fr - Musée Würth France Erstein
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MFB - octobre 2008<br />
Français<br />
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MFB - octobre 2008<br />
DOSSIER DE PRESSE<br />
Contact : Marie-<strong>France</strong> Bertrand<br />
L.D. +33 (0) 3 88 64 62 45<br />
Mob. +33 (0) 6 24 57 00 22<br />
e-mail : marie-<strong>fr</strong>ance.bertrand@wurth.<strong>fr</strong><br />
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MFB - octobre 2008<br />
SOMMAIRE<br />
INFORMATIONS PRATIQUES<br />
L’EXPOSITION<br />
TEXTE D’INTENTION : RAISON ET DERISION…<br />
CATALOGUE D’EXPOSITION<br />
LISTE DES ŒUVRES EXPOSEES<br />
BIOGRAPHIE DE FRANÇOIS MORELLET<br />
LE GROUPE WÜRTH<br />
CD-ROM IMAGES<br />
Toutes les activités du <strong>Musée</strong> <strong>Würth</strong> <strong>France</strong> <strong>Erstein</strong> sont des projets de <strong>Würth</strong> <strong>France</strong> S.A.<br />
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MFB - octobre 2008<br />
INFORMATIONS PRATIQUES<br />
MUSEE WÜRTH FRANCE ERSTEIN<br />
Z.I. ouest / rue Georges Besse / BP 40013 / F – 67158 <strong>Erstein</strong> cedex<br />
Tél. : + 33 (0) 3 88 64 74 84 / Fax : + 33 (0) 3 88 64 74 88<br />
SITE INTERNET<br />
www.musee-wurth.<strong>fr</strong><br />
Pour être informé des activités du musée, adressez les coordonnées complètes par e-mail à :<br />
mwfe.info@wurth.<strong>fr</strong><br />
Les activités des musées abritant la Collection <strong>Würth</strong> en Allemagne sont visibles sur :<br />
www.kunst.wuerth.com<br />
HORAIRES<br />
Du mardi au dimanche de 11 à 18 heures<br />
TARIFS<br />
Normal : 4 €<br />
Réduit : 2 € (étudiants, seniors, artistes, groupes à partir de 10 personnes, carte Cezam)<br />
Gratuit : Pass <strong>Musée</strong>s, groupes scolaires (sur réservation)<br />
VISITES GUIDEES<br />
Sur réservation (langue à la demande)<br />
Tarif : 80 € (maximum 25 personnes)<br />
ACCES<br />
Parking voitures et cars de tourisme<br />
Accès handicapés<br />
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PLAN<br />
Prendre la sortie <strong>Erstein</strong>-Gare<br />
Suivre la direction Z.I. OUEST et les panneaux<br />
MFB - octobre 2008<br />
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MFB - octobre 2008<br />
FRANÇOIS MORELLET – RAISON ET DERISION<br />
L’exposition François Morellet - raison et dérision est élaborée en étroite collaboration avec<br />
l’artiste à partir d’un choix d’œuvres dans la collection <strong>Würth</strong> et dans son atelier. La sélection<br />
des pièces présentées est complétée par des prêts provenant d’autres collections. Le titre de<br />
l’exposition qui oppose deux termes en un « couple contre-nature » (Morellet) résume à lui seul<br />
l’esprit qui a présidé au travail de l’artiste depuis près de cinquante ans : la « Raison », faculté<br />
sérieuse, le dispute toujours à la « Dérision », attitude désinvolte, <strong>fr</strong>ivole et parfois insolente. C’est<br />
pourquoi le parcours de l’exposition vise notamment à éclairer les stratégies mises en œuvre par<br />
François Morellet tout au long de sa carrière pour introduire une forme de polysémie<br />
surprenante dans l’art concret : hasard, absurdité, ambivalence, humour, parodie et jeux de<br />
langage.<br />
SYSTEMES ET HASARD<br />
Afin de parvenir à un maximum d’objectivité, François Morellet a commencé à travailler, à partir<br />
des années 1950, avec des systèmes. Il explique ainsi : « Pour moi un système c’est une sorte de<br />
règle du jeu très concise qui existe avant l’œuvre et détermine précisément son<br />
développement et donc son exécution. J’ai choisi ce terme parce qu’il pouvait désigner une<br />
attitude que j’aime beaucoup, celle des artistes qui ne s’identifient pas avec ce qu’ils font […].<br />
Le système permet de diminuer le nombre de décisions subjectives et de laisser l’œuvre se faire<br />
elle-même pour ainsi dire devant le spectateur. »<br />
Les systèmes employés par l’artiste ne sont pas figés : François Morellet, qui revendique une<br />
ambivalence faite d’ordre et de chaos, de sérieux et de jeu, introduit un facteur de<br />
perturbation dans ses constructions. Dès la fin des années 1950, le hasard devient ainsi<br />
instrument de la dérision : « J’ai toujours été passionné par le mariage de l’ordre et du désordre<br />
