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L’ORANIE PAGE 6 Le Directeur, le Conseil Syndical et l’ensemble du personnel du Complexe GL2/Z (Sonatrach - Activité Aval), présentent leurs sincères condoléances à leur collègue Monsieur BENGHERNOUT Nasreddine Et à sa famille, suite au décès de sa sœur et les assurent, en cette pénible circonstance, de leur profonde sympathie en priant Dieu, le Tout-Puissant, d’accorder à la défunte Sa Sainte Miséricorde et l’accueillir en Son Vaste Paradis. «A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons» La Voix de l’Oranie ANEP N° 0006547 05/02/2011 La Voix de l’Oranie M. Chiali, directeur de la Chambre de commerce et d’industrie «la Tafna» à la VO «Nous restons à l’écoute des opérateurs économiques» ENTRETIEN RÉALISÉ PAR FETHI HADDADI, TLEMCEN CORRESPONDANT DE LA VOIX Depuis son installation en 2006, M. Chiali, directeur de la Chambre de commerce et d’industrie “la Tafna” ne cesse d’œuvrer pour une meilleure représentation de l’entreprise en mettant en place toutes les conditions de réussite. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de la Chambre en question, ce responsable, animé d’une bonne volonté, a bien voulu nous accorder cet entretien. La voix de l’Oranie: Monsieur le directeur, je vous laisse le soin de présenter votre Chambre de commerce et d’industrie aux lecteurs. M. Chiali: Cette structure économique, créée en 1959, s’est fixé comme objectifs une représentation et un soutien à l’entreprise en instaurant un cadre de dialogue et de concertation avec les pouvoirs publics et les opérateurs économiques. - Parlez-nous de cette relation entre pouvoirs publics et opérateurs ACTIVITE AVAL – DIVISION LQS COMPLEXE GL2Z économiques. - Aujourd’hui, notre mission consiste à assurer à l’entreprise un soutien par la vulgarisation et la compréhension de la réglementation à travers la tenue de journées d’études et d’informations, colloques, forums et séminaires. Dans ce cadre précis, nous attachons une importance particulière aux journées de sensibilisation, de formation en faisant participer tous les partenaires, seule condition indispensable pour l’amélioration des performances managériales des chefs et cadres d’entreprises. - Quelles sont les missions de la Chambre? - Ecoutez, depuis sa création, la «Tafna» a été toujours un acteur économique important, participant activement dans le développement socioéconomique de sa région. Pour cela, elle s’est fixée pour missions d’informer ses partenaires et ses adhérents, de mettre son centre de formation au service des jeunes désireux suivre une formation diplômante ou qualifiante où pas moins de huit filières sont proposées dans différents domaines, celui de la qualité, l’hygiène, la sécurité, l’environnement, le bâtiment, les travaux publics, l’hydraulique, le management, la gestion, le marketing, l’informatique et les langues CONDOLÉANCES Direction de la Distribution d’Es Sénia Avis La Direction de Distribution de l’Electricité du Gaz d’Es Sénia, informe son aimable clientèle habitant dans les localités : SIDI MAROUF- HAI SABAH - HAI YASMINE, qu’une caisse sera ouverte à partir du 01/02/2011 au niveau de l’ancienne antenne de l’APC à Haï Chouhada, dans un souci de rapprochement de ses clients et afin de leur éviter les déplacements. La Direction La Voix de l’Oranie ANEP N° 1368/31 05/02/2011 étrangères. Dans un autre contexte, et dans la perspective d’être constamment à l’écoute de nos adhérents dont le nombre actuel est de 1.020, nous avons mis en place sept commissions techniques servant de cellule de réflexion pour échanger les idées en vue d’apporter un plus en matière de perfectionnement. - Un dernier mot pour conclure. - Aujourd’hui, la chambre de commerce et d’industrie opte pour une démarche régionale de proximité dont l’objectif vise à créer une synergie créative. C’est une politique initiée par l’assemblée générale basée sur le rapprochement vis-à-vis des opérateurs économiques. L’adoption d’une stratégie de gestion s’avère plus qu’une nécessité afin d’atteindre les objectifs fixés au départ. N°3419 - SAMEDI 5 FÉVRIER 2011 Aïn Toucef (Tlemcen) Retard dans la réalisation de la bibliothèque