l{o Inv. l*"ry - Bibliothèques de l'Université de Lorraine
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3t)q p()tsdam ce i0 cie Septembre 1774. Fecieric. Le 1-5 fer,rier l77it cepenclanr, Pie VI est eiu pape er Frecleric II iinit par placer ia Ccmpagnie sous la juricliction rjes er-equesJ. tout en lui donnant pour tache de constituer lenseignement dEtat c1u1 veut mettre en place. Il loge les peres dans des lnstituts scolarres rovaur . Aur veur des eveques, la Compagniest devenrre ein staarlicher Ersatzorden'... j L autre souverain qui conserve la Compagniesr Carherine II de Russie. Quoique correspondante de VoJtaire. amie de Dideror er acquise aux enn'clopedistes, elle ne publie pas le brefr. Sir colleges continuent d erister. Polock, Dunaburg, Witebsk. Orsza. -\Jscisiar,iense ei tr{ohiloviense. lusquerr l8l4 ou Pie \:ll retablit dans lEglise lordre cles lesurtes. I L.l.uch lesurtenlexikon, Paderborn.19.34. p 62u I H Hoffmann, Ffiedrich II von Preus-sen und die Aufhebuns der Gesellschafr Jesu Rom 1969 p l3a 3 lrio p l)i r I 6atar'irt.I-es iesuitcs cle Ru:;sie Paris lSl2 p !
JiU 2- Une êcole insensible aur mouvements de l'époque. À i'anah'se de I organisation, des methodes ei cie I esprir cles colleges du XVIIi'siecle dans cette provlnce de Germante superreure. rl ressort que ce sont des ecoles quasiment insensihles a rous ces m.)uvements de lepoque en -{llemagnet en Europe. Le reglement des etudes est le ' de 1599, redige a l(ome pour tous les colleges etahrlis de par ie monde. Et s il ne pre!'ort pas dans ies dearls le deroulement de la vie de ces etablissements. rl impose des principes qui leur donne un esprit. Le c.vcle des etudes s inspire quanr a lrii de l'apprentissage medieval des sept aris liberaux, rrivium er quadrivium. cest stilcrement ce qui fait la base de lenseignement donne en piern xvlll' siecle. Le Kalre prerroit de reprendre a son propre compte les apports de I humanismet de la Renaissance les chrr-ctianisanr, en cherchanr à en sancrifier I'essence profonde. Dans son inruition er sa conception. le rerte clu BêIIA a ere au I\il' siecle quelque chose dextremement moderne er surprenanl de nouveaute pLtur les proiesseurs de lepoque. II voulait se demarquer de l'enseignement traditionnei en place. Au IVIII' siecle. malgre son genie. ie terte a vieilli. Les yesuites. trop centralises, obeissants, repetitrts peur-etre. observant strictement la tradition. ne s adaptent pa-s. Ni au nouvel esprrt cle les lumieres, ni auli nouvelles methodes educatives qui voient le joiJf . Toul se passe comme si les peres avaient manque ie coche d'une assimilaiion cies Itlmieres. qu ils aurarent peut-etre pu martriser et integrer posrtivement. Elie se voulait une phrlosophie productive sr I on peur c'lrre. liberant la raison des habitudes et des prejuges pour laisser la place a I esprit analvtique. Pour Leibniz, la substancesl force. changemenr, dvnamisme I , Le savor acquiert une fonction sociale. enseigner est important desormais. Fontenelle dr-sait deya de se harer de rerrclre ia philosophie prrpulaire pour faire avancer les peuples , L idee que I'humanitest en pro8rese repand, l"'Aufklarung' se considere d ariieurs non pas comme une force destructrice ce qLn exrstait, mals comme une' action de renor.'ation. de rec()nstltutron de I humanrteJ. E tlassrerer lire Phiioso$hie der Àufklarung Tubineenl9j2 PP lt'ti''s ibid r'.ll4
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II <strong>de</strong> Russie. Quoique correspondante <strong>de</strong> VoJtaire. amie <strong>de</strong> Di<strong>de</strong>ror er<br />
acquise aux enn'clopedistes, elle ne publie pas le brefr. Sir colleges<br />
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I L.l.uch lesurtenlexikon, Pa<strong>de</strong>rborn.19.34. p 62u<br />
I H Hoffmann, Ffiedrich II von Preus-sen und die Aufhebuns <strong>de</strong>r Gesellschafr Jesu<br />
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