Bulletin N°4 - Présentation de la fédération psy enfants-ados

politiques en vue d’obtenir d’avantage de moyens et de places tous azimuts; dans
les crèches, pouponnières ,COE… La priorité étant de renforcer les équipes
existantes.
Il demande le soutient du CA et l'obtient ainsi que plusieurs idées.
2. Coupole (ABO bébé, WAIHM, APPIJF, Revue, AEPEA, …):
Nous attendions des nouvelles de Monsieur Luminet pour la création du site.
Son premier courriel est passé inaperçu. Il attend notre feu vert pour la poursuite. Nous
suggérons que le nom du site de la coupole soit FPEA, soit Fédération Psy Enfants Ados.
3. Concernant la Formation des assistants en psychiatrie Infanto Juvénile:
- Deux propositions intéressantes faites par Catherine BLONDIAU ont retenu notre
attention :
• Possibilité d’effectuer l’assistanat soit en 5 ans à temps plein soit en 7 ans dont 2
années à mi-temps.
• Limiter le présence du maître de stage durant la présence de l’assistant plutôt qu’à
temps plein.
- Nous soutenons l’opposition de D. CHARLIER à l’obligation évoquée par le
Ministère de la Santé, pour les maîtres de stage, de se soumettre à un renouvellement
de leur agrément tous les 5 ans par le biais de rédaction d’un article.
- L’APPIJF veut aller plus loin en soutenant les 2 avis positions suivantes :
• Agréer des maîtres de stage dans le réseau ambulatoire, donc en dehors des milieux
hospitaliers, tenant compte du fait que la pratique de la psychiatrie Infanto-Juvénile
s’y déroule en majeure partie, à savoir les SSM, les CRF ou conventions INAMI, les
SRJ ainsi que les équipes SOS Enfants et pourquoi pas dans le privé.
• Il serait urgent de revoir le statut social de l’assistant, tenant compte du fait que la
durée du temps de travail pendant l’assistanat n’est pas comptabilisé pour le montant
octroyé à la pension.
4. Concernant la loi GOUTRY
L’APPIJF soutient la réaction de la Plate Forme de Santé Mentale de Bruxelles, à savoir
• Que le maintien de l’administration de bien se fasse par le biais d’un avocat et
du Juge de Paix.
• Q’une révision de la mesure soit faite tous les deux ans.
André Denis a exprimé par courrier son approbation à ce sujet en émettant toutefois des
réserves quant à la procédure de révision automatique tous les deux ans en précisant que
la mesure devrait pouvoir être revue et levée à tout moment.
5. Quant à l’échelonnement
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