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niiiim DIMANCHE-ILLUSTRÉ ■■'■''''■■■■'■■iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii 14 i.iiiiiiiiiiiHHiMiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiMniiiiiiiiiiHMiiiiiHiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii LE 25 OCTOBRE 1931 'HIMII* ÉCHOS ET PASTEUR A VILLA V1CENTLNA I E nom de Villa Vicentina évoque-t-il beaucoup de '-' souvenirs pour les Français?. C'est dans cette petite localité du Krioul, hier autrichienne, depuis 1918 italienne, que mourut, en 1820, Elisa Baciocchi, la sœur aînée de Napoléon, et que Pasteur poursuivit ses expériences sur la maladie des vers à soie et les résuma dans un beau livre. La mémoire du séjour de notre illustre compatriote est demeurée très vivante dans ce pays auquel il a rendu la prospérité, — chez les sériciculteurs frioulans, l'année 1870 est encore appelée l'année d'or, — où la tradition s'est conservée de ses relations amicales avec le chimiste triestin Chiozza. Celui-ci, déjà son disciple, allait devenir, en 1869-1870, son voisin et son ami, et multiplier à son égard les témoignages du plus entier dévouement. Ce sont ces souvenirs .que, s'inspirant d'une suggestion du consul général de France, la Société adriàtique des Sciences naturelles de Trieste a voulu commémorer par l'apposition d'une plaque commémorâtive à Villa Vicentina,"sur la villa qu'habita Pasteur (c'est la gracieuse retraite que s'était préparée Elisa Baciocchi et qui ne fut terminée qu'après sa mort), et d'une autre à Scodavacca, sur la maison de Chiozza. Les deux inaugurations ont eu lieu le dimanche 19 avril, à quelques minutes d'intervalle. Des paroles empreintes d'une simplicité cordiale ont été prononcées, au cours- des deux cérémonies, par le professeur Rayasini, président de la Société Adriatique des sciences naturelles, et M. René Dollot, consul général de France, donnant à cette petite fête son caractère de fraternité Intellectuelle. Oh lira sans doute avec plaisir le texte de l'inscription relative à Pasteur. Elle est due à M. Silvio Benco, dont tous les Italiens apprécient les dons lapidaires : Calma dimora dal 25 novembre MDCCCLXJX al VI LuglioMDCCCLXX qui arrise' a ' Lvigi Pasteur il grande scienziato intenta col vigore délia .ritemprata'sahite agli studi sul.bac'o da seta inserti nella sua opéra immortale '. bened-etta dall'umanità. t Cette paisible demeure accueillit, du 25 novembre 1869 au 6 juillet 1870, Louis Pasteur, l'illustre savant. Dans la plénitude de sa santé recouvrée, il se'consacra ici aux études sur le ver à soie, enchâssées dans son ceuvre immortelle, bénie par l'humanité. » Journal des Débats.. POUR GUÉRIR LÉS ENTORSES oici plusieurs procédés de traiter les entorses ' : V lorsqu'un muscle est froissé par une entorse, une foulure ou un faux mouvement quelconque, on applique sur la partie malade un cataplasme très chaud de vin rouge et de son. Il faut délayer le son à froid dans le vin, puis le faire chauffer doucement en remuant constamment. Ce remède empêche l'enflure et l'inflammation de la partie atteinte. Un autre procédé, très recommandé également, Consiste à appliquer sur l'articulation ou sur la vertèbre douloureuse, s'il n'y a pas écorchure, une bonne êompresse d'eau sédative ; si l'enflure se manifeste, il faudrait appliquer dessus un linge fortement imbibé d'alcool camphré et envelopper ensuite l'articulation avec des linges graissés à la pommade camphrée que l'on maintient dessus jusqu'à ce qu'on