et/ou au système lymphatique.<br />

•Manque d'oxygène causant une hypoxie et une défaillance <strong>de</strong> la mitochondrie,<br />

aboutissant à moins <strong>de</strong> production d'énergie.<br />

•Des processus enzymatiques bloqués entravant la transmission correcte<br />

d’informations directives d’autres processus métaboliques et fonctionnels.<br />

•Lésions cellulaires directes par <strong>de</strong>s traumatismes divers.<br />

•Des radicaux libres produits pendant inflammations ou d'autres causes et<br />

oxydant les structures cellulaires directement.<br />

•Stockage intracellulaire d'homotoxines comme p.ex. les métaux lourds ou même<br />

<strong>de</strong>s micro-organismes comme les virus utilisant la cellule comme hôte.<br />

19


Addition <strong>de</strong>s causes <strong>de</strong> lésion ou <strong>de</strong> mort cellulaire<br />

• Ischémie (circulation sanguine déficiente)<br />

• Anoxie et hypoxie (pas ou faible oxygénation)<br />

• Réactions d'hypersensibilité<br />

• Facteurs biologiques<br />

• Produits chimiques<br />

• Maladies génétiques<br />

• Suractivité<br />

• Vieillissement<br />

© IAH 2008<br />

20<br />

La liste ci-<strong>de</strong>ssus mentionne les causes principales <strong>de</strong> lésion ou <strong>de</strong> mort<br />

cellulaire. À côté <strong>de</strong> la dose aiguë à laquelle la cellule est exposée, nous ne<br />

<strong>de</strong>vons pas oublier les effets d'accumulation <strong>de</strong> doses mineures mais répétitives<br />

<strong>de</strong> substances toxiques.<br />

20


Apoptose et nécrose<br />

• Apoptose<br />

• Mort programmée volontaire par une cellule dans un<br />

organisme multicellulaire<br />

• Processus ordonné<br />

• Nécrose<br />

• Mort cellulaire suite <strong>de</strong> lésion cellulaire aiguë ou <strong>de</strong><br />

suffocation<br />

• Phénomène chaotique<br />

© IAH 2008<br />

21<br />

Dans la mort cellulaire nous <strong>de</strong>vons clairement différencier <strong>de</strong>ux phénomènes qui<br />

ont un caractère complètement différent : l'apoptose et la nécrose.<br />

L'apoptose est un processus NORMAL <strong>de</strong> mort cellulaire, sert surtout à<br />

remplacer <strong>de</strong>s cellules dans un environnement multicellulaire. L'apoptose<br />

empêche que <strong>de</strong> vieilles cellules ou dysfonctionnelles restent et dérangent le<br />

fonctionnement <strong>de</strong> cellules saines plus jeunes. C'est une mort cellulaire<br />

préprogrammée et elle fait partie <strong>de</strong>s processus et <strong>de</strong>s cycles vivants.<br />

La nécrose est une mort cellulaire PATHOLOGIQUE prématurée, due à <strong>de</strong><br />

nombreuses causes et à <strong>de</strong>s agents endommageant ou détruisant la cellule. La<br />

nécrose est une <strong>de</strong>s caractéristiques principales <strong>de</strong>s pathologies dégénératives.<br />

21


Dégénération cellulaire et nécrose<br />

© IAH 2008<br />

22<br />

Une cellule fonctionnant normalement peut via une lésion, une blessure ou <strong>de</strong>s<br />

variations intenses du milieu subir directement une nécrose. Mais aussi lors<br />

d’expositions moins intensives ou plus courtes, être menée vers <strong>de</strong>s<br />

changements cellulaires adaptatifs à caractère dégénératif et si celles-ci se<br />

prolongent, aussi à la nécrose. La nécrose est une condition irréversible (mort<br />

cellulaire) qui peut être provoquée par <strong>de</strong>s agents <strong>de</strong>structifs intensifs aigus<br />

(blessure, anoxie, …) ou à long terme par <strong>de</strong>s attaques <strong>de</strong>structives répétées.<br />

