NOUVELLES 181 - Energie EDF

N°181
mars 2013
Les Nouvelles
LE MENSUEL D’INFORMATION DU CNPE DE PENLY
REPORTAGE
UNE SEMAINE DE
L’INDUSTRIE RÉUSSIE

TRANSPARENCE ACTUALITÉ
INSPECTIONS DE SÛRETÉ
07 février 2013 : inspection du Service Inspection
Réglementation (SIR) par l’Autorité de sûreté nucléaire
(ASN).
15 février 2013 : réunion annuelle entre la direction
régionale de l’ASN et la direction du CNPE (Centre
Nucléaire de Production d’Electricité) de Penly.
25 février 2013 : inspection inopinée de l’ASN sur le
thème « surveillance de la nappe d’eau souterraine ».
06 mars 2013 : réunion de présentation, à l’ASN, du
programme de l’arrêt pour simple rechargement (voir
lexique) de l’unité de production n°1.
PRODUCTION
L’unité n°1 a produit normalement tout le mois de
février pour répondre à la demande en électricité.
L’unité n°2 a produit normalement tout le mois de
février pour répondre à la demande en électricité.
EVÈNEMENT SÛRETÉ
Les 11 et 12 mars derniers, la région normande, et
notamment la Seine-Maritime, a connu un épisode
neigeux exceptionnel. Cet aléa climatique n'a eu aucune
conséquence sur la sûreté et le fonctionnement des
installations de la centrale nucléaire de Penly.
En effet, dès le début et pendant toute la période, la
centrale a gréé une équipe spécifique d'appui à la
décision, et la gestion des astreintes a été ajustée : celles
à fort enjeu ont été doublées et les relèves des équipes
de quart de conduite (pilotage des réacteurs) et de la
protection de site sécurisées.
L'analyse réalisée à la suite de cet évènement a montré
que des difficultés auraient pu être rencontrées pour
gréer les personnels d'astreinte en moins d’une heure, en
cas de déclenchement d’un PUI (voir lexique).
Cet écart a été déclaré le 13 mars 2013 à l’Autorité de
sûreté nucléaire au niveau 0 sur l’échelle Internationale
de Sûreté des Evènements Nucléaires (INES) qui en
compte 7.
EVÈNEMENT RADIOPROTECTION
Le 27 février 2013, un défaut de traçabilité d’une
interruption de tir radiographique a été constaté. Cet
écart sans conséquence a été déclaré le 28 février 2013 à
l’ASN et classé au niveau 0 sur l’échelle INES.
LEXIQUE
Arrêt pour simple rechargement : régulièrement, en
moyenne tous les 18 mois, une centrale nucléaire de
1300 MW comme Penly doit s’arrêter pour changer un
tiers du combustible et réaliser des opérations de
maintenance. Il existe trois types d’arrêts programmés. Le
premier type est laArrêt pour simple rechargement (ASR)
du combustible. Il dure en moyenne une trentaine de
jours. Le second type est la visite partielle (VP) qui permet
de changer un tiers du combustible et réaliser des
opérations de maintenance plus longues que lors d’un
ASR. Une visite partielle dure en moyenne une
cinquantaine de jours. Le troisième type est la visite
décennale qui a lieu tous les 10 ans et dure une centaine
de jours.
PUI : le plan d’urgence interne, appelé « PUI » entraîne,
lorsqu’il est déclenché, la mobilisation immédiate des
moyens techniques et humains nécessaires pour ramener
l’installation dans un état sûr et limiter, au maximum, les
conséquences sur les personnes et les biens, sur le site et
dans l’environnement. En permanence, sur une centrale
nucléaire, quelle que soit son importance, près d’une
centaine de personnes est d’astreinte pour assurer la
gestion technique, la mise en œuvre des moyens ou la
communication. Le PUI est placé sous la responsabilité du
directeur de la centrale.
UNE NOUVELLE CONVENTION
AVEC LE SDIS 76 !