applique de nouveau une compresse d'alcool camphré. Si l'entorse ou la foulure était très grave, il faudrait vivement appliquer sur la partie douloureuse un cataplasme alcétique composé de la manière suivante : Faire bouillir, dans un demi-litre d'eau, une bonne poignée de sel marin, cinq ou six feuilles de lauriersauce, 2 grammes d'aloès en poudre ; délayer la farine de lin en quantité suffisante; on fait, avec cette pâte, un cataplasme de dimension suffisante afin de pouvoir recouvrir toute la partie malade, puis on l'arrose d'eau sédative au moment de l'appliquer. Il est nécessaire de supporter ce cataplasme aussi chaud que possible et de le retirer au bout d'une demiteure - A la Page. ENCORE LE NOMBRE TREIZE ES superstitions ont grand'peine à mourir, même en L un siècle qui croit à ses lumières. Cette année encore, la date de départ du Mauretania dut être changée pour lie pas plonger dans la consternation ceux qui craignent de s'embarquer,un vendredi 13. • Au point de vue superstition, nos contemporains sont aussi absurdes que leurs devanciers. Est-il moins nombreux qu'autrefois le nombre de ceux qui attachent de l'importance aux présages fastes ou néfastes, craignent les vendredis, les hiboux, les glaces cassées, et s'estiment heureùx de rencontrer un chat noir ou de trouver un fer à cheval? Quant au nombre treize, il a une importance sociale qui ne saurait être niée, et tout le monde connaît les angoisses de la maîtresse de maison menacée d'avoir treize invités à table. Dans les cliniques, il n'est pas de chambre pour porter le nombre 13; en y pénétrant, le futur opéré se croirait déjà mort. L'éducation est impuissante pour balayer de l'esprit ces absurdes croyances, et l'on connaît des gens raffinés et de haute culture pour accorder la foi la plus absolue en de risibles sornettes. C'est ainsi qu'un auteur célèbre appose sur ses livres un signe symbolique qui doit lui assurer le succès. Voici, à ce propos, une charmante anecdote : un L'HEURE DU DIABLE .Employer « Le Diable » contre un cor au pied, c'est marquer l'heure de son trépas. « Le Diable » enlève les cors en six jours, pourtoujours. 3fr.95, Pharmacie Weinmann.àlipernay.ettoutes pharmacies. Maisattention!... Exigez « Le Diable ». AUX FUMEURS Vou> pouvez vaincre l'habitude de fumer en trois ours, améliorer votre santé et prolonger votre vio. Îjus de troubles d'estomac, plus de mauvaise haleine; plus de faiblesse de cœur. Recouvrez votre vigueur, calmez vos nerfs, éclaircissez votre vue et développez Votre force mentale. Que vous fumiez la cigarette, le çigarc, la pipe ou que vous prisiez, demandez mon livre si intéressant pour tous les fumeurs. U vaut son pesant
miim* LE 25 OCTOBRE 1931 iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiiiiuiiiiiiiiiiHiiiiiiiiiiiiiiiiiti 15 iiiiMiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiMiniiiiiiiiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiii DIMANCHE^JLLUSXRÉ miiiiltt Sur .l'autre rive, la fête durait encore. Plusieurs têtes étaient prêtes, et les guerriers les hissaient au. bout de bâtons, pour les montrer. Les blancs les voyaient distinctement, petites, noiraudes, avec leurs cheveux qui, maintenant, semblaient démesurément longs. — Qu'ils y viennent vite... maugréait Maurice. Que nous leur infligions la défaite qu'ils méritent, et que nous puissions partir... vers notre père... Edmond était sombre. La première tâche remplie, lui aussi avait hâte de se mettre en rou f e. S'il l'avait pu, il aurait doublé la