16 MARS 1917 - Bibliothèque de Toulouse

Edition de TGUJOUZB
VENDREDI 16 MARS 1917
Organe quotidien de Défense Sociale et Religieuse
26 e ANNÉE — N° 8.821
. I mois * mott l an
«OMNEMEMTS fc „ fc 80 £r.
BARONNE El ï OPSS.
KBASŒn (Union . B
7 tr. 13 Er.
10 fr. M fr.
oentlm*'
84 fr.
40 tr.
ÉDITIONS RÉGIONALES
Kot, Aveyron. Corrèze Cantal
Gers. 'W-Pyrénèes, fl m -Pyrénées.LaluUi
Tarn-et-Garonne. Lot-et-Garonne
Rédaction et Administration : Toulouse, rue Roquelaine,
EDITIONS RÉGIONALES
r«m. Aude, Hérault, Pyrénèes-OrienT
Haute-Garenne, Aiïège
du matin spéciale à Toulouse S
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toutes ies agences de publicité ; à Toulouse
aux bureaux du journal, E5, rue Roquelalne,
M chez tous nos correspondants. - Le tarif
éa la publicité est envoyé franco sur demanda.
AUTOUR D'UNE DÉMISSION
C'est au cri de « Vive la République ! » que,
sous les huées de Textrême-gauche, le général
Lyautey a quitté, mercredi soir, la Chambre,
avec l'intention de n'y plus revenir.
C'est en pensant à la France çniè nous avons
le (protond regret d'enregistrer la démission
du ministre de la guerre.
C'est, d'ailleurs, cette pensée, la sauHe qui
doive inspirer les paroles et les actes d'un
soldat, que le ministre démissionnaire a très
noblement exprimée lorsqu'il a dit qu'il y a
(Jes choses qu'il ne faut ipas discuter, même en
comité secret « sans exposer la défense natio
nale à des risques ».
Il paraît que cette conception du devoir mi-
litaire va à rencontre de certains principes,
trcip en honneur sous le (plafond lumineux du
Palais-Bourbon, et ne saurait cadrer avec le
vivat qui a salué le départ du général Lyaur
tey.
Et c'est ,pour cela que Tiiltastre pacificateur
du Maroc est parti, à l'entière satisfaction des
« remplaçants », qui mettent le Parti au-des-
sus de tout, — preuve nouvelle que les misères
et les laideurs des partis seront toujours en
opposition avec les hautes considérations et
les impérieuses nécessités de la guerre.
Le général Lyautey avait, il y a quelques
jours, fait un premier geste significatif lors-
que, èu cours du douïourefux débat soulevé
par le citoyen Sixte-Quenin à propos des prê-
tres appartenant au service sanitaire, il avait
quitté la tribune en haussait déidalgneuse-
rnent les épaules.
Cette fois, il a perdu (patience et rendu
son' portefeuille, laissant à la Chambre des
responsabilités qu'il n'a
chées ou à exécuter d'autres travaux de guerrro
dans le voisinage de la ligne de feu.
D'autre part, U est avéré que ces dernières
semaines des Chinois ont péri en pleine mer
du fait des Allemands ; TAlileinagne sait per-
tinemment que les seuls Chinois employés
dans le théâtre de la guerre le sont BUT tea
lignes de communication loin des zones dan-
gereuses.
HYPOCRISIE BOCHE
Pékin, 15 nmrS.
Dans sa réponse à la Chine, l'Allen «ne'
exprime sa surprise de la menace conteuuo
dans la protestation chinoise et fait observer
que de toutes les nations qui ont adressé de-3
protestations, la Chine est la seule qui y aiî
joint une menace.
La surprise de l'Allemagne est d'autant
plus grande que la Chine n'a aucun navira
naviguant dans les eaux prohibées • quant,
aux pertes de vies chinoises, c'est la pre

VENDREDI W MARS ÏOTX
tenu d^one façon persistante ; fl -est donc dif-
ficile pour l'Allemagne de surseoir à sa poli-
ttqoe sfcrasHmartne ; (néanmoins eS&e est prête
a négocier or. arrangement pour protéger
les diwfcs. les b'ens. les vies et la navigation
des Chinois ; elle adopte une politique con-
ciliante, parce qu'une fois les relations rom-
pues la Chine nan-seutement perdra une
amie mais elle se trouvera devant des diffi-
cultés inconcevables.
Con)n)tii)iqué Rourrçais)
Jassy, 15 mars.
La situation est inchangée sur le front du
nord de Doma-Vatra à la mer Noire.
Au cours da !a journée, l'ennemi a bom-
bardé les hauteurs au siortS ds la chaussés
Valc-Putna-aacofeetti .
Une attaque tentée par l'ennemi sur nos po.
sitians de la vallée do ï'Uzul a été brisée S0U3
le feu de notre artillerie et de notre Infanterie.
Sur la Putna, n«s IW.îteries ont emmené les
travaux d8 l'ennemi dans la région do Vivan.
coati. Fauroc et Biliesti, et sur lo Screiit ont
dispersé une colonne ennemie qui débouchait
du village de Vulîul, et détruit un posto d'ob-
sorvation dans le village de Galieni.
L'ennemi a bombardé avec l'artillerie le vil.
lago de Vasila-Alsxandrie et le pont de Galatz,
tuant sur ce point un sratx>u de la clas-
se 1918 ; la Chambre aura ainsi donné a la
défense nationale les hommes dont elle a
besoin. (Applaudissements.)
