Le Gravillon - Commission scolaire des Rives-du-Saguenay

Mot de la
Présidente
d’honneur
Page 3
Vous
reconnaissezvous
?
Page 6
Le Gravillon
"Edition Spéciale"
21 mai 2006
legravillon@hotmail.com
Rencontre des
parrains et
marraines
Page 5
Fondation
Charles-Gravel

2
ondation
Charle
Il me fait plaisir, au nom du conseil d’administration de la
Fondation Charles-Gravel, de vous souhaiter la bienvenue aux
« Grandes retrouvailles ».
J’espère que cette journée sera remplie d’heureuses
rencontres et garnie des plus beaux souvenirs vécus dans les
murs de l’école Charles-Gravel.
La Fondation est très jeune, mais a vu grand en organisant ce rassemblement destiné à
rejoindre le plus grand nombre possible de finissants et finissantes et des membres du
personnel, depuis les débuts de l’école. Nous croyons que le jeu en valait la chandelle!
Cette journée a été rendue possible grâce à l’implication des membres du conseil
d’administration et des bénévoles du comité organisateur, mais également à celle des
parrains et marraines de chaque promotion qui ont généreusement donné du temps
pour retracer et inviter leurs consoeurs et confrères de classe.
Je tiens à les remercier chaleureusement.
Belles retrouvailles à tous et à toutes
À mon arrivée à Charles-Gravel en juin 2002,
monsieur Bernard Lavoie, directeur de l’unité
deuxième secondaire, me propose de former un
comité pour procéder à la mise sur pied d’une
fondation. Un projet d’une très grande
envergure d’autant que nos gouvernements
sont de plus en plus restrictifs.
Malgré toutes les contraintes administratives,
monsieur Lavoie n’a jamais abandonné. Étant une
personne déterminée et convaincante, il
mobilise et motive toute une équipe qui
« LES GRANDES
M. Réjean Tremblay
Directeur
Bernard Lavoie, Président
Conseil administration
Fondation Charles-Gravel
L’école
secondaire
Charles-Gravel
possède, depuis
septembre 2005,
sa Fondation grâce
à la persévérance
de personnes
passionnées qui ont à cœur le bien-être et la
réussite de nos jeunes.
Il me fait donc plaisir de vous accueillir

concrétise enfin ce grand projet pour notre
école.
Après avoir investi beaucoup de temps et de
travail, nous pouvons dire « mission accomplie ».
aujourd’hui à Charles-Gravel et de partager
avec vous tous les « Grandes retrouvailles ».
Bravo et merci à toute l’équipe et longue vie
à la Fondation Charles-Gravel.
Mot de la présidente d’honneur
Lorsque que les membres du conseil
d’administration m’ont interpellée pour
agir comme présidente d’honneur de la
première édition du brunch au profit de
la Fondation Charles-Gravel, j’ai accepté
avec un réel plaisir car l’école Charles-
Gravel a été pour moi plus qu’une école
ordinaire.
L’école Charles-Gravel représente tout
d’abord pour moi l’école où j’ai complété
mes cinq années d’études secondaires, un
endroit où j’ai fait des connaissances et
tissé des liens d’amitié qui sont encore
existants aujourd’hui. C’est l’école où j’ai
eu la chance de connaître des enseignants
passionnés qui m’ont transmis leur passion
pour l’enseignement et pour le bien-être
des jeunes et qui m’ont donné le goût de
me dépasser. C’est l’école qui m’a permis
de développer mes talents et mon goût
pour la musique grâce aux activités
parascolaires tel le groupe d’harmonie.
C’est l’école où je me sentais bien et en
sécurité.
C’est devenu ensuite l’école où j’ai vécu
mes premières expériences en
enseignement des mathématiques comme
stagiaire et comme suppléante et
enseignante à la leçon. J’y ai
retrouvé alors de mes anciens enseignants
qui m’ont conseillée et supportée dans ma
nouvelle carrière. J’ai pu reconnaître
encore une fois toute l’importance de la
passion pour cette profession et des liens
de confiance et de respect à créer avec les
élèves.
Quelques années plus tard, l’école
Charles-Gravel a été l’école où mes deux
enfants ont complété à leur tour toutes
leurs études secondaires. C’est l’école qui a
contribué à faire d’eux les adultes qu’ils
sont devenus. Peut-être qu’un jour mes
petits-enfants la fréquenteront également,
je le souhaite.
C’est pour toutes ces raisons qu’il m’est
très agréable de supporter l’initiative des
membres du conseil d’administration de la
Fondation Charles-Gravel et de toutes les
personnes qui les aident à poursuivre leur
mission de contribuer aux activités
étudiantes, de soutenir les élèves en
difficultés financières et d’offrir des
bourses d’études. Je les remercie pour leur
implication et leur croyance à la cause de
nos jeunes et je leur souhaite le meilleur
des succès.
Enseigner est un acte d’amour!
3