longueur des marches. — L'ennemi est au nord. Dieu sait s'il n'attaque pas un homme seul, sans défense. Auguste intervint : —- Sans défense ? Vous vous trompez, monsieur. Vous ne savez pas quel être de force et de prudence est devenu votre père... pendant son martyre... Soyez sûr que, dans sa solitude, il aura su se fortifier, et que, pour arriver à lui, il faut montrer patte blanche. U sait bien, où qu'il soit, que les périls l'entourent, qu'il ne peut compter que sur luimême. Et, dans les montagnes, û est assez "facile de se construire un abri sur un point inaccessible. o o L A pluie avait cessé. Les nuages s'évaporaient et lé ciel, nettoyé, pâlissait sous les approches de la nuit tropicale, cette nuit qui, toute l'année, a la même longueur. — Mangeons... Puis prenons la garde, dit l'ancien clown. Le repas fut rapide, et souvent Omar allait écarter les feuilles de palmier pour surveiller les environs et la rive opposée. Mais les Indiens dansaient, buvaient l'alcool trouvé dans quelques «maloccas »,,et qui provenait encoredu pillage de la fazenda. — Ce sera pour cette nuit... Ils célèbrent d'avance leur nouvelle victoire et se demandent comment seront les têtes des blancs, après le repassage. Maurice parlait avec Adine et Manoela. Peu à peu, la. jeune fille sortait du cauchemar terrible et du rêve incroyable de la délivrance. Elle se confiait déjà, elle donnait son cœur à ses sauveurs, à ses amis. Elle était belle et douce. Elle voulait veiller, disait-elle, toute la nuit, car elle passerait cette nuit en prières de gratitude. ' Mais Maurice, qui semblait avoir assez d'ascendant sur elle, lui persuada qu'elle devait s'étendre dans son hamac, pendu assez haut pour que les flèches éventuelles "ne pussent la frapper. La nuit s'abattit, et, de l'autre côté de l'eau, les chants, les cris s'éteignirent aussitôt. — Ils sont ivres, dit Edmond. — Ils le sont, mais ils ne boivent plus. Dans trois heures, ils n'auront plus, de leur ivresse, qu'une sauvagerie plus grande, une cruauté plus aveugle. — Pensez-vous que nos fusils ne leur font pas peur ? — Ils croient nous surprendre. Ils ont confiance dans le silence de leur marche. U y avait tant d'étoiles au ciel que les yeux des guetteurs furent vite habitués à la nuit. Les trois hommes qui prendraient le deuxième tour se couchèrent, le fusil dans la main, et s'endormirent vite, pour profiter du olus long repos qui devrait fatalement être troublé. Mais les sentinelles furent relevées sans avoir rien vu de suspect. Gantos, Auguste et Omar les remplacèrent. Santos se réservait de surveiller la rivière vers l'aval. Selon lui, l'attaque viendrait par là. Au milieu du petit bivouac brillait un feu clair. Santos, le fusil entre les genoux, la tête immobile devant le trou aménagé dans la défense accessoire, armait lentement deux pistolets automatiques. Us ne se parlaient pas, même à voix basse. Chacun se préparait à jeter l'alarme. Us demeurèrent une grande heure à épier sans résultat. Les Indiens avaient-ils adopté une autre tactique ? Voulaient-ils les attendre le lendemain, en plein jour, dans la forêt ? Seraient-ils cachés sur les arbres, rendus invisibles par le rideau de lianes ?... Le péril serait alors décuplé. —. Non... Non... murmurait le guide. C'est impossible. L'occasion que nous leur offrons est trop belle. Ils ne peuvent manquer d'en profiter... A DÉTACHEB THÉÂTRE DU PETIT MONDE AUX FOLIES-WAGRAM 35, av. de Wagram (Étoile). Une réduction de 40 % est accordée au porteur de ce Bon sur le