que ce soit l’un qui produise ou perturbe l’autre ou l’autre qui produise ou perturbe l’un. J’ai<br />
découvert vers 1958 que le hasard pouvait ainsi servir à faire vivre (c’est-à-dire casser) mes<br />
systèmes qui m’étaient apparus un peu trop endormis dans leur autosatisfaction. J’aimais que<br />
ces perturbations, ces accidents soient dus à un hasard programmé et non à la subjectivité de<br />
mes caprices d’artiste. »<br />
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ŒUVRES MONUMENTALES<br />
La première partie de l’exposition réunit des œuvres de grandes dimensions que François<br />
Morellet a conçues depuis le milieu des années 1970 pour des façades ou des espaces<br />
monumentaux. Les impressionnantes 3 doubles trames 0°-30°-60°, jamais montrées dans leur<br />
globalité, révèlent dans la grande salle du musée leur pleine dimension. Le visiteur est<br />
également invité à découvrir des œuvres en néon conçues initialement comme des<br />
interventions sur des architectures : π piquant de façade n°1, 1=45° et π Rococo bleu. Grâce au<br />
néon, matériau industriel et moderne, l’artiste dispose de droites et de courbes qui se<br />
développent sur la surface des murs ou dans l’espace. Ainsi, l’œuvre Lamentable composée<br />
d’arcs qui, ordonnés bout à bout donneraient un cercle parfait, pend au plafond et se déverse<br />
maladroitement sur le sol en un désordre aléatoire.<br />
Apparue dans les années 1950, la ligne traverse les œuvres de Morellet, définit des trames et des<br />
grilles et devient même motif. Croisée, superposée, juxtaposée, <strong>fr</strong>agmentée, elle s’élargit parfois<br />
pour devenir bande. L’œuvre Débandade sur la pointe n°2 se joue ainsi de l’apparition et de la<br />
disparition des bandes sur les toiles et sur le mur, tandis que Striptyque n°1 explore, à la manière<br />
d’un inventaire, les différentes possibilités de la ligne. Derrière la rigueur formelle de l’abstraction<br />
géométrique, François Morellet parvient à suggérer une interprétation ironique de ses œuvres :<br />
les titres, dans lesquels il se joue de l’ambivalence des mots, introduisent l’humour dans son<br />
travail et deviennent dès lors le moteur de l’interprétation des œuvres.<br />
REPARTITIONS ALEATOIRES<br />
La deuxième partie de l’exposition met en lumière la recherche par François Morellet de<br />
l’objectivité maximale par l’élimination des décisions subjectives. À l’instar de Max Bill, Morellet<br />
choisit de favoriser un système au détriment de l’individu. Dans les Répartitions aléatoires de<br />
40 000 carrés il élabore un système de construction « neutre » et vérifiable par le spectateur :<br />
après avoir tracé sur une toile 200 lignes horizontales et 200 lignes verticales qui forment un<br />
damier, Morellet détermine le choix de la couleur des carrés selon les chif<strong>fr</strong>es pairs ou impairs<br />
des numéros d’un annuaire téléphonique. Le tableau ainsi structuré stimule l’œil du spectateur<br />
par un effet de dérangement optique qui se retrouve dans des œuvres comme 3 trames de<br />
tirets réguliers noirs sur blanc pivotées sur un côté ou 5 trames de tirets pivotés sur un côté. Cette<br />
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MFB - octobre 2008<br />
volonté de transformer la relation entre œuvre et public, s’inscrit dans la droite ligne des<br />
recherches du GRAV (Groupe de Recherche d’Art Visuel), dont Morellet fut l’un des co-<br />
fondateurs en 1960 et un membre important jusqu’à sa dissolution en 1968.<br />
LE SYSTEME Π<br />
Dans la troisième partie de l’exposition sont illustrées de façon exemplaire les possibilités que<br />
François Morellet parvient à tirer de l’utilisation du nombre π. Les décimales (3, 14159 …) sont<br />
utilisées comme des vecteurs de répartition ou de progression. Ainsi, dans l’œuvre π piquant<br />
n°1, 1=10°, 51 décimales, la multiplication des chif<strong>fr</strong>es de π par un coefficient en degré, ici 10°,<br />
permet d’obtenir différents angles (30°, 10°, 40°, 10°, 50°, etc.) qui relient des segments de droite<br />
d’égale longueur. La quantité des décimales utilisées est également mentionnée dans le titre-<br />
programme de l’œuvre. Morellet applique ce système sur le plan, aussi bien que dans l’espace,<br />
à l’aide de matériaux divers.<br />
Dans la plupart de ses peintures, Morellet n’utilise que le noir et le blanc, mais lorsqu’il décide<br />
