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25 Mars 1908 - Bibliothèque de Toulouse
25 Mars 1908 - Bibliothèque de Toulouse
25 Mars 1908 - Bibliothèque de Toulouse
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Mercredi <strong>25</strong> <strong>Mars</strong> i?l<br />
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Mercredi <strong>25</strong> <strong>Mars</strong> i?l pour les cendres <strong>de</strong> son aïeul. Pour ce trans- fert une loi serait nécessaire. M. Clemenceau doit écrire à M-
Mercredi <strong>25</strong> <strong>Mars</strong> <strong>1908</strong> „ ne agence publie.une ^J^ufsoW* ° t nous ne nous faisons 1 wbo'i^ wJte le te S»» réserves, ^5^,isiasti^ eias *--^; t d les milieux ec< seraJJ trU1\^r Kuzet irclrevéaue ««JW aurait donner sa démission « fraUÇaA» e ce1 ision 7, chercher le motif <strong>de</strong> ^"astiques, gestion <strong>de</strong>s mutuelles MBEHAMLI „i T F ? 0tbaU - - C'est avec d*.Er?e clWilier - se disputa L et le r B n c n s S BUtah mtre 16 S " A - R De part ot d'autre F. B. C tant te jeu 1 " et c'était tm.t-Rab^^r^iii 3 pomits à zéro itbuau Dinianchie prochain r„„ I. S. ira coin lettre a <strong>de</strong>nvn rtes '- ïc F - B - c - | C. Nous estons A «^uipe <strong>de</strong> l'U. leur entrain habituel^ 0 ta m a J V ( ?' nrroI,t au jeu Blesse. e Ulôme que lour sou- Nous croyons, s'il en est A ©onno partie à enregistrer ' avoiT N. R. Le F. B. CARCASSONt4E. — Nécrologie.— Nous avons le regret d'apprendre ta irnort <strong>de</strong> M. Charles Seguevesse, décédé subitement, lundi soir, à l'âge <strong>de</strong>- 85 ans. C'est M. Seguevesse qui fonda le Courrier <strong>de</strong> l'Au<strong>de</strong>, en 1854. Nous adressons à ha famille du regretté dé- funt nos respectueuses condoléances. Départ. — M. le général Doudies, comman- dant la 16' briga<strong>de</strong> <strong>de</strong> «cavalerie à Carcasson- ne, qui vient <strong>de</strong> passer dans te cadre <strong>de</strong> ré- serve, a quitté notre ville hier, par l'express <strong>de</strong> 2 heures et <strong>de</strong>mie, dan® la direction <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong>. Tous les officiers <strong>de</strong> la garnison et leurs dames sont allés -saluer te général à la gare, au moment <strong>de</strong> son départ. Tribunal correctionnel. — Audience du 24 mars. — Prési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> M. Vézinhet, prési<strong>de</strong>nt-; ministère public, M. Jaquot, substitut. Trois affaires seulement ont été appelées à l'audience d'hier. Deux ont été jugées La troisième a été renvoyée à huitaine Pierre Bedos. 40 ans, né à Lanière, s'intro- duisit, dans la nuit du 18 au 19 mars, dans la maison <strong>de</strong> M. Gabriel Cantié, à Taurize, et -partit en emportant un saucisson trois che- mises et un poite-monnaie contenant la som- me <strong>de</strong> 1 franc ; il est condamné à trois mois et un jour <strong>de</strong> prison. — Pierre Bernard, 48 ans, né à Viltefloure, courtier à Carcassonne, avait -encaissé <strong>de</strong>ux primes <strong>de</strong> 5 fr. 50 et 6 fr. 30 pour un agent d'assurances <strong>de</strong> r^ire ville à qui il ne remit pas cet argent. Les clients déposèrent une plainte quand on leur réclama le montant <strong>de</strong> leur assurance. Bernard a été poursuivi <strong>de</strong> oe fait pour abus <strong>de</strong> confiance et escroquerie. L'inculpé dit qu'il avait cru pouvoir se payer sa commission. Il a désintéressé les <strong>de</strong>ux as- surés, le tribunal ne retient que l'abus <strong>de</strong> confiance et condamne Bernard à 50 francs d'amen<strong>de</strong> avec sursis ; .défenseur, M' Sarrand. Dotation «te la «saunasse «le France. Les 'sociétaires sont informés que l'assemblée gé- nérale annuelle est fixé© à <strong>de</strong>main jeudi 26, à 8 h. 15 précises du soir, dans une <strong>de</strong>s salies <strong>de</strong> la mairie. Ordre du jour : lecture <strong>de</strong> divers «rapports modification <strong>de</strong>s statuts ; vœux ; élections. Le présent avis tient lieu <strong>de</strong> convocation. Escrime. — LE TOURNOI DE TOULOUSE. — Nous nous faisons un <strong>de</strong>voir en même temps qu'un plaisir, <strong>de</strong> venir féliciter à nouveau, parmi tes nombreux lauréats qui y prenaient part, <strong>de</strong>ux fervents adorateurs <strong>de</strong> la lame. Le* pre- mier, le lieutenant Vilièle, du 19 e dragons, est le beau tireur -au j eu sûr, précis et savant. Quant au second, M. Couthier, maître d'ar- mes au 19 e dragons, il est doué <strong>de</strong> toutes te! qualités requises pour s'assurer la victoire et défendre dignement le nom <strong>de</strong> ceux qui l'ont désigné. Le tournoi du 21 mars à <strong>Toulouse</strong> est, pour- la S. A. E. E., la plus belle page d'inaugura tion <strong>de</strong> son livre d'or. Société <strong>de</strong> sscoiîrs mutuels Sa'nt-Lucienjon dée en 1844. — Le bureau prie les membres <strong>de</strong> la Société <strong>de</strong> se rendre à la réunion généra"* quii aura lieu le jeudi 26 cousant, à 8 heures dru soir, dms la saille <strong>de</strong> la Société, salle mise giraciauseimient à notre disposition par notre sympathique ami et fervent muijualiste, M Jean Caste, oaîé du Midi, boulevard Barbès «< Revue méridionate ». — Sommaire du nu- méro du mois ùie mars : Les Vieillards d'Atlanta (Jean Philibert) ; l'Apprentiie <strong>de</strong> Gustave Geffroy à l'Odéon (A- obaie Astre) ; le Clos <strong>de</strong> l'Ancêtre (.Auguste Bouquet) ; les Œuvres <strong>de</strong> ce temps ; une Ex- position <strong>de</strong> peinture, xrilogiravures, par Augus- te et Achille Rouquet. Tliéàtr .1 municipal. — Ouverture <strong>de</strong> la sai- son. — Communiqué : « Notre théâtre va rouvrir ses portes. MM. Broca frères, nos nouveaux directeurs, vien- nent <strong>de</strong> prouver, en terminant d'une façon brilante leur .saison d'hiver à Montpellier, qu'ils s'entend.ent parfaitement aux choses du théâ.re-. Les artistes que nous allons entendre imaniche dans Fausit viennent, pendant cinq mois, <strong>de</strong> récolter les bravos <strong>de</strong> nos voisins. Aussi, nous sommes assurés que 'la première présentation sera un gros succès pour les nouveaux venus. Mme Daffetye, qui interprétera le rôle <strong>de</strong> Mar-guerite, est une transfuge <strong>de</strong> l'O.pér.a-Co- mique <strong>de</strong> Paris, et son talent nous est connu par tes éloges constants <strong>de</strong> la presse montpel- lléraine. M. Fassin est un ténor vaillant et qui onsilf avec les notes les plus -aiguës <strong>de</strong> sas êtes. M. Jacqu-in, qui fut aussi pensionnaire <strong>de</strong> il'Opéra-Cixnique, passe à juste titre pour un <strong>de</strong>s meilleurs dans son emploi, et nous pouvons prédire un triomphe à M. Mézy, un baryton dont l'organe est merveilleux. Enfin, l'or-cbes-ire jouera sous la direction <strong>de</strong> M. Alénus. un maître toemtesté, et nous reveirrons les arrangements acéniques da notre mi Joël Fabre, le régisseur général que tout & public lient en estime et qui a acquis chez vainqueur par une B. À.â <strong>de</strong> son¥c.cûiH"èoidil^' 5\ «merete te *e <strong>de</strong> tous et pour tous SA ^ lu1 rimouvcl- t?ués. ôb &cn t.iinents distin- , RABASTENS. — Football r.. t. «J» temps affreux, que s" 9t S&ftl ~ C'est par «eru-i-or, à Rabastens la"<strong>de</strong>nvii' ltée ' dunanclic "^tet, 9a.inUSulpice-Ra.bas enf e lllai 'ohe du fcLa Football Club a le coup . ^ vifixxureusenient. Le jeu se\S'Tl; n nUn' ' ** ""ituitlent dans La salle <strong>de</strong> dimanche sera comble pour soubaiiter bienvenue à MM. Broca et à ses vaillants artistes. » MARBQNNE. — Sectarisme inopportun. A Sa'li&s-d'Aui<strong>de</strong>, on possè<strong>de</strong> un conseil muni- cipal socialiste et un maire qui, jusqu'à pré sent, paraissait ne pas être te premier venu. Par une décision en «date du 1" mars, ce con- seil municipal a décidé «<strong>de</strong> faire enlever une croix qui se trouvait, <strong>de</strong>puis <strong>de</strong> longues an nées, au milieu du cimetière. Cette croix ne gênait personne ; chacun était libre <strong>de</strong>' s'in cliner <strong>de</strong>vant elte ou «<strong>de</strong> passer indifférent. Deux familles étaient propriétaires <strong>de</strong> cette croix ; mais <strong>de</strong> la croix seulement, et non d«u terrain .sur ilequcll elle était posée. Avec une correction <strong>de</strong>vant laquelle il faut s'incliner profondément,, nos petits jacobins du conseil municipal ont communiqué leur décision aux <strong>de</strong>ux farniltes, par une lettre «datée du 7 mars. Entre temps, l'un <strong>de</strong>s conseilleiris munici- paux, que nous surnommerons le petit s -int Jean bouche d'or, du conseil <strong>de</strong> SalIles-d'Au<strong>de</strong>, laissait échapper l'aveu suivant, qu'il est. bon d'enregistrer : « De crainte d'être balancés aux élections du mois <strong>de</strong> mai prochain, nous vou- lons laisser une trace <strong>de</strong> notre passage. » Nous ne «serions aucunement surpris que ce soit 1e même conseiller qui réclame à grands cris la présence du tambour municipal aux eoterrerrents civils. Bl y reprodulrn.it en sour- dine l'accompagnement <strong>de</strong> la marche funèbre <strong>de</strong> Chopin. Et c'est pourquoi nous <strong>de</strong>vons