prix afflehédes places d'orchestre ou de corbeille. (Valable p r 2,3 ou 4 places). P0UK LES REPRÉSENTATIONS DE BICOT,SUZY&C 18 Opérette en 3 actes de THÉRÈSE LENOTRE Couplets U' A. de MONTOOH. | Musique de BEN£H BASH d'après LES AVENTURES DE BICOT Au 3» Acte : LE MATCH DE BASE-BALL Qui ont lieu le Jeudi 29 octobre et les dimanches 1" et S novembre. Rideau à 15 h. Location tous les fours, de 11 i 18 h. Il regardait mieux encore. Ses yeux perçants trouaient la nuit. Tout à coup, au loin, il crut distinguer des ténèbres qui bougeaient. C'était sur la rivière... un rien... imperceptible... Une illusion... Mais Santos se rendit près des deux autres veilleurs. — Attention... On passe l'eau, très loin, sùu91a-t-il. Une demi-heure coula ensuite. Du côté de la rivière, semblait-il, rien n'était à craindre. Le ciel s'éclairait. N'importe quoi serait tout de suite découvert. Ce qui inquiétait le mulâtre, c'était la bordure de la forêt, à deux ou trois cents mètres. Ses yeux allaient partout, fouillaient l'herbe, les ténèbres entre les premiers arbres. Soudain, il sauta debout. Il avait cru voir remuer une ombre. Sans hésiter, il alla aux hamacs, secoua tout le monde. — Alerte, au poste de combat, dit-il. Us s'apprêtent. Et aux deux jeunes femmes : — Restez au milieu... Mais pas debout. Et le revolver prêt. Vous nous serez peut-être d'un grand secours. Il retourna à son poste d'observation. Pistolets à la ceinture, le fusil à la main, les cinq hommes étaient prêts à recevoir l'ennemi. — Us nous entourent, soyez-en sûrs, glissa Santos à son voisin. Vous avez vu leur tactique. Ils vont attendre d'être partout... Tenez I regardez bien. En voilà qui commencent à ramper. Lui seul voyait. Pour les autres, les herbes ne bougeaient pas. ■ — Aplatissez-vous, avertit le mulâtre de proche en proche. Leurs flèches vont pleuvoir. Ils ne soupçonnent pas que nos défenses euvent les arrêter net. Ils savent à quelle Êauteur sont les hamacs. Et ils viseront juste, soyez-en sûrs. Ils peuvent croire que nous n'avons autour de nous qu'un rideau de feuilles... Pourtant, les sauvages, que les yeux commençaient à distinguer, s'avançaient le plus près qu'ils pouvaient. Us étaient à vingt-cinq mètres qu'aucune sarbacane n'avait encore envoyé la mort empoisonnée. — Vont-ils s'élancer sans décocher de flèches ? se demandait Santos. Il se trompait. Mais ils avaient résolu de ne lancer qu'un seul trait par guerrier, tous ensemble, et de se ruer en même temps. — Attention, glissa Santos à son voisin. U avait vu les tubes de sarbacanes se dresser. Un instant, tous s'aplatirent sur le sol. Us entendirent crépiter les bois dans les branches mortes. Au même moment, un horrible cri retentit, poussé par plus de cinquante poitrines. La ligne entière, relevée, se précipitait, brandissait surtout les armes des blancs, volées dans les « maloccas. » Us avaient bien calculé leur coup. Entre leur cri et le moment où ils tomberaient sur les étrangers, il ne s'écoulerait pas trois secondes. Impossible de se dépêtrer du hamac et de prendre les armes. Tous seraient massacrés. Mais, dans la nuit, une voix brève cria : — Feu! Cinq détonations déchirèrent les ténèbres. Cinq Indiens tombèrent en hurlant. Toutefois la bande ne pouvait s'arrêter. Son élan l'emportait. Les Indiens vinrent se buter aux branches. Adine et Manoela étaient accourues. La première se tenait près de son mari, le revolver braqué. La jeune fille s'était tout naturellement trouvée à côté de Maurice. Avec des cris de menaces et