Bulletin N°4 - Présentation de la fédération psy enfants-ados

21
Ces chiffres nous font à nouveau réfléchir et nous interroger sur la représentativité de
l'APPIJF par rapport à l'ensemble de la profession...
En ce qui concerne le relais par rapport aux glems, cela ne fonctionne pas bien, et l'idée de
départ considérant que le CA était constitué par des membres des différents glems
francophones de psy. infanto-juvéile, avec des mouvements d'interpellation et d'informations
réciproques ne s'avère pas très fonctionnel.
Des décisions ont été prises : oui au site internet, oui au projet coupole, oui au secrétariat
commun, oui au défraiement des administrateurs et aux personnes expressément invitées par
le CA.
Eric De Doncker rédige le rapport des AG .
3) Site internet
JP Matot a envoyé un courrier à Eric Mathy par rapport à la confection du site de la coupole
et envisage une réunion avec le site master et les représentants des différentes associations.
(le web master pressenti étant quelqu'un qui s'occupe du site du SSM ULB)
Eric le relance.
André prend contact avec Waihm, revue, société, Abobb, Ligue bxl et région wallone, et
représentants des 3 universités, UCL, ULB, et Liège
Dans la lettre de convocation, ce serait utile de définir les contours.
Est ce que le système de mail fonctionne bien ? Non, il semble que le fait de devoir rejoindre
le groupe en s'identifiant et en créant un compte yahoo, en arrête plus d'un !
L'accès et les discussions "dynamiques" seront, on l'espère facilités par la confection d'un site
internet.
4) Réactions aux articles parus dans la presse médicale et
dans "De standaart".
Réactions aux articles dans Neurone, patient care, journal du médecin
André a envoyé les réactions à Geert Dom, président de l'UP et au CA de l'APPIJF
Contenu de ces articles : "cessez de fournir des psychiatres d'enfant, il y en a plus qu'assez".
Notre position : on n'est pas d'accord parce que tout le monde est submergé.
Dans ces articles, tout est confondu en terme de réseau et de psychiatrie et de santé mentale.
Les pathologies sont différentes en fonction des lieux où on travaille.
Les patients semblent rester dans le réseau où ils ont consulté au départ.
Paul Lievens dit qu'il y a une explosion de la pratique privée, qui serait dommageable par rapport au
travail à l'hôpital. Il semble entendre par « privé » tout ce qui est ambulatoire.
Ce qui peut se lire entre les lignes, c'est l'idée que, seuls les hôpitaux seraient des lieux de travail de qualité
et
que les psychiatres de santé mentale seraient plus "cools" au niveau charge de travail.
Une autre question soulevée est celle de l'aspect financier. Il pose les choses comme s'il y avait une
sorte d'incompatibilité entre les pratiques de hôpital et ambulatoire. Le soutien de l'institution semble
différent.
Le problème c'est que les ssm ont des façons de travailler très différentes, et qu'il semble difficile de parler
d'un type de pratique en ambulatoire de façon générale.
André nous fait part, par exemple, de la pratique du centre de santé mentale de Tournai en psychiatrie de
liaison, avec les services hospitaliers de pédiatrie, entre autre avec un système de garde mais ce type de