M. Mourier. — Comme nombre d'entre
tiens pour désembusquer définitivement ceux
qui doivent prendre place %dans les unlttts
combattantes ; c'est pourquoi , la coinmission
de Tannée vous demande de 'Voter la loi ce
soir m âme. (Applaudissement,*.)
M. Penoet. — M-osi leurs, j» .tiens à revenir
or 3a néifleoaom qui ii été farta tout a ltveure
«ci sujet des cmtousgfaiôs des dive-rece nagions ;
j'ai ïnioi-même via. une division -de Plains oc-
cupée à faim oies travaux.
M. Gain. — Je n'ai Jamais accusé les sol-
dats (du Mùdii, jamais.'"
m. le président. — Il no sawait y «voir da
dietinotion a faire ; ,1a* .hérctfstties et les deuife
sont de Hontes les régionis de '3a France.
M. SVSITIewoye. — Il n'est venu «il l'idée de per-
sormw As faire de rMstfmr.tton entre les hom-
mes originaires des diverses régions. »
La dlisousiioa générale est «ose.
On passe aiuix articles.
L'-amicés premier est mis en discussion. H
est ainsi conçu :
« A partir de 'ia promuffeation dis la présente
loi, tous ies mobilisés jusqu'à ceux possédant
Ce grade do lieutenant, ou raserai-Dation à cfr
•gina-de, eu la cxiimaspondance de ce grade deu
claiSises 1903 à 1917, appartenant au service
are» et aptes a faire campagne seront versés
dans les (formations combattantes fout Ténu-
mératjion fera l'objet d'un 'décret 4 Go verse-
ment dans ces formations des mobilisés eue-
-vàsés devra être réalisé dans un défiai tde'deux
.mois. »
On adopta un amendement de M. de Mon-
taigu contenant une disposition spéciale pour
les officaers ides services ou officiers assimilés
d'administration de 2* et 3" classes, et un amsa-
dément nie M. Jobert tendant à verser dlans
les armée combattantes tous les sous-officiers
retraités après quinze ans de service.
On passe à l'article 2, énumérant les catégo-
ries d'officiers auxquels les dispositions de
l'article premier no sont pas applicables, no-
tamment les attachés d'intendance. Ses offi-
ciers interprètes, les in-apies, les médecins,
pharmaciens et vétérimiiras, les ouvriers sipé-
cialistas, les agent* des chemine de fer, etc.
Par 325 voix contre 214, la Chambre repousse
un amendement de M. Quei'ile tendant à dis-
traire dés catégories visées par la loi les offi-
ciers provenant des sections «tas C. O. A. qui
n'ont jamais .servi aniérieureonant ; par con-
tre, on adopte un amendement de M. -Noubaïud
qui retire des c.îtéigories comprises dans la
loi les officiers d'administration du service de
santé promus depuis le début oies hostilités, et
V«- ï«t» te Secret .pourra m.wUfter les lois 1 - Par arrête du nimistîc du commerce et |
extetairtss ; il réglera on «ffet, -i' avait lieu dans une sorte
1 d'ancien petit •fhéA.ti'3, où se donnaient encore
'. dos nviîM.ées littéraires, au profit de certaines
' couvres. Rien qu'elles arrivassent un quart
rôle dans la rééducation professionnelle ; 1 au 126e; Houdin, maréchal des logis, du 11°
nous voudrions savoir quels sont exactement 1
les vues du gouvernement sur la question de
la réadaptation des mutilés ; nous sommes
persuadés quO pour la solution de cette ques-
tion, l'union sacrée jouera son rôle ; toutes
les bonnes volontés ne se.-Liit pas de trop j
pour réaliser la grande œuvae que la France !
doit accomplir en faveur de ceux qui se sont
sacrifiés pour la défendre. (Très bien ! et ap-
plaudissements. )
M. de Lamarzaiie. — Je m'associe particuliè-
rement aux dernières paroles de M. Astier ;
la bonne volonté de tous, sans distinction d'o-
pinions, doit s'euercer en faveur de nos glo-
rieux mutilés ; des efforts ont déjà été in-
contestablement faits; le projet de loi a pour
but de les coordonner, de les amplifier ; mais
sa rédaction me parait .prêter a de sérieuses
ciitiqu-tis ; le texte, à la Chambre, a été com-
plètement modifié ; aux termes de l'article 2,
c'est un. décret qui doit régler les questions
les plus importantes que souJève le problè-
me- de la rééducation des mutilés ; c'est par
conséquent le régime du bon plaisir, au lieu
et place d'un régime institué par la volonté
du .législateur ; nous ne sommes jamais allés
aussi loin dans cette voie. A quel régime se-
ront soumis les œuvres de rééducation pro-
fessionnelle ? Sera-ce l'autorisation préalable
ou le contrôle ? Le proijet de loi présenté par
la commission ne nous fixe pas sur ce point.
U renvoi pour cette question a un décret ul-
térieur. S'il faut en croire le rapport, les œu-
vres privées qui voudront se consacrer à la
rééducation seront soumises à l'autorisation
préafable. On peut faire valoir que c'est le
régime qui a été admis pour les œuvres de
guerre. i la loi s'appliquera-t-elle ? Le te xte pri
mit if ertdez e=t pla-
cée sous l'autorité directe tin général en êfhef.
