Guy de Maupassant - La Bibliothèque électronique du Québec

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second cas, on laisse ces fardeaux au légitime propriétaire et on ne garde que le plaisir, avec la faculté de disparaître le jour où la personne aura cessé de plaire. Cela ne se ressemble guère. M. DE GARELLE. – Ma chère amie, vous raisonnez fort mal. Quand on aime une femme, on ne devrait pas l’épouser, parce qu’en l’épousant on est sûr qu’elle vous trompera, comme vous avez fait à mon égard. La preuve est là. Tandis qu’il est indiscutable qu’une maîtresse reste fidèle à son amant avec tout l’acharnement qu’elle met à tromper son mari. Est-ce pas vrai ? Si vous voulez qu’un lien indissoluble se lie entre une femme et vous, faites-la épouser par un autre, le mariage n’est qu’une ficelle qu’on coupe à volonté, et devenez l’amant de cette femme : l’amour libre est une chaîne qu’on ne brise pas. – Nous avons coupé la ficelle, je vous offre la chaîne. MME DE CHANTEVER. – Vous êtes drôle. Mais je refuse. M. DE GARELLE. – Alors, je préviendrai M. de Chantever. 210
MME DE CHANTEVER. – Vous le préviendrez de quoi ? M. DE GARELLE. – Je lui dirai que vous m’avez trompé ! MME DE CHANTEVER. – Que je vous ai trompé... Vous... M. DE GARELLE. – Oui, quand vous étiez ma femme. MME DE CHANTEVER. – Eh bien ? M. DE GARELLE. – Eh bien, il ne vous le pardonnera pas. MME DE CHANTEVER. – Lui ? M. DE GARELLE. – Parbleu ! Ça n’est pas fait pour le rassurer. MME DE CHANTEVER, riant. – Ne faites pas ça, Henry. (Une voix dans l’escalier appelant Mathilde.) MME DE CHANTEVER, bas. – Mon mari ! 211
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Guy de Maupassant Le rosier de Mme
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Du même auteur, à la Bibliothèqu
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Le rosier de M me Husson 5
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doute faire venir de Paris un train
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lourdeur de ses lèvres, l’éclat
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Je m’aperçus que je mangeais que
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déteste pas, je ne le hais pas d
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juin, qui avait fait rentrer chez e
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pays. Les mots hardis, les gauloise
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La princesse très pressée, Sans c
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Derrière lui parut sa protectrice,
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Puis le maire lui mit dans une main
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Ils s’arrêtèrent devant la port
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J’allais à Turin en traversant l
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La petite femme ne disait plus rien
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fiévreuse. Mes histoires devenaien
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de Pourville. Du reste, je ne me f
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c’est moi qui achète votre Chris
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Les nommés Brument (Césaire-Isido
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Le coupable était défendu par un
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