Les visages du cauch.. - Free
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visage était gris jaunâtre et très émacié. Ses gencives étaient tellement abîmées que ses dents donnaient l’impression qu ‘ elles allaient tomber d’ un moment à l’autre. Il boitait légèrement, et il était clair que son bras gauche était atrophié ou blessé, parce qu’il était obligé de le soutenir avec son bras droit. -Je suis Wolf Bodell, dit-il avec un fort accent du Nebraska. -Je viens de la part de Presley, lui répondisje sans beaucoup d’assurance. -Presley, hein? Bon, ça va. Tu connais Presley depuis longtemps? - Depuis plus longtemps que je n’ ai envie de l’admettre, fisje avec un large sourire. Wolf Bodell hocha la tête et dit: -O.K., pas de problème. Puisque tu connais Presley. Néanmoins, c’est toujours 250 tickets pour voir le spectacle, désolé ! Je comptai un à un les billets que Dave Brokerage m’avait donnés (et pour lesquels il m’avait fait signer un reçu). Wolf Bodell me regardait sans passion. Il ne jeta même pas un coup d’oeil à l’argent.
-Tu as déjà vu ce spectacle? me demanda-t-il. Je secouai la tête. -Alors tu vas te régaler. C’est le spectacle des spectacles. Ce que tu vas voir ce soir, tu ne l’oublieras jamais, jusqu’à la fin de tes jours. -Il a beaucoup de succès, apparemment, fisje remarquer en montrant de la tête les gens qui continuaient d’ affluer. Wolf Bodell laissa échapper un petit rire saccadé. -Quels sont les deux produits qui se vendent le mieux sur cette foutue planète? je demande. Et tu réponds, le sexe. Et tu réponds, la souffrance par procuration. Voilà ce que tu réponds. La fascination de la baise ! La fascination de l’autodestruction ! La mort, et le sexe, et la terreur, et toute la joie maligne qui va de pair, mon ami ! La Schadenfreude ‘, à la nième puissance ! Wolf Bodell tourna autour de moi en boitillant et me prit par le bras. -Je vais te dire un truc, fit-il, comme il m’entraînait à l’intérieur du Golden Horses, à travers la fumée, les lumières aux couleurs criardes et les vibrations du hard 1. Malin plaisir, joie maligne, sinistre. . (N.d T.)
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Je secouai la tête.<br />
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spectacles. Ce que tu vas voir ce soir, tu ne l’oublieras<br />
jamais, jusqu’à la fin de tes jours.<br />
-Il a beaucoup de succès, apparemment, fisje remarquer<br />
en montrant de la tête les gens qui continuaient d’ affluer.<br />
Wolf Bodell laissa échapper un petit rire saccadé.<br />
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Et tu réponds, la souffrance par procuration. Voilà ce que tu<br />
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l’autodestruction ! La mort, et le sexe, et la terreur, et toute<br />
la joie maligne qui va de pair, mon ami ! La Schadenfreude<br />
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Wolf Bodell tourna autour de moi en boitillant et me prit par<br />
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-Je vais te dire un truc, fit-il, comme il m’entraînait à<br />
l’intérieur <strong>du</strong> Golden Horses, à travers la fumée, les<br />
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Malin plaisir, joie maligne, sinistre. . (N.d T.)