communale A. RAHMOUNI CORRESPONDANT DE LA VOIX Les travaux de la bibliothèque communale de Aïn Youcef, wilaya de Tlemcen, qui ont débuté il y a déjà un an, accusent un retard considérable dans sa réalisation. A cela s’est ajouté leur arrêt par suite du blocage des activités de la municipalité, objet d’un retrait de confiance au maire par cinq élus. L’édifice dont la structure et les gros œuvres semblent avoir été achevés, reste à l’état de carcasse. Attendu avec un grand intérêt par la population, notamment des jeunes étudiants et lycéens, le projet de cette bibliothèque, promise depuis longtemps, constitue un acquis indéniable devant le manque d’infrastructures culturelles dont rêve la population juvénile dans la région. On croit savoir que la raison de cet arrêt est l’épuisement de l’enveloppe financière affectée à ce projet, malgré quelques rallonges financières de l’APC, rallonges d’ailleurs contestées par des élus. Ce projet, inscrit dans le cadre du programme de développement 2005-2010, avait bénéficie de 1 milliard 400 millions de centimes, montant qui s’est avéré insuffisant pour l’achèvement des travaux. «Pour nous, les crédits alloués pour la construction de cette bibliothèque étaient suffisants. On se demande pourquoi les travaux n’ont pas été achevés à temps, malgré quelques rallonges que nous avons contestées», nous ont déclaré quelques élus dissidents. Plus de 80 millions et des vêtements récupérés à Mostaganem Arrestation d’une dangereuse bande LAKHDAR HAGANI CORRESPONDANT DE LA VOIX Les services de la police judiciaire, relevant de la Sûreté de wilaya de Mostaganem, ont arrêté, ce mercredi, une dangereuse bande spécialisée dans les cambriolages des locaux commerciaux, après une enquête lancée il y a quelques jours. La bande qui sévissait au niveau de la ville, était composée de cinq individus âgés entre 23 et 17 ans, La Voix de l’Oranie tous des récidivistes dont un mineur. La perquisition des domiciles de certains mis en cause a permis de découvrir plusieurs lots d’effets vestimentaires, des balances électroniques et plus de 80 millions de centimes, fruits des vols. Présentés dans l’aprèsmidi de ce mercredi dernier devant le procureur de la République prés le tribunal de Mostaganem, les 5 individus ont été mis sous mandat de dépôt pour cambriolage et association de malfaiteurs. République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme Office de Promotion et de Gestion Immobilière 08 Place Boudali Hasni Sidi El Houari - Oran Tél : 39/85/80 Fax : 39/39/39 Télex : 22907 Réf…DG/OPGI/2011 DERNIÈRE MISE EN DEMEURE L’Entreprise MOBILART sise au 03, Rue BAGHDADI LARBI DELMONTE /ORAN, titulaire du marché N°30/2006 ODS N°360/2006 notifié le 09/11/2006 pour la réalisation des travaux de Bâtiment et VRD du projet 429 logements L.S.P MESSERGHINE, est mise en demeure sous 48 h00 de renforcer le chantier en tous moyens (humains, matériaux et matériels) nécessaires afin de rattraper le retard enregistré. A défaut, l’Office se réserve le droit de résilier le marché aux torts exclusifs de l’entreprise. La Voix de l’Oranie ANEP N° 841416 05/02/2011
N°3419 - SAMEDI 5 FÉVRIER 2010 Alors que celui de 2004 est considéré comme obsolète avant même son application Encore un plan de transport pour la ville de Sidi Bel-Abbès A. ABBAD CORRESPONDANT DE LA VOIX L’élaboration du nouveau plan de transport de la ville de Sidi Bel- Abbès a constitué le principal ordre du jour d’une séance de travail ayant regroupé, en fin de semaine écoulée au siège de l’APC, les responsables de la commune et du secteur des transports ainsi que les représentants du Bureau d’études de transports urbains (BETUR), relevant de l’entreprise du métro d’Alger (EMA) en charge de la conduite technique de l’opération. Présidés par le chef de la daïra de Sidi Bel-Abbès, les travaux ont permis aux responsables présents de passer en revue les grandes orientations du nouveau plan de transport qui doivent intégrer, précise-t-on, «les nombreux changements intervenus ces dernières années à l’intérieur et à l’extérieur de la ville du fait de son extension urbanistique, de son accroissement démographique, du développement de ses infrastructures et