P. A., cl. 1909, MoH»sa». — Non, s'il est
évadé : oui, s'il r-st ranafriê.
D F., Pami«r8. — Sont d-snevés de la
visite les fils de familles nombreuses ayant
cinq frères au service armé sons les ara-
peaux (paragraphe 4 de l'article 5 de la loi).
A mon avis il né peut y avoir do hy»ique r-ort- là-dats du
26 décembre 1916. File se trouve dm s le rt'f-
férents bureaux militaires des r-nrr-s et servi-
ces. 2° Cette mutilation entraîne là réîonne.
3° Ce 'droit n'est pas formel : il doit être
consenti par le commandant du dénôt du d_r-
tvtfi» régiment de l'intéressé : il faut lui en
fa'"3 la demande.
T. A. cl. 1-H8, Auoh. — Les iennes gens ne
ln classe 19ifi peuvent cont-nr-fer Venarafl*
ment volontaire jusqu'à la rétention rte l'or-
(i'â d'anoel, à la condition que lr> rèfflement
d ."mandé puisse recevoir des engagés volon-
taires:
(4 suivre.)
! — Les engace-
pas ouverts. La
quatre ans est
LES MAMANS qui ont la nofjïiottsrio de voi'
leurs chars petite exquisemens habillés et «
bon marché, les ccn-^jisenî an Petit Ma' 1 ;"
. Mlle Bastier, Spécialité c«o C^'~~-- n "
' petits garcon9, -5.2, rua des Lois, Toulouse.
d'heure d'avance, la salle était bondée et el- '
les eurent peine à trouver trois fauteuils a
la suite pour elles et Frida.
Le conférencier parut, un homme grand et
blond, portant victorieusement la quarantai-
ne. Un murmure courut, sympathique, par-
mi les chapeaux serrés des spectatrices. D'un
geste familier, il lissa sa moustache ardente,
promena sur ses auditrices, dont un bon tiers,
il le savait, n'écouterait pas un mot de sa
conférence, l'éclat de son lorgnon, dont les
verres accrochèrent au passage deux ou trois
regards de femmes, alouettes prises à ce mi-
roir.
Après avoir prolongé cet examen mi-ironi-
que, mi-saiisfait, comme s'il évaluait son
auditoire, il se pencha, les mains sur le de-
vant d-e la table, et voulut bien laisser tom-
ber le mot sacramentel :
— Mesdames 1
Un soupir défli.vré sortit des poitrines fémi-
ïiiwes.
Sa conférence, plus brillante qu'érudite, était
pavée d-e mots d'esprit, souvent de sous-enten-
dus qui passaient par-dessus la tète des plus
jeunes auditrices et faisaient sourire d'autres,
plus averties.
— Il nie dêplait ! avoua Christine.
Gisèle prenait des notes. Frida, somnolente
et indifférente au gai savoir, voyait en rêve
une grande tasse d:e café au lailt, avec beau-
coup de beurrées.
— Ces conférences sont un passe-temps
agréable et Intelligent, pour une jeune flll-e
qui a terminé ses études, jugea Christine ;
mais oe n'est pas un moyen suffisant de les
pousser.
— Ou, me conduis-tu ? dit-elle il Gisèle qui
prenait une direction inconnue au sortir du
MM •_ .
— A une saîlo de patinage. Vous savez? lw
patinage â roulettes. Maman n'aime pas' que
nous allions à celui-ci car la saille est un pou
môil'é'S "*
— Oh! « CMssè'le! » fit l'Allemande qui avait
su parfaitement où on la maniait, avec un
reçut vertueux â l'intention de Clmisitine.
Ce patinage assez spacieux avait, dans »
fond, une scène où un vague orchestre moulait
ies rengaines qui avaient oounu les irues et
servait le soir à une entreprise cinématogma-
phique.
Christine comprit, à la nuance cuivrée de
certaines chevelures et au fard de certains
visages, la suspicion d'Isabelle.
— Oui. c'est un peu mêlé ! fit-elle.
Colette de Sasl-èges vint à elles et sa gou-ver-
nointe alleiaand'e accrocha Frida.
— Tout -un petit complot, pensa Christine.
Gérard arrivait avec un de ses amis, portant
sous son bras deux paires de patins.
— J'ai mis Habner en défaut ! dit-il avec le
calme d'une conscience pure ; il ne viendra
pas me relancer ici !
Gisèle et lui, ayant été lacer leurs patins,
glissèrent ensemble, tandis oue Mlle de Sar-
leges évoluait, conduite par l'autre petit jeune
homme. Colette se mit pour lui en (Irais in-
génus et directs.
— Prenez mes patins ! offrit Gisèle à sa
tante.
— Merci, ma petite, je ne saurais pas !
Colette lui jeta un regard incrédule, en pas-
sant.
— Vous n'avez jamais patiné a roulettes î
demanda-t-elle, étonnée, comme si Christine
eût confessé son ignorance des quatre règles.
— Vous y serez tout de suite ! insista Gi-
sèle.
Christine se laissa tenter et. chaussa les pa-
tins, un peu larges à son pied mince; mais,
lorsqu'-eiile voulut se mettre debout, une de ses
jaimbes se lança (Telle-même en avant, com-
me à l'assaut, tandis que l'autre prenait éper-
dument la fuite en arrière.