d’employer la couleur, ce qui met en danger l’objectivité qu’il recherche, il essaye d’adopter<br />
une attitude la plus neutre possible en s’imposant à nouveau des contraintes. Le choix des<br />
couleurs est alors déterminé par les couleurs utilisées dans l’imprimerie, par des couleurs tirées au<br />
sort, ou par con<strong>fr</strong>ontation de deux couleurs à tonalité égale.<br />
AFFINITES ELECTIVES : ARP, DUCHAMP, PICABIA…<br />
Humour, ironie, dérision et cette disposition qui consiste à ne pas prendre toute chose trop au<br />
sérieux sont présents aussi chez d’autres artistes, également en lien avec l’Art Concret. François<br />
Morellet a exprimé ses affinités électives avec beaucoup d’entre eux : ainsi avec Paul Klee et<br />
Sophie Taeuber-Arp dont les compositions légères sont souvent caractérisées par un ton<br />
empreint de gaîté et d’humour. Avec Jean Hans Arp et Kurt Schwitters également, dont les<br />
expérimentations dadaïstes sont fondées, comme le travail de Morellet, sur l’exploration des<br />
liens entre ordre et chaos. A maintes reprises, il s’est exprimé sur l’importance de Marcel<br />
Duchamp pour lui : « On en a fait à une certaine époque, une sorte de dynamiteur de la<br />
société, alors qu’il était plutôt un bourgeois génialement ironique. C’est pour cela que j’ai moins<br />
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MFB - octobre 2008<br />
de honte de m’en faire un père. » L’ironie insolente d’un Francis Picabia, Jean Tinguely, Robert<br />
Filliou ou Bertrand Lavier est également proche de Morellet. En outre, il se reconnaît dans une<br />
jeune génération, représentée par exemple par l’artiste suisse John M. Armleder, qui alterne<br />
avec nonchalance et ironie entre anti-art et esthétique idéaliste de l’art concret ; une<br />
approche qui se retrouve aussi dans le travail de Thomas Baumann. Cette section<br />
complémentaire de l’exposition, permet de remettre en perspective les œuvres de Morellet.<br />
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TEXTE D’INTENTION :<br />
RAISON ET DERISION…<br />
… c’est donc le titre que j’ai donné à ces deux grandes expositions réalisées grâce à l’entreprise<br />
<strong>Würth</strong> et qui comprennent un choix parmi les œuvres que j’ai réalisées depuis une cinquantaine<br />
d’années.<br />
Je vais tenter ici d’expliquer, sinon de justifier ce titre basé sur l’ambiguïté d’un jeu de mot.<br />
Tout d’abord je sais que d’une part ces sortes de « manipulation » des mots est le cauchemar<br />
des traducteurs (je plaide coupable) et que par ailleurs beaucoup d’étrangers sérieux sont<br />
énervés par cet emploi abusif des jeux de mots (calembours, à-peu-près, contrepétries,<br />
palindromes, …) que pratiquent avec délectation de nombreux <strong>fr</strong>ançais dont je fais partie.<br />
Aux yeux d’observateurs malveillants ma vie doit sembler s’être transformée petit à petit en un<br />
grand terrain de jeu où les mots, les formes, les idées se groupent ou se séparent selon des règles<br />
<strong>fr</strong>ivoles et de préférence absurdes.<br />
Ainsi, pour mon titre, j’accouple le mot « Raison » qui désigne une faculté sérieuse avec le mot<br />
« Dérision » qui s’applique à une attitude désinvolte. Ces deux mots, par ailleurs, font croire à<br />
une racine commune (inexistante), alors que leur petit air de famille n’est trivialement donné<br />
que par la prononciation.<br />
Oui, je l’avoue, je suis heureux que ce soit ce couple contre-nature qui donne son nom à mon<br />
exposition. J’assume, bien sûr, le sens commun des deux mots. Mon petit Larousse m’affirme que<br />
la raison est « la faculté de connaître, de juger » et ajoute que c’est « la faculté intellectuelle<br />
opposée à l’intuition, aux sentiments ». Je suis d’accord, en reprenant toutefois, la même<br />
réserve que j’avais faite dans un entretien avec Christian Besson en 1985 : « J’ai été en fait plus<br />
attiré par la logique que par le rationalisme. Le rationalisme c’est, d’après mon dictionnaire, une<br />
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MFB - octobre 2008<br />
doctrine, une croyance, alors que la logique c’est une science et puis surtout ça se marie mieux<br />
avec absurde et n’évoque pas l’horrible ‘raisonnable’. »<br />
Mais si je tiens à garder à la « Raison » son piédestal impressionnant, pur et dur, ce n’est que<br />
