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NASS EL GHIWANE - BNP Paribas

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La Fondation BMCI soutient la publication de « <strong>NASS</strong> <strong>EL</strong> <strong>GHIWANE</strong> »<br />

Un livre en hommage aux « Rolling Stones de l’Afrique »<br />

Coédité par Senso Unico et les Éditions du Sirocco<br />

Un ouvrage soutenu par la Fondation BMCI<br />

La BMCI a apporté depuis de nombreuses années son soutien à l’édition de livres d’art à caractère historique, œuvrant pour la diffusion<br />

et la conservation du patrimoine culturel marocain. Cette année, la Fondation BMCI pour la Solidarité et la Culture a soutenu le livre<br />

« Nass El Ghiwane », un ouvrage en hommage au groupe mythique marocain coédité par Senso Unico et les Éditions du Sirocco.<br />

Une histoire extraordinaire racontée par omar sayed<br />

Préfacé par Martin Scorsese, fasciné par la musique des Nass El Ghiwane devenue la « bande originale de [sa] vie », cet ouvrage<br />

raconte pour la première fois l’histoire extraordinaire de ce groupe musical marocain, avec force détails et illustrations, depuis<br />

sa création jusqu’à nos jours. Au cœur de l’ouvrage se trouve le récit d’Omar Sayed, l’un des membres fondateurs du groupe et le<br />

gardien de sa continuité depuis plus de quarante ans.<br />

Issu d’entretiens menés par les éditeurs, ce récit spontané et émouvant est accompagné de témoignages et d’exposés mettant en<br />

lumière le phénomène musical et social que représente Nass El Ghiwane. En 40 ans d’histoire, cette formation musicale fédératrice<br />

des classes sociales et des générations est devenue une véritable légende qui a franchi les frontières.<br />

« […] La musique m’ouvrait un univers entier. […] Elle m’a ouvert les oreilles et les yeux, m’a inspiré, m’a ému et m’a<br />

transporté. Elle a rendu plus intense ma perception du mystère d’être vivant. Il m’est difficile d’imaginer un plus grand<br />

compliment. » (Extrait de la préface de Martin Scorsese)<br />

Un ouvrage de référence sur un groupe mythique<br />

L’ouvrage projette le lecteur dans la vie des Ghiwane depuis leurs rencontres, leurs premiers concerts dans des cinémas et<br />

restaurants, jusqu’aux scènes les plus prestigieuses au Maroc, en Europe et ailleurs. L’iconographie riche de photos jamais<br />

reproduites et rassemblées pour la première fois pour illustrer les quarante années de cette belle épopée, la traduction inédite en<br />

français de chansons emblématiques du groupe, le texte repris en arabe et en anglais, font de ce livre un document rare, une véritable<br />

référence et, surtout, un vibrant hommage à un groupe unique dans l’histoire de la musique populaire universelle.<br />

«…Les feux de la rampe se sont allumés ce soir-là, il y a quarante ans, pour les Nass el Ghiwane, et ils ne s’éteindront plus.<br />

Il était temps de raconter leur histoire, de leur rendre cet hommage-ci. » (Extrait de l’introduction, Kounna khamsa)<br />

Pour plus d’informations<br />

Karima Benabderrazik<br />

Directrice de la Communication de la BMCI - Secrétaire Générale de la Fondation BMCI<br />

Tél. : 05 22 46 16 18 - E-mail : karima.benabderrazik@bnpparibas.com<br />

Loubna Sebti<br />

Responsable Relations Presse de la BMCI - Responsable Parrainage Culture de la Fondation BMCI<br />

Tél. : 05 22 46 14 56 - E-mail : loubna.sebti@bnpparibas.com<br />

Pour en savoir plus sur la Fondation BMCI :<br />

visitez le site www.bmci.ma, rubrique “Fondation BMCI”