22


Homéostasie<br />

• Dans l'organisme adulte, le nombre <strong>de</strong> cellules est gardé<br />

relativement constant par la mort et par la division cellulaire.<br />

• Les cellules doivent être remplacées quand elles <strong>de</strong>viennent<br />

mala<strong>de</strong>s ou fonctionnent mal ; mais la prolifération doit être<br />

compensée par la mort cellulaire.<br />

• Une situation est NORMALE quand la mort cellulaire est<br />

obligatoire (apoptose).<br />

• La nécrose est pathologique!!!<br />

© IAH 2008<br />

23<br />

La mort cellulaire, dans un organisme adulte sain, est compensée par la division<br />

cellulaire. D'autre part la prolifération non contrôlée <strong>de</strong> cellules doit être inhibée<br />

par la mort cellulaire. Ce phénomène <strong>de</strong> régulation, dans lequel la situation saine<br />

doit être en équilibre entre la division et la mort cellulaire est appelée<br />

l'homéostasie. Pour maintenir l'homéostasie, l'apoptose est nécessaire. La<br />

nécrose peut être un facteur perturbant pour l'homéostasie, car c'est une mort<br />

cellulaire pathologique imprévue.<br />

23


Les 3 piliers du traitement<br />

antihomotoxique<br />

© IAH 2008<br />

La récupération ou le maintien d'une fonction cellulaire normale ou physiologique<br />

sont un <strong>de</strong>s objectifs du traitement antihomotoxique. C'est pourquoi,<br />

particulièrement dans les plans <strong>de</strong> traitement <strong>de</strong>s désordres dégénératifs<br />

chroniques, le support cellulaires et d'organe est vu comme un troisième pilier du<br />

traitement antihomotoxique.<br />

24


© IAH 2008<br />

25<br />

Dans n'importe quelle approche <strong>de</strong> traitement «holistique», il y a 4 niveaux fondamentaux qui<br />

doivent être pris en considération :<br />

Ces 4 niveaux sont :<br />

1. Le niveau interstitiel. Pour l'histologie c'est l'espace extracellulaire (MEC), qui est<br />

l'environnement direct <strong>de</strong> la cellule vivante. Des informations très détaillées sur l'histologie et la<br />

physiologie <strong>de</strong> l'espace interstitiel peuvent être trouvées dans le cours <strong>de</strong> référence d'IAH "IAH<br />

AC l'histologie Matricielle et la physiologie". Il est important <strong>de</strong> comprendre que la qualité <strong>de</strong> vie<br />

<strong>de</strong>s cellules dépend directement <strong>de</strong> la pureté ou <strong>de</strong> l'état fonctionnel <strong>de</strong> cet environnement<br />

interstitiel. Les problèmes à ce niveau induisent un dysfonctionnement cellulaire et ensuite un<br />

dysfonctionnement d'organe<br />

2. Le niveau cellulaire est la condition <strong>de</strong> la cellule elle-même, le fonctionnement cellulaire et son<br />

interaction avec d’autres cellules via le système <strong>de</strong> transmission <strong>de</strong> message <strong>de</strong> la MEC ou le<br />

système interstitiel. Les cellules produisent <strong>de</strong>s déchets qu'un système interstitiel fonctionnant<br />

bien doit éliminer. Toutes les cellules forment ensemble un système homogène intégré appelé<br />

organe. Le fonctionnement <strong>de</strong> <strong>l'organe</strong> est directement tributaire <strong>de</strong> la condition <strong>de</strong>s cellules.<br />

3. Le niveau d'organe est celui <strong>de</strong> la synergie <strong>de</strong>s cellules. Cette synergie est formée par les<br />

interactions qu'il a avec d'autres organes et tissus du même système holistique. Avec<br />

l'immunologie- psycho-neuro-endocrinienne (PNEI), chaque organe, même chaque cellule, est<br />

sous l'influence <strong>de</strong>s émotions et <strong>de</strong>s pensées et vice versa : un dysfonctionnement d'organe<br />

influencera le statut émotionnel <strong>de</strong> l’être vivant (pensez à l'influence <strong>de</strong>s signes cliniques sur les<br />

émotions du patient ; douleur, fièvre, nausée, …).<br />

4. Le niveau mental est l'essence <strong>de</strong> l'être humain, mais ne <strong>de</strong>vrait pas être isolé dans l'approche<br />

thérapeutique. Bien que les 3 piliers <strong>de</strong> l'homotoxicologie aient un effet direct sur les 3 premiers<br />

niveaux, ils influenceront directement ou indirectement l'état mental du patient. Ils ont aussi un<br />

impact, sur le PNEI, sur le niveau mental.<br />

En fait, les quatre niveaux sont reliés les uns aux autres du bas au sommet <strong>de</strong> la pyrami<strong>de</strong> et <strong>de</strong><br />

haut en bas. La mé<strong>de</strong>cine conventionnelle est sélective et isolante dans son niveau d'approche, la<br />