ad- mirer le génie musical qui anime certains con- seillers municipaux <strong>de</strong> nos villages. Pour en revenir à la croix, disons tout <strong>de</strong> suite que la décision- municipale prise centre elle souleva l'indignation <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> majo- rité <strong>de</strong>s habitants <strong>de</strong> Saltes-d'Au<strong>de</strong>. Une péti- tion circula pour <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r son maintien ; en peu <strong>de</strong> jours élite fut couverte par <strong>25</strong>0 si- gnatures d'hommes, appartenant à toutes tes opinions politiques, voire m&m«e à toutes ies idées religieuses ou philosophiques. C'est que Qeats nos -cann-pa-gnes méridionales il se trouve plus que jamais une gran<strong>de</strong>, majorité <strong>de</strong> gens sains d'esprit et honnêtes <strong>de</strong> se.n-tim.ents, ca- pables <strong>de</strong> reconnaître et par conséquent <strong>de</strong> mépriser la stupidité -d'une persécution <strong>de</strong> ce genre. La pétition était donc sur le point d'être adressée au maire <strong>de</strong> Saltesid'Au<strong>de</strong> Nul ne doutait que cellui-ci ferait bon accueil en rai- son uteme<strong>de</strong> l'esprit <strong>de</strong> tolérance et do pacifi- cation qu'il n'a cessé <strong>de</strong> montrer -<strong>de</strong>puis tes <strong>de</strong>rniers événements viticotes. Par sas ctoert tes plaidoiries <strong>de</strong>vant le tribunal correctionnel le Nai 'iinutie. alors qu'il «détendait quelques pro'étaircis victimes «<strong>de</strong> la haine <strong>de</strong>s nlorards olénirnci&tes, n'avait-il pas donné à chacun la oart&lMte qu'autant, que tout autre ii! co.m.pre- n i.it, que, dans notre Midi persécuté, il fallait se gar<strong>de</strong>r <strong>de</strong> «usciter <strong>de</strong>s querelles politiques ou religieuses ? Mais on avait compté sans te noctaimbu- lifimo <strong>de</strong>s conseillers municipaux <strong>de</strong> Saïtes- d'Au<strong>de</strong>. Alors que leur maire a cessé da IV-lre, nous nous plaisons A 1ereconnaître, peut-é: re- polir protester contre llml, Us sont <strong>de</strong>venus r, c tanibutos. Et «nuitamment, cla.n<strong>de</strong>isit.inement, sans ta» bo-ur ni trompette, pas mènir avec te tambour <strong>de</strong>stiné aux enterrements civils, ils ont fait enlever la croix du cimetière. A présent, ladsseeanol vous dire nne «si vone aépu«sw. à peine le tunnel <strong>de</strong> Trèltos ot vous parcouriez le ruste «<strong>de</strong> «ta France, vou trouverez une masse do gens, même paimi ! née amis, «oujouis prêts à critiquer te nnou- vement méridional, à n'y rien comprendre par conséquent, car je vous assure qu'ils n'y ont encore rien compris, et toujours disposés à Mttener notre attitu<strong>de</strong> conciliatrice envers tous tes partis, sauf, naturellement, envers' le .gouvernement qui nous a fait fusiller. Eh bien ! â ceux-là, il est bon d«e .répondre événements ont réveillée ehez nos gênéreu- évènements ont réveillée chex nos généreu- ses popuiplations, je n'aurais jamais songé à «parler à M. le maire <strong>de</strong> Sal.les-d'Au<strong>de</strong> comme je viens <strong>de</strong> te faire, avec l'espoir d'être com- pris ; «et que, en tout cas, sans elle, un conseil municipal n'aurait pas été obligé <strong>de</strong> se cacher pour entavor la croix d'un cimetière. Le règne <strong>de</strong>s sectaires est fini chez nous... J. L. Conférence. — M. Coppin Abancelli, au- jourd'hui remis <strong>de</strong> son indisposition, donne- ra, samedi prochain 28 courant, à 8 heures et <strong>de</strong>mis du soir, dans la gran<strong>de</strong> salle <strong>de</strong>s fêtes <strong>de</strong>s oeuvres catholiques ouvrières, 1, rue <strong>de</strong> la Major, une gran<strong>de</strong> conférence. Avec son talent bien connu et son courage habituel, l'é.minent conférencier, ancien con- eiàter municipal <strong>de</strong> Paris et ex-gnand digni- taire- <strong>de</strong> la Maçonnerie, nous dira ce qu'est " ignoble secte qui gouverne notre France on oe moment pour l'avilir, l'amoindrir, la tuer. Nous engageons nos 'lecteurs et amis à se procurer sans retard leur carte d'entrée s'ils ne veulent pas s'expqôer à ne pouvoir trouver une place dans la salle. Des cartes sont déposées chez Je concierge <strong>de</strong>s ceurres ouv,rîères, rue <strong>de</strong> la Mapor, 1 chez M. Louis Andrieu, boulevapd Montmo- rency ; chez M. Atbert Rullter, 3, cours <strong>de</strong> la Promena<strong>de</strong>. Trouvailles. — M. Nicol, 16, boulevard du Collège, a trouvé un trousseau <strong>de</strong> clefs ; M. Joseph Gélis, rus