<strong>NASS</strong> <strong>EL</strong> <strong>GHIWANE</strong><br />

Collectif, dont Omar Sayed<br />

Préface de Martin Scorsese<br />

Coédition Senso Unico – Éditions du Sirocco<br />

Nass el ghiwane : une épopée de 40 ans<br />

Au tout début des années soixante-dix, cinq jeunes autodidactes - des « comédiens qui chantent » - créent à Hay Mohammadi,<br />

dans les faubourgs de Casablanca, un groupe musical qui déclenche immédiatement l’enthousiasme et très vite la ferveur, pour<br />

devenir, presque à son insu, le porte-voix des sans voix.<br />

Ses textes frondeurs pour l’époque, puisés dans le patrimoine littéraire marocain et retravaillés pour exprimer par fines<br />

allusions et métaphores les désenchantements de ces temps sombres, sa combinaison inédite d’instruments traditionnels<br />

délaissés (bendir, tbilat, daâdou, guembri, snitra), ses mélodies qui mêlent tous les genres régionaux populaires (aïta, gnaoua,<br />

melhoun…), et ses voix à la fois déchirantes et puissantes, de tristesse et de révolte, viennent ébranler le paysage musical<br />

maghrébin, bercé jusque-là principalement par les mélodies langoureuses des grands orchestres orientaux.<br />

Malgré la disparition de deux de ses membres emblématiques (Boujemâa Hgour en 1974, Larbi Batma en 1997) malgré<br />

les séparations et les recompositions, Nass el Ghiwane, composé aujourd’hui d’Omar Sayed, Rachid et Hamid Batma, Allal<br />

Yaâla et Abdelkrim Chifa, continue jusqu’à présent à soulever partout les foules des « hbab el Ghiwane », à chacune de ses<br />

apparitions sur scène.<br />

Nass el Ghiwane, que le roi Mohammed VI a distingué en 2007, en octroyant à ses membres, en même temps qu’à d’autres<br />

artistes, une pension à vie qui les met à l’abri de la précarité, a aussi été décoré Chevalier des arts et des lettres par le ministre<br />

de la culture français, Frédéric Mitterrand, le 4 juin 2010 à Fès.<br />

Le groupe, surnommé « les Rolling Stones de l’Afrique » par Martin Scorsese, a fasciné par sa musique ce grand réalisateur<br />

américain qui, en 2007, a inauguré sa World Cinema Foundation avec la restauration de « Transes ». En 2011, ce film<br />

documentaire consacré à Nass el Ghiwane, réalisé par Ahmed El Maânouni et produit par Izza Genini, fête ses 30 ans. La<br />

préface de Martin Scorsese témoigne ici et encore de son attachement à la musique de Nass el Ghiwane « devenue la bande<br />

originale de [sa] vie ».<br />

Omar Sayed, gardien de la continuité des Nass El Ghiwane<br />

Omar Sayed est l’un des fondateurs (avec Boujemaâ Hgour, Larbi Batma, Moulay Abdelaziz Tahiri et Allal Yaâla) de Nass el<br />

Ghiwane, son leader et le gardien de sa continuité et de sa mémoire depuis 40 ans. Comédien dans la troupe théâtrale de Tayeb<br />

Saddiki à la fin des années soixante, comme les autres membres du groupe, il est aussi musicien (bendir) et chanteur.<br />

Parmi les nombreux témoignages, ceux de Tayeb Saddiki, célèbre dramaturge marocain, Izza Genini et Ahmed el Maanouni,<br />

respectivement productrice et metteur en scène du film « Transes » (1981), Moulay Abdelaziz Tahiri, membre fondateur du<br />

groupe, Tahar Ben Jelloun, écrivain, qui en 1978 déjà célébrait le talent de Nass el Ghiwane dans un article paru dans « Le<br />

Monde »…<br />

L’ouvrage est aussi agrémenté d’extraits d’une douzaine de chansons cultes de Nass El Ghiwane, en arabe avec leur traduction<br />

française inédite en regard : Essiniya – Soubhane Allah – Ghir Khoudouni – Fin ghadi biya khouya ? – Wannadi ana – Taghounja<br />

– Ya Sah – Sabra oua Chatila – Mahmouma – Ennehla Chama – Mahammouni – Laachab.