de mort, les sauvages traversaient le rempart fragile, se précipitaient dans le camp. C HAQUE défenseur avait abandonné le fusil pour le browning. Les détonations crépitaient. Les Indiens tombaient. D'autres, encore à moitié ivres, prenaient leur place, tâchaient d'assommer les ennemis. Sans l'alcool qu'ils avaient bu, ils seraient déjà en fuite, mais, à présent, leur cerveau embrumé ne voyait plus le péril et voulait du sang. Par bonheur, les sept défenseurs avaient chacun quatorze coups à tirer avant de recharger. Et leurs revolvers faisaient bonne besogne. Habitués au tir comme tout le monde l'est en Suisse, ils ne tiraient qu'à coup sûr, avant que l'arme offensive de l'Indien fût à portée. L'aide d'Adine et de Manoela n'était pas à dédaigner. Elles se défendaient avec courage. Au premier rang de l'attaque, vociférant, était le chef, celui qui avait fait alliance. Omar le vit. D tira son poignard arabe, le mit entre ses dents, et s'avança. Le chef l'aperçut et, dans sa rage de tuer, il fit un bon en avant. Déjà Omar avait glissé ses pistolets à sa ceinture. La lame brillait. Le chef brandissait en massue un des fusils du village. Il fit un moulinet. La crosse passa à un pouce d'Omar, mais l'ancien tirailleur s'était baissé. Avant que le sauvage pût arrêter son moulinet, il se relevait contre lui, et, de bas en haut, lui ouvrait le ventre. Ensuite, il le saisit par un pied et le traîna sanglant, déjà mort, dans la ligne. D'un coup de sa lame kabyle, il lui trancha la tête, et la saisissant par les cheveux, il la lança à toute volée sur l'ennemi. Il hurlait : . — Tiens... C'ti crapile... kif kif tout le monde, si ti viens... La tête frappa un Indien en pleine poitrine, comme un boulet, et l'inonda de sang. Les revolvers continuaient leur tintamarre et les sauvages n'osaient plus avancer. Us se cou- laient à terre, épouvantés, ne sachant com ment fuir. Celui qui avait reçu la tête du chef, et l'avait reconnue, cria sa frayeur. Alors toute la bande, ensemble, recula, lançant des flèches inutiles. Les fusils rentrèrent en ligne. Quelques guerriers touchèrent encore lé sol, puis ce fut la retraite éperdue, folle, avec des plaintes, des cris d'appel, de ralliement. Les blessés se traînaient, malgré leurs souffrances, persuadés que les blancs allaient faire comme eux et couper toutes les têtes. Dans le petit camp, personne n'était blessé. .Edmond, qui avait vu la prouesse d'Omar, le félicitait. C'était vraiment lui qui avait déterminé la débandade. — Cette fois, ils ne s'y frotteront plus, dit Santos. Nous pouvons être tranquilles. — Oui, coupa Maurice, mais nous ne dormirons pas. Le mieux, je crois, est de boucler nos bagages. Auguste consultait sa montre. — D'autant plus que le jour se lèvera dans une heure... et que nous n'avons, ni les uns ni les autres, grande envie, je suppose, de perdre du temps parmi ces cadavres que les fourmis et les charognards vont attaquer cette nuit même. Le conseil était bon, et fut suivi. Adine et Manoela, remises de l'alerte, préparaient le café chaud. La jeune fille se considérait comme sauvée une seconde fois, et définitivement. Quand le soleil parut, il éclaira un champ de carnage. Les blancs ne se doutaient pas qu'ils avaient tant tué. C'étaient les Indiens qui, croyant surprendre, avaient, en réalité, été pris dans le traquenard. Seule la tête coupée avait disparu. — Ils l'ont emportée, assura Santos. Us ne se souviennent déjà plus que ce fut leur chef. Us la momifieront comme les autres, et en