pour mieux le miner avec l’insidieuse, l’insouciante, l’insaisissable, l’insoumise, l’insolente<br />
« Dérision ».<br />
Cette dérision qui est l’arme absolue et … dérisoire de ma <strong>fr</strong>ivolité, dont j’ai longtemps eu honte<br />
et qu’aujourd’hui je revendique fièrement. J’ai d’ailleurs trouvé un réconfort et une justification<br />
auprès de l’essayiste et moraliste, super-cynique et pessimiste Cioran qui écrivait en 1949 :<br />
« Personne n’atteint d’emblée la <strong>fr</strong>ivolité. C’est un privilège et un art ; c’est la recherche du<br />
superficiel chez ceux qui s’étant avisés de l’impossibilité de toute certitude, en ont conçu le<br />
dégoût ; c’est la fuite loin des abîmes, qui, étant naturellement sans fond, ne peuvent mener<br />
nulle part. »<br />
Après ce sombre éloge et pour finir avec plus de « Dérision » voici une citation de moi-même<br />
toujours tirée de l’interview de 1985 : « On commence dans sa jeunesse par vouloir tout justifier<br />
par des idéalismes qui vous arrangent, et puis on garde les mêmes goûts mais on remplace la<br />
morale puérile par un cynisme sénile. Mon père vieux était plus <strong>fr</strong>ivole que moi jeune, mais moi<br />
vieux j’ai dû le rattraper. »<br />
François Morellet, juin 2008<br />
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CATALOGUE DE L’EXPOSITION<br />
Titre : François Morellet – raison et dérision / Vernunft und Ironie<br />
Catalogue bilingue <strong>fr</strong>ançais / allemand<br />
Format : 225 x 280 mm, à la <strong>fr</strong>ançaise<br />
Nombre de pages : 154 pages<br />
Prix public de vente : 34,80 €<br />
Editeur : <strong>Musée</strong> <strong>Würth</strong> <strong>France</strong> <strong>Erstein</strong> / Swiridoff Verlag<br />
ISBN : 978-3-89929-145-2<br />
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MFB - octobre 2008<br />
LISTE DES ŒUVRES EXPOSEES<br />
François MORELLET<br />
1958<br />
6 répartitions aléatoires de 4 carrés noirs et blancs d’après les chif<strong>fr</strong>es pairs et impairs<br />
du nombre π<br />
Huile sur bois<br />
<strong>Musée</strong> national d’art moderne/Centre Georges Pompidou, Paris<br />
François MORELLET<br />
1958<br />
Réaction avec le noir et le blanc d’une couleur tirée au hasard (d'après le nombre π)<br />
Huile sur bois<br />
Stiftung für konkrete Kunst, Reutlingen / Collection Man<strong>fr</strong>ed Wandel<br />
François MORELLET<br />
1960<br />
Tirets 0°- 90°<br />
Huile sur toile<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
1961<br />
Répartition aléatoire de 40.000 carrés suivant les chif<strong>fr</strong>es pairs et impairs d'un annuaire de<br />
téléphone (50% magenta, 50% bleu)<br />
Sérigraphie sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4664<br />
François MORELLET<br />
1961<br />
Répartition aléatoire de 40.000 carrés suivant les chif<strong>fr</strong>es pairs et impairs d'un annuaire de<br />
téléphone (50% bleu moyen, 50% noir)<br />
Sérigraphie sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4665<br />
François MORELLET<br />
1961<br />
Répartition aléatoire de 40.000 carrés suivant les chif<strong>fr</strong>es pairs et impairs d'un annuaire de<br />
téléphone (50% rouge, 50% vert)<br />
Sérigraphie sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4666<br />
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François MORELLET<br />
1962<br />
Sphère-trames<br />
Acier Inox<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 6626<br />
François MORELLET<br />
1970<br />
3 trames de tirets réguliers noirs sur blanc pivotées sur un côté<br />
Sérigraphie sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4667<br />
François MORELLET<br />
1971<br />
5 trames de tirets pivotés sur un côté (de l'orange au jaune)<br />
Sérigraphie sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4668<br />
François MORELLET<br />
1971<br />
4 trames de tirets pivotés sur un côté (du rouge au jaune)<br />
Sérigraphie sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4669<br />
François MORELLET<br />
1972<br />
Progression d'une croix<br />
Huile sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 9866<br />
François MORELLET<br />
1975<br />
3 doubles trames 0°-30°- 60°<br />
Peinture glycérophtalique sur aluminium<br />
<strong>Musée</strong> d’Art moderne de la Ville de Paris, don de la Société des amis du <strong>Musée</strong> d’Art moderne<br />