Divisé en trois grandes parties, Ouled el Hay, Bhel el Oued et Dima Ghiwane, qui rassemblent les récits d’Omar Sayed, le<br />

livre est ponctué par les témoignages, des encadrés -Hay Mohammadi, La Transe, Kalam El Ghiwane -, et complété par les<br />

contributions de Khalid Benslimane et de Dominique Caubet.<br />

Le Hal ou la transe cabalistique du phénomène el Ghiwane<br />

(texte de Khalid Benslimane)<br />

Le texte de Khalid Benslimane, auteur de belles chroniques sur les thèmes divers et variés qui l’auront interpellé, résume ce<br />

qu’a représenté Nass el Ghiwane pour des générations de fans marocains, dont il fait partie, en même temps qu’il démonte<br />

savamment les rouages du « phénomène ».<br />

« Être un ‘ Ghiwane ’ c’est d’abord une coutume ancestrale qui permet à des gens reconnus pour leur probité et leur faculté de<br />

décrire avec simplicité le quotidien de la vie et les maux des gens, à travers les mots et la gestuelle. Ces chantres et troubadours<br />

transmettaient, de douar en douar, leur sagesse grâce aux seuls moyens en leur possession : le théâtre sous forme de la halqa<br />

et la chanson. »<br />

Ouled el Hay : 1970 – 1974<br />

Omar Sayed nous raconte le quartier de son enfance, Hay Mohammadi, déterminant pour l’identité du futur ensemble, les liens<br />

noués à l’adolescence entre la plupart des membres des futurs Nass el Ghiwane, leurs débuts formateurs au théâtre, d’abord<br />

en amateurs puis dans la troupe de Tayeb Saddiki, les premiers pas sur le sentier de la gloire et les premiers succès du groupe<br />

qui prend rapidement son envol avant d’être frappé par le malheur, la perte de Boujemâa Hgour. C’est le premier coup dur et<br />

il marque à jamais Nass El Ghiwane.<br />

Bhel el oued : 1975 – 1997<br />

Après le départ de Moulay Abdelaziz Tahiri et l’arrivée d’Abderrahmane Kirrouche dit Paco, dont l’influence gnaouie sera<br />

très vite perceptible dans les nouvelles chansons, la nouvelle composition du groupe sera la plus stable de son histoire, elle<br />

durera vingt ans. Vingt années pendant lesquelles Nass el Ghiwane va acquérir une nouvelle dimension : le groupe enchaîne les<br />

concerts, les tournées à l’étranger ; un film est consacré à son histoire (El Hâl, Transes), l’une de ses chansons (Ya Sah) est<br />

choisie par Martin Scorsese pour la bande-son de son film «La dernière tentation du Christ»… La maladie et la mort de Larbi<br />

Batma viendront presque anéantir le groupe, qui mettra quelques années à retrouver un nouveau souffle.<br />

Dima Ghiwane : de 1997 à nos jours<br />

L’opiniâtreté d’Omar Sayed, la fidélité d’Allal Yaâla, l’arrivée des deux frères de Larbi, Rachid et Hamid Batma, vont faire<br />

naître une nouvelle cohésion dans le groupe et réveiller la ferveur seulement assoupie de son public. Abdelkrim Chifa vient<br />

bientôt imposer en douceur son talent au snitra quand Allal montre des signes de fatigue. Nass el Ghiwane rayonne à nouveau<br />

et les sollicitations pour jouer sur des scènes prestigieuses, au Maroc et ailleurs, comme les distinctions viennent confirmer<br />

ce renouveau. 40 ans après, la modestie des membres de Nass el Ghiwane est intacte, elle n’a jamais été contaminée par le<br />

