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In Bombay, seit Indiens wirtschaftlicher Öffnung „der teuerste Slum der Welt“ (so der Kolumnist Sudhir Mulji), riechen Taxis am Morgen verläßlich nach Schlaf, ihre Fahrer können sich einen stundenlangen Heimweg nicht leisten. (Martin und Schumann, Die Globalisierungsfalle : 45) Unter dem Druck der organisierten Finanzindustrie folgen [die Nationalstaaten] beinahe weltweit dem Weg, den Sarazin von der Dresdner Bank und seine Kollegen auch 1996 erneut vorgaben: Senkung der Steuern auf Vermögen und Kapitalanlagen, Deregulierung aller Finanzdienstleistungen, Einsparung bei Ausgaben für staatliche Dienstleistungen und soziale Aufgaben. Denn, so Sarazin, hohe Steuersätze „nähren die Frustration und provozieren erst den Widerstand“, der zur Steuerflucht führe. (Martin und Schumann, Die Globalisierungsfalle : 96) Dieser Verzug könnte der ganzen Finanzwelt im Ernstfall zum Verhängnis werden. [...] „Ein größerer Bruch in der Abwicklungskette kann große Teile des Systems zum Stillstand bringen“, warnt Gerald Corrigan [...]. „Dann könnte die gefürchtete Blockade eintreten, in der die Marktteilnehmer zu dem Schluß kommen, das Sicherste sei, nichts mehr zu tun [...].“Die Guthaben, die auf diese Weise blockiert werden könnten, seien viel zu groß geworden. Das Handelsvolumen und die damit verbundenen Risiken, so Corrigan, „ wachsen viel schneller als die Fähigkeit der Banken, diese auch zu tragen“. (Martin und Schumann, Die Globalisierungsfalle : 132-133) Die Globalisierung ist das zentrale Thema, das Butros- Ghali seit einiger Zeit umtreibt. [...] Die vielfältigen und nicht synchronen Weltveränderungen, so Butros- Ghali, „verkomplizieren die Probleme ungemein und können gefährliche Spannungen hervorrufen“. Zu seiner größten Sorge wurde die Zukunft der Demokratie. (Martin und Schumann, Die Globalisierungsfalle : 254) [...] Karl Polanyi hat [...] detailliert nachgezeichnet, wie die Durchsetzung der Marktgesetze für die menschliche Arbeitskraft und damit die Auflösung der alten Sozialstrukturen die europäischen Staaten dazu zwang, sich immer tiefer in irrationale Abwehrmaßnahmen zu verstricken. Die Errichtung freier Märkte, so Polanyi, „führte keineswegs zur Abschaffung von Reglementierungen und Interventionen, sondern vielmehr zu deren enormer Ausweitung“. (Martin und Schumann, Die Globalisierungsfalle : 313) Augustin [...] warf schließlich die Frage auf, über welche Mittel er verfüge, um sich dem Menschen, den er liebe, vielleicht doch irgendwann zu nähern. Da gebe es einmal, Grace zufolge, sein erfrischendes Äußeres, ferner die Unbescholtenheit seines Wesens - so Demetrio - und vor allem das sichere Gefühl, am A Bombay, devenue depuis l’ouverture