de la Ville de Paris, 1977<br />
François MORELLET<br />
1991<br />
Fin de série n° 6<br />
Grillage et acrylique sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4677<br />
MFB - octobre 2008<br />
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François MORELLET<br />
1992<br />
Relâche n° 2<br />
Acrylique et huile sur toile, alu laqué, tubes de néon, rubans de toile<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
1994<br />
Signalisation n° 1 M<br />
Tubes de néon, deux angles 60°, transformateurs, fils électriques<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 10912<br />
François MORELLET<br />
1994<br />
Signalisation n° 2 M<br />
Tubes de néon, deux angles 60°, transformateurs, fils électriques<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
1994<br />
Signalisation n° 3 M<br />
Tubes de néon, deux angles 60°, transformateurs, fils électriques<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
1998<br />
π piquant n° 1, 1 = 10°, 51 décimales<br />
Crayon et acrylique sur toile sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4670<br />
François MORELLET<br />
1998<br />
π piquant n° 2, 1 = 20°, 372 décimales<br />
Crayon et acrylique sur toile sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4671<br />
François MORELLET<br />
1998<br />
π color n° 1, 1 = 20°, 200 décimales<br />
Acrylique sur toile sur bois<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
2000<br />
π piquant de façade n° 1, 1 = 45°<br />
46 néons rouges, structure, transformateurs, câbles métalliques<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 9008<br />
MFB - octobre 2008<br />
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François MORELLET<br />
2001<br />
Lunatique neonly 16 quarts de cercle n° 1<br />
Toile sur bois, néons rouges, transformateurs, fils électriques<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 7235<br />
François MORELLET<br />
2001<br />
Lunatique neonly 16 quarts de cercle n° 2<br />
Toile sur bois, néons blancs, transformateurs, fils électriques<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 7236<br />
François MORELLET<br />
2002<br />
Beaming π 300 A.R.<br />
Alucobond rouge<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
2002<br />
Cavalièrement n° 1<br />
Acrylique sur toile sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 11262<br />
François MORELLET<br />
2004<br />
A P.R.I.O.R.I.<br />
Acrylique sur toile sur bois<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 8220<br />
François MORELLET<br />
2005<br />
Striptyque n° 1<br />
Acrylique et crayon sur toile<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 9867<br />
François MORELLET<br />
2006<br />
Après réflexion n° 15<br />
Six tubes de néon blanc, transformateurs, fils électriques<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
2007<br />
Débandade sur la pointe n° 2 (d'après π puissant n° 5 de 2003)<br />
Acrylique sur toile sur bois<br />
Atelier de l’artiste<br />
MFB - octobre 2008<br />
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François MORELLET<br />
2008<br />
π Rococo bleu<br />
Tubes de néon<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
2006<br />
Lamentable Ø 820 cm bleu<br />
8 tubes de 1/8 d'un cercle de 820 cm de diamètre en néon bleu, transformateurs, fils électriques<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
2008<br />
M.U.S.E.U.M. W.U.E.R.T.H.<br />
Adhésif sur mur<br />
François MORELLET<br />
2008<br />
π Strip-teasing 1 = 50°<br />
Acrylique sur toile sur bois<br />
Atelier de l’artiste<br />
François MORELLET<br />
2008<br />
π Strip-teasing 1 = 10°<br />
Acrylique sur toile sur bois<br />
Atelier de l’artiste<br />
François Morellet<br />
2008<br />
π puissant<br />
Acrylique sur toile sur bois<br />
Atelier de l’artiste<br />
John M. ARMLEDER<br />
1990<br />
F.S. (n° 233)<br />
Deux têtes de lit et un monochrome<br />
Collection Fonds Régional d’Art Contemporain, Alsace<br />
Thomas BAUMANN<br />
1999/2008<br />
Asilver<br />
Soie de spinnaker, moteurs et commande<br />
Courtesy Galerie Krobath Wimmer, Wien / Galerie Nicolas Krupp, Basel<br />
MFB - octobre 2008<br />
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Marcel DUCHAMP<br />
1965<br />
L.H.O.O.Q. rasée<br />
Reproduction en couleur collée sur carton d’invitation<br />
Staatsgalerie Stuttgart, Graphische Sammlung<br />