LE 8 MARS, À SAINT-VALÉRY EN CAUX, LES CENTRALES DE PENLY ET PALUEL ET LE
SDIS 76 ONT RENOUVELÉ LEUR CONVENTION CADRE. LA PARTICULARITÉ DE CETTE
DERNIÈRE EST QU’ELLE CONCERNE TOUT LE MONDE INDIRECTEMENT, PUISQU’ELLE
TOUCHE À LA FORMATION DES POMPIERS VOLONTAIRES ÉGALEMENT SALARIÉS
D’ENTREPRISE.
Actuellement au nombre de 5 sur le site de
Penly, les agents pompiers volontaires
doivent suivre des formations dans le cadre
de leur métier du feu et intervenir sur le
terrain lors de leurs astreintes pompier.
Cette convention va permettre aux entités
de mieux travailler ensemble, afin que les
agents pompiers volontaires ne soient pas
« tiraillés » entre leurs deux activités. Ainsi,
le SDIS 76 s’engage à mettre en place un
planning de formation à l’avance, pour
que l’entreprise puisse s’organiser et palier
l’absence du salarié. L’entreprise détache
quant à elle son agent quelques jours dans
l’année pour lui permettre de suivre ces
formations. Elle accepte aussi des
modifications de planning si l’agent est ou
revient d’intervention.
Le système actuel repose sur l’expertise des
sapeurs pompiers professionnels qui la
déclinent dans des formations dispensées
aux sapeurs volontaires dix fois plus
nombreux. Etre sapeur pompier volontaire
est une voie exigeante mais elle donne
beaucoup de satisfaction. Cette convention
a pour objectif d’améliorer leur formation
et de susciter de nouvelles vocations.
Soulignons aussi que l’engagement du
sapeur pompier volontaire est aussi
souvent l’engagement de sa famille
entière… Cette signature de convention
nous permet de leur rendre hommage et
de les remercier d’être toujours là pour
nous secourir.
ASSEMBLÉE
GÉNÉRALE
DE DIEPPE
MÉCA ENERGIES
L’ESPACE INFO DE LA CENTRALE A EU LE PLAISIR DE RECEVOIR LUNDI 11 MARS 2013 UNE
CENTAINE D’INVITÉS POUR L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE DIEPPE MÉCA ENERGIES (DME).
Figuraient parmi les invités Sandrine Hurel,
député de la circonscription de Dieppe ;
Alain Le Vern, président du Conseil
Régional de Haute-Normandie, qui a
insisté sur le caractère essentiel de ce type
de structure, représentative de la volonté
de la région de se dynamiser et Martine
Laquièze, sous-préfète de l’arrondissement
de Dieppe, qui a souligné le dynamisme et
la particularité des entreprises adhérentes
de Dieppe Méca Energies (DME), dont on
ne savait pas assez à quel point elles
étaient aptes à répondre à des marchés
très spécifiques.
Les thématiques abordées lors de
l’assemblée furent nombreuses : l’emploi
de personnel handicapé, l’embauche
d’alternants avec l’INSA, le travail de
collaboration entre Damer-Verdelet et le
CNPE de Penly, les défis prochains du
nucléaire (CNPE Penly et CNPE Paluel) et
les projets de l’éolien off-shore (EDF
Energies Nouvelles).
Lors de son intervention, le président de
DME, Patrice Gault, est revenu sur l’année
2012 et l’évolution de la grappe
d’entreprises, en soulignant une
augmentation des adhérents (118 à ce
jour). Outre l’échange de bonnes pratiques
et la mutualisation de services, voire même
de personnel, les objectifs en 2013 de ce
cluster sont clairement de promouvoir
l’attractivité du territoire dieppois, en
mettant en avant ses atouts culturels,
touristiques, industriels. « Notre Région
mérite qu’elle soit connue au-delà de ses
frontières territoriales, afin que les futurs
investisseurs industriels puissent se rendre
compte de l’opportunité qu’ils auraient à
s’installer sur notre territoire » insiste
Patrice Gault.