de l’augmentation inconsidérée de son parc roulant.» Il est à noter que dans le même cadre, le BETUR a été sol- B. KACEM CORRESPONDANT DE LA VOIX Pour une catégorie de populations, le foncier est devenu, ces derniers jours, un espace où l’on s’affronte pour le délimiter et/ou carrément le verser dans le portefeuille de la construction illicite et exploitations agricoles. Dans cette logique de banditisme et au nom du beylik, plusieurs personnes, issues des communes de Hamadia, Aïn Kermes, Rosfa, Faidja et Ksar licité en 2004 par les autorités locales à l’effet d’élaborer un plan de circulation similaire avec pour objectif «l’analyse du fonctionnement du réseau de voirie de la ville de Sidi Bel-Abbès et d’en formuler le diagnostic relatif aux conditions de circulation permettant la mise en évidence des causes de dysfonctionnements du système circulatoire». Le diagnostic établi à l’occasion, de même que les conclusions auxquelles ont abouti les experts de ce bureau d’études, ont pu certes apporter un meilleur éclairage sur les multiples dysfonctionnements caractérisant ledit réseau mais sans pour autant parvenir à proposer, comme le souhaitaient les responsables, de solutions durables aux problèmes de circulation et de transport auxquels est confrontée la population locale. Sans mode opératoire précis, le plan de transport, ou supposé comme tel, mis au point par le bureau d’études du métro d’Alger, a été rendu encore obsolète avec le retard accumulé par les services compétents dans le lancement de sa phase d’application réelle sur le terrain. Et pour gâcher le tout, même les études annoncées pour l’éradication des principaux points Chellala, se sont investies dans la dégradation et spoliation à grande échelle et sans retenue des terres en s’attaquant à des propriétés publiques: des terres communales ou domaniales. Toutes ces actions se sont produites à travers ces espaces considérés vacants à un rythme accéléré depuis que des élus sont restés muets comme des carpes, ne pouvant affronter des réalités continuant alors à faire dans les petites politiques. Devant cet état de fait, les La Voix de l’Oranie noirs entravant la circulation automobile à l’intérieur de la ville, notamment ceux de l’intersection de la vallée des jardins-pont Perry et du carrefour Guermouche Med - lieutenant Khelladi - Mohamed V qui enregistrent, à eux deux, un flux de transit dépassant les 20% du trafic urbain, ne se sont traduites par aucune mesure concrète tendant à faciliter la circulation des bien et des personnes. En somme, des millions dépensés en pure perte par l’Etat et la municipalité pour des études techniques qui n’auraient finalement guère dépassé le stade du simple diagnostic, lequel est appelé à être établi de nouveau en 2011 par le même Tiaret Les terres communales, domaniales chefs de daïras et les services de sécurité sont appelés en pompiers pour contenir la colère des citoyens et prendre en charge les doléances en place et lieu de certains élus souvent absents dans les moments de vérité. Au sud de la wilaya, des espaces géographiques éloignés, des terres vides à perte de vue sont toujours convoités pour des labours illicites et pacage intensif des transhumants venus des zones limitrophes pour s’y implanter. Toujours dans ces espaces, l’in- bureau d’étude. En tout état de cause, il reste à espérer que le panel d’experts en charge de l’élaboration du futur plan de transport parvienne, cette foisci, à cerner au mieux la problématique des transports au niveau de la ville de Sidi Bel- Abbès devant tenir compte des changements actuels et à venir dans l’agglomération, en ce qui concerne notamment sa configuration de future métropole intégrant le chef-lieu de wilaya et les autres localités excentrées de la couronne urbaine et le principe de l’inter modalité qui doit désormais régir le fonctionnement des infrastructures et des modes de transport à Sidi Bel-Abbès. et steppiques, source de conflits perpétuels Aïn Témouchent BERRAHIL SAÏD CORRESPONDANT DE LA VOIX C’est vrai que la wilaya d’Aïn Témouchent est parmi celles qui ont une production de cultures maraîchères faible, provoquant une hausse des prix des fruits et légumes. Et