Les visages du cauch.. - Free
Les visages du cauch.. - Free Les visages du cauch.. - Free
et Chanel N° 5. Au-dessous, elle portait un soutien-gorge noir orné de dentelle, un string de dentelle noire, et des bas à jarretière noirs, également ornés de dentelle. Elle ôta son soutien-gorge, et ses seins étaient identiques à ceux de Marianne, fermes et pleins, ronds et pâles comme du lait. Il toucha ses mamelons du bout des doigts, et elle l’embrassa à nouveau, la tête levée, impatiente de goûter la saveur de sa bouche. Il se déshabilla. Son pénis se dressa et projeta une ombre sur le papier peint. Elle l’embrassa, rit et dit: ” Regarde “, afin qu’il la voie le caresser en ombre chinoise. Elle massa lentement sa hampe, si lentement que c’en était presque frustrant. - Bon… tu m’as payée, tu peux me prendre, chuchota-telle. Elle se retourna et s’allongea sur le lit, sur le ventre, ses seins pressés sur le drap. Elle souleva son derrière et tendit les mains derrière elle pour écarter les fesses, même si elle portait toujours son string. Gerry, nu, s’agenouilla derrière elle. Il écarta son string, afin que sa vulve soit exposée. Elle était déjà humide, et légèrement entrouverte. Les rondeurs de ses petites lèvres étaient roses et évoquaient des vagues. Il prit son pénis dans son poing et l’enfonça en elle, aussi
loin qu’il le pouvait, jusqu’à ce qu’il écrase Chloé sur le lit. Elle tendit une main entre les jambes de Gerry et commença à caresser son scrotum avec ses ongles, très doucement au début, puis de plus en plus fort. Elle enfonçait ses ongles dans sa peau et la tirait violemment. Ses cuisses frissonnaient, et il avait l’impression que toute son âme était concentrée entre ses jambes. A l’instant où il éjacula, Chloé le retira d’elle délibérément, et roula sur le côté. Son sperme gicla sur sa jambe. Elle le saisit, le griffa, s’agrippa à lui, le mordit, se contorsionna d’un côté et de l’autre, jusqu’à ce qu’il ait l’impression d’être attaqué par des bêtes féroces. Après, elle s’allongea sur le lit et regarda fixement le plafond. Appuyé sur un coude, il la contemplait. Du bout de l’index, il traçait un motif sur son ventre. De temps en temps, il faisait glisser sa main vers le bas et entortillait ses poils pubiens autour de son index. -Où as-tu fait l’amour à ta Marianne pour la première fois? Raconte-moi. -Dans une pommeraie, près de Clécy. Chloé lui sourit. -Tu savais que chaque fois qu’on apportait des pommes
- Page 99 and 100: ? -Petey et Nancy sont en pleine fo
- Page 101 and 102: montre plaqué or bon marché, avec
- Page 103 and 104: ses restaurants préférés en Norm
- Page 105 and 106: Après le déjeuner, Carl se rendit
- Page 107 and 108: Il vint vers elle. Il devina, à en
- Page 109 and 110: existé. Il rit à son tour. -C’e
- Page 111 and 112: Il parcourut la pommeraie du regard
- Page 113 and 114: Il s’agenouilla entre ses jambes.
- Page 115 and 116: d’été gris argent. Il glissa la
- Page 117 and 118: coup sec. - Si c’est ce que vous
- Page 119 and 120: l’autre ligne, et cela sembla dur
- Page 121 and 122: avons commencé, nous devons le ter
- Page 123 and 124: Il tint la bicyclette tandis qu’e
- Page 125 and 126: Il se releva. Il fut obligé de se
- Page 128 and 129: -Tu prends une bière et tu te tais
- Page 130 and 131: Gerry alla jusqu’au comptoir pour
- Page 132 and 133: sévère. Les parents de Marianne.
- Page 134 and 135: Cette nuit-là, de retour dans son
- Page 136 and 137: de glace qui fondait rapidement. Il
- Page 138 and 139: -Eh bien ! En plus d’être impoli
- Page 140 and 141: Ils s’avancèrent sur la promenad
- Page 142 and 143: essemblait tellement à Marianne qu
- Page 144 and 145: -J’adorerais vivre dans une grand
- Page 146 and 147: - Est-ce que je peux vous voir ce s
- Page 148 and 149: Sous la table, Chloé ôta ses chau
- Page 152 and 153: en présence de Duchesne, le secré
- Page 154 and 155: -Épouse-moi, répéta-t-il. -Pourq
- Page 156 and 157: verre. Elle demeura silencieuse et
- Page 158 and 159: -Ça va? lui demanda-t-il. Je te tr
- Page 160 and 161: Elle saisit son pénis à la tête
- Page 162 and 163: vite qu’elle faisait des embardé
- Page 164 and 165: Il posa sa main sur son ventre arro
- Page 166 and 167: ire résonnait de façon cristallin
- Page 168 and 169: Précautionneusement, elle leva sa
- Page 170 and 171: allongé face contre terre, un gran
- Page 172 and 173: en lui disant: ” Tenez… comme
- Page 174 and 175: anguleux, et des cheveux courts qui
- Page 176 and 177: marinés jusqu’à ce qu’ils res
- Page 178 and 179: exemplaires lui avaient échappé,
- Page 180 and 181: lavabo. - Hé, tu n’es pas malade
- Page 182 and 183: sa tête en amande. Surmontés de l
- Page 184 and 185: aître. -J’ai entendu parler de c
- Page 186 and 187: -Laquelle? Vous promettre que je ne
- Page 188 and 189: -Est-ce que vous utilisez des ersat
- Page 190 and 191: -Je ne sais pas, fit Tina. Ma grand
- Page 192 and 193: nuits, sans rien manger parce qu’
- Page 194 and 195: s’avancèrent dans un long couloi
- Page 196 and 197: Il désirait préparer un repas qui
- Page 198 and 199: C’était probablement le seul exe
et Chanel N° 5. Au-dessous, elle portait un soutien-gorge<br />
noir orné de dentelle, un string de dentelle noire, et des bas<br />
à jarretière noirs, également ornés de dentelle. Elle ôta son<br />
soutien-gorge, et ses seins étaient identiques à ceux de<br />
Marianne, fermes et pleins, ronds et pâles comme <strong>du</strong> lait. Il<br />
toucha ses mamelons <strong>du</strong> bout des doigts, et elle<br />
l’embrassa à nouveau, la tête levée, impatiente de goûter<br />
la saveur de sa bouche.<br />
Il se déshabilla. Son pénis se dressa et projeta une<br />
ombre sur le papier peint. Elle l’embrassa, rit et dit: ”<br />
Regarde “, afin qu’il la voie le caresser en ombre chinoise.<br />
Elle massa lentement sa hampe, si lentement que c’en<br />
était presque frustrant.<br />
- Bon… tu m’as payée, tu peux me prendre, chuchota-telle.<br />
Elle se retourna et s’allongea sur le lit, sur le ventre, ses<br />
seins pressés sur le drap. Elle souleva son derrière et<br />
tendit les mains derrière elle pour écarter les fesses,<br />
même si elle portait toujours son string.<br />
Gerry, nu, s’agenouilla derrière elle. Il écarta son string,<br />
afin que sa vulve soit exposée. Elle était déjà humide, et<br />
légèrement entrouverte. <strong>Les</strong> rondeurs de ses petites lèvres<br />
étaient roses et évoquaient des vagues.<br />
Il prit son pénis dans son poing et l’enfonça en elle, aussi