succès. Ainsi, Omar Sayed conclut-il son récit par ces mots : « Je suis avec eux depuis le début et celui qui reste des anciens,<br />

seulement grâce à Dieu, c’est tout ».<br />

Nayda ou les enfants des Ghiwane<br />

Dominique Caubet, auteure notamment du film documentaire «Casanayda», montre la filiation des jeunes générations musicales<br />

marocaines avec Nass el Ghiwane et met ainsi en évidence l’héritage indiscutable transmis par ces derniers, (et souvent même<br />

revendiqué, affiché, par les groupes de la Nayda).<br />

«…Les jeunes d’aujourd’hui sont les enfants et les petits-enfants de ceux qui avaient vingt ans dans les années soixante-dix et<br />

qui ont réussi à transmettre les chansons des Ghiwane à la génération actuelle. Aujourd’hui, des jeunes de vingt ans connaissent<br />

encore par cœur les textes qui ont bercé leur enfance. Malgré les années… il semble que ces textes poétiques et imagés parlent<br />

encore aux enfants de la Nayda… »<br />

Un aperçu chronologique rappelant les dates essentielles de Nass el Ghiwane ferme l’ouvrage.


« <strong>NASS</strong> <strong>EL</strong> <strong>GHIWANE</strong> »<br />

un livre parrainé par la Fondation BMCI,<br />

engagée en faveur du développement de la culture au Maroc<br />

«Nass <strong>EL</strong> Ghiwane», un livre qui reflète l’engagement de la<br />

fondation BMCI pour le soutien de l’édition et de la musique<br />

Depuis plusieurs années, la BMCI consolide sa politique de parrainage culturel à travers le soutien à l’édition de livres d’art<br />

portant sur différents thèmes et militant pour la sauvegarde du patrimoine culturel marocain. En poursuivant et renforçant ces<br />

différentes actions, la Fondation BMCI, créée en 2008, montre que l’édition joue un rôle fondamental dans la communication,<br />

dans le partage et la diffusion de la culture, et qu’elle permet de transcender les limites des frontières et des préjugés.<br />

Le parrainage du livre « Nass El Ghiwane » s’inscrit naturellement dans la politique active de parrainage de la musique menée par la<br />

Fondation BMCI, qui accompagne plusieurs événements phares de la vie musicale au Maroc, comme le Printemps Musical des Alizés<br />

et le Festival de Jazz de Tanger «Tanjazz». En 2010, la Fondation BMCI a soutenu Ferdaous, chanteuse et auteure-compositrice<br />

marocaine, ouvrant ainsi sa politique de parrainage à la musique classique arabe.<br />

des actions fortes pour le développement culturel du Maroc<br />

Depuis sa création, la Fondation BMCI œuvre afin de renforcer et diversifier ses actions pour soutenir le développement culturel<br />

du Maroc. Ainsi, la Fondation BMCI poursuit des actions contribuant au développement de l’édition jeunesse dans notre pays. La<br />

Fondation s’est engagée aux côtés des éditions Yanbow Al Kitab en parrainant le projet éditorial d’une collection de livres jeunesse<br />

intitulée «Raconte-moi des personnages», dont le premier livre, «Raconte-moi Ibn Battouta», de Mehdi de Graincourt, est paru en<br />

novembre 2010. La Fondation BMCI a également soutenu SOS Villages dans son projet d’ouvrage intitulé «Une nouvelle famille<br />

pour Lapino».<br />

La Fondation BMCI apporte également son soutien à des initiatives afin de favoriser le développement de la lecture au Maroc, telles<br />

que le Grand Prix des Jeunes Lecteurs de Casablanca, ou encore l’aménagement de bibliothèque-ludothèques dans des établissements<br />

scolaires situés dans des quartiers défavorisés de Casablanca, à travers l’association AL JISR.<br />