mé<strong>de</strong>cine antihomotoxique est «une mé<strong>de</strong>cine holistique» et prend les quatre niveaux en<br />

considération.<br />

25


Homotoxines<br />

Drainage<br />

1<br />

Régulation<br />

2<br />

Amélioration<br />

physiologique<br />

Meilleure<br />

qualité<br />

<strong>de</strong> vie<br />

Oxygénation <strong>de</strong><br />

la cellule<br />

3<br />

Activation<br />

<strong>de</strong> la fonction<br />

cellulaire<br />

© IAH 2008<br />

26<br />

En utilisant les trois piliers <strong>de</strong> l'homotoxicologie dans notre stratégie <strong>de</strong> traitement<br />

nous réduisons le risque d'évolution <strong>de</strong> maladies progressives (propagation <strong>de</strong><br />

l'intoxication aux organes et tissus plus importants).<br />

Le drainage et la désintoxication (le 1e pilier) purifieront la matrice et donc<br />

l'environnement cellulaire direct. La thérapie <strong>de</strong> régulation (le 2ème pilier)<br />

protégera le patient <strong>de</strong> réactions inflammatoires trop actives. Par l'oxygénation<br />

cellulaire, l'activité et la fonction cellulaire seront optimalisées. Le support <strong>de</strong> la<br />

fonction cellulaire (le 3ème pilier) mène à une amélioration physiologique du tissu<br />

qui mène à son tour à une diminution <strong>de</strong>s symptômes et à une meilleure qualité<br />

<strong>de</strong> vie.<br />

26


Traitement antihomotoxique <strong>de</strong>s maladies<br />

chroniques<br />

Selon les 3 piliers du traitement antihomotoxique<br />

• Drainage et désintoxication<br />

• Immunomodulation et régulation<br />

• Support cellulaire et d'organe<br />

Seul <strong>de</strong>s schémas complets donnent <strong>de</strong>s résultats durables<br />

© IAH 2008<br />

27<br />

Des informations plus détaillées sur le premier pilier du traitement<br />

antihomotoxique peuvent être trouvées dans le cours <strong>de</strong> référence «IAH AC<br />

Drainage et Désintoxication». On explique bien le <strong>de</strong>uxième pilier dans le cours<br />

<strong>de</strong> référence «IAH AC Immunomodulation». Le troisième pilier, support cellulaire<br />

et d'organe est le thème <strong>de</strong> ce cours et sera expliqué dans les diapositives<br />

suivantes.<br />

27


Approche relatée aux organes<br />

• Qu'est ce qu'un tissu ou un organe ?<br />

• Où suis-je sur le Tableau d’Évolution <strong>de</strong>s Maladies ? Est-ce que<br />

c'est le côté droit ?<br />

• Quel drainage et désintoxication ai-je à ma disposition (MEC et<br />

cellulaire) ?<br />

• Y a-t-il <strong>de</strong> l'inflammation ?<br />

• Quel immunomodulateur est relaté à cet organe ?<br />

• Reneel, Traumeel, Hepeel, … ?<br />

• Support cellulaire avec Coenzyme compositum et Ubichinon<br />

compositum<br />

• Régulation <strong>de</strong> l’organe avec la préparation compositum relatée<br />

à <strong>l'organe</strong> ou au tissu<br />

© IAH 2008<br />

28<br />

Le traitement antihomotoxique <strong>de</strong> n'importe quelle pathologie dégénérative est<br />

seulement couronné <strong>de</strong> succès si on répond aux questions suivantes :<br />

- Quel est le tissu ou <strong>l'organe</strong> dans lequel nous voyons la pathologie ? Est-il bien<br />

défini ou vague ?<br />

- Où plaçons-nous le patient sur le Tableau d‘Évolution <strong>de</strong>s Maladies ? Non<br />

seulement la phase est importante, mais après la réponse à la première question<br />

aussi l'emplacement vertical, le feuillet embryonnaire et le tissu relaté !<br />

- Quelles métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> drainage et <strong>de</strong> désintoxication ai-je à ma disposition ?<br />

Quel drainage et quelle stratégie <strong>de</strong> désintoxication rempliront mon premier pilier<br />