économique de l’Inde « le bidonville le plus cher du monde » (selon l’éditorialiste Sudhir Mulji), les taxis, le matin, sentent encore la nuit de sommeil : leurs conducteurs ne peuvent pas se permettre de rouler plusieurs heures pour rentrer chez eux. (Mannoni : 42) Sous la pression de l’industrie financière organisée, [les Etats nationaux] suivent presque dans le monde entier le chemin que Sarazin, de la Dresdner Bank, et ses collègues ont une fois de plus emprunté en éclaireurs en 1996 : diminution des impôts sur la fortune et le capital, dérégulation de toutes les prestations de service financières, économies dans les dépenses engendrées par les prestations de service de l’Etat et les missions sociales. Car, selon Sarazin, des taux d’imposition élevés « nourrissent la frustration et provoquent la résistance » qui mène à l’évasion des capitaux. (Mannoni : 90) En cas de problème sérieux, ce délai pourrait être fatal au monde financier tout entier. [...] « Une assez grande rupture dans la chaîne de la liquidation peut mettre au repos de grandes parties du système », avertit Gerald Corrigan [...]. « Dans ce cas pourrait survenir le blocage redouté, le point où les participants au marché en arrivent à la conclusion que le plus sûr est de ne plus rien faire [...]. » Les biens qui pourraient être bloqués de cette manière sont selon lui devenus beaucoup trop volumineux. Le volume des affaires et les risques qui leur sont liés « grandissent beaucoup plus vite », selon Corrigan, « que la capacité des banques à les assumer ». (Mannoni : 124) La mondialisation est le sujet qui préoccupe Boutros- Ghali depuis quelque temps. [...] Selon Boutros- Ghali, les transformations multiples et asynchrones du monde « compliquent extraordinairement les problèmes, et peuvent provoquer des tensions dangereuses ». L’avenir de la démocratie est devenu son plus grand souci. (Mannoni : 240) Karl Polanyi [...] a montré en détail [...] comment l’application des lois du marché à la main-d’œuvre humaine, et avec elle la décomposition des anciennes structures sociales, avait forcé les Etats européens à s’enfoncer de plus en plus profondément dans un système de mesures défensives irrationnelles. La création de marchés libres, selon Polanyi, « n’a pas du tout débouché sur l’élimination des règlements et des interventions, mais au contraire sur leur gigantesque extension. » (Mannoni : 293) Augustin [...] pour finir soulevait la question des atouts dont il disposait pour approcher peut-être un jour, tout de même, la personne qu’il aimait. Il y avait d’abord ce que Grace avait appelé son physique rafraîchissant, ensuite (selon Demetrio) l’intégrité de son caractère, et surtout cette conviction qu’il avait - 314 -

