sédant chaque (wpel, les différentes catégo- ries, afin que chacun <strong>de</strong>s hommes puisse pren- dre ses précautions. • La .ministre a promis <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r ainsi, ajoutant qu'il consentirait même à accor<strong>de</strong>r iux hommefl qui continueront à taire l'objet d'appels échelonnés <strong>de</strong>s <strong>de</strong>vancements d'ap- peil 'avec 'ia faculté d'indiquer une préférence pour telle ou telle époque <strong>de</strong> l'année. En ce qui concerne tous les hommes <strong>de</strong>sti- nés à êtro appelés dans -les unités <strong>de</strong> réserve constituées, il leur accou<strong>de</strong>ra également le droit <strong>de</strong> <strong>de</strong>vancer l'appel dans la mesure que permettra la nécessité d'assurer l'instruction. Il procé<strong>de</strong>ra ainsi dans la plus large me- sure possible. Pour co qui touche ia durée <strong>de</strong>s appels <strong>de</strong> la territoriale, le ministre s'engage a faire cet appel, au moins ia première année, un di- manche, pour que les hommes ipuisscmt être <strong>de</strong> retour chez eux le lundi. Plusieurs <strong>de</strong>s membres <strong>de</strong> la commission ayant posé an ministre différentes questions, notamment au sujet <strong>de</strong> la limitation à 12 % <strong>de</strong>s allocations accordées aux soutiens indis- pensables <strong>de</strong> faitni'Lle, M. Picquart o promis <strong>de</strong> déposer un projet do loi augmentant cette proportion dans le cas où elle serait reconnue insuffisante. Divers commissaires ont, enfin, appelé l'at- tention du ministre sur lo péril qu'il y aurait, au point <strong>de</strong> vue moral, à maintenir la divi- sion en <strong>de</strong>ux ban<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s réservistes» Ils ont l'ait remarquer que, même pour l'armée terri- toriale, le principe <strong>de</strong>> d'unité <strong>de</strong>s différents éléments <strong>de</strong> 'la défense nationale- à l'heure du danger, a été proclamé dès 1875 et doit rester Intact dans le système <strong>de</strong> la nation armée. Le ministre s'est déclaré d'accord avec la commission sur ce point. . . Après le départ, du ministre, le prési<strong>de</strong>nt a fait ressortir les -avantages que constituent les déclarations du ministre et il a mis «aux voix l'adoption du texte du Sénat. Ce texte a ete voté par dix voix contre huit abst/emions. AU LU?! La déveUiîion das biens ecclésiastiques C'est <strong>de</strong>main quo s'engag-era <strong>de</strong>vant le Sé- nat la discussion du projet vçjté pair la Cham- bre et re'atif à Ja dévolution das biens école- gfasttoues. De nombreux orateurs sont ins- crits et parleront contre le texte du gouverne une commission compose du contrôleur <strong>de</strong>s contributions directes, du maire et <strong>de</strong> cinq propriétaires fonciers <strong>de</strong> la commune, nom- més par l'ensemble <strong>de</strong>s propriétaires <strong>de</strong> cette commune. Sur la proposition <strong>de</strong> M. <strong>de</strong> Marcillac, la Société a émis le vœu sur l'admission <strong>de</strong>s syn- dicats agricoles aux adjudications militaires ; que le ministre <strong>de</strong> la guerre veuille bien don- ner, au plus tôt, <strong>de</strong>s instructions précises aux ^ intendants militaires pour leur rappeler radicaux. Bix séane <strong>de</strong> Las Cases, Riou, Delahaye, <strong>de</strong> 3 Jenouvrior, Vidal <strong>de</strong> Saint-Urbain, »'Pontbriand, Pichon, <strong>de</strong> Mareère. .t en faveur du projet : MM. Bien in, Bizot <strong>de</strong> Fontanoy et Chaumié, La discussion tiendra probablement Le Conseil Snprienr ils la Mutualité Paris, <strong>25</strong> mars. conseil supérieur <strong>de</strong> la mutualité s'est réuni sous la orési<strong>de</strong>mee <strong>de</strong> M. Viviani, minis- tre du travail et <strong>de</strong>' la -prévoyance sociale •Après avoir décidé la révision <strong>de</strong>s statuts-mo- Bêles <strong>de</strong>s sociétés <strong>de</strong> secours mutuels, le con- seil a discuté la question <strong>de</strong>s caisses autono- mes. Il a renvoyé à -l'examen <strong>de</strong> la direction <strong>de</strong> la mutualité 'les vœux émis relativement à i'a-.pplication aux sociétés do secours mutuels <strong>de</strong> la loi <strong>de</strong> 1901 sur las successions et à l'ap- ftrobation <strong>de</strong>s sociétés d'assurances aux décès. Enfin-, il a émis le vœu que la fortune <strong>de</strong>s so- ciétés <strong>de</strong> secours .mutuels soit exempte <strong>de</strong> l'impôt sur -le revenu. La session est close. ZOLA AI Voyages <strong>de</strong> Souverains L'entrevo-e {-a Venise Venise, <strong>25</strong> mars. Le roi d'ItaHie, accompagné <strong>de</strong> M. Tittoni, ministre <strong>de</strong>s affaires étrangères, est arrivé oe matin , a 7 h. 30. R a été reçu à la gare par les autorités civiles et les généraux ; mais les troupes ne rendaient pas ies honneurs. Une aueles «vnrïifit" lo-Hr-rvios *crmt ,14- I foui! * limnc-uso a acclamé le souverain pen },, us -ynuitau agiicoies sont, <strong>de</strong>a aujour- dant nu'il s» rendait -ni p-tciUjPnvii n-a (tf d'hui, en droit <strong>de</strong> participer au bénéfice du ré- I A^?. 