Robert FILLIOU<br />
1967<br />
L’immortelle mort du monde<br />
Édition<br />
Galerie Nelson-Freeman, Paris<br />
Paul KLEE<br />
1931, 223<br />
Variation de 1931, 220 (principalement en inversant l'emphase de l'avant-plan<br />
et de l'arrière-plan)<br />
Plume sur papier sur carton<br />
Zentrum Paul Klee, Bern<br />
Paul KLEE<br />
1931, 226<br />
Fort côtier (variation métamorphique de 1931, 224)<br />
Plume et crayon, gommé, sur papier sur carton<br />
Zentrum Paul Klee, Bern<br />
Bertrand LAVIER<br />
1984<br />
Lavier sur Morellet. D’après 10 lignes au hasard n° 2, 1975<br />
Acrylique sur toile<br />
Collection Morellet<br />
Francis PICABIA<br />
1952<br />
Les points<br />
Huile sur toile<br />
Galerie Michael Werner, Berlin, Köln und New York<br />
Sophie TAEUBER-ARP<br />
1931<br />
Deux cercles, deux plans et lignes croisées<br />
Gouache<br />
Stiftung Hans Arp und Sophie Taeuber-Arp e.V., Rolandswerth<br />
Sophie TAEUBER-ARP<br />
1932<br />
Équilibre<br />
Huile et crayon sur toile<br />
Stiftung Hans Arp und Sophie Taeuber-Arp e.V., Rolandswerth<br />
MFB - octobre 2008<br />
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Sophie TAEUBER-ARP<br />
1932<br />
Segments de cercles, cercles et lignes<br />
Gouache<br />
Stiftung Hans Arp und Sophie Taeuber-Arp e.V., Rolandswerth<br />
Jean Hans ARP / Sophie TAEUBER-ARP<br />
1919 (?)<br />
Vertical-horizontal à éléments d’objets<br />
Collage<br />
Stiftung Hans Arp und Sophie Taeuber-Arp e.V., Rolandswerth<br />
Jean TINGUELY<br />
1954<br />
Méta-Malevitch<br />
Trois tiges blanches en mouvement sur fond noir<br />
Galerie Denise René, Paris<br />
MFB - octobre 2008<br />
19
MFB - octobre 2008<br />
BIOGRAPHIE DE FRANÇOIS MORELLET<br />
1926<br />
Naissance à Cholet (Maine-et-Loire).<br />
Artiste autodidacte.<br />
1946<br />
Mariage avec Danielle Marchand. De cette union naissent trois fils : Frédéric, Christophe et<br />
Florent.<br />
1948<br />
Entre dans l’entreprise familiale de fabrication de jouets pour enfants Morellet-Guérineau<br />
(jusqu’en 1975). Parallèlement, pratique la peinture.<br />
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1950<br />
Fascination pour l’art océanien, particulièrement les Tapas, qui lui inspirent les motifs<br />
géométriques répétitifs de ses œuvres de jeunesse.<br />
Première exposition personnelle à la Galerie Raymond Creuze, Paris.<br />
Les peintres Serge Charchoune et Pierre Dmitrienko influencent l’évolution de Morellet vers<br />
l’abstraction.<br />
Lors d’un voyage au Brésil, il découvre la conception de l’art concret dans l’œuvre de Max Bill,<br />
qui le marque fortement.<br />
Il se lie d’amitié avec l’artiste brésilien Almir Mavignier, dont le travail géométrique est construit à<br />
partir de systèmes.<br />
1951<br />
Grâce à Joël Stein, proche du surréalisme, il découvre l’œuvre de Marcel Duchamp.<br />
Rencontre avec l’artiste Piet Mondrian, membre du groupe De Stijl.<br />
1952<br />
Premières œuvres construites à partir de systèmes pré-établis et de répétitions de motifs<br />
géométriques.<br />
Visite de l’Alhambra de Grenade, et découverte de l’art mauresque qui le conforte dans ses<br />
recherches formelles d’un art systématique et géométrique.<br />
Rencontre avec Ellsworth Kelly, Alain Naudé et Jack Youngerman.<br />
1957<br />
Se lie d’amitié avec le couple d’artistes Vera et François Molnar, qui cherchent à donner une<br />
assise théorique à leur travail.<br />
Grâce à eux, Morellet fait la connaissance de Victor Vasarely, avec lequel il noue une amitié<br />
sincère.<br />
1958<br />
Exposition personnelle à la Galerie Colette Allendy, Paris (Catalogue : « À la recherche d’une<br />
base. Peintures de Morellet » de François Molnar)<br />
Premières œuvres selon les lois du hasard.<br />
1960<br />
Participe à la grande exposition internationale Konkrete Kunst – 50 Jahre Entwicklung au<br />
Helmhaus de Zurich organisée par Max Bill et Margit Staber.<br />
1961<br />
Fonde le Groupe de Recherche d'Art Visuel (G.R.A.V.) avec Horacio García Rossi, Julio Le Parc,<br />
Francisco Sobrino, Joël Stein et Jean-Pierre Yvaral. Jusqu’à sa dissolution en 1968, le groupe<br />
participe à la Biennale de Paris et à d’importantes expositions thématiques internationales pour<br />
lesquelles il publie plusieurs Manifestes.<br />
Participe à Zagreb à la première exposition du mouvement Nove Tendencije (Nouvelle<br />