— J'y renonce ! dit-elle, je tiens à mes mem- |
bres.
— Qu'avez-vous éprouvé ? demanda Colette,
moqueuse.
— Une sensation d'écartèl&ment. Ne res-
suscitons pas les anciens supplices 1
Comme Gisèle enlevait ses patins, un tout
ieune. homme que Christine avait remarque
en conversation avec une des suspectes da-
mes rousses, s'approcha d'elle et lui dit quel-
ques mots. Gisèle répondit volontiers, lui prê-
tant son rire franc et ses yeux hardis et can-
dides. Frida se pencha vers l'autre Alleman-
de et. toutes deux, eurent un gloussement.
— Qu'ost-ce que c'est que ce .petit jeimo hom-
me ? demanda Christine lorsqu'elle revint.
Un ami de Gérard ?
— N...on.
— Alors, le frère d'une de tes amies ?
— Oh 1 non 1 Et elle éclata de rire.
Elle n'est pas gardée, pensa Christine en
jetant un regard peu sympathique à la blonde
Frida. Je parlerai à Arnaud.
— Qu'avez-vous fait après lo cours ? deman-
da Isabelle, pendant le dîner.
— Nous sommes rentrées par les « poule-
vards ». répondit Frida, pressée de mentir
lourdement.
— Nous sommes allés au patinage ! jeta
la voix claire do Gisèle.
— Elle est franche ! pensa Christine avec
soulagement.
Malgré sa tendresse pour ses neveux, elle
avait h leur endroit des désillusions journa-
lières. Ils avaient pour leur mère une certaine
tendresse désinvolte et mi-ironique faite de
»eu de rospect —- peut-être pas de beaucoup
d'estime. Pour leur père, une indifférence
polie, où entrait un peu de dédain : rien ne
venait de lui, dans le luxe qui leur semblait
indispensable.
Par exemple, se dit Christine, ils s'adorent
ïuh l'autre 1... tls sont très gentils pour moi...
l'on
ils seraient naturellement affectueux. Si
n'avait pas faussé ïeur -nature, ils ;ont w,
deux intelligents, ce n'est qu'avec les «wLJL,
le mal est sans ressources... Ils sont 0 "
franchise absolue... pas de .petits calculs. 1 . u
crains, pas d'hypocrisie... C'est bien a^'
chose ! Pnmme
El De se rattachait à ces remarques, ?" ffl8.
aux seuls points solides de Tembarca*»»
nacée. prî-
— Qu'est-ce que c'est, au juste, .i ll ;,'.mière
da ? demanda-t-elle à son frère, la P ieu '
fois quelle le vit seul. A„ m»
Tu te méfies d-e Tango gardien
fille ? dit Arnaud, prenant son ton V a J\^. < ri-
— Autant que tu t'en méfies tot-men»-. ^.j.
posta Christine. Alors pourquoi lui ia^
Gisèle 1 conflée ...
Ma chère, je ne la lui ai pas
v.»,v,i^,, j-u ici lui jn-rr*
pas plus que je ne la lui reprendrai. lu (1 i?a-
cbes. en plein, dans les plates-banae* fille
belle ! Le choix des gouvernantes d*\?*
est un de ses terrains les plus réserve--
— Aimes-tu beaucoup le précepteur t #
— Tu appelles ça un précepteur T
vraiment trop bonne.
— Gérard le méprise.
— Il est comme mol.
— Mais alors î
JUSQU'A NOUVEL ORDRE, LE vi \i$&'
COMMISSAIRE DE POLICE p0UB ot40 M'*
TION DES PETITES ANNONCES
QUES N'EST PAS NÉCESSAIRE.
' las P»'" 6 '
Voir aujourd'hui, à la V pase.
Annonces Économi«uesf
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VENDRMM 16 MARS 1917
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riess* et
jja, chaleur
ami- . . _. d'l>iiira.nte_c et
_ La nouveau thé. du r i^* oftt trouvé urne mai*
acc offilcter d'17,. à 5 heu-
res du soir. Bile portera sur le sujet suivant :
William James.
Il ïaut eepérer qu'en raison des circonstances
actuelîes, le public toulousain viendra en foule
entendre et applaudir le i?roîesseur américain. .
LA SYLVICULTURE
M. Toissier, conservateur des forêts, fera 1 une con-
férence ptrMlquo ds Sylviculture, à la Faculté des
selcittces, au'joiuird'hui vend.redi.. à 10 heures et de-
mie, i -, •., . .
gouvernement comms intéressant la défea- i
se et. la ppoductiun national*, ainsi que le
ravitaillement civil do la population dans les
conditions prévues par ws articles 1« et 2 de
la loi.
L'article 2 fixera In .procédure des évalua-
tions et otites d'indemnité pour les réquisi-
tions civiles.
L'article détenninera la nature, el la com-
position du bulletin individuel qui constitue-
ra la déclaration prévue par le recensement
de la înaiu-d'aviHTe par l'article 5, alinéa a
de la loi.
Le bulletin individuel, dont, un modMe est
annexé au rapport, comprendra un récépis-
sé détachable, où seront reproduites les indi-
cations de nom, d'âge, de domicile du dé-
clarant, et qui sera laissé entre les mains
:'e ce dernier.