<strong>de</strong> traitement antihomotoxique ?<br />

- Y a-t-il <strong>de</strong> l'inflammation ? Est-elle utile ou dysfonctionnelle (par exemple dans<br />

les allergies). Comment réagit le système immunitaire sur cette intoxication du<br />

patient ? Quel immunomodulateur sera ici le premier choix pour corriger la<br />

dérégulation immunologique, excessive dans l'un ou l'autre sens ?<br />

- Comment pouvons-nous nous remplir le premier aspect du troisième pilier ?<br />

Est-ce que <strong>de</strong>s préparations antihomotoxiques pourraient améliorer l'oxygénation<br />

cellulaire ?<br />

Quelle préparation Compositum apporte la régulation <strong>de</strong> l’organe nécessaire ?<br />

Quel aspect aura le plan <strong>de</strong> traitement final dans le temps ?<br />

28


Que sont les catalyseurs?<br />

• En chimie, un catalyseur (Grec: καταλύτης, catalytēs ) est une<br />

substance qui accélère la vitesse ou facilite une réaction<br />

chimique sans être changé à la fin <strong>de</strong> la réaction chimique. Les<br />

catalyseurs participent aux réactions, mais ne sont ni réactifs, ni<br />

produits <strong>de</strong> la réaction qu'ils catalysent ou facilitent. Plus<br />

largement, on peut appeler catalyseur tout ce qui accélère une<br />

réaction sans être lui-même transformé<br />

• Effet «catalyseur» : pour augmenter la vitesse <strong>de</strong> la réaction<br />

• Le processus est appelé la catalyse<br />

© IAH 2008<br />

29<br />

L'approvisionnement en énergie <strong>de</strong> la cellule se fait via une casca<strong>de</strong> complexe <strong>de</strong><br />

réactions biochimiques appelées le cycle <strong>de</strong> Krebs ou le cycle <strong>de</strong> l'aci<strong>de</strong> citrique<br />

et la chaîne respiratoire. Chaque pas <strong>de</strong> ce cycle est rendu possible par <strong>de</strong>s<br />

amplificateurs <strong>de</strong> réactions, appelés <strong>de</strong>s catalyseurs. Ils ne doivent pas être<br />

présents en hautes concentrations, puisque par définition les catalyseurs sont<br />

«recyclés» dans les processus biochimiques et sont réutilisés dans la réaction<br />

suivante. 1 molécule d'un catalyseur peut induire et accélérer <strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong><br />

réactions en quelques secon<strong>de</strong>s. La définition d'un catalyseur est qu'il facilitera<br />

une réaction sans être changé chimiquement lui-même.<br />

Le processus dans lequel un catalyseur accélère une réaction biochimique ou<br />

chimique est appelé la catalyse.<br />

Le support cellulaire, plus précisément l'amélioration <strong>de</strong> l'oxygénation cellulaire,<br />

se fait par les préparations antihomotoxiques qui interviennent au niveau du cycle<br />

<strong>de</strong> Krebs. Deux types <strong>de</strong> préparations peuvent être utilisées : le pack combiné ou<br />

les <strong>de</strong>ux préparations Compositum spécifiques (Coenzyme compositum et<br />

Ubichinon compositum).<br />

29


L'utilisation <strong>de</strong> catalyseurs est une caractéristique<br />

spéciale <strong>de</strong> la thérapie antihomotoxique<br />

• Pour activer les processus métaboliques<br />

• Pour lever les barrages dans la cellule et débloquer les fonctions<br />

enzymatiques<br />

© IAH 2008<br />

30<br />

Les catalyseurs du cycle <strong>de</strong> Krebs utilisés dans les antihomotoxiques<br />

augmentent l’oxygénation cellulaire. Cela signifie que par ce type <strong>de</strong><br />

médicaments nous soutenons l'approvisionnement en énergie <strong>de</strong>s cellules et que<br />

nous améliorons leurs fonctions.<br />

Comme dans le vieillissement, nous voyons souvent un ralentissement <strong>de</strong>s<br />

processus métaboliques ou même <strong>de</strong>s blocages <strong>de</strong>s fonctions enzymatiques et<br />

cellulaires, une amélioration <strong>de</strong> l'oxygénation cellulaire rétablira un état<br />

fonctionnel normal <strong>de</strong>s cellules.<br />

30


Pourquoi cette thérapie est-elle importante?<br />

• Les remè<strong>de</strong>s allopathiques influencent les systèmes<br />

enzymatiques<br />

• Les homotoxines surchargent les systèmes enzymatiques<br />

© IAH 2008<br />

31<br />

Beaucoup <strong>de</strong> médicaments conventionnels bloquent ou perturbent, à long terme,<br />