Riquet, a trouvé, dans la salle du Syno<strong>de</strong>, un par<strong>de</strong>ssus. Union Mutualiste Marhonnaiss, Maison <strong>de</strong> la Mutualité. — L'Union Mutualiste Narbonnaisia ient à protester contre les insertions qui pa- raissent <strong>de</strong> temps en temps dams les journaux et qui annoncent «<strong>de</strong>s réunions tenues «par dif- férents groupements politiques dans la Mai- son <strong>de</strong> la Mutualité, siège <strong>de</strong> l'Union. L'Union Mutualiste Narbonnaise, à qui les statuts régulièrement approuvés interdisent toute discussion politique ou religieuse, dé- clare qu'elle est complètement étrangère à ces groupements, qui ont leur siège dans tes lo- caux loués par M. .Sudre, limonadier dans le même immeuble. Etat civil du 23 mars. — Naissances : Paul Capitoul ; Paul-François Mandrou. Décès : Marguerite-Antoinette Fabre, veuve Limouz.i, 74 ans ; Jacques Sentenac, cultiva- teur, 48 ans ; Paul Capitoul, 1 jour ; Gabrielie- Paulin© Saurat, 7 jours. Publications <strong>de</strong> .mariagœ : Pierre Jouet, jardinier, et Louise-Marie Ferrasse, sans pro- fession, à Narbonne. FERRALS. — Un converti. — Nous avons tu, lundi 23 mars, avec beaucoup d'intérêt la relation <strong>de</strong> la cérémonie qui a eu lieu à Car- cassonne, à l'asile <strong>de</strong>s Petites-Sœurs <strong>de</strong>s Pau- vres, le 19 courant. Le jeune premier communiant <strong>de</strong> 70 ans !!! dont «parle «spirituellement te chroniqueur, est rai ancien ouvrier carrier, M. Pierre Carreau, dé notes commune, qui avait vécu jusqu'à pré- sent loin <strong>de</strong> toute croyance et pratique reli- gieuse. Nous saluons avec plaisir son retour à Dieu; son exemple nuisse-t-il trouver «<strong>de</strong> nombreux kaMateius ; car il n'est jamais trop tard pour bien faire î ESPÉRAZA. — Prévoyants <strong>de</strong> l'Avenir, — Les isoiciétaires <strong>de</strong> la 282° section <strong>de</strong>s Pré- voyants <strong>de</strong> l'Avenir sont informés que la fête organisée en l'honneur <strong>de</strong>s retraités a été dé- finitivement fixée «à la date du 29 mars. Nous rappelons que la cotisation pour le banquet qui doit avoir lieu ce jour-là est fixée à 4 francs. Les nouveaux membres dé- sirant y assister doivent se faire inscrire chez M. PRigès, trésorier adjoint. Tous les sociétaires sont convoqués pour te 29 mars, à 10 heures et <strong>de</strong>rme, salle habituelle <strong>de</strong>s réunions, afin d'assister au tour officiel qui aura lieu à 11 heures du matin. La pré- sence <strong>de</strong> tous îles membres est obligatoire. Le comité «<strong>de</strong> ta. fête .s'est assuré te concours <strong>de</strong> plusieurs musiciens <strong>de</strong> la Lyre Sainte-Cé: cile et invite la population au bril public nui à 4 heureo et. à 8 heures du soir, «s.i|iite **a-rtv. Le meilleur accueil est réservé aux -étrangers. VSuLEfiNTE. — Jadis, tes « maris et mouil- lés », ménages heureux, fêtaient la vingt-ain- quième, la cinquantième année cte leur ma- riage ; oes respectables coutumes ont disparu. Aujourd'hui, on se montre plutôt le poing. Autres temps, autres mœurs ! Symptôme nouveau <strong>de</strong> r«é.poque actuelle : les célibataires relèvent le gant, prennent la revanche, chan- tent te célibat. Dimanche, à midi, les tams-taims, les cui- vres, accompagnaient, dans te tour <strong>de</strong> notre bourg, trente célibataires, d'un pas redoublé <strong>de</strong>s plus entoî'nants, jusqu'à la salle du ban- quet, le clou <strong>de</strong> oe festival. A 5 heures, patriotes, miftitaristes, nos céli- bataires ont fait saluer te drapeau commu- nal et l'ont escorté gaîment aux sons <strong>de</strong> «Sam- bre^e-t-Meuse », à travers tes rues du vBjage. Tout ceci est <strong>de</strong> bon augure, car aimant la gran<strong>de</strong> comme la petite patrie, nos célibatai- res ne resteront point inébranlables dans leurs résototiions, et nous inviteront, avant la fin <strong>de</strong> l'année, au banquet <strong>de</strong> leurs noces. CASTELNAUDARY. — Ecole d'instruction militaire. — On nous prie d'insérer : « Jja prochaine séance <strong>de</strong> l'éoote d'instruc- tion pour tes officiers <strong>de</strong> rérerve et <strong>de</strong> l'armée territoriale aura lieu le vendredi 27 mars. » Ren<strong>de</strong>z-vous à la caserne Lapasset, à 8 heu- res 30. » A Saint-MicheJ. — Une gran<strong>de</strong> solennité sera célébrée ce soir, dans l'église Saint-Mi- chel, en l'honneur du cinquantième anniver- isaiire <strong>de</strong>s apparitions <strong>de</strong> la sainte Vierge, à Lour<strong>de</strong>s. La statue <strong>de</strong> N.