Enfin, la Fondation BMCI porte une attention particulière à l’expression artistique contemporaine dans le domaine du spectacle<br />

vivant. En 2008, elle a ainsi parrainé la tournée marocaine du spectacle «Taoub» du Groupe Acrobatique de Tanger, mis en scène<br />

par Aurélien Bory, artiste français du cirque contemporain soutenu par la Fondation <strong>BNP</strong> <strong>Paribas</strong>. En 2009, elle a continué à<br />

accompagner cette jeune compagnie marocaine en soutenant son nouveau spectacle, intitulé «Chouf Ouchouf», mis en scène par<br />

Zimmermann & de Perrot.<br />

Les ouvrages soutenus par la Fondation BMCI<br />

• « Leur Maroc, regards d’écrivains, artistes, voyageurs venus d’ailleurs », de<br />

Mehdi de Graincourt aux éditions Malika (2010).<br />

• « Architecture marocaine du XX e siècle - Edmond Brion et Auguste Cadet », de<br />

Gislhaine Meffre et Bernard Delgado aux éditions Senso Unico (2009).<br />

• « Fès et Florence en quête d’absolu, de Catherine Cambazard-Amahan »,<br />

Ali Amahan et Marcello Fantoni, photographies de Franco D’Alessandro, aux<br />

éditions Senso Unico (2008).<br />

• « Tanger », de Mohamed Métalsi, illustré par Jean-Baptiste Leroux, aux<br />

éditions Malika (2007).<br />

• « Ptolémée de Maurétanie, le dernier pharaon », de Jean Pierre Koffel et<br />

Josiane Lahlou, aux éditions Senso Unico (2006).<br />

• « Maroc, un certain regard 1900 – 1966, de Frédéric Mitterand et<br />

Abdellah Taïa », aux éditions Malika (2006).<br />

• « Sur la voie d’Ibn Al-‘Arabî, les révélations de Fès et Marrakech », de<br />

Mehdi de Graincourt, aux éditions Senso Unico (2005).<br />

• « Fez dans la Cosmographie d’Al-Hassan ben Mohammed al-Wazzân<br />

az-Zayyâti, dit Léon l’Africain », de Hamid Triki et Amina Aouchar, aux<br />

éditions Senso Unico (2004).<br />

• « Le voyage du Sultan Moulay Hassan au Tafilalt du 29 juin au<br />

28 décembre 1893 », de Amina Aouchar, aux éditions Senso Unico (2003).<br />

• « Casablanca et la France, mémoires croisées : XIX e - XX e siècles », de<br />

Jean-Luc Pierre, aux éditions EDDIF (2002).<br />

• « Art et Architectures Berbères du Maroc », de Salima Naji, aux éditions<br />

EDDIF (2001).<br />

• « Casablanca, portrait d’une ville », de Jean-Michel Zurfluh, aux éditions<br />

EDDIF (2000).<br />

La Fondation BMCI pour la Solidarité et la Culture :<br />

• Solidarité : Insertion par la formation - Handicap - Coup de pouce aux projets du personnel<br />

• Culture : Soutien à l’édition - Musique - Spectacle vivant<br />

Pour tout complément d’information, rendez-vous sur le site www.bmci.ma, rubrique “Fondation BMCI”


Nass el Ghiwane<br />

Informations complémentaires<br />

Notices sur l’ouvrage et l’éditeur<br />

Coédition Senso Unico – Éditions du Sirocco.<br />

Format : 210 x 255 mm ; 400 pages ; plus de 400 quadrichromies.<br />

Textes en français ; cahiers de traduction en arabe et anglais.<br />

ISBN 978-9954-8851-9-2<br />

Ont été imprimés, sur papier couché Hannoart silk – 150 et 115g.<br />

4 500 exemplaires avec couverture souple à rabats en carte Fedrigoni Splendorlux Ice, 300g - tarif : 350 DH<br />

Version collector avec couverture cartonnée et coffret revêtus en toile Sholco Magic - tarif : 1 600 DH<br />