Tendance) fondé par Almir Mavignier, le critique Matko Mestrovic et Bozo Bek, directeur du<br />
<strong>Musée</strong> d’art moderne de Belgrade.<br />
Exposition à la Technische Hochschule de Stuttgart avec Uli Pohl et Bernhard Sandfort (texte de<br />
Max Bill dans le catalogue).<br />
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1962<br />
Développe ses œuvres Trames en trois dimensions : les Sphère-trames.<br />
1963<br />
Premiers néons avec rythmes d’éclairage interférents.<br />
1968<br />
Participe à la documenta 4 de Kassel.<br />
Introduit les rubans adhésifs qui se déploient sur les architectures et les objets en un système de<br />
trames.<br />
Retour à la peinture, qu’il avait laissée de côté pendant sa participation au G.R.A.V.<br />
1970<br />
Exposition au Pavillon <strong>fr</strong>ançais de la Biennale de Venise.<br />
1971<br />
Première rétrospective itinérante : Stedelijk van Abbemuseum d’Eindhoven (première exposition<br />
personnelle dans un musée), Centre national d'Art contemporain de Paris, Kunstverein de<br />
Hamburg, Städtisches Museum Schloss Morsbroich de Leverkusen, Kunstverein de Francfort surle-Main,<br />
Kunsthalle de Bâle, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles.<br />
Première commande publique : création des façades au Plateau La Reynie, près de Beaubourg<br />
à Paris (détruites). Depuis il a travaillé sur de nombreuses interventions architecturales intitulées<br />
Désintégrations architecturales.<br />
1972<br />
Publication du texte « Du spectateur au spectateur ou L'art de déballer son pique-nique », dans<br />
lequel Morellet expose les concepts fondateurs de son positionnement artistique.<br />
1977<br />
Participe à la documenta 6 de Kassel.<br />
Exposition itinérante : Nationalgalerie de Berlin, Staatliche Kunsthalle de Baden-Baden, <strong>Musée</strong><br />
d'Art moderne de la Ville de Paris, Commanderie van St. Jan de Nimègue. Dans le catalogue<br />
de cette exposition, Morellet explique le principe de ses systèmes : juxtaposition, superposition,<br />
hasard, interférence et <strong>fr</strong>agmentation.<br />
1978<br />
Renouvelle son travail avec les néons.<br />
1984 – 1985<br />
Vaste exposition itinérante : Albright Knox Art Gallery de Buffalo (New York), <strong>Musée</strong> d'Art<br />
contemporain de Montréal, The Brooklyn Museum de New York, Center for the Fine Arts de<br />
Miami.<br />
1986<br />
Rétrospective au <strong>Musée</strong> national d'Art moderne, Centre Georges Pompidou à Paris.<br />
L’historien d’art Serge Lemoine publie le premier ouvrage monographique consacré à Morellet<br />
(Waser Verlag, Zurich).<br />
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1987<br />
Participe au Skulptur Projekte de Münster.<br />
1988<br />
Lauréat du Grand Prix national de Sculpture.<br />
1991<br />
Présentation d’œuvres graphiques inédites au <strong>Musée</strong> de Grenoble.<br />
1998<br />
Début des travaux consacrés au nombre irrationnel et infini π (3,14159...) : π rococo, π piquant,<br />
π puissant, Beaming π , etc.<br />
1999<br />
Publication d’une anthologie de textes de Morellet : Mais comment taire mes commentaires.<br />
2000<br />
Exposition au <strong>Musée</strong> d’Art moderne et contemporain de Strasbourg.<br />
2000 – 2001<br />
Rétrospective à la Galerie Nationale du Jeu de Paume à Paris, présentée en 2002 au Museum<br />
<strong>Würth</strong> de Künzelsau et la Maison de l’art concret de Zurich.<br />
2003<br />
Grande exposition au <strong>Musée</strong> Matisse du Cateau-Cambrésis et au <strong>Musée</strong> des Beaux-Arts de<br />
Nancy.<br />
2006<br />
Exposition à l’occasion des 80 ans de Morellet au <strong>Musée</strong> des Beaux-Arts d’Angers.<br />
2006 – 2007<br />
Le <strong>Musée</strong> d’Orsay invite Morellet à dialoguer avec un artiste de son choix dans la collection : il<br />
choisit Claude Monet pour son travail sur la série et traite les différentes vues de la cathédrale<br />
de Rouen en néons.<br />
2007<br />
Expositions au <strong>Musée</strong> d’art contemporain de Lyon et au <strong>Musée</strong> des Beaux-Arts de Nantes, ainsi<br />
qu’au <strong>Musée</strong> d’Art Moderne de la Ville de Paris.<br />
François Morellet vit et travaille à Cholet. Son travail se développe en nombreuses séries<br />