pour arriver à équilibrer l’offre et la demande, synonyme de la baisse du prix, l’Etat a procédé à la réalisation de stations de lagunage durant ces 10 dernières années. Mais malheureusement, elles ne sont pas utilisées à leur plein régime pour pouvoir irriguer les 1.000ha. Et pour atteindre cet objectif, une grande station dé lagunage en construction sera achevée d’ici juillet 2011 pour irriguer les 200ha des deux communes de Sidi Ben Adda et Chabat, en plus de deux autres projets de stations de lagunage qui vont être implantées à Beni Saf et Aïn Kihel. Seulement, a tenu à déclarer, notre interlocuteur, peut être le stinct grégaire est dominant, les conflits entre tribus sont perpétuels où tout peut arriver et à n’importe quel moment dans ces communautés organisées en clans souvent délimités et fixes par des frontières fictives déjà cadastrées dans les esprits. Pour rappel, ces communes du sud ont été le théâtre de plusieurs affrontements dangereux comme ceux signalés les années précédentes aux frontières des communes de Aïn Dheb, Naima Sidi Abderrahmane et Chellala. Deux stations de lagunage pour Beni Saf et Aïn Kihel plus important a été oublié concernant la commune de Terga qui devra avoir la priorité concernant ce projet avec le déversement des eaux usées charriées der l’oued de cette localité directement dans la mer, au niveau de Terga plage, et ce, dans l’intérêt de la santé de la population et des estivants. L’ORANIE BERRAHIL SAÏD CORRESPONDANT DE LA VOIX Les habitants du Haï 294 logements à Sidi Ben Adda ont saisi Madame le wali, par une correspondance dont la Voix de l’Oranie a reçu une copie, dans laquelle ils lui ont fait part de leur problème. En effet, dans leur correspondance, les signataires déclarent qu’ils se entent isolés du chef-lieu de la commune puisque aucune route n’a été réalisée à ce jour pour qu’ils puissent rejoindre le centre de cette ville. Pourtant, ajoutent-ils, ils se sont acquis de toutes les charges relatives à la PAGE 7 Sidi Ben Adda (Aïn Témouchent) Les habitants de la Cité des 294 logts saisissent le wali MED YOUCEF ACHIRA CORRESPONDANT DE LA VOIX Les deux salles de consultations de la polyclinique de Aïn El Bordj, wilaya de Tissemsilt, ne se désemplissent pas de malades, plus particulièrement ceux qui veulent se faire ausculter par les médecins spécialistes en ophtalmologie et traumatologie. En effet, suite au programme de lutte contre les maladies ophtalmologiques, deux salles d’auscultations ont été ouvertes à l’intention de la population de cette localité à qui deux médecins ont été mis à leur disposition, selon la direction de la santé et de la population. Il ajoutera que cet établissement de santé de proximité (ETP) est chargé du suivi médical des voierie, à savoir l’AEP, l’assainissement, la réalisation de la route etc, voilà plus de 16 ans. Seulement, ce problème reste, depuis ce jour, toujours posé et qu’à la saison des pluies c’est face à un bourbier qu’ils doivent lutter, rendant leur cadre de vie très difficile à supporter. Ils ajoutent que des promesses leur ont été faites par les différents P/APC de cette commune qui sont restées lettre morte. Et pour mettre un terme à ce calvaire, ils demandent au premier magistrat de cette wilaya, d’inscrire ce projet dans le programme 2011 des réfections des routes. Tissemsilt La polyclinique d’Aïn El Bordj très sollicitée par la population malades en provenance des wilayas de Relizane, Chlef, Aïn Defla, Saïda, Mascara et Djelfa. Et pour permettre au deux médecins de travailler dans de bonnes conditions et aux différents malades de recevoir le traitement efficace, cette polyclinique a été dotée d’équipements d’ophtalmologie et traumatologie pour lutter contre la cécité. A ce sujet, des campagnes de prévention et de sensibilisation sont menées par l’équipe médicale chargée de cette mission en effectuant des dépistages précoces auprès de la population qui devrait effectuer des consultations ophtalmologiques au moins une fois par an, a signalé notre interlocuteur qui affirmera que cette maladie a touché les personnes âgées de 40ans et plus et certains enfants.
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