Bulletin N°4 - Présentation de la fédération psy enfants-ados

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n'allait pas pour lui. Dominique recevra cependant le compte-rendu de cette réunion, et
nous pourrons lui demander des nouvelles !
6) GBS et union professionnelle des psychiatres
- Avant toute chose concernant la participation de membres du CA de l'APPIJF au GBS, rappelons
que nous avions convenu en AG que l'APPIJF paierait les cotisations de ses membres délégués
au GBS, et qu'une association ne peut pas être membre ( il faut l'être à titre individuel).
Par ailleurs, André va poser sa candidature à l'union professionnelle.
- Au GBS , les questions sont : l'échellonement, les honoraires, les séparations psy adultes et
enfants.
et loi Goutry par rapport aux 4 modalités de tutelle rassemblée en une (administration de bien,
tutelle, minorité prolongée etc),
Flamands semblent avoir un moins grand souci de différenciation, mais sont plus dans
l'idée d'efficacité.
Goutry veut promouvoir aussi le fait que les psychologues aient le droit de soigner.
- Voici maintenant les questions que nous souhaiterions aborder au GBS:
° l'hôpital n'est pas que le meilleur endroit de prise en charge des enfants..
° la disparité des honoraires en fonction du lieu où on travaille.
° Echellonement : la pratique en santé mentale ne s'apparente pas à celle de la médecine
générale.
Les généralistes sont parfois même à la plus mauvaise place, surtout en milieu rural, où il
y a parfois une grande proximité entre eux et les patients.
Il nous semble que les structures ambulatoires sont en première ligne dans le champ de la
santé mentale. Le contact avec le médecin traitant est intéressant par rapport à ses attentes
mais pas via l'échelonnement.
° Françoise met en avant les contradictions entre les approches psys et celles de la justice.
Logique de la famille idéale (idéologie du lien cf Berger) pour la justice. Dans son expérience
en équipe SOS, la justice semblait parfois bien "frileuse" par rapport au fait d'extraire un
enfant d'une famille maltraitante. Parfois, on en arrive à dénier la souffrance des enfants.
Notre discussion nous amène à penser qu'il ne faut peut-être pas vouloir que la justice et les
psys soient dans la même logique... et qu'il y a aussi quelque chose à soutenir du côté
de la différenciation des rôles de chacun. Rien n'est simple !
Les services SAJ semblent s'essouffler, par rapport à la question de la protection de l'enfant.
Le secteur de l'aide à la jeunesse est un secteur dans lequel les psy infanto-juvéniles sont
conviés, et c'est une position à soutenir au GBS, que des psychiatres se frottent au judiciaire.
- Suite aux deux réunions du CA du GBS auxquelles André a participé, il retient que le GBS est
un organe qui a du pouvoir. Dès qu'il est question d'un changement en politique de soins de
santé mentale, ce sont eux les interlocuteurs.
Par ailleurs, le GBS semble aussi peu représentatif que l'APPIJF...!
7) Divers
- Opération " corps-coeur-esprit"
Il s'agit d'une opération policière menée de façon relativement musclée dans une école, à
visée préventive, à la recherche de stupéfiants.
Luc Fouage, directeur du COGA, SRJ de l'abbaye d'Aulne, souhaitait que les