-D. do Lour<strong>de</strong>s, placée sur un trône grandiose, domine le Maître-Autel. Le chœur «est richement décoré. La cérémonie du soir sera splendi<strong>de</strong>. Voici l'ordre <strong>de</strong>s exercices : te matin, à 8 heures, messe avec chant, par les dames <strong>de</strong> la paroisse. ; le soir, à 7 heures et «<strong>de</strong>mie, cha- pelet, compiles, sermon, illumination. Après le sermon, procession au chant du cantique populaire <strong>de</strong> Lour<strong>de</strong>s. Au retour <strong>de</strong> la procession. Credo <strong>de</strong> la anesse Sainte-Cécile <strong>de</strong> Gounod, par la maî- trise paroissiale ; Ave Maria <strong>de</strong> Saint-Saënis ; Tantum ergo <strong>de</strong> Gluck ; Cantique (choral) <strong>de</strong> J.-S. Bach. Eglise <strong>de</strong> Saïnt-K?artîn. — Aujourd'hui <strong>25</strong> mars, cinquantième anniversaire d'une <strong>de</strong>s principales apparitions d,e la Vierge Immacu- lée à Lour<strong>de</strong>s, l'église <strong>de</strong> Saint-Martin célè- bre une gran<strong>de</strong> fête en l'honneur <strong>de</strong> Notre- Dame <strong>de</strong> Lour<strong>de</strong>s. La cérémonie <strong>de</strong> ce soir revêtira un caractè- re particulier <strong>de</strong> solennité. Le sermon <strong>de</strong> circonstance sera donné par M. le Ghanoine Falcou, missionnaire aposto- lique. Après 1e sermon, procession solennelle- <strong>de</strong> la Sainte Vierge, avec chant <strong>de</strong> lMi-'e Maria et LIMOUX. -- Etat civil. — Naissances : Elise- Paute Trauque, fille do Joseph, aitier, route die Careassonne ; Jean.-Raptiate Aarzens, fils <strong>de</strong> Guilllaume, jardinier, à Flâna; Elise-Aumétie- ' Anne Dubois, ftlte <strong>de</strong> Jules, cultivateur, à Plendry ; Parre-Benoît-Romaln Nicola-u, fils <strong>de</strong> Justin, tailleur <strong>de</strong> pierres, rue Sa i.nt-Mart.in. Mariage : Pierre Bclhou et Noëlle Biaise. Décès : Joseph Yerns, 14 mais, rue Puus&i- flle ; Mathieu Blagné,. 55 ans, célibataire, à l'hospice ; Hélène Santouril, 20 mois, rue <strong>de</strong> la Mairie ; 2 aliénés. RODEZ. — Etat civil. — Naissances : Mar- guerite-Cécile Perget, fille <strong>de</strong> Pamphlle Per- got.ciiitivateur à Saint-Félix, et <strong>de</strong> Jeanne Léonte Boquet. Décès : Marie Lavergne, domestique à Bour- nazel, 56 ans, célibataire, rue Cabriëres, 4 ; Lauro ,-/ Anne-Marie-Prançoisei-Josèphe-Cha.r- lotte Monestier, 23 ans, célibataire, boulevard Gally, G. RIEUPEYROUX. — Incendie. — Un incendie s'est déclaré le 19 mars dans la grange <strong>de</strong> M. Pierre Maruéjouls <strong>de</strong> Querbes, commune <strong>de</strong> Rteupeyroux. Tous tes secours ont été impuissants pour maîtriser le feu, et bientôt, malgré te dévoue ment <strong>de</strong>s habitants <strong>de</strong> la localité, l'immeuble entier était la proie <strong>de</strong>s flammes. Les pertes s'élèvent à 2,775 francs ; elles sont couvertes par une assurance à la Natio- nale. ESPALION. — Arrestation d'un banquerou tier. — Il y a quelque temps, 1e procureur <strong>de</strong> la République dTispalion délivrait un mandat d'arrêt contre un commerçant d'Entraygues nommé E. C..., inculpé <strong>de</strong> banqueroute frau duteuse. Le banqueroutier n'attendit pas d'ê- tre touché par ce mandat d'arrêt et, te mois <strong>de</strong>rnier, îl quittait son pays avec sa femme et sa jeune fille, pour Bor<strong>de</strong>aux, où il prit pas- sage, le 14 février, à bord du « Chili », en par- tance pour l'Argentine. La piste du fugitif put être retoruvée, «et lors du passage du « Chili » à Dakar, le com- missaire <strong>de</strong> cette ville vint à bord procé<strong>de</strong>r à son arrestation. Après un examen minutieux <strong>de</strong> leurs baga- ges par la police dakaroise, Mme C... et sa tille, nullement touchées par le mandat d'ar rôt, 'purent continuer leur voyage sur Buenos Ayres. Quant au banqueroutier, il fut écroué à la maison d'arrêt <strong>de</strong> Dakar, en attendant son transfert dans la métropole. Cette opération eut lieu le 13 mars, lors du passage <strong>de</strong> 1' » Amazone », où il prit place, accompagné d'un gendarme qui, samedi ma tin, aussitôt l'arrivée à Bor<strong>de</strong>aux, place Ri- chelieu, l'a amené en voiture au fort du Hà, où il a été écroué. Le départ <strong>de</strong> M. C... pour Espalion n'est pas encore fixé. L'inculpé, un homme <strong>de</strong> 45 ans, semble être abattu ; son attitu<strong>de</strong> calme lui fit accor<strong>de</strong>r la faveur <strong>de</strong> ne pas avoir les menottes à bord la surveillance était néanmoins très étroite on pouvait craindre, en effet, un acte <strong>de</strong> dé sespoir