la fonction enzymatique, ceci se voit souvent chez les personnes âgées. De<br />

même, une surcharge d'homotoxines, dues aux homotoxines environnementales<br />

ou endogènes produites lors <strong>de</strong> processus métaboliques déficients influencera<br />

les systèmes enzymatiques avec les mêmes effets.<br />

Le vieillissement est directement relaté à une augmentation d'homotoxines dans<br />

l'organisme, puisque l'exposition à long terme augmente les risques<br />

d’accumulation<br />

31


Groupes <strong>de</strong> préparations<br />

• Coenzymes: p.e. ubiquinones<br />

• Produits intermédiaires simples: p.e. aci<strong>de</strong> cis-aconitique<br />

• Préparations complexes: Ubichinon compositum<br />

Coenzyme compositum<br />

© IAH 2008<br />

32<br />

Dans le groupe <strong>de</strong>s amplificateurs <strong>de</strong> la fonction cellulaire nous trouvons :<br />

•Des enzymes<br />

•Des coenzymes<br />

•Et <strong>de</strong>s produits intermédiaires simples<br />

Dans la gamme d'antihomotoxiques, <strong>de</strong>ux préparations complexes sont souvent<br />

utilisées pour soutenir la fonction cellulaire en améliorant l'oxygénation cellulaire :<br />

le Coenzyme compositum et l'Ubichinon compositum. Combinés ils offrent une<br />

couverture «complète» <strong>de</strong>s principaux catalyseurs et quinones nécessaires pour<br />

fournir un support cellulaire et améliorer l'oxygénation cellulaire.<br />

«Un pack complet» <strong>de</strong> catalyseurs est également disponible dans la gamme <strong>de</strong>s<br />

produits antihomotoxiques.<br />

32


Pour prescrire le pack <strong>de</strong>s<br />

catalyseurs du «cycle <strong>de</strong> l’aci<strong>de</strong><br />

citrique»<br />

© IAH 2008<br />

Le pack <strong>de</strong> 10 ampoules <strong>de</strong>s principaux catalyseurs est prescrit comme pack <strong>de</strong>s<br />

catalyseurs <strong>de</strong> l’aci<strong>de</strong> citrique<br />

33


Pack <strong>de</strong>s catalyseurs du cycle <strong>de</strong> l’aci<strong>de</strong> citrique<br />

Un pack se compose <strong>de</strong> 10 ampoules :<br />

• Acidum α-ketoglutaricum-Injeel<br />

• Acidum cis-aconiticum-Injeel<br />

• Acidum fumaricum-Injeel<br />

• Baryum oxalsuccinicum-Injeel<br />

• Natrium oxalaceticum-Injeel<br />

• Magnesium-Manganum-phosphoricum-Injeel<br />

• Acidum citricum-Injeel<br />

• Acidum succinicum-Injeel<br />

• Acidum DL-malicum-Injeel<br />

• Natrium pyruvicum-Injeel<br />

© IAH 2008<br />

34<br />

Le pack consiste en 10 fioles différentes d'un catalyseur chacun. Ils sont pris<br />

dans un certain ordre pour en maximaliser l'effet. Le plan <strong>de</strong> traitement :<br />

Injections sous-cutanées appliquées comme suit :<br />

Injection semaine 1 :<br />

Magnesium-Manganum-phosphoricum-Injeel<br />

Natrium oxalaceticum-Injeel<br />

Natrium pyruvicum-Injeel<br />

Injection semaine 2 :<br />

Acidum citricum-Injeel<br />

Acidum cis-aconiticum-Injeel<br />

Injection semaine 3 :<br />

Baryum oxalsuccinicum-Injeel<br />

Acidum α-ketoglutaricum-injeel<br />

Injection semaine 4 :<br />

Acidum succinicum-Injeel<br />

Acidum fumaricum-Injeel<br />

Acidum DL-malicum-Injeel<br />

Attendre 2 semaines et répéter la liste ci-<strong>de</strong>ssus<br />

34


Donner du support d'organe<br />

1 ampoule du tissu correspondant à <strong>l'organe</strong> est<br />

ajoutée au cocktail quand les données cliniques<br />

confirment le risque <strong>de</strong> dégénération<br />

© IAH 2008<br />

Bien sûr une amélioration <strong>de</strong> la fonction cellulaire aboutira à un meilleur<br />

fonctionnement <strong>de</strong> <strong>l'organe</strong>, mais avec la régulation <strong>de</strong> l’organe nous essayerons<br />

d'améliorer le fonctionnement <strong>de</strong> <strong>l'organe</strong> comme «unité». Pour atteindre ce but,<br />