11 3° i,aiais j i;oyal qu ffi.oc guueeles achats directs <strong>de</strong>s blés et fourrages par 1 administration militaire, et que celle-ci traite avec les représentants <strong>de</strong> ces associa- tions comme avec <strong>de</strong> simples particuliers.La Société engage tous les syndicats agricoles et les agriculteurs à se mettre en rapport avec l'administration militaire et à participer le plus activement possible aux achats <strong>de</strong> blé et fourrages do l'administration <strong>de</strong> la guerre. La session 1903 est close. Avant <strong>de</strong> lever la séance, M. le marquis <strong>de</strong> Vogué a remercié tous les sociétaires présents <strong>de</strong> leur assiduité aux séances et leur a donné ren<strong>de</strong>z-vous à l'an prochain. Les sefîeJairines Paris, <strong>25</strong> mars. Le bureau, <strong>de</strong>s congrès <strong>de</strong>s gendarmes re- raités a étéi'prôsenté hier au ministre <strong>de</strong> la marine par MM. Girod, député du Doubs, et Laniy, député du Morbihan. M. Grillon, député <strong>de</strong> Meurthe-et-Moselle, a donné lecture du pro- jet <strong>de</strong> loi qu'il a l'intention d© déposer sur la bureau <strong>de</strong> la Chambre. Dans ce projet, il propose les réformes sui- vantes : augmentation do ta sol<strong>de</strong> ; meilleure .répartition <strong>de</strong>s in<strong>de</strong>mnités. ; augmentation <strong>de</strong> l'in<strong>de</strong>mnité <strong>de</strong>s frais <strong>de</strong> bureau ; créer une direction <strong>de</strong> la gendarmerie pour faire, face aux dépenses qu'entraîneront oes réformes. En outre, M. Grillon'pTaposer.un certain nom- bre d'économies, notamment la réduction <strong>de</strong>s effectifs à cheval, îa suppression <strong>de</strong>s -briga<strong>de</strong>s électorales, la diminution du nombre <strong>de</strong>s com- mandants <strong>de</strong> section, la suppression <strong>de</strong>s hau- tes-paies, la suppressiom<strong>de</strong>-s inspections géné- rales et <strong>de</strong>s revues commandée.; Les délégués ont ensuite été reçus par M. Chéron, qui leur a exposé l'état <strong>de</strong>s questions étudiées au ministère <strong>de</strong> la guerre à l'occa- sion <strong>de</strong> la préparation du budget <strong>de</strong> 1909 : nou- velle amélioration du sort <strong>de</strong>s gendarmes leur sol<strong>de</strong> serait retovée <strong>de</strong> -240 francs pour les gendarmes ayant moins <strong>de</strong> sept ans <strong>de</strong> service, et <strong>de</strong> 192 francs .pour ceux qui ont huit ans et au-<strong>de</strong>ssus. Cette-réforme ne pourrait d'ailleurs se réali- OT qu'en quatre années, à cause <strong>de</strong>s nécessi- tés budgétaires. La liquidation <strong>de</strong>s pensions, qui se fait uni- quement, à l'heure" actuelle, d'après le gra<strong>de</strong> obtenu nar le militaire avant son entrée élans la gendarmerie, s'effectuerait dorénavant en comptant d'après les services dans l'armée et les services dans la gendarmerie, et en majo- rant dans une notable mesure les annuités pour la pério<strong>de</strong> comprise entre 15 et <strong>25</strong> ans <strong>de</strong> service, <strong>de</strong> manière à éviter les retraites pro- portionnelles qui, actuellement, font perdre à la gendarmerie ses serviteurs les plus expé- rimentés, alors qu'Us sont encore en pleine vigueur. Enfin, le ministre <strong>de</strong> la guerre est, partisan <strong>de</strong> l'augmentation du chiffre <strong>de</strong>s médailles mi- litaires attribuées à cette arme. Les délégués ont été aussi reçus par le pré- si<strong>de</strong>nt du conseil. Le congrès a élu pour prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la Fédé- ration, M. Charria, <strong>de</strong> Nantes. Le soir, il s'est réuni en un banquet, que présidait le souS-secrétaire d'Etat à la guerre. tre, que îa liste <strong>de</strong>s actionnaires du Petit Journal lui avait été remise par .un certain Trousselle. » ...... . , Ce M. Trousselle a bien été chef da cabinet <strong>de</strong> M. Etienne. Rochette se vantait <strong>de</strong> ses hautes relations politiques lorsqu'il eut <strong>de</strong>s difficultés avec la Tustice. Il fut arrêté, paraît-il, il y a trois se- maines environ et emprisonné pendant trois jours. Il fut relâché, rapporte-t on, sous cau- tion <strong>de</strong> <strong>25</strong>0.000 francs, à la suite <strong>de</strong> démarches cupe les appartements donnant jsur les jar- dins publics. M. Tittoni est logé dans l'apoartement.du duc <strong>de</strong> Cônes. Dos mesures <strong>de</strong> police minutieu- ses ont été prises en vue du court- séjour <strong>de</strong>s souverains allemands et italiens. Plus <strong>de</strong> -trois cents agents do police et -<strong>de</strong>ux cents carabi- niers sont arrivés pour renforcer la police lo- cale. En outre, .plusieurs agents civils ont été en- voyés pour surveiller les abords du yacht Hohenzollern, dont personne ne peut ap D re- eheir. loine circulation a été complètement interdits sur -le grand canal. Le syndic <strong>de</strong> Venise a pufliié un manifeste pour souhaiter hrdjienvenue aux souverains Les jeasnam; -locaux oublient- également <strong>de</strong>s articles ^Sftgfeux .pouir-^uillaume II et -d'im- ptrateloe-diAMemagne. La ville aïpris nn air <strong>de</strong> gran<strong>de</strong> fête, et bien que te ternpa soit pluvieux gBgpas les êgîêtres sont omijges dc*gtàrtaa<strong>de</strong>s et'-pavoisée^àe dra- peaux aux .couleurs aUeman<strong>de</strong>s*"et-mïiennes. Aussi, VICIOT Emmanuel est -resté peu <strong>de</strong> temps an Paiaie-Royail. A dix hennés quarante-cinq, -ie souverain se dirigeait vers la gare dans mie gondole ele la cour pour y attendre les souverains alle- mands. La gondole royale était escortée-et £»i- vse <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s gondoles hLsforicwesanuni ci- pales, <strong>de</strong> nombreuses banques -et <strong>de</strong> canots au- tomobiles. Sur <strong>de</strong>s rives, une foule-énorme se pressait ainsi qu'aux fenêtres, aux balcons et même sur les toits. A 11 h. 15, le roi arrivait à la gare, où il était reçu par M. Tittoni et les autorités. Paris, <strong>25</strong> mars. La décision prise par le gouvernement d'u- journer le transfert au Panthéon -<strong>de</strong>s restes île Zola ne cesse d'être extrêmement com- mentée. Los dreyfusards sont dans une rage folle. Us ruminent mille projets <strong>de</strong> vengeance, et leur désarroi est tel qu'ils ne savent encore auquel s'arrêter. U semble bien que las principales causes du revirement gouvernemental soient le dic- OOUTS <strong>de</strong> M. Maurice Barrés et la protestation du due do Montebello. L'effet du discours <strong>de</strong> M. Maurice Bairres a été, comme on sait, très vM à Paris, et le gou- vernement sentant qu'il avait contre, lui l'opi- nion parisienne ,' craignait , d'autre part , qu'un nouveau .débat s'engageât sur une pro- position -<strong>de</strong> retrait <strong>de</strong>s cendres du maréchal Lannes que n'aurait pas manqué <strong>de</strong> déposa' an membre <strong>de</strong> l'opposition ; -mais ces <strong>de</strong>ux M. Clemenceau avait -été avisé, nous assure- ton, que plusieurs officiers, commandés pour défiler avec leurs hommes <strong>de</strong>vant le cercueil ne Zola, avaient résolu <strong>de</strong> briser leur épée -sur le cercueil même, plutôt que d'allai" jusqu'au STATUE A EMILE ZOLA Paris, <strong>25</strong> mars. Le directeur <strong>de</strong>s travaux d'architecture <strong>de</strong> la ville <strong>de</strong> Paris s'est entendu avec les délé- gués du comité du monument d'Emile Zola pour choisir l'emnlacement où sera élevée la statue. ïl a été décidé <strong>de</strong> l'ériger <strong>de</strong>vant le Palais da Justice. Arrivée <strong>de</strong>s souverains aHemands Dès dix heures, les abords <strong>de</strong> la gare on été complètement évacués. A l'heure ttxée par ie programme, 11 h. 30 exactement, le train im- périal entre en gare. Les musiques jouent l'hymne impérial aile maind, tandiis que les navires massés dans la ra<strong>de</strong> tirent ies salves réglementaires. Les for- ces-navales réunies à cette occasion sont d'ail leurs imposantes. Elles se composent <strong>de</strong> neuf cuirassés ou croiseurs, quatre contre-torpil- leu-rs, une dizaine «cie torpilleurs et trois navi res allemands:. Dès que le train a stoppé, l'empereur <strong>de</strong>s- cend le premier ; l'impétratrice, le prince Au- guste et la -princesse Victoria suivent l'emp* reur. Il porte l'uniforme d'amiral allemand. Le roi et 1-empereur s'embrassent <strong>de</strong>ux fois avec ''une extrême cordialité. Le roi a baisé la maiin'<strong>de</strong>'Timpéiratrice et" celle <strong>de</strong> 'le. princesse. Le maire offre <strong>de</strong>s bouquets à l'impératrice et à ila princesse. Après les .présentatifins, -les souverains pas- sent en revue la compagnie d'honneur. Lers- que tes sotrveraiins sont -appasus sur le canal, la foule les salue dTaoeLamations enthousias- tes. Ils sont ensuite montés élans <strong>de</strong>s gondoles avec les princes, M. Titioai et leurs suites, pendant que la musierue jouait Le roi était assis enprès <strong>de</strong> l'empereur ot l'impératrice était avec la princesse Victoria et le prince Auguste. Les balcons étaient rem- pMs <strong>de</strong> mon<strong>de</strong> SOT la passage du cortège royal, ia foule applaudissait et agitait <strong>de</strong>s mouchoirs, <strong>de</strong>s