ou <strong>de</strong> repentir. Chemin <strong>de</strong> fer. — A l'ouverture <strong>de</strong> la lign <strong>de</strong> Bertholène à Espalion, l'horaire <strong>de</strong>s train do ladite ligne sera fixé comme suit : Bertholène (départ) : 10 h. 20, matin, 3 h. 55, (point diminuiêe, pas plus que leur énergie, leur courage «et leur volonté. Le champion <strong>de</strong> Paris est vainqueur pour-] la <strong>de</strong>rnière année ; il perdra l'habiut<strong>de</strong> <strong>de</strong> aincre : te championnat <strong>de</strong> France ne -s'est- il pas fait provincial et n'a-t-il pas oublié lo chemin d© la capitale 1 ««saa»-«-ËSicuii»., - 11 h. 29, matin, 5 h 6 h. 31 matin, 1 h. 20; : 7 h. 32, matin, 2 h. 29 soir, 7 h. 40, soir. Espalion (arrivée) soir, 8 h. 46 soir. Espalion (départ) soir, 6 h. 10, soir. Bertholène (arrivée soir, 7 h. 19, soir. LA ROQUE SAINTE-MARGUERITE. — «Mort subite. — Jeudi <strong>de</strong>rnier, M. Toureiltes, insti- tuteur à La Roque Sainte-Marguerite, s'était rendu à Paulhe, pour assister àu mariage <strong>de</strong> son beau-fils. En rentrant, le soir, il fut pris d'un -malaise à la gare d'Aguessac «et, dè:t son arrivée à La Roque, dans la nuit, M. Toureilles rendait te <strong>de</strong>rnier soupir. NAJAC. — Justice Se paix, — M. Clément- Paul Rieuneau a été nommé greffier <strong>de</strong> la Justice <strong>de</strong> paix <strong>de</strong> Najac, en remplacement <strong>de</strong> M. Auriol, démissionnaire. AU THÉÂTRE LAFAYETTE « ANDROMAQUE » EN TOURNÉE La superbe assistance qui se pressaît hier soir au théâtre Lafayette prouve tout, au moins que le choix d'une tragédie classique est excellent pour une tournée, et que le pu- blie <strong>de</strong>meure toujours sûr <strong>de</strong> ne pas être volé quand il va entendre du Racine. Oui, Andromaque a obtenu du succès, beau- coup <strong>de</strong> succès. M. Paul Mounet.malgré les fatigues d'une longue tournée et d'un rôle écrasant, a donné à Oreste toute sa terrible puissance tragique et toutes les ressources <strong>de</strong> sa science théâtrale. MmeJDudlay, dans une interprétation très variée, où certains détails sont vraiment heureux, a fortement <strong>de</strong>ssiné cette « furie d'Hermione », dont elte lut long- temps titulaire à la Comédie-Française. Mlle Bogros, je crois, engasée au cours <strong>de</strong> la tour- née pour remplacer Mme Starny mala<strong>de</strong>, a joué Andromaque avec une sincérité et une émotion qui lui ont valu, à la fin du troisiè- me acte, un triple rappel. M. Froment a eu <strong>de</strong> nobles moments dans Pyrrhus. Et tandis que nous écoutions avec émotion avec piété, ces admirables vers, nous répétions intérieurement ce que nous écrivions ici mê- me il y a quelques mois : quelle prodigieuse vie dramatique recèle le théâtre <strong>de</strong> Racine 1 Des pédants et <strong>de</strong>s pédagogues peuvent répé- ter qu'il est doux, efféminé, suave et tendre... Qu'ils viennent voir jouer Andromaque . Certes, il n'y a pas <strong>de</strong> sang versé sur la scène... Mais le conflit <strong>de</strong>s passions et <strong>de</strong>s in- térêts y est plus frénétique que dans Shakes- peare. Andromaque, Pyrrhus, Hermione. Oreste, torturés par l'amour qui tes oppose les uns aux autres dans une lutte effrayante et mortelle, atteignent le paroxysme du dé- sespoir, du désir, <strong>de</strong> l'orgueil, <strong>de</strong> la fureur. Et tandis qu'Andromaque, pure, tendre et fidèle, échappe seule aux catastrophes finales, c'est une horrible hécatombe, dans le crépus- cule, sur le décor lomtain <strong>de</strong> Troie en flam- mes et <strong>de</strong>s massacres homériques. Nul drame mo<strong>de</strong>rne n'atteint à cette logi- que angoissante et prenante. On ne <strong>de</strong>vrait jamais craindre <strong>de</strong> l'interpréter dans ce sens. A la fin, tes fureurs d'Oreste gagneraient cer- tainement à être jouées avec la troupe <strong>de</strong> Grecs que Racine amène avec Pyla<strong>de</strong>. On pourrait à juste titre, dans te palais déjà som- bre, allumer <strong>de</strong>s torches, faire accourir <strong>de</strong>s gar<strong>de</strong>s effrayés, charger, toujours dans le sens du poète, la poésie tragique <strong>de</strong> ce dénouement <strong>de</strong> désastre. Des artistes comme M. Paul Mou- net ont fait beaucoup pour .la «mo<strong>de</strong>rnisation» du théâtre classique. Ils doivent poursuivre dans, cette voie : éternel dans te fond, Racine peut et doit merveilleusement s'adapter aux changements et aux affinements <strong>de</strong> toutes tes dul&.