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population de référence (mère = 88.9 ; père = 89.8) (Abidin et Brunner, 1988).<br />
Cependant, cette différence n'est pas suffisante pour qu'elle soit significative.<br />
Les analyses bi-variées<br />
Les principales analyses statistiques utilisées par rapport <strong>à</strong> l'tchelle de<br />
Soutien Social sont des corrélations de Pearson. La première partie des<br />
analyses consiste <strong>à</strong> comparer les différents scores obtenus par les mères et les<br />
pères. Ainsi, lorsque l'on compare le score global de soutien social des mères<br />
<strong>à</strong> celui des pères, on retrouve une corrélation significative positive de 0,41<br />
(p=0.05). On retrouve également des corrélations significatives positives tant<br />
au niveau de la fréquence de contact avec le réseau primaire (r(24)=0.34;<br />
p=OJ), <strong>du</strong> degré de confiance <strong>du</strong> réseau primaire et secondaire (r(24)=0.47;<br />
p =0.02) (r(24)=0.69; p =D.OOO) qu'au niveau de la réponse aux besoin des<br />
réseaux primaire et secondaire (r(26)=0.50; p=O.01) (r(26)=.49; p =O.01). Ainsi<br />
donc, les mères et les pères partagent sensiblement les mêmes perceptions<br />
face <strong>à</strong> leur réseau de soutien social.<br />
Par la suite, des corrélations ont été effectuées entre l'tchelle de Soutien<br />
Social et l'Inventaire de Stress Parental afin de vérifier les deux premières<br />
hypothèses de cette recherche soit, 1) que la fréquence des contacts avec le<br />
réseau de soutien social serait négativement corrélé avec le stress parental,<br />
2) que le degré de confiance face au réseau de soutien social serait<br />
négativement corrélé avec le stress parental.<br />
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