drapeaux et <strong>de</strong>s chapeaux. Le spectacle du canal était magnifique, malgré la pluie. émettait <strong>de</strong>s doutes sur la recevabilité <strong>de</strong> sa plainte, il s'écria : « Jo vous ferai marcher, bon gré, mal gré, monsieur le juge. Faites attention ; j'ai un puissant sénateur dans la ni Ouel est ce sénateur ? Est-ce celui qui a me- nacé l'avocat <strong>de</strong> M. Gadot, M 6 julien Coudy, <strong>de</strong> le ruiner dans sa double carrière d'avocat et <strong>de</strong> journaliste s'il ne savait pas faire com- prendre a son client l'urgence <strong>de</strong> retirer sa plainte ? Un journal spécial lut -fondé, qui mena une violente campagne contre M. Coudy, lequel porta, d'ailleurs, une plainte en diffamation qui suit son cours. C'est à ce moment qu'une campagne fut également faite contre Francis Laur, qui aurait dit la vérité sur les mines <strong>de</strong> l^'erva. Rochette était avisé <strong>de</strong>s plaintes dé- posées contre lui, et il réussissait, grâce à <strong>de</strong>s protections, dont on donne ouvertement les noms dans les couloirs du palais, à se tirer momentanément d'affaires. U y a un mois, ce- pendant, Rochette se sentit réellement menacé. Il se décida, paraît-il, à tenter jm grand coup, et il alla <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r appui à Clemenceau. Quo se passa-t-il- entre le prési<strong>de</strong>nt du conseil et le banquier ? On ne le sait pas exactement ; mais il est probable quo M. Clemenceau écon- duisi-t son visiteur sans rien lui promettre ; et, pour se débarrasser <strong>de</strong> lui, il le fit accompa- gner par un <strong>de</strong> ses secrétanes chez M. Briand, ministre <strong>de</strong> la justice. Ces visites ne semblent pas avoir donné ce que Rochette en attendait. Il ne voulut en souffler mot à personne. Ce qu'on sait, toutefois, c'est que Rochette se dis- posait à passer en Angleterre et que la police fut prévenue <strong>de</strong> son départ. Le prési<strong>de</strong>nt du conseil communique à la presse la note suivante : K Contrairement à l'allégation d'un journal dû soir, M. Clemenceau n'a jamais reçu le bananier Rochette, ni fait, ni fait faire au- cun ê démarche à son sujet auprès do qui que ce soit. » L'instruction tueo se réduisent à la <strong>de</strong>struction totale <strong>de</strong>s poudrières. U y a quatre morts et treize bles- sés. Les villages voisins n'ont que légèrement souffert, %S téléphone sans fil Christiania, <strong>25</strong> mars. Te professeur Berieland, qui fait <strong>de</strong>puis quelque tempe <strong>de</strong>s expériences concernant la téléphonie sans fil, est parvenu à établir la communication entre l'Université <strong>de</strong> Christia- nia et Frogne.i'liilcn. On gar<strong>de</strong> provisoirement le secret sur îe procédé employé pour obtenir ce résultat. on; et en -outre à placar<strong>de</strong>r, dans affiche qui n'aurait contenu , les plus dégoûtantes <strong>de</strong>s ii- )la sans y ajouter d'ailleurs îmsntaires que la reeommanda- ents <strong>de</strong> ne pas laisser leurs en- ;r <strong>de</strong>vant cas ordures, urait peut-être paru peu <strong>de</strong> chose ment si nous n'avions, été à la actions municipales. Le scandale ) cérémonie aurait prevocpié pou- fortement SUIT le scrutin, et M. n'a pas voulu en courir le risque. La Surveillance <strong>de</strong> l'Ecole Dijon, <strong>25</strong> mars. La première chambre <strong>de</strong> la cour d'appel, présidée par M. Cunisset-Carnot, premier pré- si<strong>de</strong>nt, a rendu son arrêt dans l'affaire du déclinaioire d'incompétence engagée par le préf-e-t au sujet <strong>de</strong> l'arrêt du 16 décembre- con- cernant l'action intentée à M. Morizot, ins- tituteur à Vieîllevignc, par un père <strong>de</strong> famille. La cour s'est reconnue compétente pour les pronos concernant l'année et les croyances religieuses, et laissera à l'autorité administra- tive le soin <strong>de</strong> statuer sur une seule ques- tion, qui peut dépendre du programme <strong>de</strong> l'enseignement. Mort d'un officier Cran, <strong>25</strong> mars. Le lieutenant CroteJ, du 3* chasseur d'Afri- que, blessé'-air combat <strong>de</strong> Settat, èst mort dans la soirée, à l'hôpital militaire d'Oran. Le général DaoieUe.lui avait remis, hier, la croix <strong>de</strong> ia Légion d'honneur. TéSég'yatK'îîîe-tïu généra! eî'AmaSe Paris, <strong>25</strong> -mars. Une dépêche du général d'Arca<strong>de</strong> annonce que les troupes ont exécuté <strong>de</strong>s reconnaissan- ces rayonnantes autour i<strong>de</strong> Ber-ïtechid. Ce même télégramme dit qu'on man<strong>de</strong> <strong>de</strong> Maza- gan que Moulai Hafid serait passé dans la Chaouia avec sa mehailla. Las Doulikalas au- raient mission <strong>de</strong> se porter sur Az-emmour. Les Bouziris et les Sidi j B-en-Daoud exécutent <strong>de</strong>s razzias contre les Cule-à-Zaïd et les