semestre 2008 - BNP Paribas
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puissent s’avérer inopérants, ou être perçus comme tels, pourrait porter préjudice à la réputation de la Banque.<br />
Pourraient également nuire à sa réputation tout comportement inapproprié d’un employé, toute diminution,<br />
retraitement ou correction des résultats financiers, ou toute action juridique ou réglementaire à l’issue<br />
potentiellement défavorable. Tout préjudice porté à la réputation de la Banque pourrait s’accompagner d’une perte<br />
d’activité, susceptible de peser sur son résultat d’exploitation et sa situation financière.<br />
Toute interruption ou défaillance des systèmes informatiques de la Banque peut entraîner un manque à<br />
gagner et engendrer des pertes<br />
Comme la plupart de ses concurrents, la Banque dépend étroitement de ses systèmes de communication et<br />
d’information. Toute panne, interruption ou défaillance dans ces systèmes pourrait entraîner des erreurs ou des<br />
interruptions au niveau des systèmes de gestion de la clientèle, de comptabilité générale, de dépôts, de services<br />
et/ou de traitement des prêts. La Banque ne peut garantir que de telles pannes ou interruptions ne se produiront<br />
pas ou, si elles se produisent, qu’elles seront résolues de manière adéquate. Toute panne ou interruption de cette<br />
nature est susceptible de peser sur le résultat d’exploitation et la situation financière de la Banque.<br />
Des événements imprévus peuvent provoquer une interruption des activités de la Banque et entraîner<br />
des pertes substantielles ainsi que des coûts supplémentaires<br />
Des événements imprévus tels qu’une catastrophe naturelle sérieuse, des attentats, ou toute autre situation<br />
d’urgence, pourraient provoquer une brusque interruption des activités de la Banque et entraîner des pertes<br />
substantielles dans la mesure où ils ne seraient pas couverts par une police d’assurance. Ces pertes pourraient<br />
concerner des biens matériels, des actifs financiers, des positions de marché ou des collaborateurs clés. De tels<br />
événements pourraient également engendrer des coûts supplémentaires (liés notamment au déplacement du<br />
personnel concerné) et alourdir les charges de la Banque (en particulier les primes d’assurance). À la suite de tels<br />
événements, la Banque pourrait être dans l’incapacité d’assurer certains risques, d’où il résulterait un<br />
accroissement de son risque global.<br />
La Banque est soumise à une réglementation importante dans les pays et régions où elle exerce ses<br />
activités<br />
Le risque réglementaire représente le risque de non-conformité ou l’incapacité à respecter intégralement la<br />
législation, la réglementation ou les codes applicables au secteur financier. Outre le préjudice porté à sa<br />
réputation, le non-respect de ces textes exposerait la Banque à des amendes, à des avertissements des autorités,<br />
à des suspensions d’activité, voire dans des cas extrêmes, au retrait de l’agrément des autorités.<br />
Les activités du Groupe et ses résultats peuvent être affectés par diverses mesures ou décisions, notamment<br />
fiscales, prises par les autorités réglementaires françaises, par l’Union européenne, par des gouvernements<br />
étrangers ou des organismes internationaux. La nature et l’impact de ces éventuels changements de politiques et<br />
décisions réglementaires ne sont pas prévisibles et le Groupe n’a aucun moyen de les contrôler.<br />
Tout changement dans les domaines suivants est également susceptible d’avoir un impact sur le Groupe<br />
politique monétaire, politique de taux d’intérêt et autres politiques des banques centrales et des autorités<br />
réglementaires ;<br />
évolution générale des politiques gouvernementales ou réglementaires susceptible d’influer sur les décisions des<br />
investisseurs, en particulier sur les marchés où le Groupe est présent ;<br />
évolution générale des exigences réglementaires, notamment des règles prudentielles en matière d’adéquation<br />
des fonds propres ;<br />
évolution de l’environnement concurrentiel et des prix ;<br />
évolution des règles de reporting financier ;<br />
expropriation, nationalisation, confiscation d’actifs et évolution de la législation relative au droit de propriété des<br />
étrangers ;<br />
toute évolution négative de la situation politique, militaire ou diplomatique engendrant une instabilité sociale ou un<br />
contexte juridique incertain, susceptible d’affecter la demande de produits et services proposés par le Groupe.<br />
Malgré les politiques, procédures et méthodes de gestion du risque mises en œuvre, la Banque peut être<br />
exposée à des risques non identifiés ou imprévus, susceptibles d’occasionner des pertes significatives<br />
La Banque a investi des ressources considérables pour élaborer des politiques, procédures et méthodes de<br />
gestion du risque et entend poursuivre ses efforts en la matière. Pour autant, les techniques et stratégies utilisées<br />
ne permettent pas de garantir une diminution effective du risque dans toutes les configurations de marché. Ces<br />
techniques et stratégies pourraient également s’avérer inopérantes face à certains risques, en particulier ceux que<br />
la Banque n’a pas préalablement identifiés ou anticipés. Certains des indicateurs et outils qualitatifs que la Banque<br />
utilise pour gérer le risque s’appuient sur des observations du comportement passé du marché. Pour quantifier son<br />
exposition au risque, la Banque procède ensuite à une analyse, généralement statistique, de ces observations. Les<br />
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