4
Christine Tremblay
Diplômée juin 1975
Directrice générale adjointe
Commission scolaire des Rives-du-Saguenay
FONDATION CHARLES-GRAVEL
HISTORIQUE
ACTIVITÉS/ÉVÉNEMENTS DATE
Présentation du projet au conseil de gestion de l’école.
Formation du premier conseil d’administration.
Première rencontre du conseil d’administration.
Lettre d’acceptation de la famille pour utiliser le nom de
Charles Gravel.
Préparation du dossier pour les instances gouvernementales.
Juin 2003
Septembre 2003
24 octobre 2003
Automne 2003
Réservation de la dénomination sociale. 16 janvier 2004
Requête pour constitution en personne morale. 23 janvier 2004
Obtention des lettres patentes. 16 mars 2004
Demande pour l’obtention du statut d’organisme de
bienfaisance.
Attribution d’un numéro d’entreprise par le gouvernement
provincial.
Obtention du statut d’organisme de bienfaisance du gouvernement
fédéral.
3 décembre 2004
27 décembre 2004
8 avril 2005
Lancement de la Fondation, 23 août 2005
Obtention du statut d’organisme de bienfaisance du
gouvernement provincial.
22 septembre 2005

Premier tournoi de golf de la Fondation. 24 septembre 2005
Rencontre des parrains et marraines de chaque promotion. 30 mars 2006
Grandes retrouvailles. 21 mai 2006
Rencontre des parrains et marraines
Le 30 mars dernier, l’équipe
responsable de l’élaboration et de la
promotion de la Fondation Charles-Gravel
tenait une activité « 5 à 7 » dans le but de
réunir quelques anciens de l’école. Animée
par M. Bernard Lavoie, cette rencontre
amicale a permis de diffuser les premières
consignes auprès des personnes présentes.
Après avoir livré l’essentiel des informations,
M. Lavoie a profité de la présence d’anciens
élèves de notre école pour leur déléguer
quelques responsabilités dans le but de
rejoindre le plus de monde possible.
À la lumière de l’accueil réservé au
discours de M. Lavoie, il était déjà permis
d’espérer un grand
succès pour l’activité sommet du 21 mai et
surtout d’entrevoir un avenir très prometteur
pour la Fondation Charles-Gravel. Je m’en
voudrais de ne pas mentionner que notre
animateur était très bien entouré. En effet, il
peut compter sur un comité très actif formé de
M. Roger Lavoie, M. Claude Régis, Mme
Claire Bergeron et M. Rodrigue Gravel, tous
des anciens de l’école. De plus, Mme
Charlaine Larouche, M. Cyprien Simard et M.
Gérald Collard, toujours actifs au sein de
notre institution, complètent le comité. Avec
une telle équipe, il est clair que la Fondation
Charles-Gravel est promise à un bel avenir.
G.V.
5