M'Zad, qui ont fait leur soumission. La îiotie autrichienne à Ta^gsr mBU 0np Uaii îesil pi line le pi La division <strong>de</strong> cuirassés autr rivéo. Les saluts ont été échang re et avec les croiseurs français 2o mars, tens -est ar- avec ïa ter- espagnols. oim La crisa du bâtiment Paris, <strong>25</strong> mars. La chambre syndicale ouvrière <strong>de</strong> la maçon- nerie et <strong>de</strong> la pierre a fait placar<strong>de</strong>r cette nuit pne affiche résumant les déclarations faites par MM. Victor et Baniteaux au cours du meeting <strong>de</strong> -dimanche. Le manif este se termine par les déclarations « S'il n'est pas possible <strong>de</strong> faire neuf heures, consentez à faire dix heures et réservez-vous î-o droit <strong>de</strong> revenir à neuf heures aussitôt que vous aurez la conscience et la volonté <strong>de</strong> l'ap «tiquer. Notre solidarité doit s'affirmer plus que* jamais. Notre conscience doit gui<strong>de</strong>r nos actes. Notre énergie doit triompher. » A partir <strong>de</strong> maintenant, nous reprenons iSsée le travail comme- avant tes pourparlers i. aux conditions qui existaient ; il reste bien entendu que 1-e repos du dimanche sera appli- qué plus que jamais et que la chasse « aux renards » reste ouverte toute l'année. Lee re- vendications do 1903, qui momentanément étaient diminué-os comme mesure transaction- nelie, restent notre but justpi'à satisfaction. » lésa journaîisteb allemands Berlin, <strong>25</strong> mars. Les Journalistes parlementaires ont décidé ce soir, vu les excuscis faites à la fln <strong>de</strong> la séance plénifere paT M. Groeber, <strong>de</strong> reprendre leur travail dans les tribunes jeudi prochain. Nouvel t: m VÈ» Un vu Paris, <strong>25</strong> mars. Est nommé on gra<strong>de</strong> d'officier d'administra- tien principal M. Mailfer, à <strong>Toulouse</strong>, affecté à la 17' région. S'a Lille, <strong>25</strong> mars. Pendant une manœuvre exécutée par un ba- taillon dn 8* d'iiU'aiiitei'ie, en garnison à Bou- iogne-sur-Mer, près da Wlmille, le lieutenant Verguette, ue la a* compagnie, et le soldat Ilè<strong>de</strong> ont été blessés, lo premier à l'abdoim-en, lo <strong>de</strong>uxième à la tête, par une balle <strong>de</strong> tir réduit tirée par le soldat M... <strong>de</strong> la 1" com- pagnie. Ce <strong>de</strong>rnier a été mis en cellule avec le sa- peur W... qui lui avait dénué la cartouche. Lee blessés ne sont pas dans un état grave. Brest, <strong>25</strong> mars. Vingt-sept jeunes soldats du 9' d'infanterie colonPPe, détachés au fort Besthaum, occupé par <strong>de</strong>ux compagnies, ont quitté hier les ca- sernements et. sesout -rendus à Brest pour por- ter plainte <strong>de</strong>vant leur colonel <strong>de</strong> mauvais feattêsacmits qui auraient été exercés sur eux par un sergent. Sur l'ordme du colonel, les soldats ont im- .2; 9.2 O.S.O m. pluie 3.5 — 1.4 -9.7 9.0 13.1 0.7 -2.3 10.;: là S Résultats complémentaires <strong>de</strong>s courses da 24 mars : Prix do l'Avenir, 2.500 francs, 3.000 mètres. — 1. Djelmsio, à M. .H <strong>de</strong> Fournas (M. L. <strong>de</strong> Tournas) ; 2. Auréole, à M. du Poy (Floc-h) ; 3. VéUa, à M. An- tier (Lalabrisj. Cinq longueurs. Dix longueurs. Prix <strong>de</strong> la Société <strong>de</strong>s steeple-chases do France (sle«iple-eaase), 1,500 francs, 3.400 mètres. — 1. Ap- pendicite, à H.' Goodaere (Broquère) ; 2. Premier Consul, à M. <strong>de</strong> Juge (Ch. Salamagnou) ; 3. Mi- gnonne, à M. <strong>de</strong> Juge (P. Salamagnou). Deux longueurs. Deux, longueurs. Football rugby L'U. S. F. S. ET LE SPOKI EN PB.OVIKCE Notrei confrère M. Maurice Martin, <strong>de</strong> la Petite Giron<strong>de</strong>, saisit l'occasion <strong>de</strong>s récents évémeiments sportifs du championnat <strong>de</strong> foot- ball, où Toullouse a joué le rôle <strong>de</strong> victime, tpour citer divers passages dès journaux <strong>de</strong> notre viHB où l'on critique- ferme l'attitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> l'Union. U y joint une lettre <strong>de</strong> M. le docteur Vorvene'l, qui s'exprime en ces termes : « Je -signalerai en d-e-mier lieu, dit M. le docteur P. Voive-ne-1, la situation spéciale faite à notre équipe d'association. Aucun match d-e ichamiplonnat ne s'est joué à <strong>Toulouse</strong>. Elle s'est déplacée <strong>de</strong>ux fois contre Bor<strong>de</strong>aux et contre J arase. Demandant ensuite à ïnatch-er le 22 mars l'O. M., champion du Littoral, soit à <strong>Toulouse</strong>, soit à <strong>Mars</strong>eille, on l'oblige à aller à Cette, terrain qu'elle .récusait : si elle triomphe aujourd'hui, elle <strong>de</strong>vra match-er Roubaix à Paris. — Queil Club <strong>de</strong> Paris aurait a.gi ainsi ? Tous ces déipla-ceauents entraînent <strong>de</strong>s frais, e'i ia décision d© la commission d- rugby <strong>de</strong> l'Union, supprimant