&f 01 * »***»*» <strong>de</strong> Mm «me- Journal lui avait été remise par un certain Trousselle. » Ce M. Trousselle a bien été chef <strong>de</strong> cabinoi <strong>de</strong> M. Etienne. Rochette se vantait <strong>de</strong> ses hautes relations politiques lorsqu'il eut <strong>de</strong>s difficultés avec la justice. Il fut arrêté, paraît-il, il y a trois se- maines environ et emprisonné pendant trois jours. Il fut relâché, rapporte-t-on, sous «-aiu- tion <strong>de</strong> <strong>25</strong>0,000 francs, à la suite <strong>de</strong> démarches politiques exceptionnelles. On dit à ce propos que dans une autre circonstance, . où il était plaignant, comme M. Joly, juge d'instruction, émettait <strong>de</strong>s doutes sur la recevabilité <strong>de</strong> sa plainte, il s'écria : « Je vous ferai marcher, bon gré, mal gré, monsieur le juge. Faites attention ; j'ai un puissant sénateur dans ia manche. » Quel est ce sénateur ? Est-ce celui qui a me- nacé l'avocat <strong>de</strong> M. Gadot, M e Julien Coudy, ùn te ruiner dans sa double carrière d'avocat e, <strong>de</strong> journaliste s'il ne savait pas faire com- prendre à son client l'urgence <strong>de</strong> retirer sa plainte ? Un journal spécfial fut fondé, qui mena une violente campagne contre M. Coudy, lequel porta, d'ailleurs, une plainte en diffamation qui suit son cours. C'est à ce moment qu'une campagne fut «également faite contre Francis Leur, qui aurait dit la vérité sur les mines da Nerva. Il était tenu au courant <strong>de</strong>s plaintes dé- posées contre lui, et il réussissait, grâce à <strong>de</strong>s protections, dont on donne ouvertement les noms dans les couloirs du palais, à se tirer momentanément d'affaires. U y a un mois, ce- pendant, Rochette' se sentit réellement menacé. Il se décida, parait-il, à tenter un grand coup, et il alla <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r appui à Clemenceau. Quv se passa-t-il entre te prési<strong>de</strong>nt du conseil et lo banquier ? On ne le sait pas exactement : mais il est probable que M. Clemenceau, écon- duisit son visiteur sans rien lui promettre ; e-t, pour se débarrasser <strong>de</strong> lui, il te fit accompa- gner par un <strong>de</strong> ses secrète i-res chez M. Briandt ministre <strong>de</strong> la justice. Ces visites ne sembjen* pas avoir donné ce que Rochette eh attendait. Il ue voulut en souffler met à «ersonne. Oa qu'on sait, toutefois, c'est que Rochette se dis-i posait à passer en Angleterre ei que la police' fut prévenue <strong>de</strong> son départ. 1 Paris, <strong>25</strong> mars. Est nommé au gra<strong>de</strong> d'officier d'administra- tion principal M. Mailler, à <strong>Toulouse</strong>, affecte à la 17' région. ms ëëi ëêêm FOOTBALL RUGBY LE CHAMPIONNAT DE FRANCE Nous n'avons voulu hier ajouter aucun com mentaire au récit si complet du match <strong>de</strong>mi finale du championnat <strong>de</strong> France <strong>de</strong> rugby joué dimanche à Paris, au Parc <strong>de</strong>s Princes, entre le Sta<strong>de</strong> Veto-Sport et le Sta<strong>de</strong> Français. Mais i! est nécessaire d'en reparler, et <strong>de</strong> dire bien haut que ce résultat 15 à 5 ne donne aucune idée <strong>de</strong>s positions respectives <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux adversaires et <strong>de</strong> leur valeur. Le S O. V. S. a joué dimanche une belle partie non-seulement contre le Sta<strong>de</strong> Fran du Laudate Mariam ùe Louîd.:s. 1 *~-?"«» t — - ,„„,_. +ft„t„ „ /«mi«ion n-i- A cette procession sont particulièrement çais, mais encore «^?2^J£***^ convoqués, les enfants <strong>de</strong>s écoles et <strong>de</strong>s pen- | nsteone JZ A Gt chm *' aïM>ltUs sionnats et les congrégations. Les divers chants du Salut seront exécutés par l'Œuvre <strong>de</strong> jeunesse ; O Salutaris. <strong>de</strong> Martini ; Tantum ergo, <strong>de</strong> Beethoven ; Lau- date Dominum. en faux-bourdons pa<strong>de</strong>stri niens. Tir. — Lo champ <strong>de</strong> tir du Clot-<strong>de</strong>l-Cepéila .commune <strong>de</strong> Villeneuve-lia-«Comptia!l sera uti- lisé par 1e 143 e règinvent d'infanterie, du 30 mars au 4 avril, <strong>de</strong> 8 heures à 10 heures du nuit in et <strong>de</strong> midi à 4 heures et <strong>de</strong>mie du soir Fêtes <strong>de</strong> charité. — On nous aommunique « Programme <strong>de</strong>s fêtes <strong>de</strong> charité organisées par les jeunes gens <strong>de</strong> la vibe, au prefit d-es pauvres, le dimanche 29 mais pioohnb » Samedi 28 : 8 heures et «dormis, retraite aux flambeaux pair la musique du 143" «<strong>de</strong> ligne Arrête : M. le sous-préfet, M. te maire, M. le prési<strong>de</strong>nt d'honneur, siège du Comité. » Dimanche 29 : 2 heures, gran<strong>de</strong> cavalca<strong>de</strong>, chars, voitures fleuries, automobiles «garnies, groupes à pied, groupes à cheval, groupe his- torique. » Le départ aura lieu à 2 heures, à l'abattoir La cavalca<strong>de</strong> suivra te trajet qu'aura «suivi l« veille La retraite. , „,„,.,,,„« » A 8 heures è, concert -par la musiqw (i-o lu République et grand ba,l sous ta UnU®'« r*wJe*H* né.pn-bliare sera payo-isée et - '" Tl„ iful s,.,-, clôturée. Les cartes <strong>de</strong>n- '"^'""i^mvuv^w»' ' kiosque Rineln., „,u.m très se trou»""" personne non m*«squée et Ce fut avec « . s tous a cette partie, fond -Tae.