Page 70 Le Gala 2008 - Franco-American School of New York

In Memoriam :
Louisa Eaton
La société actuelle nous impose constamment de
pousser plus loin notre réflexion et d’enrichir nos
connaissances. Louisa Eaton, dans son grand
dévouement, avait pour cela choisi d’enseigner. A
ses yeux, l’enseignement n’était pas une fin en soi
mais le début d’une inspiration. Le début d’une
multitude de projets pédagogiques et, plus
important encore, d’aventures. Mme Eaton a
pris sa retraite en 2005 après plus de vingt années
passées à enseigner l’anglais aux classes de Maternelle et
Primaire. Elle est décédée le 14 mai 2008 à l’âge de 71 ans, à
la suite d’une forme rare de sarcome qui avait été diagnostiquée en
février dernier.
Diplômée de la Solebury School et du Wellesley College, elle
laisse derrière elle quatre enfants (Fredrick,
Thomas,
Griffin, et
Elizabeth),
son frère
(Thomas
Griffin), son
neveu (John
Griffin) et cinq
petits-enfants.
Sans oublier ses
anciens élèves de
la FASNY, ses
collègues et ses
amis…
« Louisa Eaton est arrivée dans notre
établissement alors qu’il n’était ouvert
que depuis quelques années. A l’époque,
elle était assistante en petite section de
Maternelle. Tout en jonglant entre sa vie
professionnelle et sa vie familiale, elle est
parvenue, petit à petit, à obtenir son
diplôme d’enseignante et a postulé pour
enseigner l’art aux classes du secondaire,
en anglais. Pendant des années, elle a
également travaillé aux côtés de Tania
Silverman, en CP. Elles formaient ensemble
une bonne équipe. Elle a ensuite enseigné
aux classes de CE1 et CE2. Louisa était
toujours consciencieuse, méthodique et
perfectionniste dans tout ce qu’elle
entreprenait. Merveilleuse collègue et
fervente supportrice de la FASNY, Louisa
va grandement nous manquer. »
—Katrine Watkins, Co-fondatrice de la FASNY
« Louisa a toujours appuyé mon programme d’art. Elle arrivait parfois
dans ma classe, à la fin des cours, pour m’apporter de petites choses,
inhabituelles, qu’elle gardait chez elle et dont elle pensait qu’elles
pourraient m’être utiles pendant mes cours : des gravures, des
échantillons de papier ou tout simplement des objets recyclés. Elle était
toujours souriante et semblait tellement heureuse de voir les enfants
développer leur penchant créatif. Lorsqu’elle est partie à la retraite, elle
m’a terriblement manqué et j’ai alors pensé que les enfants de la FASNY
avaient eu bien de la chance d’avoir une enseignante aussi
exceptionnelle. »
—Gayle Sporn, Professeur d’art à l’école secondaire
Re-educating oneself is clearly a must
in today’s world, however, the
education of others is simply an act of
saintly dedication. Louisa Eaton wasn’t
just teaching as a means to an end, but
rather she was teaching as an inspiration
to the beginning: the beginning of so
many educational careers, and more
importantly, adventures. Mrs. Eaton, who
retired from FASNY after a 20-plus year
career as an English teacher at the Pre- and Lower
Schools in 2005, died on May 14, 2008 at age 71, after
battling a rare form of sarcoma. She was diagnosed in
February of that year.
The Solebury School and Wellesley College
graduate is survived by her four children, Fredrick,
Thomas, Griffin, and Elizabeth; her brother, Thomas
Griffin; her nephew, John Griffin; and five
grandchildren; as well as FASNY alumni, colleagues,
and friends:
Growing Together 94 Evoluer ensemble
“Louisa Eaton came to the School when it was only a few years old.
At that time, she was an assistant in Nursery. While working and
raising her family, little by little, she completed her teaching degree
and then applied to teach English Language Arts in the Lower
School. For years she worked along side Tania Silverman in Grade
1. They made a smooth team. She also taught Grades 2 and 3.
Louisa was always hard working, conscientious, and thorough in
everything she did. A wonderful colleague and a strong supporter of
FASNY, Louisa will be sorely missed.”
—Katrine Watkins, FASNY co-founder
“Louisa always supported my art program. She would
come in at the end of the day and give me little,
unusual things she had at home that she thought I
could incorporate into my lessons or put up on my
bulletin boards to share with all my classes. They were
little prints, samples of papers, or just recyclable goods
that I could put to use. She always had a smile on her
face and seemed so happy to see the creative side of our
students. I missed her very much when she first retired
and truly feel that our FASNY students who had her
were blessed to have such a wonderful educator.”
—Gayle Sporn, Lower School art teacher