la rencontre <strong>de</strong> notre équipe secon<strong>de</strong> avec celle du Racin.g, uppnime du même coup une recette sur la- quelle nous avions le droit <strong>de</strong> compter. Ce -qui subsiste malgré tout, Monsieur, c'est la vaillante énergie <strong>de</strong> notre Club. Se; soixante et onze équipiers lutteront pour le sport, et s'ils tricimbemt ce sera rpa-r le sport pur..., aans manœuvres préalables autour d'un tapis vert ». Et M. Maurice Martin ajoute : « Si notre confrère <strong>de</strong> la Dépêche a pu un instant se méprendre, lo,rs <strong>de</strong> notre récente et énergique campagne antiroarisienne, sur le bien-fondé <strong>de</strong> nos revendications provinciales ur notre très sincère' désir d'élargir le débat bien au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> l'étroit cadre bor<strong>de</strong>lais, il doit sans doute être complètement fixé au- jourd'hui. Ainsi que notre humoristique confrère F. Bidault, lui-même, l'avouait l'autre jour dans les colonnes <strong>de</strong> !'.4ufo, il y a beaucoup à faire pour empêcher que les clubs parisiens continuent à se moquer plus longtemps <strong>de</strong>s Intérêts <strong>de</strong>s clubs d-e .province. » Paroles justes, car l'égoïsme parisien est ans bornes, que <strong>de</strong> fois ne l'avens-nous déjà dit ! Et ces protestations toulousaines sont on ne peut plus justifiées. » Allons, bons amis <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong>, nous voilà tous du même avis, n'est-il (pas vrai ? Un bon couip <strong>de</strong> balai dans les écuries d'Augias, lors <strong>de</strong> la prochaine assemblée générale <strong>de</strong> l'Union ! Nos grands journaux <strong>de</strong> province ont là un beau rôle à remplir. Pour notre part, nous nous y emploierons comme nous l'avons déjà fait ». Nous somimes entièrement <strong>de</strong> l'avis <strong>de</strong> M. Maurice Martin et nous espérons bien mener le bon combat ensemble contre l'U. S. F. S. A. En attendant, nous formons les meilleurs vœux pour que l'excellente équipe du S. B. U. C. remporte à Paris, le 12 avril, le cham- pionnat <strong>de</strong> France d'une façon éclatante et venge un peu la province et <strong>Toulouse</strong>, si abominablement roulée au Parc-<strong>de</strong>s-Princes dimanche, en "mettant entre les champions <strong>de</strong> France et le champion <strong>de</strong> Paris une distance .Je points telle qu'aucune récrimination ne soit possible ni permise dans la bouche <strong>de</strong>s dirigeants du sport et <strong>de</strong>s chroniqueurs pari- siens. A. C. De notre correspondant particulier : LE CINQUANTENAIRE DE N.-D. DE LOURDES D'heure en heure l'affluence <strong>de</strong>s pèlerin! déversés par tous les trains s'accroît. Le temps se maintient au beau, bien que quelques lé- gères bruines tamisent les rayons du soleil printanler. A 2 heures, le gros bourdon <strong>de</strong> la basiliqu» frappe l'air lour<strong>de</strong>ment, accompagné bientôt <strong>de</strong> joyeux carillons. En- un clin tfœil, le Ro« sa ire se remplit et NN. SS. les évêques d'An goulême ; Mgir Arl-et ; <strong>de</strong> Saint-Flour, Mgr Le-c-œur ; <strong>de</strong> Tarbes, Mgr Schcepîer, et l'arche- vêque <strong>de</strong> Léontopolis (In<strong>de</strong>s), Mgr Soulé, font leur entrée triomphale dans la vaste enceinte entre <strong>de</strong>ux haies <strong>de</strong> spectateurs qui courbent la tête sous leur main bé*nissan,te. Mgr Arlet pontifie, assisté d'un, <strong>de</strong> ses grands-vicaires geV néra-ux et <strong>de</strong> M. l'abbé Fourca<strong>de</strong>, le distingué curé-doven <strong>de</strong> Lour<strong>de</strong>s. Les vêpres sont chantées par l'excellents maîtrise <strong>de</strong> la Grotte. Cependant, Mgr Lecceur monte en chaire. C'est déjà un vieillard aux cheveux blancs, à la figure fine et distinguée, au regard trofond, dénotant beaucoup d'intelligence. « Quelle est celle qui monte en ce lieu dé< sert ? s'écrie l'orateur ; c'est ri.mmaculée-Con< ception. » Avec une élégance <strong>de</strong> parole re-marqua-bîa et une très gran<strong>de</strong> profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> vues, l'ora- teur examine l'Apuarition <strong>de</strong> Lour<strong>de</strong>s, le fait le- plus célèbre -<strong>de</strong> nos temps mo<strong>de</strong>rnes, à <strong>de</strong>ux points <strong>de</strong> vue : premièrement, au. point <strong>de</strong> vue- du fait en lui-même qui démontre les mi- sères et les gran<strong>de</strong>urs <strong>de</strong> l'homme ; <strong>de</strong>uxième- ment, au point <strong>de</strong> vue <strong>de</strong> ses conséquences. Dans une argumentation serrée, l'orateur dé- montre qu'il ne peut exister <strong>de</strong> nation sans morale et sans justice ; or, la France ne peut trouver cette morale et cette justice ailleurs que dans la religion catholique, qui l'a fa- çonné-:! et pétrie à travers