garderont les cheveux comme un trophée de victoire. EDMOND ROMAZIËRES. pQWWÎuieUft ...vite un lUTOPLASME VAILLANT ...et tout ira bien. L/Autoplasme Vaillant possède toutes léa propriétés dea Cataplasmes si napisés, sans en avoir les inconvénients. Il ©et toujours prêt à être employé, il est économique, U ae conserve indéfiniment. En vente dans toutes les Pharmacies. Gros: IQ, r. Jacob, Paris Le Gérant : H. LE PAGE. Paris. — HÉMEHY, Imprimeur, 18, rue d'Engtiien. TRENCH-COAT DAME .beau oover belge. Entièrement doublé tartan écossais et longotte gommée IHPERWÉA3LE, doublure mobile 250. » PAYABLES DEPUIS. TRENCH-COAT homme beau cover belge. Entièrement doublé Tartan Écossais, et •longotte gommée imperméable, doublure mobile 270. » Mesures à donner : Tour de poitrine sur gilet ou corsage. Tour de ceinture et des hanches. Grandeur totale de la personne. Tous ces articles sont payables en 10 versements mensuels égaux. Le 1" c. remb., les autres chaque l 01 du mois suivant. four 3'50S 2 AVIONS B 16 à construire, exécutant ie looping et le vol plané. Envol franco contre mandat adressé à M. LESAQE (jouets), 1, rue de la Gare, à La Garenne (Seine). Je Voulais Cacher Mon Visage " La première fois que j'ai rencontré l'homme qui est maintenant mon mari, j'ai eu envie, de couvrir mon visage pour qu'il ne puisse voir mon teint. J'avais alors une peau graisseuse, jaune, des pores dilatés et des rides commençaient même à paraître, bien que je n'eusse que 33 ans. A cette époque, je décidai que je me débar- Tasserais de ces tares choquantes si c'était humainement possible. Des lectures m'avaient souvent renseignée sur la Crème. ïokalon, mais pour une raison ou une autre, je n'en avais jamais fait usage. Que ne l'ai-je connue plus tôt! Je sais maintenant qu'il y a des raisons scientifiques qui expliquent les choses si miraculeuses que la Crème ToKalon accomplit pour la peau, mais celle qui, pour moi, est la plus importante de toutes, est qu'après un mois seulement ie ne pouvais plus relever la moindre trace de la couleur blafarde et des rides qui me faisaient d'ordinaire paraître Vieille. Mon mari ne voulait pas en convenir, mais je sais qu'il ne m'aurait jamais regardée si je ne l'y avais volontairement forcé en rendant mon teint irrésistible. S'il est d'autres femmes qui ont différé comme je l'ai fait, à employer la Crème Tokalon, je voudrais pouvoir les inciter à commencer aujourd'hui même l " NOTE. — L'auteur des lignes ci-dessus préfère que son nom ne soit pas publié mais l'authenticité de sa lettre sera prouvée si on le demande. Ce qu'elle a fait, d'autres femmes peuvent le faire. Employez la Crème Tokaion, aliment pour la. peau, couleur rose, le soir avant de vous coucher, et la blanche, le matin. Vous serez stupéfiée de l'amélioration, même en une nuit. Les résultats sont garantis, sinon l'argent est remboursé. DIMANCHE-ILLUSTRE RÉTRIBUE LES PHOTOGRAPHIES QUI LUI SONT ENVOYÉES PAR SES LECTEURS DÈS QU'ELLES ONT ÉTÉ PUBLIÉES 25::MOIS COMPLET ville Doublure LAINE Draperie peigné PURE LAINE Teintes mode : Bleuté, violine ou marron... 51. " PARDESSSUS CROISÉ Doublure laine, 6 boutons. BELLE DRAPERIE LAINE marron ou gris noir. Article soigné 345. » RAGLAN CROISÉ Doublure Laine. En sup. Ratine PURE LAINE bleuté loncé ou violine loncé 395. » Envols FRANCO de port et d'emballage. Adresser les commandes a la Maison de Confection R. CHARRIER Fils 1 S, rue dea Teintureries, t S aux Mlll I VICIII.OVVK «Vende»
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