^l^nHnn, cette partie mi nos ^lir^^dŒ^nt constamment, et d'où S«B«t nous sortîmes va.inqeu.rs. » SSESœn est en ma.uva.k-c position pour mau-réér après la bataille, les vaincus ont tenuTurs tort. Mais tout ce qui est arrivé était prévu ia valeur <strong>de</strong> nos îœ-feaileurs ii'«&u «M La Surveill oce <strong>de</strong> l'Ecole Dijon, <strong>25</strong> mars. La première chambre <strong>de</strong> la cour d'appel, présidée par M. Cunisset-Ca-rnot, preimter pré- si<strong>de</strong>nt, a rendu son arrêt dans l'affaire du déclinatoire d'incompétence engagée par -le préfet au sujet <strong>de</strong> l'ai rot -du 16 décembre con- cernant l'action intentée à M. Morizot, Ins- tituteur à Vieille vigne, par un père d© fa-mille La cour s'est reconnue compéleinte pour les propos concernant l'armée et les croyance» religieuses, «et laissera à l'autorité ndministra- livv 1. soin <strong>de</strong> statuer sur une seule, ques- tion, qui peut dépendre du programme do reneeignemcint. La Reprossntatïon Proportionnelle Lorlent <strong>25</strong> mars. Uno conférence contradictoire sur la repré tentation proportionnelle appliquée aux éilec t o is .muiiiicipatos prochaines a été donnée ici l'orateur socialiste et le représentant (le l'onoôsïM-on ont parlé en faveur <strong>de</strong> la représen- tation «proportionnelle. Un adjoint radical <strong>de</strong> I.orient a parté contre, mais saus succès . L'Industrie Hôtelière <strong>de</strong> Paris. <strong>25</strong> «mars, a Syndicat .général <strong>de</strong> l'industrie hôtelière France, réuni hier aOTte-mirM, a -"•••mmé Les families DORE et RIVES ont la douleur <strong>de</strong> faire part à leurs amis et connaissances <strong>de</strong> la perte cruelle qu'elles viennent d'éprou- ver en la personne du Père Edouard DORE Prêtre du Sacré-Cœur décédé te 24 mars <strong>1908</strong>, à l'âge <strong>de</strong> 84 ans, e» les prient <strong>de</strong> vouloir bien assister à ses obsè- ques, qui auront lieu jeudi 26 mars <strong>1908</strong>, à sept heures trois quarts du matm. sur la paroisse Saint-Exupère. On se réunira à la .maison mortuaire, rue Montaudran, 86. Il ne sera pas envoyé <strong>de</strong> lettres <strong>de</strong> faire- part, te présent avis en tenant lieu. IV» 1res e MARCHÉ DU HAVRE Du 24 mars. Cotons. — Janvier 1909 , 64; février, 03 87; mars. 07'- avril <strong>1908</strong> , 60 62; mai, 06 62; juin, 06 CO; juillet, 66' <strong>25</strong>- août, 00; septembre, 6C; octobre, 6> 13; no- vembre, 64 12; décembre, 03 87. Tendance, soutenue ; vento b.OOO. Cafés. — Janvier 1901), 41; février, avril 1808, 41 60; mal, 41 &0; Juin, 41; mars, 41 50; ~4l'<strong>25</strong>; Juillet, 41 <strong>25</strong>.; août 41 85; septembre, 41; octobre, 41 uwombro, 41) dScembre 41. -re.Kta-nce caUno, ; vente ?,O00. Lalinss. — nmenos-Ayres and «oant'iitèaBHin changée <strong>de</strong> faire aboutir «la Janvier «HW. 145; fé- vrter. 145 50; ma». TOi^vr" & trrâeiliù» ; vente^SOO. Mvrl0 r, >.,.„; mars. Gr " 1 la , ta ,nks u» mil 140; J Un, 150; JulUet ,151; !^L*72l ^^reftèar^obre, 166; novembre. ^\è£mbvC^ -r^nc^ calme : vente l MAKCHE DE PARIS Du 24 mars. Farines. — Courant, 30 <strong>25</strong> prochain, 30 45 ; maJ- juln 30 05 ; 4 <strong>de</strong> mal, 30 10 ; juillet-août, 30 05 ; ten- dance soutenue ; circulation, 3,450 ; consommation, 52. l>lés. — Courant, 22 15 ; prochain, 22 15 ; mal- juin, 22 35 ; 4 <strong>de</strong> mai, 22 65 ; juillet-août, 22 55 ; ten- cb'nce soutenue. seigles. — Courant, 16 65 ; prochain, 16 65 ; mat. JulEi 13 90 ; 4 <strong>de</strong> mal, 16 65 ; juillet-août, 16 SC ; tsar dance soutenue. ._„._. Vvotnes. — Courant, 17 60 ; prochain, 17 60 mal- juin, 17 50 ; « <strong>de</strong> mai, 17 00 ; juillet-août, 17 53 ; ten- dance soutenue. Suifs. — Paris, 69 ; province, 69. Colza. — SMpenlttltt en cuves 4 nu, 64 50 ; co» <strong>Bibliothèque</strong> municipale <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong> - Tous droits réservés
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