L'article 4, qui traite de la réquisition ci-
vile, est lo plus important de la proposition
de loi ; il est ainsi conçu :
Article 4. — En cas de réquisition civile,
l'exploitant pourra être lui-même requis de
continuer pour lo compte de l'Etat îa. direc-
tion de ses établissements aussi longtemps
quo durera la réquisition prévue aux arti-
cles 2 «t 3 de la présente loi ; aucun exploi-
tant ne pourra, *ans y être autorisé, faire à
des Utra des livraisons de matières, produits
et orvets de la nature de ceux qui ont été ré-
quisitionnés.
En cas d'insuffisance de la production,
1 autorité civile pourra, sur une nouvelle ré-
quisition, procéder à la prise de possession,
partielle ou totale, des établissements et en
assurer l'exploitation par ses propres moyens-
dans ce cas, et avant toute .prise de posses-
sion, il sera procédé immédiatement en pré-
sence de l'exploitant, ou lui dûment appelé
à l'inventaire descriptif du matériel, des ap-
provisionnements et des stocks de l'établis-
sement. Pendant la durée de l'exploitation
par l'autorité civile, l'exploitant, sera autori-
se a suivre les opérations, sans qu'il puisse
toutefois entraver l'exploitation
Les indemnités auxquelles donneront lieu
les réquisitions d'exploitation ou la prise de
possession de rétablissement, prévues' au pré-
sent article, seront évaluées soar des commis-
sions dont le ressort, la composition et le siè-
M seront déterminés par le "ministre de l'in-
térieur.
Si l'intéressé n'accepte pas l'indemnité fixée
par l'autorité civile, il sera statué par la ju-
ridiction de droit commun. En cas de réquisi-
tion partielle, U devra être tenu compte du
préjudice causé à l'exploitant, par répercus-
Remerciements et Avis de Neuvaine
Madame
AS'IRIE et wave Auguste CAORS née
sa farfflUle. remercient
ment les personnes mil leur ont témotiné
marques de sympatUio ï l'occasion du décel
Macîame Veuve £érïtrr>G ASTR1Ê
Née LAUREHS
et les prient dte leur faire l'honneur d'assister
a ia messe de neuvaine qui sera célébrée
Po°i l ï r I e £ ep _ 5 16 samedi 17 mars
1917, a dix heures du matin, en l'église de la
Dalbade.
On se réunira à l'église.
Il ne sera pas fait d'autre invitation.
CûiOTlODES OFFICIELS
DE LÂ HUIT
Paris, 15 mars, U h. soir.
Entre Avre et Oise, après une violente pré-
paration d'artillerie, nos reconnaissances ont
effectué des incursions sur plusieurs points
du front ennemi, bouleversé par nos tirs.
Vers Seuvraigncs et au sud de Craupeau-
mesitil, nous avons poussé jusqu'à la troisiè-
me tranchée allemande ; à l'est de Canny.sur.
Mai-, nos détachements ont pénétré dans un
bois et l'ont occupé sur une profondeur de
huit cents mètres environ.
Au cours de ces actions, nous avons fait des
prisonniers.
Dans la région de Maisans-de-CHampagne,
lutte à coups de grenades ; nous avons, réali-
sé des progrès et enlevé plusieurs boyaux en»
neniis.
Sur la rive droite de la Meuse, tirs effica. j sent article, seront évaluées par
ces de notre artillerie sur les organisations
allemandes au nord de Bezonvaux,
COMIvlUMIQUË BRITANNIQUE
Londres, 15 mars, 8 h. 45 soir.
Le mouvement de repli de l'ennemi s'est dé-
veloppé ; vers le sud. nous avons pris posses-
sion de ses tranchées sur un front de 4 kilo- I sion, sur les parties de l'exploitation non ré-
-- POMMES FUNËSRES CÊNeKALES -.
7. !iuv LafaijtUe. — Tèlévhour 10.35
Convois, transports, cercueils, lettre*, etc.*
Couronnes mortuaires. Choix à doadcll*
FJCi t
FOOTBALL RUCBV
Xe Stade LouTdais. qui viendra à Toulouse 61-
mamche prochain, est champion d'AmnagoSac Bi-
gonre de S* sénie: Il a gagné cette comipétitiion par
2S. 32 et 49 pointsi à zéro, se mettant ainsi à la
hauteur des clubs de première série.
mètres au sud du bois de Saint-Pierre, au
nord du village de Saîliisel : une forte con-
tre-attaque allemande a été réjetée, ce matin,
à l'est d'Aehiet-le-Petït.
Nous avons consolidé notre position «tans
cette région.
Ce maii n, a ia suite d'un violent (jomBarda-
ment, l'ennemi est parvenu à pénétrer clans
nos tranchées au su:l-est tl'Arras ; quelques-
uns de nos hommes ont disparu.
Un autre raid allemand a été repoussé, au
cours de la nuit, au nord-est de Neuville-
Saint-Waast.
COMMUNIQUE BELGE
Le Havre, 15 mars.
Faible canonnade sur le front -belge.
Acte de probité
M. Paul OavaUlé, demeurant rue des Coffres. 11,
a trouvé un portemonriaie contenant une somme
assez importante qu'il s'est empressé de remettre
à son légitime propriétaire, M. Pierre Qibert rue
Saipt-Eremiiert, 4.
Conseil Municipal
Le conseil municipal se réunira en session
extraordinaire demain samedi 17 mars, à
neuf heures du soir.