REPORTAGE
UNE SEMAINE DE L’INDUSTRIE RÉUSSIE
Dans le cadre de la semaine de l’industrie organisée du 18 au
24 mars, Madame la Sous-Préfète et Madame la Député de la
11 ème circonscription de Dieppe ont accompagné une classe de
3 ème du Collège Braque de Dieppe en visite à la centrale de Penly.
La centrale de Penly participe depuis plusieurs années à la semaine
de l’industrie. Cette année, 230 personnes se sont inscrites pour
visiter la centrale. Le vendredi 22 mars, la visite était organisée pour
une classe de 3ème du Collège Braque de Dieppe. A cette occasion,
Madame Laquièze, Sous-Préfète de l’arrondissement de Dieppe,
Madame Hurel de la circonscription, Monsieur Garçonnet, Président
de la CCI de Dieppe, et Monsieur Joffroy, Président de la
communauté de communes du Petit Caux étaient présents. Après
quelques explications sur le fonctionnement d’une centrale
nucléaire, les élèves et les personnalités présentes ont pu voir sur
site la production d’électricité à partir de l’énergie nucléaire. Cette
occasion unique d’entrer dans l’entreprise a permis à ces jeunes
collégiens de découvrir également les matériels utilisés, les filières de
formation dont l’industrie nucléaire a besoin et les différents
INFO GROUPE
Pour le Réseau de Transport d’Electricité (RTE), c’est un hiver
dont la caractéristique a été d’être long, très pluvieux et avec
peu de soleil. « Il a été un peu plus froid que d’ordinaire, mais
métiers nécessaires au
fonctionnement d’une
centrale nucléaire
(automaticien, mécanicien,
etc. ). Cette année, 16
entreprises industrielles de la
région dieppoise ont ouvert
leurs portes. Celles-ci
participent au dynamisme
de l’économie locale et
montrent que le territoire
dieppois est une terre
industrielle. Espérons que
cette semaine soit à
l’origine de nouveaux
talents et vocations
industrielles.
A savoir
Créée en Normandie, la semaine de l’industrie permet au grand
public, en particulier aux jeunes et aux demandeurs d’emploi :
• de découvrir l’industrie et ses métiers ;
• de rencontrer les hommes et les femmes de l’industrie et des
services associés ;
• de voir comment sont conçus et fonctionnent les sites industriels
du 21ème siècle ;
• et de prendre conscience du rôle structurant de l’industrie en
France.
Elle est organisée par les Chambres de Commerce et d’Industrie
sous l’impulsion du Ministère du Redressement Productif.
UN HIVER PAS SI RUDE QUE CELA !
LE SYSTÈME ÉLECTRIQUE FRANÇAIS N’A PAS ÉTÉ MIS SOUS TENSION CET HIVER. SI CE DERNIER A PARU LONG ET RIGOUREUX,
PARTICULIÈREMENT EN NORMANDIE, IL AURA PARADOXALEMENT ÉTÉ RELATIVEMENT «STANDARD » DU POINT DE VUE DU BILAN
ÉLECTRIQUE.
nous ne l’avons pas perçu comme rude » résume Brigitte Peyron,
directeur délégué des opérations à RTE. Les aléas climatiques se
sont limités aux chutes de neige de la mi-mars dans le
nord-ouest et le sud-ouest de la France contrairement à 2012 où
8 évènements importants avaient été recensés.
Sur les trois premiers mois de l’hiver, décembre, janvier et février,
la consommation brute d’électricité est restée quasiment stable
(-0,5 %), à 153,1 térawattheures (TWh). Toutefois, elle sera
probablement plus forte en mars, compte tenu du froid
enregistré. Alors que l’année 2012 avait enregistré un pic
historique de consommation électrique, avec une puissance
appelée de 102.098 mégawatts (MW) le 8 février à 19 heures,
rien de tel cet hiver : la pointe de consommation s’est élevée à
92.590MW mi-janvier. Avec le passage à l’heure d’été le
week-end du 29, 30 mars, le pic de consommation du soir se
réduira de facto.

