Les visages du cauch.. - Free
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main. -Cet endroit est d’une telle pureté. Comme si le monde naissait de nouveau. La femme ne répondit pas et continua de marcher. Finalement, il la rejoignit et la prit par le bras. -Vous ne devez rien regretter, lui dit-il. Cette vie est partie à présent, vous ne comprenez donc pas? C’est ce que votre père a essayé de vous dire. Cela ne sert à rien d’essayer de revenir en arrière. Vous enfuir comme vous l’avez fait hier soir, c’était de la folie, et regardez ce qui est arrivé à mon pauvre chien. De surcroît, n’aije pas respecté ma part du marché? Je m’attends simplement que vous respectiez la vôtre. Elle se retourna et le considéra. Son visage était empreint de ressentiment et d’amertume. -Vous ne m’avez rien donné, répliqua-t-elle. Vous ne m’avez rien donné et je ne vous dois rien ! Il lui lança un regard sévère, comme si ses paroles l’avaient profondément blessé. Puis il retrouva sa gaieté et dit: -Ceci n’est que le commencement, vous savez. Vous verrez ce que je peux vous donner, avec le temps. C’est une vie étrange, mais agréable. Vous ferez la
connaissance de toutes sortes de gens exactement comme vous. Certains riches et beaux, d’autres en guenilles et plus étranges que des bohémiens. Je vous montrerai également ce qu’est la magie. La vraie magie. Marcher à travers des collines sans se soucier du temps ni de l’espace. Je vous montrerai comment vous nourrir de sang, d’araignée et du souffle de jeunes enfants, et comment conquérir tous les hommes que vous voudrez, puis les voler, comme je vous ai volée. A ce moment, un homme apparut au détour des rochers. Il promenait son chien. Le chien courait et aboyait vers les vagues, mais lorsqu’il les vit, il vint vers eux en trottinant et s’arrêta à quelques mètres. Il pencha la tête d’un côté et poussa un gémissement aigu. -Tais-toi, le chien, viens ici tout de suite! l’appela l’homme. Qu’est-ce qui te prend? L’ homme s’ approcha. La femme leva lentement la main, mais l’homme continua de marcher et passa à quelques centimètres d’elle. Il ne la regarda même pas. La femme se retourna, comme pour l’appeler, puis elle regarda son sombre compagnon, en proie à une horreur absolue. -Il ne pouvait pas me voir, dit-elle d’une voix trem-blante. Il ne pouvait pas me voir !
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connaissance de toutes sortes de gens exactement<br />
comme vous. Certains riches et beaux, d’autres en<br />
guenilles et plus étranges que des bohémiens. Je vous<br />
montrerai également ce qu’est la magie. La vraie magie.<br />
Marcher à travers des collines sans se soucier <strong>du</strong> temps ni<br />
de l’espace. Je vous montrerai comment vous nourrir de<br />
sang, d’araignée et <strong>du</strong> souffle de jeunes enfants, et<br />
comment conquérir tous les hommes que vous voudrez,<br />
puis les voler, comme je vous ai volée.<br />
A ce moment, un homme apparut au détour des rochers.<br />
Il promenait son chien. Le chien courait et aboyait vers les<br />
vagues, mais lorsqu’il les vit, il vint vers eux en trottinant et<br />
s’arrêta à quelques mètres. Il pencha la tête d’un côté et<br />
poussa un gémissement aigu.<br />
-Tais-toi, le chien, viens ici tout de suite! l’appela<br />
l’homme. Qu’est-ce qui te prend?<br />
L’ homme s’ approcha. La femme leva lentement la main,<br />
mais l’homme continua de marcher et passa à quelques<br />
centimètres d’elle. Il ne la regarda même pas.<br />
La femme se retourna, comme pour l’appeler, puis elle<br />
regarda son sombre compagnon, en proie à une horreur<br />
absolue.<br />
-Il ne pouvait pas me voir, dit-elle d’une voix trem-blante. Il<br />
ne pouvait pas me voir !