L’histoire d’une institution comme la nôtre est parsemée d’événements marquants.
Dans les domaines académique, sportif, artistique et social l’école Charles-Gravel a
10
toujours su s’affirmer. C’est pourquoi nous avons retenu quelques articles déjà
publiés dans les éditions précédentes du journal «Le Gravillon» et profité de cette
Par : Alexandre
Simard et Philippe
Lefebvre
« édition spéciale» pour les diffuser à nouveau.
Gervais Villeneuve
C’est plus qu’un gros morceau de métal !
On passe souvent près d’elle, mais on ne la
remarque pas vraiment. Si on la regarde, on ne
sait pas trop pourquoi elle est là. Il y a même
certaines personnes qui lui manquent de respect.
Toutefois, nous croyons qu’elle mérite notre
respect à tous, car elle est le symbole qui
représente les élèves de l’école secondaire
Charles-Gravel. Cependant, savez-vous au moins
de qui, ou plutôt de quoi nous parlons ?
Cette bonne vieille sculpture tient sur la façade
de notre école depuis une bonne quinzaine
d’années. Elle a dû en voir beaucoup depuis
qu’elle est là. Retournons trois décennies en
arrière. À l’époque, Charles-Gravel avait le
surnom de « monstre » principalement par sa
taille, son nombre d’élèves qui s’élevait à près de
trois mille et le peu d’expérience de son
personnel. Rendu à sa 20 ième année, les choses
avaient bien changé. Les jeunes avaient un
certain sentiment d’appartenance à cette école et
ils en étaient fiers. Pour l’occasion, un enseignant
de dessin en bâtiment, M. Stanislas D’Hease, a
proposé de concevoir un monument qui
représenterait les élèves de l’établissement.
Après des journées de travail acharné, la
sculpture d’acier inoxydable et de fer est fin
prête et est présentée pour la
célébration du vingtième anniversaire
de notre polyvalente. En fait, la
sculpture nous représente dans chaque
étape de notre vie dans l’enceinte de
notre école. Chacun des cinq grands
personnages de la sculpture représente
chaque niveau du secondaire que
chaque élève peut atteindre. On peut
présenter à M. D’Hease nos
félicitations pour nous avoir donné une
image aussi représentative.

