ParaPente, massif du mont-Blanc sandy cochepain (quadruple ...
ParaPente, massif du mont-Blanc sandy cochepain (quadruple ...
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<strong>ParaPente</strong>, <strong>massif</strong> <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-<strong>Blanc</strong><br />
<strong>sandy</strong> <strong>cochepain</strong> (<strong>quadruple</strong> championne <strong>du</strong> monde<br />
de parapente) joue les filles de l’air sur ses “terres“.<br />
© Philippe fragnol
travaux “acros“, <strong>massif</strong> <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-<strong>Blanc</strong><br />
repérage pour un chantier “acrobatique“ sur l’antenne de<br />
l’aiguille <strong>du</strong> midi. même le travail peut être extrême à chamonix…<br />
© Philippe fragnol
freeride, <strong>massif</strong> <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-<strong>Blanc</strong><br />
Jérôme ruby, sur un “secret spot“, l’itinéraire<br />
le plus direct pour rentrer à la maison…<br />
© Philippe fragnol
Alpinisme, mAssif <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-BlAnc<br />
Jean-Yves fredriksen dit “Blutch“ et plus bas dans la face<br />
(à l’ombre) martial <strong>du</strong>mas, dit “cochonette“, lors de la<br />
“réouverture“ <strong>du</strong> pilier Bonatti, après l‘effondrement des drus.<br />
© philippe fragnol
snowBoArd extrême, mAssif <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-BlAnc<br />
dédé rhem et Jérôme ruby dans le bas de la face<br />
nord <strong>du</strong> triolet. la partie la plus raide, avec un<br />
inclinomètre qui oscille entre 60 et 62 °.<br />
© philippe fragnol
Hélico, <strong>massif</strong> <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-<strong>Blanc</strong><br />
vision rare <strong>du</strong> <strong>massif</strong> dans son intégralité, prise depuis<br />
un hélicoptère à 7200 m d’altitude -et sans oxygène- !<br />
© Philippe fragnol
S AV OI E M ON T B L A N C , F R E E P R E S S E E T B E R C y V I L L A g E<br />
philippe frAgnol<br />
avec son hasseblad à objectif rotatif,<br />
l’arme absolue pour shooter en panoramique.<br />
pfragnol@piterak.com<br />
Loin des modes et des tendances, les images de Philippe Fragnol<br />
(chamoniard d’adoption depuis 1985) sont intemporelles, rendant justice<br />
avant tout au décor grandiose plutôt qu’à l’action en tant que telle.<br />
Comme beaucoup de grands photographes, Philippe Fragnol attrape<br />
très tôt le virus de l’image. À l’âge de huit ans exactement, quand<br />
son père lui donne son premier appareil photo. Quelques années plus<br />
tard, « à force de galérer », il décide de tenter d’en vivre. Quand on lui<br />
demande quand exactement il est devenu photographe professionnel,<br />
il répond, le sourire aux lèvres : « pas encore ! ». Et pourtant. Depuis<br />
ses débuts de “presque pro“ en 1978 ; Philippe a capturé quelques<br />
images qui ont marqué leur époque. On a tous au moins une photo<br />
de lui en tête, que ce soit la fameuse image de Dédé Rhem et Jérôme<br />
Ruby dans la face nord <strong>du</strong> Triolet , ou celle de Bertie Denervaud en<br />
Backside air au Groenland. S’il refuse de se considérer comme un<br />
spécialiste de l’image en hélico, Fragnol reconnaît aimer travailler avec<br />
cet engin. Il y passera plusieurs centaines d’heures, à travailler –le plus<br />
souvent avec Pascal Brun aux commandes- pour les plus grands<br />
noms, de Jean-Marc Boivin à Bruno Gouvy ou encore Serge Vitelli et<br />
bien d’autres. Des grands noms, qui pour certains ont rejoint bien trop<br />
vite le panthéon des accros de l’Extrême. Pas toujours facile d’être<br />
photographe à Chamonix.<br />
P R É S E N T E N T<br />
« S O M M E T S d E L’ h I V E R »<br />
P h i l i p p e F r a g n ol<br />
P h oto g r a p h e d e l’ E xt r ê m e<br />
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alPinisme, <strong>massif</strong> <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-<strong>Blanc</strong><br />
les grandes Jorasses. une image impossible à faire en hiver,<br />
puisque la lumière ne touche pas les Jorasses, le photographe<br />
a profité d’un soir de printemps où il venait de neiger…<br />
© Philippe fragnol
freeride, <strong>massif</strong> <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-<strong>Blanc</strong><br />
un peu de douceur dans un monde de brutes ! la snowboardeuse<br />
autrichienne nici Pederzolli joue avec le graphisme <strong>du</strong> terrain pour<br />
les besoins d’une publicité.<br />
© Philippe fragnol
Base JumP, <strong>massif</strong> <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-<strong>Blanc</strong><br />
avec leur “Wingsuits“, combinaisons de vol profilées comme<br />
une aile d’avion, les “chuteurs“ ou “base jumpers“ sont devenus<br />
de véritables hommes-oiseaux. comme ici, lors d’une scène<br />
de poursuite <strong>du</strong> film “apocalypse snow, le retour“.<br />
© Philippe fragnol
<strong>ParaPente</strong> acroBatique, <strong>massif</strong> <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-<strong>Blanc</strong><br />
raoul rodriguez, champion <strong>du</strong> monde de voltige et antoine<br />
<strong>mont</strong>ant, vice-champion <strong>du</strong> monde, organisent un ballet en<br />
plein ciel. Pendant le tournage <strong>du</strong> film de glisse “apocalypse<br />
snow, le retour“, réalisé par didier lafond.<br />
© Philippe fragnol
pAuse dAns l’extrême, mAssif <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-BlAnc<br />
le refuge <strong>du</strong> requin, un havre de confort accessible<br />
depuis la mer de glace.<br />
© philippe fragnol
freeride, mAssif <strong>du</strong> <strong>mont</strong>-BlAnc<br />
le regretté pierre André rhem, dit “dédé“, dans une variante<br />
<strong>du</strong> pas de chèvre. « une journée exceptionnelle, comme<br />
on en connaît que très rarement », souligne le photographe.<br />
© philippe fragnol
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