approche pluridisciplinaire d'un système de production ... - IRD

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FIGURE4 Le cycle de biomasse correspond à la somme des biomasses “pêchables” ipoissons > 8 cm) du fleuve et de la plaine. (panmétrage : tabl. 1). L’d production somatique chute et devient m&ne négative f.amaigrissement) en fm de décrue car les poissons redescendent en masse dans le fleuve et se retrouvent très nombreux en compétition pour une otfre alimentaire faible. -- production (x10) - biomasse 8000 7000 6000 5000 Kg 4000 3000 2000 1000 0 -1000 1234567891111111111222222222233333333334444444444555 0123456789012345678901234567890123456789012 FIGURE 5 Janvier semaines Decembre Repense hio-énergétique de la ressource à l’intensification d’exploitation (paramétrage : tabl. Ii. L’effort de pêche est le même pour le fleuve et pour la plaine. Le paramètre de contrôle de l’effort global (h> s’accroît de 1 unite la première année puis de 3 unités les années suivantes ; le changement de valeur intervient chaque année au passage de la 2ymC semaine (mi-juillet). Plusieurs valeurs particulières de h sont reportées sur l’axe temporel d’intensification, pour faciliter la correspondance avec les figures 7 et 8. -- production somatique - biomasse moyenne ..l.‘l productivité annuelle (P) annuelle (B) (*looo) 16000 14000 12000 / // /Y------e-- /- ‘. .--- \ \ \ . Kg 8000 t 6000-c ,&.,"..W .A........... x II,,--,..,1.... . . . . ...-*- *-'-..'*.A- ann6es 1 2 3 4 5 6 7 8 9 1011 12131416161718162021222324 ., I \ (PIB) effort(X) 0 1 10 25 43 52 67 .-
Les réponses enregistrées lors de ces différentes simulations d’intensification d’exploitation (fig. 6 a, b, c, d) présentent la même forme générale malgré les différences de paramétrisation ; cette forme peut donc être considérée comme un résultat robuste. Il faut noter d’emblée que, en opposition avec ce que produisaient les modèles classiques de la biologie des pêches, cette forme n’est pas parabolique, elle ne permet donc pas le repérage d’un niveau d’effort optimum qui maximiserait les captures (FM&), séparant nettement “sous-exploitation” et “surexploitation”. Elle peut- par-contre être décritepa&sé~ence suivante-: -. au début, les captures augmentent rapidement en fonction de l’effort, puis elles s’infléchissent progressivement à l’approche d’un maximum. Ce maximum se prolonge en fait en un véritable “plateau”, avec des prises qui restent approximativement constantes malgré la poursuite de l’intensification de l’effort - et ce jusqu’à un facteur 2 ou plus. Enfin, et seulement au-delà de valeurs très élevées de l’effort, l’effondrement des captures se produit. En comparant les différentes simulations, il apparaît que le niveau maximal (ou niveau du “plateau”) de captures est essentiellement déterminé par les condi- tions environnementales, puisque l’on observe un très net réhaussement si l’on adopte une hypothèse plus forte (de 50 ‘96) pour K, le paramètre qui fixe la valeur annuelle moyenne des capacités biotiques (fig. 6 b comparée à la fig. 6 a). Les autres facteurs, notam- ment le diagramme d’exploitation, semblent avoir un rôle moindre dans la détermination de ce niveau maximum des captures (fig. 6 c comparée à 6 a). FIGTJRES 6 A, B, C, D : réponse de la prise et de la prise par effort à l’intensification dkxploitation. a : paramétrage : tabl. 1 b : idem, mais avec une ofie moyenne de nourriture K (ou “capacité biotique”) relevée de 50 ‘XI c : paramétrage : tabl. 1, sauf un schéma d’exploitation différent, avec une concentration de l’effort sur la décrue et l’étiage : fi.1 = OJ9 ; fi,l= OJ9 ; fi,* = L33 ; f2.2 = L33. d : paramétrage : tabl. 1, sauf l’introduction d’une variabilité de la croissance inter-individuelle (tirage dans une loi normale carxtérkée par un coefficient de variation de 5 9b). (b) (C) (d)
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Maquette et réalisation : La Coop
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REMERCIEMENTS Nous tenons à remerc
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Le Projet d’Ehdes Halieutiques du
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Avant-propos Jacques DAGET Professe
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lents que les autorités ont du mal
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Prêface Dr. Boubacar Sada Sy, h&ii
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En iK’tthre, hondation de la plai
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L’histoire de cette émergence a
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que chaque discipline puisse se ré
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Campement temporaire de pêche. i
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FIGURE 1 Schéma des grand< ensembl
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Ce schéma de circulation peut avoi
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l PLÉISTOCÈNE IMÉREUR ET MOYEN E
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Tarikb el Fettach rapporte une fami
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Artère vitale pour l’économie s
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FIGURE 4 : le bassin sud-ouest du N
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Une bourgoutière (Echinochloa stap
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Le tressage d’anciens chenaux aba
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Recrudescence des ventes d’étiag
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Un exemple de végétation naturell
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Les engins de pkhe par blessure. Il
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Dr même, les pirogues de pèche au
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Techniques de fumage et de séchage
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En effet, lorsque pour ces moyens d
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I une vingtaine d’an’nées ; un
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B - Une nouvelle différenciation d
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Groupes de pêcheurs et panoplies h
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Une pirogue de commerçant d’aujo
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ügr de Sélingue. voire acceptent
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ethniço-technologique, etc. ) pour
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Le poisson fumé est mis en sac pou
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epoussés par plus fort qu’eux. A
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Ajoutons quelques remarques sur le
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Tri du poisson fumé sur le port de
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La transformation : fumage du poiss
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W.OÉ CF. 1, 1985. - Etude de lap@c
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MINISTÈRE DE L’ÉLEVAGE ET DES E
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~L~NSIÈ~ u,>, 1990. - Systémique
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THO?v&S (J. ), 1923-25. - Rapport T
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AE3N (Autorité du Bassin du Niger)
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