Date de parution : mars 2011.<br />

À propos de Senso Unico Éditions<br />

Senso Unico Editions publie essentiellement des beaux-livres sur l’art et l’histoire du Maroc et de la Méditerranée. Son<br />

inspiratrice, Ileana Marchesani, a créé cette maison en 2001, après douze ans d’activité éditoriale chez Lak International,<br />

pendants lesquels elle avait déjà coordonné quelques-uns des plus beaux livres édités au Maroc, dont «Tinmel, l’épopée<br />

almohade» ; «Kunuz, les trésors islamiques en argent» (Prix Grand Atlas-Public) ; «Du Signe à l’Image» (Prix Grand Atlas) ;<br />

«La colline des Potiers»…<br />

Senso Unico Editions poursuit une ligne éditoriale bien définie : présenter le patrimoine historique et culturel marocain par des<br />

livres de très grande qualité, et en l’insérant dans un contexte bien plus vaste, celui de la Méditerranée.<br />

Parmi les titres figurant dans son catalogue: «Rabat -une dame pour le Bou Regreg» ; «Aïn Diab - la corniche de Casablanca» ;<br />

«Tétouan - Reflets souterrains de l’histoire d’une cité» ; «Éclats de mémoire - les Italiens au Maroc»…<br />

En 2006, Senso Unico a inauguré une collection de romans et de récits « entre deux rives », appelée «Le lien».<br />

«Nass El Ghiwane», coédité avec les Editions du Sirocco, s’inscrit dans la collection de beaux ouvrages publiés par Senso<br />

Unico grâce au soutien de la Fondation BMCI et qui comprend : «Le voyage du sultan Moulay Hassan au Tafilalt» ; «Fez<br />

dans la Cosmographie de Léon l’Africain» ; «Sur la Voie d’Ibn al-‘Arabî, les révélations de Fès et Marrakech» ; «Ptolémée de<br />

Maurétanie, le dernier pharaon», «Fès et Florence en quête d’Absolu» et «Architecture marocaine du XX e siècle - Edmond<br />

Brion et Auguste Cadet».<br />

À propos des Éditions du Sirocco<br />

Les Éditions du Sirocco entament en 2011 leur 4 e année d’activité. Les échos favorables soutiennent leur enthousiasme et les<br />

confortent dans le maintien de leur ligne éditoriale : « faire entendre des voix diverses et variées, d’hier ou d’aujourd’hui, émanant<br />

de tous les domaines artistiques, dont le lien sera, de par leur origine ou leur thème, le Sud, celui de la Méditerranée… ».<br />

Jusqu’à présent, leur Sud a été le Maroc, où les Éditions du Sirocco ont été fondées en 2007 par Karine Joseph. Toutes leurs<br />

publications (une trilogie de la culture traditionnelle et populaire, les Stories de Tanger de Mohamed Mrabet, l’anthologie<br />

Elisa Chimenti, le récit de voyage traduit de l’arabe d’Abdelhadi Tazi, le livre d’art sur les œuvres « marocaines » de James<br />

McBey….) ainsi que leurs projets, y sont liés, guidés par l’intérêt passionné de l’éditrice pour ce pays où elle a grandi.<br />

En même temps que la musique, qui fait son entrée dans le catalogue des Éditions du Sirocco avec Nass el Ghiwane et<br />

continuera à les inspirer pour tenir une place de choix parmi leurs prochaines parutions, elles partageront avec les lecteurs<br />

leur émotion pour de nouvelles voix dans la littérature contemporaine. Les jalons d’une collection dédiée aux jeunes seront<br />

aussi posés.<br />

Avec un premier livre disponible en format numérique, «Contes & légendes populaires du Maroc», le long-seller de la maison, et<br />

une diffusion élargie à l’Europe depuis 2010, les Éditions du Sirocco veulent continuer à construire, au rythme de leurs coups<br />

de cœur, un catalogue singulier et faire rayonner largement leurs découvertes « marocaines ».

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