Par :Véronique Dubé et
Jessica Simard
Nous avons tous déjà circulé de nombreuses fois dans les
grands couloirs de l’école. La routine! Tous déjà sont passés
devant notre grand auditorium ou y ont vu des spectacles…
Seulement, qui d’entre nous ne s’est pas déjà questionné sur
l’origine du nom qu’il porte ? C’est notre cas et nous avons décidé
de mener notre petite enquête pour vous éclairer un peu plus sur
le sujet.
Le nom « Daniel-Vaillancourt » provient d’un des hommes
qui ont le plus contribué à l’amélioration de notre école. Cet
homme, avec son charisme et sa passion pour l’éducation, a
laissé derrière lui une trace incontournable et des souvenirs
émouvants. Mais avant d’en venir à sa carrière, voyons d’abord
à quoi ressemblait sa jeunesse. Pour ce faire, nous avons rejoint
Mme Plourde, une dame sympathique qui a enseigné à
M.Vaillancourt à la quatrième année du primaire, quand il avait
dix ans, et qui a bien voulu nous parler de lui à cette époque.
«Daniel, dit-elle, était un élève intéressant, brillant, discipliné et
quelque peu moqueur.» Selon elle, il était à un point «bol de
mathématique». Quand elle organisait des programmes de cette
matière, il terminait toujours à l’avance sur les autres et il arrivait
même parfois à Mme Plourde de faire composer par son jeune
élève d’autres problèmes pour le reste du groupe. Le petit
Daniel avait pour ami un «bollé en français». Ils étaient des amis
très proches et, de façon amicale, entraient continuellement en
compétition pour savoir lequel des deux était le meilleur dans sa
matière forte. Inutile de vous dire que Mme Plourde était
attachée au jeune Daniel car, malgré les années, elle a pu tout
nous raconter d’une façon remarquable.
À l’adolescence, Daniel atteint une force exceptionnelle. Dans
une compétition de poids lourds à Vancouver, il est parvenu à
lever une masse de 616lbs, «pour faire plaisir à ses parents».
Pourtant, la vie le mena ensuite sur un autre de ses chemins. Le
3 Juillet 1976, il épousa Mme Huguette Leblanc. De cette union
naîtront deux garçons : Luc et Joël. Dans les années 70, M.
Vaillancourt se tourna vers l’éducation. Avec une formation
technique et un diplôme en dessin industriel, il parvint à se
frayer un chemin jusqu’à notre école, où il occupa quelques
postes tels qu’enseignant en sciences, directeur adjoint et,
finalement, directeur d’école. Toutes les personnes que nous
avons interviewées ont toutes soutenu le même propos : «Daniel
Vaillancourt ne comptait pas son temps quand il était question
de s’impliquer dans l’école ». Selon son épouse, il partait très tôt
le matin pour aller travailler et revenait rarement à la maison
avant 18h. Il lui arrivait même parfois de rentrer au bureau la fin
de semaine pour compléter la paperasse en raison de son
horaire trop chargé de la semaine. Même lorsqu’il était malade, il
refusait de rester à la maison pour se reposer et allait quand
même à son travail.
Un Homme d’exception
Depuis le début de l’article, nous répétons sans cesse
qu’il était fortement impliqué dans l’école. En voici
maintenant quelques exemples : il s’impliquait dans la vie
étudiante, il a autorisé une salle de tir au sous-sol pour les
cadets, il dînait toujours à l’école pour faire de la
supervision, il participait aux activités du carnaval, il a
restructuré, avec M. Roger Lavoie, l’école en grande
partie.
hockey mineur et on en passe !
Il s’impliquait
aussi dans le
monde sportif : il a
organisé une
marche pour
l’aréna du
Plateau, il a lancé
l’idée de la piscine
au Parc de la
Colline, il
s’impliquait pour la
balle molle et le
Selon les dires de plusieurs, il était un homme
persévérant, fonceur, jovial, aimable, souriant et fidèle. Il
n’avait qu’une seule parole. Il était fiable, franc, entêté et
intelligent. Tout le monde voulait être son ami. Certains
étaient prêts à tout pour ne pas lui déplaire. Il était très
proche des jeunes : ils représentaient sa plus grande
passion. «D’ailleurs, lorsqu’il eut ses enfants, il eut
l’impression d’avoir créé le monde», nous confia Mme
Leblanc. Il fut un si bon père que ses enfants firent leur
carrière selon les goûts manifestés pas leur paternel :
c’est-à-dire que Luc s’est retrouvé dans les sciences et
Joël dans les sports. Nous pouvons donc constater qu’à
eux seuls, ils forment l’image de ce qu’a été leur père.
Cet homme d’exception s’est éteint le 10 Juin 1990 et
il a laissé sa marque auprès de tous ceux qu’il a côtoyés. Il
n’y avait rien d’impossible pour SON école et comme il le
disait si bien : «Tout ce qui est fait mérite d’être bien fait.»
Nous tenons à remercier les personnes suivantes :
Mme Jeanne Plourde, Mme Huguette Leblanc, M, Miville
Larouche et M. Gervais Villeneuve. Merci à vous d’avoir
bien voulu prendre un peu de votre temps pour nous fournir
tous vos beaux souvenirs.
C’était notre portrait d’un « Homme d’exception ».
11