ENVIRONNEMENT FÉVRIER 2013
PROPRETÉ ET SURVEILLANCE
RADIOLOGIQUE
Propreté des transports
Combustible usé convois écarts
Dans le mois 1 0
Depuis le 01/01/13 2 0
Outillages contaminés convois écarts
Dans le mois 6 0
Depuis le 01/01/13 9 0
Déchets radioactifs convois écarts
Dans le mois 2 0
Depuis le 01/01/13 2 0
Emballages vides convois écarts
Dans le mois 0 0
Depuis le 01/01/13 0 0
Déchets non radioactifs convois déclenchements
de balise
Dans le mois 21 0
Depuis le 01/01/13 44 0
Convois : un convoi est constitué du moyen de transport (wagon ou camion) et
des emballages spéciaux adaptés à la nature des produits transportés
(combustible neuf ou usé, outillages ou déchets).
Nombre d’écarts : nombre de points des convois présentant une contamination
supérieure à 4 Bq/cm 2 à leur arrivée à destination. Pour les emballages vides
utilisés pour le combustible neuf, ce seuil est fixé à 0,4 Bq/cm 2 .
Déclenchements des balises : tous les déchets conventionnels non radioactifs
font l’objet d’un contrôle d’absence de radioactivité. Pour ce faire on utilise des
appareils de mesure (des balises) à la sortie des sites nucléaires et à l’entrée des
sites éliminateurs de déchets.
Emballages vides : emballages servant au transport du combustible neuf ou des
grappes neuves.
Surveillance radiologique du personnel
Propreté vestimentaire dans le
mois
cumul
de l’année
Déclenchements 0 0
Exposition interne
du personnel
dans le
mois
cumul
de l’année
Entrées zone nucléaire 3 302 6 789
Expositions internes 0 0
Le suivi radiologique des intervenants : depuis 2005, un décret stipule que le
seuil limite des doses de rayonnements ionisants auxquelles les 300 000
travailleurs du nucléaire peuvent être exposés est de 20 mSv sur 12 mois.
Propreté des voiries du site
Points de contamination détectés
Dans le mois 0
Depuis le 01/01/13 0
Point de contamination sur la voirie :
point représentant une radioactivité supérieure à 800 Bq.
Rejets annuels liquides
et gazeux d’une
centrale nucléaire
(évaluation dose annuelle)
REPÈRES
RADIOLOGIQUES
Paris/New-York
à 11000 m
(rayons cosmiques
dose prise une fois)
Radiographie
pulmonaire
(dose prise une
fois)
Limite de dose
pour la
population
(dose annuelle)
CENTRE NUCLÉAIRE DE PRODUCTION D’ÉLECTRICITÉ DE PENLY
BP 854 - 76370 NEUVILLE-LES-DIEPPE
TÉL 02 35 40 60 00 - FAX 02 35 40 60 95
REJETS D’EFFLUENTS RADIOACTIFS
Activité rejetée dans l’air
0,077 TBq
Cumul de
l’année
soit
0,17%
100%
1
ACTIVITÉ TOTALE
HORS TRITIUM & IODE
Cette mesure représente la
somme des radioéléments
(excepté le tritium) produits
et rejetés par la centrale.
Limite annuelle
25 GBq
Mesure du mois
0,01 GBq
LES GAZ
Les principaux sont le
xénon et le krypton.
Ils existent en faible
proportion dans l’air.
Limite annuelle
45 TBq
Mesure du mois
0,034 TBq
Activité rejetée dans l’eau de mer
Dans l’activité totale hors
tritium, voici les rejets de
3 radioéléments parmi les
plus radiotoxiques
0,04 GBq
Cumul de
l’année
soit 0,16%
COBALT 60
Rejet du mois
5 MBq
Cumul annuel
23 MBq
100%
LE TRITIUM
Hydrogène radioactif.
Contrairement aux
autres radioéléments,
le tritium n’émet que
des particules de type
Bêta, de faible énergie.
Il ne se piège pas. Il a
peu d’impact sanitaire.
