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Réconciliation - Fondation autochtone de guérison

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19 Le US Census Bureau reconnaît la langue tzigane comme une langue minoritaire aux États-<br />

Unis.<br />

20 Hancock, I. (1987:53–60). The Pariah Syndrome; An account of Gypsy Slavery and<br />

Persecution. Anne Arbor, MI : Karoma Publishers Inc.<br />

21 Fraser (1995:161).<br />

22 Hancock, I. (2004:5, 10–11). Diaspora Populations and the role of Intellectuals, Workshop<br />

at the Institute for Diaspora Studies, Northwestern University. Norris University Center,<br />

Evanston Campus, Evanston, IL; Fraser (1995:148–154).<br />

23 Hancock, Ian (1987:11–29).<br />

24 Puisque ces empires étaient formés à partir d’une panoplie <strong>de</strong> groupes ethniques et<br />

religieux, les Tziganes n’étaient qu’un groupe parmi d’autres, et les groupes tziganes<br />

noma<strong>de</strong>s pouvaient habituellement voyager à travers tous ces empires; par conséquent,<br />

ils évitaient la persécution dont ils faisaient l’objet dans les États-nations <strong>de</strong> l’Europe <strong>de</strong><br />

l’Ouest.<br />

25 Hancock (1987:58); Fraser (1995:147).<br />

26 Grellmann, H.M.G. (1783). Ein historischer Versuch über die Lebensart und Verfassung,<br />

Sitten und Schicksale dieses Volks in Europa, nebst ihrem Ursprung. Dessau et Leipzig.<br />

(2 e édition, Göttingen, 1787). (Trans. par M. Raper (1787). Dissertation on the Gipsies, being<br />

an Historical Enquiry, concerning The Manner of Life, Economy, Customs and conditions of<br />

these People in Europe, and their Origin. 2 e édition, 1807. Londres, RU : G. Bigg.<br />

27 Fondé en 1888 en Gran<strong>de</strong>-Bretagne.<br />

28 Hancock (1987:58–88). L’Allemagne et la Suisse ont continué à appliquer leurs lois très<br />

sévères contre les Tziganes et les Sinti noma<strong>de</strong>s entre les <strong>de</strong>ux Guerres mondiales.<br />

29 Bien que le nombre total <strong>de</strong> victimes tziganes aux mains <strong>de</strong>s Nazis et <strong>de</strong> leurs fantoches ne<br />

sera jamais connu, l’estimation originale <strong>de</strong> 500 000 est <strong>de</strong> loin trop faible. De nouvelles<br />

estimations suggèrent que plus d’un million <strong>de</strong> Tziganes ont été tués. Des dossiers existent<br />

uniquement pour ceux tués dans les camps étant i<strong>de</strong>ntifiés d’un « Z » pour Zigeuner. Des<br />

milliers <strong>de</strong> meurtres non documentés ont eu lieu dans les pays conquis et dans certains<br />

États soumis. Les statistiques n’existent pas. Feu Dr Sybil Milton, historien en chef du US<br />

Holocaust Memorial Council (conseil du mémorial <strong>de</strong> l’Holocauste <strong>de</strong>s États-Unis), a estimé<br />

le nombre total à un million et <strong>de</strong>mi. Ce chiffre correspond à l’estimation <strong>de</strong> l’Organisation<br />

internationale pour les migrations (OIM). Hancock, I., courriel du 12 janvier 2011, affiché sur<br />

la liste on Roma_in_ Americas, sur : Roma_ in-Americas@yahoogroups.com<br />

30 Lemkin, R. (1944:79). Axis Rule in Occupied Europe: Laws of Occupation – Analysis<br />

of Government Proposal for Redress. Concord, NH : Rumford Press. J’utilise le terme<br />

« ethnoci<strong>de</strong> », ou génoci<strong>de</strong> culturel, en référence à la <strong>de</strong>struction d’une culture. Ce terme<br />

vient du grec ethnos et du latin ci<strong>de</strong>, signifiant la <strong>de</strong>struction d’une culture d’un peuple,<br />

par opposition à « génoci<strong>de</strong> », qui lui signifie la <strong>de</strong>struction du peuple lui-même. Le<br />

génoci<strong>de</strong>, selon Raphael Lemkin en 1943, signifie « la <strong>de</strong>struction d’une nation », et la<br />

Convention <strong>de</strong> 1951 pour la prévention et la répression du crime <strong>de</strong> génoci<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Nations<br />

Unies définit le génoci<strong>de</strong> comme un acte d’engagement contre les groupes « nationaux,<br />

ethniques, raciaux ou religieux. » En tenant compte <strong>de</strong> ces définitions, un ethnoci<strong>de</strong> peut<br />

être défini comme un crime motivé par l’ethnicité, le syndrome « Nous et Eux », ou « Nous<br />

et les Autres », une dichotomie qui contient <strong>de</strong>s possibilités dangereuses et potentiellement<br />

fatales, d’un déplacement forcé d’un groupe par l’État pour effectuer un nettoyage<br />

ethnique, seulement pour les diriger dans une région dans laquelle ils ne seront pas plus<br />

accueillis, jusqu’à la suppression violente d’une langue et d’une culture, en opposition à<br />

un génoci<strong>de</strong>, qui implique la tuerie <strong>de</strong>s membres du groupe ethnique en question.<br />

31 Fraser (1995:161).<br />

32 Fraser (1995:156).<br />

33 Fraser (1995:157).<br />

34 Crowe (1994:77–78); Fraser (1995:156–157).<br />

236 | Ronald Lee

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