Ordre du jour : Protection de la rive droite
de la Garonne, entre le Calvaire et le Pont
d'Empalot ; Transformation des becs à air
libre dans les établissements communaux ;
Location du presbytère de l'église Saint-Exu-
pere ; Construction d'un hôpital suburbain •
Affaire Ducès et hospices civils ; Fourniture
gratuite d'eau : immeuble Doazan ; Frais
a installation et de location d'écoles de for-
tune : traité avec l'administration militaire
«v^w?" 6611 S O0CU Pera, en outre, de diverses
questions concernant des liquidations 1»
pensions et des demandes de secours
Trouvailles
La Carnet de Sucra
La préfecture se préoccupe actuellement du
ravitaillement en sucre des épiciers de Ha
ville.
Ces derniers vont recevoir incessamment jo
contingent qui leur est nécessaire pour satis-
faire aux demandes de leur clientèle, d'a-
Pres Ses indications des déclarations.
Un bon de livraison sera sous peu adressé
a chaque épicier qui lui permettra de retirer
aux Magasins Généraux la quantité de sucre
représentant les rations de ses clients pour
un mois environ.
r_« en «««t, à cette date, que
ï'ivenicr * e K1 Toulouse,- qui travaille très ac
Cf, a cette tâche, sera à môme de dé
lad la Population ia ce
a ,Çonsoinrnation familiale.
Réclamer : Au bureau des épaves, un calepin
contenant un livret militaire et divers papiers ; à
M. Louis OuStard, boulevard Carnot. 31, un enape-
let ; au poste des pompiers du CaipiMe, une v-chnr-
pe en soie ; à M. Bélus. employé au Mont-dc-Plé-
té. une échelle ; à Mme Mouchez, rue Peyroltè-
nes, 54, un parapluie ; au bureau des épaves, un
trousseau de cléu ; au bureau ue police du s*
arrondissement, un porteroonnaie contenant une
T>etlte somme ; à l'agent de la Sûreté vital, atta-
ché au consnLfsaTiat du è* anondisseiiicnt, rue
Saint-Michel, im portemorenaio contenant une pe-
tite somme ; à M. Jean Martv roulieir, rue Notre-
Dame, 3S, une couvertuxe de cheval.
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à neuf, se trouve situé à 40 mètres de la gare,
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taurant. de oafé, de correspondance, de
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dérés. Mm a Bourdcncle, propriétaire.
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di 17 maxa 19W, à 8 h. 30 du soir. Ordre du jour :
La maiin^d'œuvra agricole -par M. Aflifred Gdsaird.
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Spectacles e! Ccnoepts de Toiteiss
THBATRE DES VARIÉTÉS. — Demain, première
de La princesse Ttebtzonde.
THEATRE DES NOUVEAUTÉS. — A 8 heures,
représcintation. de music-hall.
AMÉRICAN-COSMiOORAPH. — A3 îieures et à
8 h. 45, spectacle ctnématoga - ap,hlque.
APOLLO-THÈ.ATRE. — Ce soir, représentation
ciném atograpiiKnie.
lusse
L'ACTION GÉNÉRALE RUSSE
Pétrograd, 15 mars.
(Communiqué du grand état-major du géné-
ralissime) a . ..
Pendant la nuit du 28 février, au sud-ouest
de Brzezany, dans la région de Stawcntiany-
Swistelnihi, t'ennensi attaqua nos positions
et réussit à s'emparer d'une partis de nos
tranchées ; mais notre contre-attaque ie délo-
gea et il iut rejeté avec de grosses pertes ;
les pilotes ennemis ont jeté plus de 60 bom-
bes dans la gare de Radziwillow.
Sur le front roumain, fusillade et recon-
naissance d'éclaireurs.
Au Caucase, dans la direction de Sakkize,
nos troupes avancent vers Bane en poursui-
vant les Turcs.
Dans la direction de Rhamadane, après une
lutte de deux jours, nos troupes s'emparèrent
de Kermanchah ; la poursuite dés Turcs con-
tinue.
Sont en vente au
SI
17, Rué d'Alsace-Lorraine, TOULOUSE
Front Italien
LES OPERATIONS ITALIENNES
Rome, 15 mars.
(Communiqué du commandement suprême) :
A la source du Cismon (-renia), dans ia
nuit du 13 au 14, une tentative d'irruption en.
nemie contre nos lignes sur ia seconde cime
du col Bricon, a été promptement repoussée.
Pendant la journée du 14, tout le long du
front, activité de l'artillerie et de petits grou-
pes d'infanterie ; plus intense sur la Carso,
où une de nos patrouilles a poussé jusqu'aux
lignes ennemies et en a rapporté du maté-
riel. — Signé : CADCRNA.
Front de Macédoine
ARMÉE D'ORIENT
Salonique, 15 mars.
Grande activité de patrouilles et d'artille-
rie sur le front de Monastir ; Ses Italiens ont
attaqué et progressé aux abords de la cote
1.050.
Entre les lacs Prespa et Malik, les Autri-
chiens ont attaqué j ils ont été repoussés aveo
pertes j des prisonniers sont restés entre nos
mains.
L'EXPÉDITION DES DARDANELLES
Londres, 1G mars.
M. Asquitli fera probablement, mardi pro-
hnmi'à fin murant un nrK- AvcentionnoU l ?, $$ ans, culti-
vateur, à Fiha.
