par intégration globale (suite) - BNP Paribas
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des coûts considérés comme significatifs directement<br />
imputables à l’acquisition, nets de l’économie d’impôts<br />
correspondante.<br />
• Écart d’acquisition<br />
Les écarts d’acquisition correspondant à la différence entre<br />
le coût d’acquisition des titres et l’évaluation des actifs,<br />
passifs et éléments de hors-bilan de l’entreprise acquise<br />
sont amortis linéairement sur une période qui ne peut<br />
excéder vingt ans, spécifiquement définie en fonction des<br />
conditions <strong>par</strong>ticulières à chaque acquisition. Les écarts<br />
d’acquisition relatifs aux sociétés consolidées <strong>par</strong> <strong>intégration</strong><br />
<strong>globale</strong> et proportionnelle sont présentés sous la<br />
rubrique “Écarts d’acquisition”. La <strong>par</strong>t de l’écart d’acquisition<br />
affectée à des éléments de bilan des entreprises mises<br />
en équivalence est comptabilisée sous la rubrique<br />
“Participations et <strong>par</strong>ts dans les entreprises liées mises en<br />
équivalence”.<br />
• Écart d’évaluation<br />
Les écarts d’évaluation correspondant aux différences<br />
entre la valeur d’entrée réestimée dans le bilan consolidé<br />
des actifs, passifs et éléments de hors-bilan de l’entreprise<br />
acquise et la valeur comptable de ces éléments sont<br />
comptabilisés selon les règles communes applicables aux<br />
éléments correspondants.<br />
➔ Variation du pourcentage d’intérêt dans une<br />
société consolidée<br />
L’augmentation du pourcentage d’intérêt détenu dans une<br />
entreprise comprise dans le périmètre de consolidation<br />
donne lieu à la comptabilisation d’un écart d’acquisition<br />
complémentaire amorti selon les règles précisées ci-dessus.<br />
La baisse du pourcentage d’intérêt dans une entreprise restant<br />
consolidée, notamment à la <strong>suite</strong> d’une opération sur le<br />
capital dilutive pour la société du groupe détenant la <strong>par</strong>ticipation<br />
dans ladite entreprise, donne lieu à un amortissement<br />
complémentaire de l’écart d’acquisition.<br />
➔ Opérations réciproques<br />
Les comptes réciproques, ainsi que les produits et charges<br />
résultant d’opérations internes au groupe et ayant une<br />
influence significative sur les états financiers consolidés,<br />
141<br />
<strong>BNP</strong> <strong>Paribas</strong> - Rapport annuel 2000<br />
sont éliminés lorsqu’ils concernent des filiales faisant l’objet<br />
d’une <strong>intégration</strong> <strong>globale</strong> ou proportionnelle.<br />
➔ Opérations de crédit-bail<br />
Lorsque l’établissement est en position de bailleur, les opérations<br />
de crédit-bail et de location avec option d’achat sont<br />
portées sous la rubrique “Opérations de crédit-bail et assimilées”<br />
du bilan consolidé pour leur encours déterminé<br />
d’après la comptabilité dite financière ; ces encours sont substitués<br />
à ceux déterminés d’après les règles juridiques et<br />
fiscales dans les comptes sociaux des sociétés du groupe.<br />
Les loyers sont ventilés entre la <strong>par</strong>t de remboursement du<br />
capital investi et les produits financiers rémunérant l’investissement.Les<br />
impôts différés sont déterminés sur l’intégralité<br />
de la réserve latente de crédit-bail, cette réserve correspondant<br />
à l’écart entre l’amortissement comptable et l’amortissement<br />
financier des contrats. Elle est inscrite <strong>par</strong>mi les réserves consolidées<br />
pour le montant net des impôts différés constitués.<br />
➔ Conversion des comptes en devises étrangères<br />
Tous les éléments d’actif et de passif, monétaires ou non<br />
monétaires, des sociétés et succursales étrangères exprimés<br />
en devises sont convertis au cours de change en vigueur à<br />
la date de clôture de l’exercice. S’agissant des filiales étrangères,<br />
l’écart résultant de la différence entre l’évaluation<br />
des éléments de résultat de la période au cours moyen de<br />
la période et celle résultant de l’application du cours de<br />
clôture est porté en “Écart de conversion” dans les capitaux<br />
propres consolidés pour la <strong>par</strong>t revenant à l’entreprise<br />
consolidante. Il en est de même des écarts résultant de la<br />
conversion des dotations en capital des succursales étrangères<br />
; les écarts de même nature portant sur les résultats<br />
des succursales étrangères considérées comme des positions<br />
opérationnelles rapatriables sont maintenus dans le<br />
résultat consolidé du groupe.<br />
➔ Actions émises <strong>par</strong> <strong>BNP</strong> <strong>Paribas</strong> détenues <strong>par</strong> le groupe<br />
Les actions émises <strong>par</strong> <strong>BNP</strong> <strong>Paribas</strong> détenues <strong>par</strong> le groupe<br />
sont classées et évaluées selon les modalités suivantes :<br />
• Les actions détenues, acquises avec pour objectif de régulariser<br />
les cours et celles acquises dans le cadre d’opérations<br />
d’arbitrage sur indices sont inscrites dans la catégorie<br />
des titres de transaction et évaluées au prix de marché.