ehesten durch Zurückhaltung eine Frau zu gewinnen. (Kirchhoff, Infanta : 357) Des militaires échappant au contrôle de Pékin, avec la bénédiction des autorités portuaires et douanières, auraient saisi l’Alicia Star pour écouler les cigarettes en contrebande sur le sol chinois. Selon un responsable de l’Institut malaisien des affaires maritimes, cette affaire est « le symptôme d'un problème plus large en Chine : la perte d’autorité du centre sur la périphérie(5) ». (5) « China in transition », Hongkong (Far Eastern Economic Review Publication) 1994, S. 186. (Le Monde diplomatique, 2000-06 : 6) L’élection avait pour objectif d’assurer le reflet de ces divisions au sein de l'Organe chef du culte, seul moyen - selon les organisateurs musulmans et les autorités belges - d’asseoir sa légitimité. (Le Monde diplomatique, 2000-06 : 12) [...] La capitale de la Tanzanie abrite deux studios d’enregistrement dédiés au rap ainsi qu’une centaine de groupes. « Les modèles et le peu de matériel requis ont tout de suite plu à la jeunesse locale, explique M. Thomas Gesthuizen, vingt-sept ans, créateur d’un site Internet consacré aux musiques urbaines africaines(2). […]. » (2) Selon le site Africanhiphop.com (Le Monde diplomatique, 2000-12 : 32) que la plus sûre manière de plaire à une femme était la retenue. (Lortholary : 361) Militärs, die sich der Kontrolle Pekings entziehen, sollen mit dem Segen der Hafen- und Zollverwaltung die „Alicia Star“ abgefangen haben, um die Zigaretten als Schmuggelware auf dem chinesischen Festland in Umlauf zu bringen. Diese Affäre, so ein Vertreter des malaysischen Instituts für Seeangelegenheiten, ist „Symptom eines größeren Problems in China: der Autoritätsverlust der Zentralgewalt gegenüber der Peripherie“.(5) (5) China in transition, Far Eastern Economic Review Publication, Hongkong, 1994, p. 186. (taz, dans Le Monde diplomatique, 2000-06 : 6) Diese Verästelungen sollten sich im Zentralen Kultusorgan spiegeln, denn darauf allein - so die muslimischen Organisatoren und die belgischen Behörden - konnte seine Legitimität beruhen. (taz, dans Le Monde diplomatique, 2000-06 : 12) [Zwei Aufnahmestudios] eröffneten in Daressalam, in denen etwa hundert Gruppen ihren Rap produzieren. „Der musikalische Ausdruck und der geringe Materialaufwand haben Rap für die Jugendlichen hier sofort interessant gemacht“, sagt 27-jährige Thomas Gesthuizen, der eine Website für urbane afrikanische Musik betreibt.(2) [...]“ (2) So die Site Africanhiphop.com (taz, dans Le Monde diplomatique, 2000-12 : 32) Verbes introducteurs Wenn wir auf die natürliche Weise krank werden und ein solches Krankenhaus aufsuchen müssen, können wir von Glück reden, so mein Großvater. Aber, so weiter, wir wissen nicht, ob wir tatsächlich auf die natürliche Weise in das Krankenhaus hereingekommen sind oder nicht. Es kann sein, daß wir nur glauben, auf die natürliche, ja auf die natürlichste Weise hereingekommen zu sein, während wir doch nur auf die künstliche, möglicherweise auf die künstlichste Weise hereingekommen sind. Aber das ist gleichgültig. Wir haben dann, so mein Großvater weiter, auf jeden Fall den Berechtigungsausweis für den Denkbezirk. (Bernhard, Der Atem : 61-62) Si nous tombons malades de la façon naturelle et devons aller dans un pareil hôpital, nous pouvons dire que nous avons de la chance, ainsi parlait mon grandpère. Mais, continuait-il, nous ignorons tous si nous sommes effectivement entrés ou non à l’hôpital de la façon naturelle. Il se peut que nous croyions seulement être entrés de la façon naturelle alors que nous sommes pourtant entrés de la façon artificielle. Mais cela est indifférent. Nous avons alors en tout cas, poursuivait mon grand-père, un titre justificatif pour entrer dans le district de la pensée. (Kohn : 245-246) In freier Rede umriß [Arthuis] anschließend das eigentliche Ziel der EWU. Gelinge das Vorhaben, so Arthuis, dann könne der „Euro zur führenden Reservewährung der Welt“ aufsteigen, gestützt durch den weltgrößten Binnenmarkt [...]. Auf dieser Basis könnte Europa mit den USA gleichziehen. (Martin und Schumann, Die Globalisierungsfalle : 113) Sogar der Wiener Erzbischof Christoph Schönborn [...] mischte sich in die Debatte ein. „Wenn zwei der Puis, dans un discours improvisé, [Arthuis] chercha à définir le véritable objectif de l’Union monétaire européenne. Si le projet aboutissait, affirma Jean Arthuis, l’euro pourrait devenir « la monnaie de référence la plus importante du monde », soutenue par le plus grand des marchés intérieurs de la planète [...]. Sur cette base, l’Europe pourrait faire jeu égal avec les Etats-Unis. (Mannoni : 107) Même l’archevêque de Vienne, Christoph Schönborn [...] est intervenu dans le débat : « Lorsque deux des - 315 -