EAUZE. — Les femmes irascibles. — Après
s'être copieusement disputées, deux femmes,
les nommées B... et B..., en vinrent aux coups;
l'une d'elles a reçu quelques blessures, légè-
res il est vrai, niais qui ont été faites avec
une fourche dont son antagoniste a dû sans
doute' se servir, ainsi qu'il résulte du rapport
de la gendarmerie.
Ceci se passait au quartier dit le Bacqué, file
10 mare, vers six heures du soir,.
Madamo POPIS et son fils ; Madame et
.Monsieur Albert GU1RAWD .^Pétiteur au Ly-
cée, et .leurs eniSants ; e Ocueral et
les lamilles JiURGA'LAT, MA&bON.
biéfle mmêaTvt mars 1917. à 10 heures du
matin en ia chapoMe de la Compassion (rue
des Lois), pour le repos de l'âme de
Madame Caroline MASSON
Née POLICARPE
On se réunira à la chapelle.
areliés
MARCHÉ DES MéTAUJÎ
Ixindrcs, 15 mars.
Cuivre. — Comptant, 130 ; terme, L85 JO.
Plomb. — Comptant, 30 10 ; terme, 89 10.
Etain. — Comptant. 200 15 ; terme, SMO 5
iv]C! S
Nai botnw, 15 mars.
Cours des vins de la récjltc. ID.'u : E'„«vU)-
j lilre, cite C2 à 07 francs. —
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Voire Service des Reclerc
DES SOLDATS DISPARUS
ET DES PRISONNIERS DE GUERRE
Les Disparus
Nous publions ci-dessous les noms des soldats
disparus qui ont été signalés par les familles
à l'Œuvre Toulousaine de Recherches
des Disparus.
Ceux de leurs camarades et toutes les personnes
les a?/ant vus ou possédant des rensefgnements
les concernant sont très instamment
priés d'en informer
M. le Directeur du Service des Disparus
Bureaux de l'Express du Midi
25, rue Roquelaine, Toulouse.
Us rendront ainsi service aux familles et
mériteront toute leur reconnaissance.
Le Service des D'sparus est gratuit.
Nous demandons seulement un droit minimum
de 0 fr. 75 pour nous couvrir des frais
nécessités par nos recherches.
Dans les communications intéressant le
Service des Disparus, on est prié de ne rien
mettre concernant la rédaction ou l'administration
du journal.
SIX CENT QUARANTE-DEUXIÈME LISTE
ARRROUSSE (François), 53" inf., 8' comip.,
blessé et disparu le 30 novembre 1914, au
ibois Quarante, près Ypres.
CAILLAU (LucLeri-lsidore-Henri-François), 288'
inif., 18' comp., disparu à Vaux-Chapitre, le
7 septembre 1910.
CLAMENS (Julien). 7' Inf., 5* comp.. disparu
le 22 août 1914, à Bertrix.
DUBERNAT (Gaston-Rémi-Etienne), sergent,
BOURSE DE PARIS
Du 16 mars.
3 %, 61.50 ; amortissable, 3 %, 70.45 ; 5 %,
S8.10 ; non libéré, 88.25. — Ouest-Etat, 393. —
Miairoc, 1913, 435. — Tunisienne, 321. — Ton—iln,
66. — Afrique Occidenta.i«, 341. — Inido-Ohiine :
1909, 343 ; 1913, 379. — Algérie, 3 %, 356. — Ville
de Paris : 1865, 535 ; 1871, 356 ; quart, 97 ; 1875,
48D ; 1876, 488 ; 1892, 243 ; quart, 68.50 ; 1894,
£45 ; quart, 68 ; 1898, 290.50 ; quart, 80 ; 1899,
284 ; quart, 75 ; 1904, 75 ; 1904, 306 ; cinquième,
66.50 ; 1905, 326 ; quart, 78 ; 2 3/4, 1910, 275 ;
demie, 139,75 ; 3 %, 1910, 265 ; quart, 65.75 ;
19112, 218. — Banque d'Algérie, 3.012. — Compaginrie
Algérienne, 1.215. — Comptoir d'Escompte,
7». — Foncières : 1879, 447 ; 1883, 308 ; 1885,
(308 ; cinquième, 65.50 ; 1895, 332 ; 1903, 350 ;
1809, 185.50 ; 1913, 370 ; 4 %, 406. — Bons : 1887,
58 ; 1888, 65. — Communales : 1879, 418 ; cinauiième,
90 ; 1880, 417 ; 1891, 290 ; 1892, 315 ;
,1899. 313 '; 1906, 342 ; 1912, 184. — Crédit Lyonnais,
1.194. — Est Algérien, .540 ; obligations,
322. — Est, 770 ; obligations, 335.50 ; nouvelles,
324 ; 2 A2, 305. — Lyon, 1.004 ; obligations, 363.
— Méditerranée, 5 %, 582 ; fusion, 328 ; nouvelles,
323.50. — Midi, 905 ; obligations, 328.50 ;
nouvéllies. 332. — Nord, obligations, 326 ; nouvelles,
326. — Oriléans, 1.128 ; obligations,
353.50 ; nouvelles, 337.50 ; 2 1/2, 313. — Ouest,
7108 ; obligations, 359 ; nouvelles, 346. — Sud-
Francê, obligations, 298. — Compagnie Tram
satlantique, 248 ; 3 %, 300 ; 4 %, 424. — Messageries
Maritimes. 130 ; 5 %, 409. — Métro, 405 ;
3 1/2. 397. — Nord-Sud, 4 %, 345. — Omnibus,
400 ; 3 %, 360. — Industrie, 131. — Tramways
Français, 430. — Seine, 142. — Voitures, 238. —
Aguilas, 67. — Boieo, 990.