d’œuvres différentes ; elles ont été présentées lors de multiples expositions dont nous ne<br />
proposons ici qu’un choix restreint.<br />
MFB - octobre 2008<br />
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MFB - octobre 2008<br />
LE GROUPE WÜRTH<br />
L’activité principale du groupe <strong>Würth</strong> est la vente de matériel de fixation et d’assemblage dans<br />
le monde entier. Compétence, qualité et proximité constituent à cet égard les fondements de<br />
nos actions. Avec désormais plus de 100 000 produits destinés à l’artisanat et à l’industrie, <strong>Würth</strong>,<br />
spécialiste de la visserie, est aussi devenu un spécialiste des techniques de fixation. En l’espace<br />
de cinq décennies, le Prof. Dr. h.c. mult. Reinhold <strong>Würth</strong> a transformé la petite entreprise<br />
familiale de deux employés, qu’il avait reprise en 1954 après le décès prématuré de son père,<br />
en un groupe d’envergure mondiale.<br />
Qu’il s’agisse de vis, de chevilles, de produits technico-chimiques, de ferrures de meuble et de<br />
quincaillerie de bâtiment, d’outillage, de machines, de pièces automobiles, de systèmes de<br />
stockage et de gestion des stocks, <strong>Würth</strong> fournit les solutions adéquates. Les exigences imposées<br />
aux produits et aux services de <strong>Würth</strong> par plus de 3 millions de clients à travers le monde<br />
représentent le défi quotidien des collaborateurs du groupe. Dans 424 sociétés présentes dans<br />
86 pays du monde, plus de 66 000 collaborateurs, en tant qu’interlocuteurs compétents,<br />
répondent à toutes les questions et tous les désirs de nos clients.<br />
Cette clientèle va des professionnels de l’automobile aux entreprises industrielles, en passant par<br />
les métiers de la transformation du bois et du métal et les entreprises de construction.<br />
Le groupe <strong>Würth</strong> a réalisé en 2007 un chif<strong>fr</strong>e d’affaires de 8,5 milliards € (+ 9,5 % par rapport à<br />
2006).<br />
WÜRTH FRANCE<br />
Avec l’Italie et l’Espagne, <strong>Würth</strong> <strong>France</strong> fait partie des plus importantes filiales étrangères du<br />
Groupe <strong>Würth</strong>.<br />
Le siège social, le centre de formation et une plate-forme logistique de 34 000 m² sont situés à<br />
<strong>Erstein</strong> (Bas-Rhin) où l’entreprise est implantée depuis 1967. La filiale <strong>fr</strong>ançaise compte 3 500<br />
collaborateurs, dont 2 600 commerciaux. Elle a réalisé un chif<strong>fr</strong>e d’affaires de 468 millions € en<br />
2007.<br />
<strong>Würth</strong> <strong>France</strong> compte de nombreux autres sites dans l’Hexagone : une deuxième plate-forme<br />
logistique à Montélimar dans la Drôme, des agences commerciales et des points de vente pour<br />
les professionnels dans toutes les grandes et moyennes agglomérations <strong>fr</strong>ançaises (Paris, Lyon,<br />
Toulouse, Bordeaux, Marseille, Lille, Rouen, Rennes, Strasbourg, Mulhouse, Orléans, Reims, Metz,<br />
etc.).<br />
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MFB - octobre 2008<br />
CD-ROM IMAGES<br />
1. François Morellet<br />
3 doubles trames 0°-30°- 60°<br />
1975<br />
Peinture glycérophtalique sur aluminium<br />
8 tableaux à 400 x 200 cm<br />
<strong>Musée</strong> d’Art moderne de la Ville de Paris,<br />
don de la Société des amis du musée<br />
d’Art moderne de la Ville de Paris, 1977<br />
2. François Morellet<br />
Sphère-trames<br />
1962<br />
Acier Inox<br />
ø 75 cm<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 6626<br />
3. François Morellet<br />
Relâche n° 2<br />
1992<br />
Acrylique et huile sur toile, alu laqué,<br />
tubes de néon, rubans de toile<br />
332 x 270 x 26 cm<br />
Atelier de l’artiste<br />
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MFB - octobre 2008<br />
4. François Morellet<br />
Signalisation n° 1 M<br />
1994<br />
Tubes de néon, deux angles 60°,<br />
transformateurs, fils électriques<br />
170 x 138 cm<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 10912<br />
5. François Morellet<br />
π piquant n° 1, 1 = 10°, 51 décimales<br />
1998<br />
Crayon et acrylique sur toile sur bois<br />
240 x 240 cm<br />
Collection <strong>Würth</strong>, Inv. 4670<br />
Pour toutes les œuvres de Morellet, © ADAGP, Paris, 2008.<br />
6. Visuels du bâtiment, © Erick Saillet<br />
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