LE TRITIUM
Hydrogène radioactif.
Contrairement aux
autres radioéléments,
le tritium n’émet que
des particules de type
Bêta, de faible énergie.
Il ne se piège pas. Il a
peu d’impact sanitaire.
IODE 131
Rejet du mois
0,42 MBq
Cumul annuel
0,98 MBq
SURVEILLANCE DE L’ENVIRONNEMENT
1
0,121 TBq
Cumul
de l’année
soit 1,51%
CÉSIUM 137
Rejet du mois
0,55 MBq
Cumul annuel
1,5 MBq
Activité volumique après dilution dans de l’eau de mer de la galerie de rejets
Activité totale hors tritium Activité Tritium
Moyenne jour la plus élevée 0,0006 Bq/litre 370 Bq/litre
Autorisation 18 Bq/litre 900 Bq/litre
Moyenne mensuelle 0,000097 Bq/litre 48 Bq/litre
Moyenne année précédente 0,00035 Bq/litre 48 Bq/litre
Radioactivité ambiante
On mesure en nGy/h la radioactivité atmosphérique
ambiante. La valeur moyenne en France est de
l’ordre de 90 nGy/h.
Moyenne mensuelle 64
Moyenne année précédente 63
Valeur jour. la plus élevée 84
Eaux souterraines
On mesure en Bq/l l’activité de l’ensemble des
rayonnements Béta et du tritium de l’eau de la
nappe phréatique du site.
Activité Béta totale
Moyenne mensuelle < 0,13
Moyenne année précédente < 0,15
Activité Tritium
Moyenne mensuelle < 19
Moyenne année précédente < 23
Végétaux
On mesure en Bq/kg l’activité Béta totale des deux
échantillons de végétaux séchés au préalable à 60°.
L’activité radioactive d’origine naturelle du potassium
est déduite.
Echantillon N°1 300
Echantillon N°2 190
Moyenne année précédente 114
Radioactivité naturelle moyenne
en France (dose annuelle)
100%
Poussières atmosphériques
On mesure en mBq/m 3 l’ensemble des
rayonnements Béta émis par les poussières
atmosphériques recueillies sur un filtre. L’activité
naturelle du radon n’est pas prise en compte.
Moyenne mensuelle < 0,31
Moyenne année précédente < 0,31
Valeur jour la plus élevée 0,67
Eau de mer
On mesure en Bq/l l’activité de l’ensemble des
rayonnements Béta et du tritium de l’eau prélevée
au large du site.
Activité Béta totale
Moyenne mensuelle 10,5
Moyenne année précédente 11,0
Activité Tritium
Moyenne mensuelle < 6,3
Moyenne année précédente < 7,1
Lait
Les résultats du lait sont dorénavant exprimés en
"Strontium 90" alors qu'ils étaient précédemment
exprimés en "bêta global", potassium 40 exclus, ce
qui explique des valeurs plus faibles qu'auparavant.
Echantillon N°1 < 0,32
Echantillon N°2 < 0,31
Moyenne année précédente < 0,18
LES UNITÉS
1 mBq = 1 millibecquerel = 0,001 Bq
1 MBq = 1 Mégabecquerel = 1 000 000 Bq
1 GBq = 1 Gigabecquerel = 1 000 000 000 Bq
1 TBq = 1 Térabecquerel = 1 000 000 000 000 Bq
1 nGy = 1 nanogray = 0,000 000 001 Gy
Pour tout savoir sur l’activité de la centrale
0 800 05 76 76
http://penly.edf.com
Limite annuelle
8 TBq
Mesure du mois
0,06 TBq
100%
12,9 TBq
Cumul
de l’année
soit 16%
Limite annuelle
80 TBq
Mesure du mois
5,3TBq
N° ISSN : 2115-0621 - Direction de la publication Alban Verbecke - Rédacteur en chef Stéphanie Schnebelen - Rédaction Ludovic des Robert - Réalisation www.lioneltran-studio.fr - crédit photo : médiathèque EDF