les âges. Ramener la France à cette justice et à cette morale dont l'Eglise a le dépôt, voilà la raison d'être <strong>de</strong> Lour<strong>de</strong>s, voilà l'explication <strong>de</strong>s préférences <strong>de</strong> la Vierge -pour le sol français. Après cette magnifique' péroraison, la maî- trise chante le Tu es Pelrus et la bénédiction est donnée. Mgr Schœpfeir monte, ensuite en chaire et invite les évêques et les fidèles à se rendre eai procession auprès du ireehor béni, afin <strong>de</strong> prier pour l'Eglise et la France. Cette belle journée s'est terminée par l'illu- mination <strong>de</strong>s sanctuaires et la procession aux flambeaux. Lour<strong>de</strong>s, <strong>25</strong> mars. « Je suis- rimmaculèe^Conception ! » dit la Sainte-Vierge à Berna<strong>de</strong>tte. C'est cette divine parole -et cette Apparition que l'on célèbre au- jourd'hui. Durant toute la -matinée, tandis que la foule <strong>de</strong>s pèlerins ne fait que s'accroître i <strong>de</strong>s messes sont célébrées dans tous les sanc- tuaires. Cependant le temps- est maussa<strong>de</strong>, la brume a envahi la vallée et -couvre les montagnes, mais ta température est douce. Le Rosaire est comble. A dix heures, com- mence la g rand'messe, célébrée -par Mgr Soulé, archevêque <strong>de</strong> Leontopolis. NN. SS. les évê- ques <strong>de</strong> Tarbes, Saint-Flour et Angou. ! ême sont présents. Avec une imaëstrla remarqua- ble, la Messe <strong>de</strong> Notre-Dame <strong>de</strong> Lour<strong>de</strong>s, da M. l'abbé Darros, est chantée par un chœuï <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux cents exécutants. L'effet est merveil- leux sous cette immense coupole enguirlan- dée <strong>de</strong> fleurs et <strong>de</strong> lampes multicolores. Après la messe, le défilé <strong>de</strong>s évêques à 0.a Grott.» a lieu au milieu d'une foule énorme remplissant l'esplana<strong>de</strong> <strong>de</strong> la Grotte. Mgr Sohœpfer rappelle, en ternies émus, l'apparition du <strong>25</strong> mars. Dans 'Faprès-imidi, matheureusetment, une pluie fine commence' à tomber. Au Rosaire, où sont chantées les vêpres, Mgr Soulé pon- tifie, entouré <strong>de</strong>s mêmes évêques. Mgr Le- cceur prononce un discours fort remarquable. II montre Lour<strong>de</strong>s terre du surnaturel et <strong>de</strong> charité. L'éminen.t prélat a <strong>de</strong>s «mouvements pathétiques qui im-pressionnent l'assistance. A l'issue <strong>de</strong>s vêpres, la maîtrise chante lMn- gelus. Au <strong>de</strong>hors, la pluie continue et einpê- che la procession du Saint-Sacrement et à la Grotte. La procession aux flambeaux est com- promise. Néanmoins, l'illumination générale <strong>de</strong>s sanctuaire s, du chât.eau-fort et <strong>de</strong>s mai- sons particulières aura lieu. P. H. d'iÉïst. er Paris, <strong>25</strong> mars. New-York continue, son mouvement <strong>de</strong> hausse. Quelques-uns même le trouvent un peu rapi<strong>de</strong>. En tout cas, la reprise- se <strong>de</strong>ssine à la fois du côté in. dustriot et du côté financier. Londres est ferme sur toute la ligne et, en parti eulter, sur ies Américains et les Consolidés, les Ja jouais et la <strong>de</strong> Beers.. . Berlin suit ces indications. Paris, au contraire, <strong>de</strong>meure sans affaires .; mais, si les coui-s en clôture .v>n.t plutôt en f&iblesso, la seule cause en est dans -e manque do contre-partie. La place saibit le c ire-coup do l'affaire Roohette, si douloureusement ressentie en coulisse. )G G7 au plus haut trouvé avec difll ns les groupes, on A la suite s Divers Le mauvais temfis La Basse-Terre, <strong>25</strong> mars, du mauvais temps, les lies <strong>de</strong> Saint-Martin et <strong>de</strong> Saint .Barthélémy ont été dévastées. Le gouverneur, M. Ballet, a envoyé <strong>de</strong>s secours. Explosion d'une poudrièro au Chili Santiago (Chili), <strong>25</strong> mars. On annonce officiellement que les domma- ges causés par l'explosion <strong>de</strong>s poudrières Ba- % finit à 9(5 tatioa. Les e francs do ipe- toujours pessimiste., ce patrons tondu b! Auss et ouvriers du' bât -ciul <strong>de</strong> la remise aon-ès ies vacances <strong>de</strong> PAqius .ut vote sur l'application <strong>de</strong> l'impôt sur le revenu .l'ont-ils produit aucune iniluence appréciable. Lé .er recul <strong>de</strong>s fonds étrangers. Seuls, le Turc et le japonais sont formes, ie premier à 94 57, le second .i 87 CO. L'Extérieure s'alourdit â 94 57. les Russes per<strong>de</strong>nt queluues fractions. Lo Consolidé à Si 70 et ie 1906 il 97 92. Comme nous l'avons annoncé dans notre <strong>de</strong>rnière revue, la maison Baring procè<strong>de</strong> actuellement l'émission do ia [première tranche do I72.s5fl.3i2 .i-hiigations 5 % do la ville do Moscou à 87 1/2 Calme sans faiblesse dans le compartiment" <strong>de</strong>s établissements do crédit. Le Lyonnais cote 1.105 ex-coupon do <strong>25</strong> francs. Usasse <strong>de</strong>s gran-ds chemins <strong>de</strong> fer. Le P.