le dossier de presse 2013 - AFIJMA
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Création<br />
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Vincent Peirani «Thrill Box»<br />
invite Michel Portal<br />
VINCENT PEIRANI ACCORDEON, MICHAËL WOLLNY PIANO, MICHEL BENITA CONTREBASSE, MICHEL PORTAL CLARINETTE,<br />
BANDONEON<br />
L’enfant terrib<strong>le</strong> <strong>de</strong> l’accordéon baptise son affriolant trio en présence <strong>de</strong><br />
son parrain <strong>de</strong> cœur et d’esprit.<br />
1980 Naissance à Nice<br />
1996 Premier Prix d’Accordéon Classique à l’unanimité avec félicitations au CNSM <strong>de</strong> Paris.<br />
2001 Premier accordéoniste à entrer dans la classe <strong>de</strong> jazz du Conservatoire <strong>de</strong> Paris.<br />
2003 Premier prix d’orchestre du Concours National <strong>de</strong> Jazz <strong>de</strong> la Défense pour son duo avec Vincent Lê Quang.<br />
2010 Intègre <strong>le</strong> quintette <strong>de</strong> Daniel Humair.<br />
2011 Commence à jouer avec Youn Sun Nah et est repéré par Siggi Loch, patron du label ACT.<br />
Il a joué avec Youn Sun Nah, Daniel Humair, Emi<strong>le</strong> Parisien, Sylvain Luc, Vincent Lê Quang, Sansévérino, Denis<br />
Charol<strong>le</strong>s, Louis Sclavis, André Minviel<strong>le</strong>, Médéric Collignon, Ulf Wakenius…<br />
<strong>2013</strong> Vincent Peirani, Thrill Box, Act / harmonia mundi, à paraître <strong>le</strong> 9 avril<br />
Pour pasticher une célèbre publicité d’automobi<strong>le</strong>, on pourrait dire qu’il a tout d’un grand.<br />
Et ce pas seu<strong>le</strong>ment parce qu’il affiche une carrure <strong>de</strong> pivot <strong>de</strong> basket-ball. Non, surtout<br />
parce que, bien campé dans sa trentaine rugissante, Vincent Peirani est petit à petit en train<br />
d’intégrer <strong>le</strong> cerc<strong>le</strong> fermé <strong>de</strong>s improvisateurs hexagonaux qui comptent. Depuis 2003 et<br />
son premier prix d’orchestre au prestigieux Concours <strong>de</strong> la Défense pour son duo avec Vincent<br />
Lê Quang, son nom s’est répandu comme une délicieuse traînée <strong>de</strong> poudre sur toutes<br />
<strong>le</strong>s lèvres. Tour à tour, <strong>le</strong> batteur Daniel Humair, <strong>le</strong> guitariste Ulf Wakenius ou la chanteuse<br />
Youn Sun Nah l’ont invité à venir batifo<strong>le</strong>r à <strong>le</strong>urs côtés. C’est d’ail<strong>le</strong>urs lors d’un concert <strong>de</strong><br />
la Coréenne que <strong>le</strong> patron d’ACT Records, Siggi Loch, a eu <strong>le</strong> coup <strong>de</strong> foudre et décidé <strong>de</strong> lui<br />
proposer d’intégrer son écurie. Preuve <strong>de</strong> son aura grandissante, il s’est adjoint <strong>le</strong>s précieux<br />
services du prodige al<strong>le</strong>mand du clavier Michael Wollny et <strong>de</strong> la contrebasse voltigeuse du<br />
complice d’Aldo Romano ou d’Erik Truffaz, <strong>le</strong> Français Michel Benita. Prévu pour ce printemps,<br />
l’album « Thrill Box » marque <strong>le</strong> début d’une carrière solo d’un artiste tout-terrain<br />
capab<strong>le</strong> <strong>de</strong> jong<strong>le</strong>r avec toutes <strong>le</strong>s nuances <strong>de</strong> l’arc-en-ciel stylistique : premier prix d’accordéon<br />
classique, <strong>le</strong> garçon s’est amusé autant avec la chanson bondissante <strong>de</strong> Sanséverino, <strong>le</strong><br />
trash jazz <strong>de</strong> l’United Colors of Sodom ou <strong>le</strong> free musette <strong>de</strong> Méloso<strong>le</strong>x avec Denis Charol<strong>le</strong>s.<br />
C’est donc comme une évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> <strong>le</strong> voir inviter Michel Portal : <strong>de</strong>puis peu, il a pris<br />
l’habitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> se produire en duo avec cette légen<strong>de</strong> <strong>de</strong> la clarinette tant classique que jazz,<br />
pionnier <strong>de</strong>s éruptions free européennes et manieur habité <strong>de</strong> bandonéon (pour parfaire<br />
la gémellité spirituel<strong>le</strong>, c’est par la clarinette que Vincent Peirani a commencé la musique<br />
avant d’opter pour la boîte à frissons). Voir <strong>le</strong> Basque complice <strong>de</strong> Richard Galliano jouer <strong>le</strong><br />
rô<strong>le</strong> <strong>de</strong> parrain <strong>de</strong> ce trio prometteur s’impose comme un palpitant passage <strong>de</strong> relais.<br />
http://www.vincent-peirani.com<br />
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