<strong>de</strong>s préparations Compositum spéciales ont été développées et il y a une formule<br />

spécifique pour presque chaque organe. Idéalement nous <strong>de</strong>vrions combiner la<br />

régulation <strong>de</strong> l’organe avec le support cellulaire. En général, cela se fait par une<br />

thérapie <strong>de</strong> combinaison <strong>de</strong> Coenzyme compositum et d'Ubichinon compositum<br />

ensemble avec <strong>l'organe</strong> compositum incriminé. Ce <strong>de</strong>rnier est bien sûr spécifique<br />

du patient et nous chercherons le locus minoris resistentia, <strong>l'organe</strong> ou le<br />

système organique le plus faible <strong>de</strong> l'organisme, puisque c'est précisément cet<br />

organe qui provoque la plupart <strong>de</strong>s problèmes, particulièrement dans le<br />

processus <strong>de</strong> vieillissement.<br />

35


Tissu relaté à l’organe<br />

• Mucosa compositum<br />

• Hepar compositum<br />

• Solidago compositum<br />

• Tonsilla compositum<br />

• Thyreoi<strong>de</strong>a compositum<br />

• Cerebrum compositum<br />

• Cutis compositum<br />

• Pulsatilla compositum /<br />

Echinacea compositum<br />

• Ovarium compositum<br />

• Testis compositum<br />

• Placenta compositum<br />

Muqueuses<br />

Foie<br />

Tractus urinaire<br />

Système lymphatique<br />

Fonction thyroïdienne<br />

Fonction cérébrale<br />

Peau<br />

Système <strong>de</strong> défense<br />

Femme<br />

Homme<br />

Circulation<br />

© IAH 2008<br />

36<br />

Comme mentionné plus haut, il y a presque un médicament Compositum pour<br />

chaque organe. La liste ci-<strong>de</strong>ssus n'est pas limitative. Choisissez la préparation<br />

Compositum en accord avec la fonction du tissu ou <strong>de</strong> <strong>l'organe</strong> affecté.<br />

Pour élaborer un traitement approprié avec les 3 piliers du traitement<br />

antihomotoxique, nous renvoyons pour <strong>de</strong>s informations plus détaillées au cours<br />

<strong>de</strong> référence «IAH AC Conceptions du traitement avec les trois piliers».<br />

36


En plus :<br />

• Piégeurs <strong>de</strong> radicaux libres ?<br />

• Alimentation naturelle et compléments alimentaires ?<br />

• Abus d'alcool, <strong>de</strong> nicotine, <strong>de</strong> café, <strong>de</strong> thé ?<br />

• Mouvement ?<br />

• Contacts sociaux ?<br />

• Stress émotionnel ?<br />

• Thérapeute inspiré par<br />

l’homotoxicologie<br />

© IAH 2008<br />

37<br />

On ne doit pas considérer les mesures antihomotoxiques seules, comme si<br />

aucun autre appui ou conseil ne sont nécessaires. Le style <strong>de</strong> vie est un facteur<br />

essentiel dans les pathologies dégénératives, le stress aussi. Une approche<br />

holistique <strong>de</strong>vrait non seulement regar<strong>de</strong>r la prévention par les médicaments,<br />

mais aussi la prévention en changeant ses habitu<strong>de</strong>s et son style <strong>de</strong> vie.<br />

37


Diapositives <strong>de</strong> Backup<br />

© IAH 2008<br />

38


Lauréat du prix Nobel Hans-Adolf Krebs<br />

• Né le 25.8.1900 à Hil<strong>de</strong>sheim<br />

• A étudié la mé<strong>de</strong>cine et la chimie<br />

• Assistant au Wilhelm Institut <strong>de</strong> Biologie<br />

à Berlin, où il fut nommé chargé <strong>de</strong> cours<br />

• En 1933 il perd sa chaire d'enseignement<br />

à l'Université <strong>de</strong> Freiburg et émigre<br />

en Angleterre<br />

• 1937 Découverte du cycle <strong>de</strong><br />

l'aci<strong>de</strong> citrique (le cycle <strong>de</strong> Krebs)<br />

• 1953 Prix Nobel <strong>de</strong> Mé<strong>de</strong>cine<br />

• Décédé le 22.11.1981<br />

© IAH 2008<br />

39<br />

39

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!