-L.-M s'avance à 1.394 et le Nord a 1.788 Faiblesse (tans les transports. Le Métro revient îi 493 l'Omnibus A as et la Thomson à OU. Lour<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>s' chemins espagnols qui suivent leur route. Le Nord <strong>de</strong> l'Espagne cote 281, le Saragossa 379.. Les industrielles rtis"»es sont plus éprouvées. La Sosnc-wk*. ù 1.62S contre 1.042, et la Briansk perd tLe conseil d'Etat a Tendu l'arrêt suivant : Requête <strong>de</strong>s sieurs Tajon et autres contre -un arrêté en date du 9 janvier 1907 par lequel le conseil <strong>de</strong> préf ecture <strong>de</strong>s Hautes-Pyrénées an- nule leur élection comme membres du conseil municipal d'Av.ezac-Prat. Rejet. LES COURS DU BLÉ Sur nos principales places, on a constaté <strong>de</strong> légères oscillations dans les cours, légère hausse d'un côté, légère baisse d'un autre, sans changement ailleurs. Sur les places <strong>de</strong> l'étranger, mêmes oscilla- tions que chez nous. CONCOURS COUR DES COMPTES Un concours pour l'auditorat près la Cour <strong>de</strong>s comptes sera ouvert au ministère <strong>de</strong>s finances la lundi 1" juin <strong>1908</strong>. Les candidats <strong>de</strong>vront déposer leur acte, <strong>de</strong> nais- sance, leur diplôme <strong>de</strong> licencié en droit et leur livret militaire avant lo 9 mal 190S, au secrétariat <strong>de</strong> la première prési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> la Oour <strong>de</strong>s comptes, au Paiais-Ruyal. 3pectack$-Coiicert$ <strong>Toulouse</strong> CAPITOLE. — Tell. CINEMA PATIIE 26 mars Co soir, à s heures, Guillaume FRERES (Théâtre do Saint Cy- prlen) : les jeudis, a 8 heures trois quarts • dim in- çhes, à 2 heures trois quarts (matinée) sami dis- a 8 heures trois quarts, brillantes séances . es changement complet du spectacle. t-ALACE CINEMA-THEATRE — Srvw-,,.1,. t tir <strong>de</strong> 3 heures ; le soir um eulo etfr^ùt <strong>de</strong>•» à 11 heures. Programme <strong>de</strong> la sema « - * Joseph vendu par ses frères, gran<strong>de</strong> %/ • Pa. ris-Panoramique- ; Débuts „',„ '-a :,„!", ,''„.;, cS comique 1 on te, mal récompensés dnmallqu* etc.. etc. Orchestre symnhotll(luo , c na ut»e; A'ons pnont TUES INSTAMMENT rédacteurs-correspondants <strong>de</strong> nous adres- ser leur copie pur les courrùrs du via Un, afin QUEjNOUS LA ItLcLVIOXS D/UVS L'APHLS-MIDI. I <strong>Bibliothèque</strong> municipale <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong> - Tous droits réservés
MAC yoyg .i tuteurs ; car U n'est bien faire ! ESPÊRAZA. — Prévoyants <strong>de</strong> l'Avenir. — Los sociétaires <strong>de</strong> la 282' section <strong>de</strong>s Pré- voyante <strong>de</strong> l'Avenir sont informes que la fêle organisée -en l'honneur <strong>de</strong>s retraités a été dé- finitivement fixée à la date du 29 mars. Nous rappelons que la cotisation pour 1-e banquet qui doit avoir lieu ce jour^à est fixés à 4 francs. Los nouveaux membres dé- sirant y assister doivent se faire inscrire chez M. Pagès, trésorier adjoint. Tous les sociétaires sont convoqués pour le 29 <strong>de</strong>s •«— a ", r f tnîifl ùea'rnêmbrëâ &t obligal-oiro. sence <strong>de</strong> toiw ^> im«' 6 , ..encours Le Mv 1 ^ ^ <strong>de</strong> la T.yre Sainte-Cé- « ta p^ullttOT an ban public qui cite et mviti i ^ heures du soir, eS MiSty- Co meilleur accueil est réservé aux étrangers. quelq îesoh oher ; grec, d'urne exceller , cette année M. Charry s'est lire le mur lui-même, à pasli- rauvertes <strong>de</strong> lierre d'un théâtre ipe, nous serons donc sûrs acoustique. Los rhumatisants -et les goutteux troiiveront la guérison en employant lo Baume Victor en' frictions, matin et soir, 2 fr. lo flacon. A.I-CJOOJSVîS 'irîH.HIB ' Alambics Salleron, Ebullio3- t copes, Acidimètres, Thermo. , mètres en tous genres. Pèses- vins, lait, liqueurs, etc. Baro- mètres. En vente chez -. E. LSON, opticien, 45, rue Alsace-Lor- s*s8P^Ï* r " raine, <strong>Toulouse</strong>. Renseignements et prix courant sur ds« man<strong>de</strong>. NARBONNE A Se l'es î$^#%a °%m «toi. Jusau'à P«- , - ï -' I n - , s . liv. te premier venu, sent, i' 11' - 11 . .i , -MI diète du r'jmaofa, ce con- ,»;„ uiKi .d - . " . ». "» l , t j ,Pn,,,Ve:r une sou municjpal a ^ç ' mars. Farines. — Courant, 30 50 ;proclialn, 30 co ; mal- juin, .tend a ter: - Ce do mai, 30 35 ; jul i ; circulation, 3.4W t-aoùt, 30 23 i consommation, Seigles. — courant, n juin, 10 Ce ; 4 cto mai. tendance soutenue. Avoines. — Cornant, 17 €0 > ; prochain, 22 35 ; mai. îr2 85 ; juUlet-août, 22 70 ; 05 ; prochain, 10 05 ; mat- 17 05 ; juillet-août, 10 00 ; prochain, 17 00 ; mal- \ I I H il I I 1 I r ' 11 ': <strong>Bibliothèque</strong> municipale <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong> - Tous droits réservés