Cuivres Pyrites, 231 50. — Malfidano, 210. —
Métaux, 975. — Pennaroya, 1.800. — Sels Gem-
7' inf., 2* oomp. de mitrarBeurs', disparu
11-18 juillet 11916. à Fleury.
DUMAS (Jean-Marie), grenadier, 100" inf., 2* o.,
disparu le 15 juillet 1916, lort de SouviUe.
ESTIVAL (Joseph). 142' iinf., 1" sect. de mita 1 .,
disparu le 27 avril 1915. k Beauséjour.
FARINE (Laurent-Frainçois-Jean), caporal.
ool., 5' comp., disparu le 27 novembre 1916,
Oraobojo (Serbie).
GARDELLE (Michel), 81' inf., 11* comp., disparu
le 23 septembre 1914, Beaumont-Seicheprey.
LASSUS-DOMENGE (Léon-Hi,ppalyte). 7* col.,
5' comp., disparu le 82 août 1914, à Saint-
Vin cent-Rossignol.
LE FEBVRE (Albert-Henri), 153* inf., 2* comp,
disparu le 25 septembre 1914, à la Clhavatte
(Somme).
LEMOINE (Georges), médecin aide-major de
2" classe. 2' régiment de manche d\ -Tique,
3* bat., disparu 10-14 janvier 1917.
LOURATTERE (Marceau-Jean-Marie), 46" bat.
chass. à pied, disparu le 3 septembre 1916,
au combat du Forest.
MiASSIË (Léon^François), 69' ctbass, à pied,
10* comp., disparu le 8 octobre 1915, en Champagne.
PÉDAMON (Guillaume^Siriioe-Abea), 7" inf.,
11' oomp., disparu le 11 juillet 19(16, en avant
du fort de Souvelle (Meuse).
PEZROU (Romain), capitaine, 208' inf., 17" o,
disparu le 15 février 1917.
SANGLA (Jean-Baptiste), 7' col., 2" comp.. disparu
15-16 mai 1915, ViiH'e-sur-Touirbe.
SARRAUT (Jean), 143* inf., 6' comp., disparu
fle 1" novembre 1914, Ypres.
SUDRE (Jean-Marie), 54" inf., S' comp., disparu
le 25 septembre 1916.
T.ROPIS (Bertrand-Germain). 214" inf., 18' o,
disparu en février 1017.
mes, 304. — Panama, 108 60. — Suez, 4.300. —
Pathé. 145 25. — Gaifsa, 805; parts, 639. — Say,
465. — Popp, 546; distribution, 5 %, 475. —
Electricité de Paris, obligations, 441. — Téléphones,
407. — Argentin : 1896, 80; 1900, 82 50;
1907, 488 50; 1909, 488; 1911, 85 85. — Bulgare :
1902, 325; 1904, 325. Chine : 1895, 87 95; 1902, 445;
1903, 420; 1908, 410 50; 1911, 425; 1913, 430. —
Congo, 65. — Egypte unifiée, 89 50. — Extérieure
Espagne, 102 50. — Japon ,: 1905, 85 50;
1907, 98 50; 1913, 532. — Maroc, 1910, 475. — Portugal,
59; obligations Tabacs, 480. — Russes :
1880, 71 25; 1891, 59; 1906, 82; 1909, 72. — Stfrbe :
1906, 355; 1909, 347; 1913, 65 50. — Suisse, 89 65.
— Turc 1914, 48 50. — Banque d'Athènes, 66 50.
— Azow-Don, 1.330. — Land-Bank, 131. —
Mexique, 326. Londres-Mexico, 150. — Ottomane,
432 50. — Russo-Asiatique, 760. — Banque
Privée de Pétrogiad, 425. — Union-Moscou,
660. — Foncier Egyptien, 636 50. — Franco-Go
nadian, 711. — Andalous, 439; ob&igations l 18
catégorie, 351. — Central Pacific, 425. — Ghicago-Wylwaukee,
494. — Nitrate Railways,
313 — Nord de l'Espagnei, 422; 1 catégorie,
418. — Pampelune, 390. — Barcelone, 410. —
Portugais 3 % 2° catégorie, 129 50. — Salonique,
170. — Saragosse, 424; T" catégorie, 350.
— Briansk, ordinaire, 439; préférence, 415. —
Rio-Tinto, 1.749. — Azote, 510. — Provodnik,
438. — Tabacs ottomans, 328. — Philippines,
750. — Portugal, 620.
Banque Indo-Chine, 1.375. - Cibles Télégraphiques,
3 1/2, 324 50. - Energie Méditerranéenne,
4 %, 375. - 5 %, 459, - Générale
Electricité, 950. - Gaz Parisien, 186. — Courrières
2 440 — Lens, 981. — Grand-Combe,
2 320 '— Mines de la Loire, 356. — Mokta,
g'O90' _ Nickel, 1.350. — Aciéries Françaises,
805 "— Chantiers de la Loire, 1.780. — Saint-
Nazaire, 1.521. — Méditerranée, 960. — Lna-
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