In Bombay, seit Indiens wirtschaftlicher Öffnung „<strong>de</strong>r<br />

teuerste Slum <strong>de</strong>r Welt“ (so <strong>de</strong>r Kolumnist Sudhir<br />

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Schlaf, ihre Fahrer können sich einen stun<strong>de</strong>nlangen<br />

Heimweg nicht leisten. (Martin und Schumann, Die<br />

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Unter <strong>de</strong>m Druck <strong>de</strong>r organisierten Finanzindustrie<br />

folgen [die Nationalstaaten] beinahe weltweit <strong>de</strong>m<br />

Weg, <strong>de</strong>n Sarazin von <strong>de</strong>r Dresdner Bank und seine<br />

Kollegen auch 1996 erneut vorgaben: Senkung <strong>de</strong>r<br />

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Deregulierung aller Finanzdienstleistungen,<br />

Einsparung bei Ausgaben für staatliche<br />

Dienstleistungen und soziale Aufgaben. Denn, so<br />

Sarazin, hohe Steuersätze „nähren die Frustration und<br />

provozieren erst <strong>de</strong>n Wi<strong>de</strong>rstand“, <strong>de</strong>r zur Steuerflucht<br />

führe. (Martin und Schumann, Die<br />

Globalisierungsfalle : 96)<br />

Dieser Verzug könnte <strong>de</strong>r ganzen Finanzwelt im<br />

Ernstfall zum Verhängnis wer<strong>de</strong>n. [...] „Ein größerer<br />

Bruch in <strong>de</strong>r Abwicklungskette kann große Teile <strong>de</strong>s<br />

Systems zum Stillstand bringen“, warnt Gerald<br />

Corrigan [...]. „Dann könnte die gefürchtete Blocka<strong>de</strong><br />

eintreten, in <strong>de</strong>r die Marktteilnehmer zu <strong>de</strong>m Schluß<br />

kommen, das Sicherste sei, nichts mehr zu tun<br />

[...].“Die Guthaben, die auf diese Weise blockiert<br />

wer<strong>de</strong>n könnten, seien viel zu groß gewor<strong>de</strong>n. Das<br />

Han<strong>de</strong>lsvolumen und die damit verbun<strong>de</strong>nen Risiken,<br />

so Corrigan, „ wachsen viel schneller als die<br />

Fähigkeit <strong>de</strong>r Banken, diese auch zu tragen“. (Martin<br />

und Schumann, Die Globalisierungsfalle : 132-133)<br />

Die Globalisierung ist das zentrale Thema, das Butros-<br />

Ghali seit einiger Zeit umtreibt. [...] Die vielfältigen<br />

und nicht synchronen Weltverän<strong>de</strong>rungen, so Butros-<br />

Ghali, „verkomplizieren die Probleme ungemein und<br />

können gefährliche Spannungen hervorrufen“. Zu<br />

seiner größten Sorge wur<strong>de</strong> die Zukunft <strong>de</strong>r<br />

Demokratie. (Martin und Schumann, Die<br />

Globalisierungsfalle : 254)<br />

[...] Karl Polanyi hat [...] <strong>de</strong>tailliert nachgezeichnet,<br />

wie die Durchsetzung <strong>de</strong>r Marktgesetze für die<br />

menschliche Arbeitskraft und damit die Auflösung <strong>de</strong>r<br />

alten Sozialstrukturen die europäischen Staaten dazu<br />

zwang, sich immer tiefer in irrationale<br />

Abwehrmaßnahmen zu verstricken. Die Errichtung<br />

freier Märkte, so Polanyi, „führte keineswegs zur<br />

Abschaffung von Reglementierungen und<br />

Interventionen, son<strong>de</strong>rn vielmehr zu <strong>de</strong>ren enormer<br />

Ausweitung“. (Martin und Schumann, Die<br />

Globalisierungsfalle : 313)<br />

Augustin [...] warf schließlich die Frage auf, über<br />

welche Mittel er verfüge, um sich <strong>de</strong>m Menschen, <strong>de</strong>n<br />

er liebe, vielleicht doch irgendwann zu nähern. Da<br />

gebe es einmal, Grace zufolge, sein erfrischen<strong>de</strong>s<br />

Äußeres, ferner die Unbescholtenheit seines Wesens -<br />

so Demetrio - und vor allem das sichere Gefühl, am<br />

A Bombay, <strong>de</strong>venue <strong>de</strong>puis l’ouverture économique<br />

