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Réflexion sur le chapitre : Deux grands principes s’opposent : le plus ancien, le procédé soustractif à partir d’un bloc de matériau, et les plus récent : les procédés additifs. De ce fait, la plupart des laboratoires équipés de systèmes de CFAO possèdent un procédé soustractif. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les laboratoires ne se soucient pas réellement du nombre d’axes de la machine ou encore du type de procédé de la machine, mais ils font leur choix en fonction des matériaux qu’elle peut utiliser, de son rendement, de l’état de surface de la pièce prothétique obtenue, et bien sûr du prix. Certaines machines qui paraissent pourtant équivalentes à d’autres, ne permettent pas d’obtenir une pièce prothétique avec un état de surface convenable. Cela nécessite une étape supplémentaire et donc une perte de temps. 48

V. MATERIAUX Fig. 35 : Ensemble des matériaux accessibles par CFAO et leurs utilisations. (3) Presque tous les matériaux les plus souvent utilisés en prothèse conventionnelle sont accessibles à la CFAO (fig. 35). Cependant, tous les systèmes actuels de FAO sur le marché ne donnent pas accès à tous les matériaux. 1. METAUX (3, 12, 16, 48, 57) Les alliages précieux sont peu utilisés en CFAO en raison de leur important coût financier. En revanche, le titane et le chrome-cobalt sont eux, plus répandus. Leurs indications et utilisations sont les mêmes qu’en prothèse traditionnelle (fig. 36). Il n’y a pas de modification entre le Chrome-cobalt utilisé pour la CFAO et pour les techniques traditionnelles. Seul son procédé d’élaboration va changer. 49

Réf<strong>le</strong>xion sur <strong>le</strong> chapitre :<br />

Deux grands principes s’opposent : <strong>le</strong> plus ancien, <strong>le</strong> procédé soustractif à <strong>par</strong>tir d’un bloc<br />

<strong>de</strong> matériau, et <strong>le</strong>s plus récent : <strong>le</strong>s procédés additifs.<br />

De ce fait, la plu<strong>par</strong>t <strong>de</strong>s laboratoires équipés <strong>de</strong> systèmes <strong>de</strong> CFAO possè<strong>de</strong>nt un procédé<br />

soustractif.<br />

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, <strong>le</strong>s laboratoires ne se soucient pas réel<strong>le</strong>ment<br />

du nombre d’axes <strong>de</strong> la machine ou encore du type <strong>de</strong> procédé <strong>de</strong> la machine, mais ils font<br />

<strong>le</strong>ur choix en fonction <strong>de</strong>s matériaux qu’el<strong>le</strong> peut utiliser, <strong>de</strong> son ren<strong>de</strong>ment, <strong>de</strong> l’état <strong>de</strong><br />

surface <strong>de</strong> la pièce prothétique obtenue, et bien sûr du prix. <strong>Ce</strong>rtaines machines qui<br />

<strong>par</strong>aissent pourtant équiva<strong>le</strong>ntes à d’autres, ne permettent pas d’obtenir une pièce<br />

prothétique avec un état <strong>de</strong> surface convenab<strong>le</strong>. <strong>Ce</strong>la nécessite une étape supplémentaire et<br />

donc une perte <strong>de</strong> temps.<br />

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