L’école Charles-Gravel en a vu de toutes les
couleurs…comme c’est l’école que nous fréquentons, son histoire
nous concerne. De ses débuts à aujourd’hui, une tonne de
changements ont été apportés. Nous avons consulté des adultes,
anciens élèves de l’école, et nous en avons entendu de toutes
sortes ! « Charles-Gravel était une école de fous, de bagarreurs,
c’était une école dangereuse… » se plaisent à dire certains, mais
tout cela est sans doute exagéré. Pourquoi entendons-nous parler
de notre école si négativement ? Monsieur Roger Lavoie, ancien
membre du personnel de l’école et ancien directeur, a été d’un
grand support pour me permettre de mieux comprendre et de vous
éclairer…
Pour commencer, avant de s’appeler « Charles-Gravel »,
l’école portait le nom de « Eugène-Lapointe ». Eugène-Lapointe
comportait principalement le bloc A, un gymnase (maintenant le
petit auditorium) et un coin pour les DEP. Cette école n’était pas
graduée de la première à la cinquième secondaire, mais de la
septième à la onzième année. Puisque la bâtisse était devenue trop
peuplée, la polyvalente Charles-Gravel a été construite et
inaugurée en mai 1970.
Malgré un nouveau nom, c’était le « free for all ». Les
gens qui nous disent cette réplique le font sûrement sans se
demander pourquoi ? En le sachant, il est évident que c’était
chaotique. Aucun élève ne pouvait aller au premier étage où se
trouvent actuellement les casiers des premières secondaires. Tous
devaient donc rester au rez-de-chaussée, à se piler sur les pieds.
Imaginez tous les élèves de l’école sur un même étage ! Aussi,
tous les casiers étaient au même endroit… Ça devait être pas mal
« compacté » ! C’est une des raisons pour lesquelles les
adolescents se bousculaient souvent. Ils avaient peu de place pour
bouger. En plus, si nous prenons exemple sur l’école actuelle,
nous avons une panoplie de bancs et de tables. Mais tel n’était pas
le cas en ’70. Les jeunes n’avaient pratiquement pas de place où
relaxer et discuter en toute intimité.
Toujours en parlant du bordel qui régnait, l’horaire des
élèves était, comparativement à maintenant, sur une grille de neuf
jours et différent pour chacun. Un horaire pouvait être parsemé de
« trous ». Dans ce cas les élèves « traînaient », attendant leur
prochain cours. D’autres « séchaient » tout simplement puisque
les enseignants ne prenaient pas systématiquement les présences.
Ils ne les prenaient pas parce que les groupes étaient instables,
c’est-à-dire qu’un élève, pour aucun cours, n’avait la même classe.
Dès lors, il y avait une réorganisation à établir, un meilleur
contrôle à avoir
12
-Notre histoire-
par la direction et un meilleur système d’encadrement à mettre en
place. C’est en 1976-1977 que la formation de groupes stables a
été érigée. Chaque élève appartenait à un groupe en particulier et
avait un professeur répondant. Autour de 1980 et 1981, la sécurité
a été amenée en engageant des surveillants. Avant ces dates, les
concierges assuraient partiellement la sécurité. En 1982-1983, de
gros changements ont eu lieu, pour les unités de formation. Les
professeurs ont eu leur bureau dans le secteur de l’unité où ils
enseignaient et, pour chaque unité, une secrétaire était présente
ainsi qu’un conseiller en orientation. La direction et
l’administration étaient décentralisées. C’est au cours de ces
années, de 81 à ’86, que les plus importants bouleversements sont
arrivés. Des vestiaires ont été déplacés sur l’étage du haut, des
bancs et des tables ont été installés. Il y avait réellement plus
d’ordre.
Les règlements de notre agenda sont semblables à ceux
d’il y a vingt ans. Par contre, fumer à l’intérieur de l’école était
permis, au rez-de-chaussée. C’est le conseil étudiant qui a décidé
d’interdire la cigarette à l’intérieur de l’école. Il s’est fait du
brouhaha, mais la cigarette s’est retrouvée dehors, comme nous le
constatons encore aujourd’hui.
Le nombre d’escarmouches était relativement le même
que maintenant. Nous ne pouvons pas cacher qu’aujourd’hui
plusieurs jeunes sont subtiles… Seulement, dans ce temps-là, ils
ont fait des contestations. Une première pour le port du jean, qui
était alors défendu, une autre pour rétablir le droit de passage à
50%, qui est maintenant 60%. Une dernière était une tentative
pour retrouver le droit du fumer à l’intérieur des murs de l’école.
Étant aujourd’hui approximativement 2000 élèves,
l’école a déjà atteint un maximum de 2800 jeunes. Nous
comprenons cette baisse de la clientèle à cause du retrait des DEP
et de la diminution démographique ; alors il y a moins de gens qui
viennent à l’école. Les classes comportaient le même nombre
d’élèves que présentement. Les adolescents avaient, eux aussi, des
cours d’option, mais le choix était plus limité. Les jeunes
pouvaient faire partie de la radio étudiante de l’école, car elle
existe depuis le début de la polyvalente.
En ayant une meilleure connaissance de l’histoire de
l’école Charles-Gravel, nous pouvons établir des liens avec le
passé et comprendre davantage le présent que nous vivons. Notre
école est bien construite et nous sommes maintenant dans un
environnement où nous pouvons profiter de l’encadrement dont
nous disposons.

Éditon réalisée par : Elisabeth
G l
Souvenirs des
retrouvailles
Promotion (année) Nom # de téléphone
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
________________________ ___________________________ __________________
13