<strong>de</strong> l’In<strong>de</strong> « le bidonville le plus cher du mon<strong>de</strong> »<br />

(selon l’éditorialiste Sudhir Mulji), les taxis, le<br />

matin, sentent encore la nuit <strong>de</strong> sommeil : leurs<br />

conducteurs ne peuvent pas se permettre <strong>de</strong> rouler<br />

plusieurs heures pour rentrer chez eux. (Mannoni : 42)<br />

Sous la pression <strong>de</strong> l’industrie financière organisée,<br />

[les Etats nationaux] suivent presque dans le mon<strong>de</strong><br />

entier le chemin que Sarazin, <strong>de</strong> la Dresdner Bank, et<br />

ses collègues ont une fois <strong>de</strong> plus emprunté en<br />

éclaireurs en 1996 : diminution <strong>de</strong>s impôts sur la<br />

fortune et le capital, dérégulation <strong>de</strong> toutes les<br />

prestations <strong>de</strong> service financières, économies dans les<br />

dépenses engendrées par les prestations <strong>de</strong> service <strong>de</strong><br />

l’Etat et les missions sociales. Car, selon Sarazin, <strong>de</strong>s<br />

taux d’imposition élevés « nourrissent la frustration et<br />

provoquent la résistance » qui mène à l’évasion <strong>de</strong>s<br />

capitaux. (Mannoni : 90)<br />

En cas <strong>de</strong> problème sérieux, ce délai pourrait être fatal<br />

au mon<strong>de</strong> financier tout entier. [...] « Une assez gran<strong>de</strong><br />

rupture dans la chaîne <strong>de</strong> la liquidation peut mettre au<br />

repos <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s parties du système », avertit Gerald<br />

Corrigan [...]. « Dans ce cas pourrait survenir le<br />

blocage redouté, le point où les participants au marché<br />

en arrivent à la conclusion que le plus sûr est <strong>de</strong> ne<br />

plus rien faire [...]. » Les biens qui pourraient être<br />

bloqués <strong>de</strong> cette manière sont selon lui <strong>de</strong>venus<br />

beaucoup trop volumineux. Le volume <strong>de</strong>s affaires et<br />

les risques qui leur sont liés « grandissent beaucoup<br />

plus vite », selon Corrigan, « que la capacité <strong>de</strong>s<br />

banques à les assumer ». (Mannoni : 124)<br />

La mondialisation est le sujet qui préoccupe Boutros-<br />

Ghali <strong>de</strong>puis quelque temps. [...] Selon Boutros-<br />

Ghali, les transformations multiples et asynchrones du<br />

mon<strong>de</strong> « compliquent extraordinairement les<br />

problèmes, et peuvent provoquer <strong>de</strong>s tensions<br />

dangereuses ». L’avenir <strong>de</strong> la démocratie est <strong>de</strong>venu<br />

son plus grand souci. (Mannoni : 240)<br />

Karl Polanyi [...] a montré en détail [...] comment<br />

l’application <strong>de</strong>s lois du marché à la main-d’œuvre<br />

humaine, et avec elle la décomposition <strong>de</strong>s anciennes<br />

structures sociales, avait forcé les Etats européens à<br />

s’enfoncer <strong>de</strong> plus en plus profondément dans un<br />

système <strong>de</strong> mesures défensives irrationnelles. La<br />

création <strong>de</strong> marchés libres, selon Polanyi, « n’a pas du<br />

tout débouché sur l’élimination <strong>de</strong>s règlements et <strong>de</strong>s<br />

interventions, mais au contraire sur leur gigantesque<br />

extension. » (Mannoni : 293)<br />

Augustin [...] pour finir soulevait la question <strong>de</strong>s<br />

atouts dont il disposait pour approcher peut-être un<br />

jour, tout <strong>de</strong> même, la personne qu’il aimait. Il y avait<br />

d’abord ce que Grace avait appelé son physique<br />

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son caractère, et surtout cette conviction qu’il avait<br />

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